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Grimsby - Manchester United (League Cup, 2e tour) - mer. 27 août 2025, 21:00


Manchester Devils

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Jamais vu Manchester aussi nul ,et je regarde depuis 1992,faute professionnelle aussi bien des joueurs et amorin , soit tu change de tactique, soit tu peux partir,la ya absolument rien pas de jeux pas d'envie,ce qui me fait le plus mal,c'est comment ça va encore chambrer ,le club le plus nul de pl a l'heure actuelle, clairement si ont reste dans cette optique,c'est la relégation assuré.

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J’ai juste une question aux dirigeants de cette équipe...quequ’il faut que amorim fasse pour qu’il soit limogé??!!

Autre questio. S’il vous plait..

Onana, est-il un gardien digne d’une équipe comme manchester united??!! Vraiment??!! 

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il y a 19 minutes, aminecom a dit :

J’ai juste une question aux dirigeants de cette équipe...quequ’il faut que amorim fasse pour qu’il soit limogé??!!

Autre questio. S’il vous plait..

Onana, est-il un gardien digne d’une équipe comme manchester united??!! Vraiment??!! 

Je crois qu'ils voulaient au moins lui laisser jusqu'à city/chelsea, le temps que les joueurs s'adaptent.

Même le match contre fulham pouvait passer à mon avis pour la hierarchies mais là clairement ça peut pas passer. Trop tôt pour le virer mais il doit y avoir une vraie discussion pour qu'il change son système.

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à l’instant, aminecom a dit :

Onana out...

Amorim out...

Tout l'effectif out

 

Quand tu perds contre une D4 c'est pas dans les détails que se trouvent les problèmes, nos joueurs doivent tous suivre une thérapie pour apprendre à aborder un match correctement que ça soit Arsenal ou une équipe de plombiers slovaques en face. Ils sont pas seulement mauvais en tant que joueurs ils sont mauvais en tant que sportifs, c'est toujours le même sentiment merdique que quand c'est une équipe "abordable" nos superstars sont au service minimum, si y'a pas de standing ça vaut pas leur sueur.

Demain matin je m'en fou si Amorim est encore là ou non mais je veux que ces mecs soient mis face à leur responsabilité, peu importe la manière, j'en veux beaucoup plus à nos joueurs qui restent là à rien foutre saison après saison qu'à nos coachs qui doivent essayer de faire faire leur boulot à ces incapables. 

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Manchester United vient de toucher le fond. La défaite humiliante face à Grimsby en League Cup n’est pas seulement une élimination précoce, elle symbolise l’effondrement d’un projet qui n’a jamais réellement démarré. Ruben Amorim, censé incarner le renouveau, s’enfonce dans un fiasco dont il semble incapable de s’extraire.

Au printemps dernier, à Old Trafford, il avait promis aux supporters que la saison 2025-2026 marquerait le retour des beaux jours. Quelques mois plus tard, le constat est implacable : Manchester United n’a jamais semblé aussi mal préparé, aussi mal organisé et aussi mal dirigé. La patience a déjà atteint ses limites. Trop de promesses. Trop d’illusions. Trop de discours creux face à une réalité désastreuse.

Le bilan est accablant. Amorim a bénéficié d’un marché estival en or, avec plus de 225 millions injectés pour remodeler l’attaque. Résultat : une équipe sans âme, sans idées, prisonnière d’un système unique, rigide, un 3-4-2-1 stérile qu’il applique coûte que coûte, comme si la Premier League n’était qu’un terrain d’expérimentation figé. 

Son management interroge autant que son football. Comment justifier d’avoir relancé un gardien (André Onana) déjà décrédibilisé après une saison catastrophique, sans préparation sérieuse, et de l’avoir exposé une fois encore à l’échec ? Comment accepter l’image d’un entraîneur fuyant, assis, incapable de regarder ses joueurs pendant une séance de tirs au but contre une équipe de League Two ? Un entraîneur de Manchester United se doit d’incarner la dignité du club, pas d’enchaîner les postures indignes.

Le contraste est violent. Amorim a construit la saison dernière, sa légitimité en Europe sur une série d’invincibilité en Ligue Europa, avant de tout gâcher lors d’une finale perdue contre un Tottenham moribond, sans relief, probablement le plus faible de ces quinze dernières années. Et désormais une humiliation nationale dans une des trois seuls compétitions que le club peut concourir cette saison...

Ce début de saison catastrophique n’offre aucun motif d’espoir. Nous sommes en août et Manchester United est déjà éliminé d’une compétition. Le cycle Amorim ressemble déjà à une coquille vide.

Les supporters ont tenu, par loyauté, par espoir, par respect pour un projet qui semblait pouvoir redonner de la fierté. Mais la patience est morte à Grimsby. La gifle reçue est trop forte, le symbole trop humiliant. Amorim n’a plus d’alibi. Plus de temps. Plus de légitimité.

Manchester United ne peut pas s’offrir le luxe d’attendre encore. Chaque semaine de plus est une semaine perdue. L’histoire est pleine d’entraîneurs débarqués plus tôt encore, parfois remplacés dans l’urgence par des hommes de maison. Darren Fletcher, qui entraîne les U18, paraît déjà comme une solution transitoire plus crédible que la prolongation d’un fiasco annoncé. Deux semaines de trêve internationale approchent. Elles doivent être utilisées pour reflechir à une réelle planification sportive du club pour cette saison avec un nouveau manager.

Ruben Amorim était censé apporter un souffle nouveau, il n’aura été qu’un mirage. Il promettait le retour des beaux jours, il a offert les pires nuits. Le temps des promesses est fini. Le temps des décisions est venu. Qu’il saute.

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il y a 36 minutes, NamssonRedDevils a dit :

Manchester United vient de toucher le fond. La défaite humiliante face à Grimsby en League Cup n’est pas seulement une élimination précoce, elle symbolise l’effondrement d’un projet qui n’a jamais réellement démarré. Ruben Amorim, censé incarner le renouveau, s’enfonce dans un fiasco dont il semble incapable de s’extraire.

Au printemps dernier, à Old Trafford, il avait promis aux supporters que la saison 2025-2026 marquerait le retour des beaux jours. Quelques mois plus tard, le constat est implacable : Manchester United n’a jamais semblé aussi mal préparé, aussi mal organisé et aussi mal dirigé. La patience a déjà atteint ses limites. Trop de promesses. Trop d’illusions. Trop de discours creux face à une réalité désastreuse.

Le bilan est accablant. Amorim a bénéficié d’un marché estival en or, avec plus de 225 millions injectés pour remodeler l’attaque. Résultat : une équipe sans âme, sans idées, prisonnière d’un système unique, rigide, un 3-4-2-1 stérile qu’il applique coûte que coûte, comme si la Premier League n’était qu’un terrain d’expérimentation figé. 

Son management interroge autant que son football. Comment justifier d’avoir relancé un gardien (André Onana) déjà décrédibilisé après une saison catastrophique, sans préparation sérieuse, et de l’avoir exposé une fois encore à l’échec ? Comment accepter l’image d’un entraîneur fuyant, assis, incapable de regarder ses joueurs pendant une séance de tirs au but contre une équipe de League Two ? Un entraîneur de Manchester United se doit d’incarner la dignité du club, pas d’enchaîner les postures indignes.

Le contraste est violent. Amorim a construit la saison dernière, sa légitimité en Europe sur une série d’invincibilité en Ligue Europa, avant de tout gâcher lors d’une finale perdue contre un Tottenham moribond, sans relief, probablement le plus faible de ces quinze dernières années. Et désormais une humiliation nationale dans une des trois seuls compétitions que le club peut concourir cette saison...

Ce début de saison catastrophique n’offre aucun motif d’espoir. Nous sommes en août et Manchester United est déjà éliminé d’une compétition. Le cycle Amorim ressemble déjà à une coquille vide.

Les supporters ont tenu, par loyauté, par espoir, par respect pour un projet qui semblait pouvoir redonner de la fierté. Mais la patience est morte à Grimsby. La gifle reçue est trop forte, le symbole trop humiliant. Amorim n’a plus d’alibi. Plus de temps. Plus de légitimité.

Manchester United ne peut pas s’offrir le luxe d’attendre encore. Chaque semaine de plus est une semaine perdue. L’histoire est pleine d’entraîneurs débarqués plus tôt encore, parfois remplacés dans l’urgence par des hommes de maison. Darren Fletcher, qui entraîne les U18, paraît déjà comme une solution transitoire plus crédible que la prolongation d’un fiasco annoncé. Deux semaines de trêve internationale approchent. Elles doivent être utilisées pour reflechir à une réelle planification sportive du club pour cette saison avec un nouveau manager.

Ruben Amorim était censé apporter un souffle nouveau, il n’aura été qu’un mirage. Il promettait le retour des beaux jours, il a offert les pires nuits. Le temps des promesses est fini. Le temps des décisions est venu. Qu’il saute.

En gros tu veux Zidane 🤣🤣

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Il y a 5 heures, JKad94 a dit :

Nos deux recrus sont déjà touchés par la malédiction de notre club… Sur ce bonne nuit, hâte de lire les déclarations du coach demain matin, je sens que je vais me régaler…

Celle-là n'est pas stupide

Bon, après ça aurait été bien qu'il touche déjà la balle avec ses mains, mais...

Modifié par Red panther
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Bienvenue à Manchester United : "La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !" Albert Einstein.

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Tu reconnais le niveau de déclin de ton équipe quand tu en arrives là tactiquement, et qu'en plus, sous prétexte de buts marqués par le principal intéressé, c'est validé par un paquet de supporters...

 

Modifié par Red panther

Bienvenue à Manchester United : "La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !" Albert Einstein.

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Ce matin, je suis d'humeur taquine... aller : après la petite sardine en friture, la grosse tranche de gouda !

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Bienvenue à Manchester United : "La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !" Albert Einstein.

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On a vu de plus belles choses sous Ruud qu'avec le portugais. C'est une folie de se dire ça... 🤣

J'ai fait des cauchemars du Penalty de Cunha. Le gars tire son premier penalty décisif chez nous de la pire des façons, aucun envie, force etc. 

J'en veux pas a Mbeumo qui a mis le premier et qui était bien parti pour mettre le deuxième. Enfin bien parti, la barre ça compte pas.

J'ai envie de remercier une nouvelle fois notre joueur le plus décisif, notre héros, le grand Harry Maguire. Toujours présent pour mettre un coup de casque. 

Sinon quelqu'un peut m'expliquer pourquoi on donne sa chance a Tyler Fredricson? Je ne tape pas sur le joueur qui était au même niveau que la plupart de ses partenaires mais sur la poignée de matchs que j'ai pu voir de lieu avec l'équipe première il ne dégage rien. Il a 20 ans, c'est jeune mais je ne vois pas comment physiquement et techniquement il peut arriver au niveau de l'équipe A

Modifié par RnB
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"Nous ne sommes peut être pas suffisamment forts pour ne vivre que par la vérité. " RnB.

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Je suis souvent le dernier à critiquer l'équipe, sans doute un peu trop optimiste. Mais là, ça relève de la faute professionnelle. Aucune envie chez nos joueurs en première mi-temps. On a pris l'eau de partout et Onana est toujours aussi mauvais. Il doit arrêter le premier but qui est véritablement a sa portée et le deuxième est à cause de sa sortie foireuse où il envoie tout le monde valser sans se préoccuper du ballon.

Les changements à la mi-temps ont fait du bien mais force est de constater que nos remplaçants ne sont pas à la hauteur des titulaires.

Je n'ai même pas envie de blâmer le coach qui a fait ce que tout coach aurait fait, mettre la deuxième team en coupe de la league, surtout contre une D4.

Je comprends pourquoi Bruno a son totem d'immunité, pourquoi casemiro est toujours titulaire et pourquoi on évolue pas. Ça fait des années que nos joueurs choisissent leur matchs et dès que l'opposition est théoriquement plus faible, ils jouent comme moi avec mon neveu de huit ans. Si on avait joué les deux derniers matchs comme contre arsenal, on aurait deux victoires de rang.

Victoire méritée de Grimsby et je suis très sincère quand je dis félicitations a eux.

 

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Zinédine Zidane, refusant la couronne, quand on lui demande ce que ça fait d'être le meilleur milieu de terrain d'Europe : « Je ne sais pas, allez demander à Paul Scholes. »

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Comme Amorim, je suis abasourdi par la prestation de l'équipe et je ne décolère pas contre les joueurs.

Je ne comprends pas même qu'on parle du système pour ce match, on aurait pu jouer avec 3 joueurs de plus qu'on aurait quand même perdu. Ils se regardent, se planquent les uns derrières les autres. Quand on perd contre une D4, le problème c'est la motivation, l'envie, et rien d'autre. Et je trouve ça révoltant de manquer d'envie à ce moment là, entre la fin de la saison dernière et le début de celle-ci, où on court après une première victoire et un premier but, les gars n'ont juste pas d'amour propre.

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Il y a 13 heures, One Sheasy a dit :

Je ne voudrais pas plomber l'ambiance, mais la dernière fois qu'on avait disputé un match de League Cup en août, c'était en 2014 lors de la fameuse et cinglante défaite 4-0 face au terrible MK Dons (en D3 à l'époque). On prend cette déculottée avec pas mal de joueurs de l'équipe première sur le terrain (De Gea, Welbeck, Kagawa, Evans, Hernandez...), et dans le même contexte comptable en championnat, à savoir 1 seul petit point suite à une défaite à domicile puis à un nul sans saveur à l'extérieur. Et l'adversaire du match de Premier League qui a suivi cette mémorable déconvenue n'était autre que le promu...Burnley.

Bref, beaucoup trop de similitudes pour être aveuglément optimiste, surtout avec un effectif bien plus mauvais que celui d'il y a onze ans. 

Tu a les numéros du loto c'est pour un ami (j'ai lu les commentaires ce matin en connaissant le score)

Il y a 11 heures, Coolman a dit :

On serait capable de revenir à 2-2 pour perdre aux peno 

idem que pour @One Sheasy 🤣

Il y a 9 heures, NamssonRedDevils a dit :

Manchester United vient de toucher le fond. La défaite humiliante face à Grimsby en League Cup n’est pas seulement une élimination précoce, elle symbolise l’effondrement d’un projet qui n’a jamais réellement démarré. Ruben Amorim, censé incarner le renouveau, s’enfonce dans un fiasco dont il semble incapable de s’extraire.

Au printemps dernier, à Old Trafford, il avait promis aux supporters que la saison 2025-2026 marquerait le retour des beaux jours. Quelques mois plus tard, le constat est implacable : Manchester United n’a jamais semblé aussi mal préparé, aussi mal organisé et aussi mal dirigé. La patience a déjà atteint ses limites. Trop de promesses. Trop d’illusions. Trop de discours creux face à une réalité désastreuse.

Le bilan est accablant. Amorim a bénéficié d’un marché estival en or, avec plus de 225 millions injectés pour remodeler l’attaque. Résultat : une équipe sans âme, sans idées, prisonnière d’un système unique, rigide, un 3-4-2-1 stérile qu’il applique coûte que coûte, comme si la Premier League n’était qu’un terrain d’expérimentation figé. 

Son management interroge autant que son football. Comment justifier d’avoir relancé un gardien (André Onana) déjà décrédibilisé après une saison catastrophique, sans préparation sérieuse, et de l’avoir exposé une fois encore à l’échec ? Comment accepter l’image d’un entraîneur fuyant, assis, incapable de regarder ses joueurs pendant une séance de tirs au but contre une équipe de League Two ? Un entraîneur de Manchester United se doit d’incarner la dignité du club, pas d’enchaîner les postures indignes.

Le contraste est violent. Amorim a construit la saison dernière, sa légitimité en Europe sur une série d’invincibilité en Ligue Europa, avant de tout gâcher lors d’une finale perdue contre un Tottenham moribond, sans relief, probablement le plus faible de ces quinze dernières années. Et désormais une humiliation nationale dans une des trois seuls compétitions que le club peut concourir cette saison...

Ce début de saison catastrophique n’offre aucun motif d’espoir. Nous sommes en août et Manchester United est déjà éliminé d’une compétition. Le cycle Amorim ressemble déjà à une coquille vide.

Les supporters ont tenu, par loyauté, par espoir, par respect pour un projet qui semblait pouvoir redonner de la fierté. Mais la patience est morte à Grimsby. La gifle reçue est trop forte, le symbole trop humiliant. Amorim n’a plus d’alibi. Plus de temps. Plus de légitimité.

Manchester United ne peut pas s’offrir le luxe d’attendre encore. Chaque semaine de plus est une semaine perdue. L’histoire est pleine d’entraîneurs débarqués plus tôt encore, parfois remplacés dans l’urgence par des hommes de maison. Darren Fletcher, qui entraîne les U18, paraît déjà comme une solution transitoire plus crédible que la prolongation d’un fiasco annoncé. Deux semaines de trêve internationale approchent. Elles doivent être utilisées pour reflechir à une réelle planification sportive du club pour cette saison avec un nouveau manager.

Ruben Amorim était censé apporter un souffle nouveau, il n’aura été qu’un mirage. Il promettait le retour des beaux jours, il a offert les pires nuits. Le temps des promesses est fini. Le temps des décisions est venu. Qu’il saute.

Joliment écrit 

D'ailleurs Mickael Carrick est sans club 😉

je me lève , prépare le café , m'installe sur la terrasse ensoleillée légèrement ! j'allume difficilement mycanal mais le réseau est dégueulasse ! au dessus de l'affiche du match en replay une image avec le résumé et quand je vois des joueurs de Grimsby en liesse je me dit aie aie ! le match ne ce met pas en route alors direction Fotmob et là j'apprends qu'on c'est fait sortir 2-2 au penalty après avoir été mené 2-0

avec une équipe remanié mais largement au dessus d'une D3-D4 ......

1 competition en moins a jouer sur 3

Ceux qui savaient qu'ils jouerais peu vont jouer encore moins ! le mercato est pas fini , vous pouvez encore partir messieurs !

Quand a toi Ruben

BON CHANCE 

taken9.jpg

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Il y a 11 heures, NamssonRedDevils a dit :

Manchester United vient de toucher le fond. La défaite humiliante face à Grimsby en League Cup n’est pas seulement une élimination précoce, elle symbolise l’effondrement d’un projet qui n’a jamais réellement démarré. Ruben Amorim, censé incarner le renouveau, s’enfonce dans un fiasco dont il semble incapable de s’extraire.

Au printemps dernier, à Old Trafford, il avait promis aux supporters que la saison 2025-2026 marquerait le retour des beaux jours. Quelques mois plus tard, le constat est implacable : Manchester United n’a jamais semblé aussi mal préparé, aussi mal organisé et aussi mal dirigé. La patience a déjà atteint ses limites. Trop de promesses. Trop d’illusions. Trop de discours creux face à une réalité désastreuse.

Le bilan est accablant. Amorim a bénéficié d’un marché estival en or, avec plus de 225 millions injectés pour remodeler l’attaque. Résultat : une équipe sans âme, sans idées, prisonnière d’un système unique, rigide, un 3-4-2-1 stérile qu’il applique coûte que coûte, comme si la Premier League n’était qu’un terrain d’expérimentation figé. 

Son management interroge autant que son football. Comment justifier d’avoir relancé un gardien (André Onana) déjà décrédibilisé après une saison catastrophique, sans préparation sérieuse, et de l’avoir exposé une fois encore à l’échec ? Comment accepter l’image d’un entraîneur fuyant, assis, incapable de regarder ses joueurs pendant une séance de tirs au but contre une équipe de League Two ? Un entraîneur de Manchester United se doit d’incarner la dignité du club, pas d’enchaîner les postures indignes.

Le contraste est violent. Amorim a construit la saison dernière, sa légitimité en Europe sur une série d’invincibilité en Ligue Europa, avant de tout gâcher lors d’une finale perdue contre un Tottenham moribond, sans relief, probablement le plus faible de ces quinze dernières années. Et désormais une humiliation nationale dans une des trois seuls compétitions que le club peut concourir cette saison...

Ce début de saison catastrophique n’offre aucun motif d’espoir. Nous sommes en août et Manchester United est déjà éliminé d’une compétition. Le cycle Amorim ressemble déjà à une coquille vide.

Les supporters ont tenu, par loyauté, par espoir, par respect pour un projet qui semblait pouvoir redonner de la fierté. Mais la patience est morte à Grimsby. La gifle reçue est trop forte, le symbole trop humiliant. Amorim n’a plus d’alibi. Plus de temps. Plus de légitimité.

Manchester United ne peut pas s’offrir le luxe d’attendre encore. Chaque semaine de plus est une semaine perdue. L’histoire est pleine d’entraîneurs débarqués plus tôt encore, parfois remplacés dans l’urgence par des hommes de maison. Darren Fletcher, qui entraîne les U18, paraît déjà comme une solution transitoire plus crédible que la prolongation d’un fiasco annoncé. Deux semaines de trêve internationale approchent. Elles doivent être utilisées pour reflechir à une réelle planification sportive du club pour cette saison avec un nouveau manager.

Ruben Amorim était censé apporter un souffle nouveau, il n’aura été qu’un mirage. Il promettait le retour des beaux jours, il a offert les pires nuits. Le temps des promesses est fini. Le temps des décisions est venu. Qu’il saute.

Je comprends la frustration après une telle élimination, mais je ne partage pas ton constat aussi radical. Oui, la défaite contre Grimsby est une énorme déception et pose question. Mais dire que tout est déjà fichu et qu’Amorim est un « mirage », c’est aller beaucoup trop vite.

Un projet ne se construit pas en quelques mois. Amorim a hérité d’un club malade depuis des années, rongé par des choix incohérents, des dirigeants instables et une pression constante. Reprocher à un entraîneur d’août 2025 de ne pas avoir encore redonné toute sa grandeur à United, c’est oublier que Ferguson lui-même avait mis du temps à imposer son empreinte.

Concernant le mercato, l’argent dépensé ne garantit rien immédiatement. L’adaptation des recrues, la mise en place d’un système, la construction d’automatismes… tout cela prend du temps. Amorim a un style clair, cohérent, et même si son 3-4-2-1 paraît rigide pour l’instant, il vaut mieux une identité en gestation que l’absence totale de direction tactique qu’on a connue sous d’autres coachs.

Enfin, juger un entraîneur sur une séance de tirs au but ou une posture me semble réducteur. Le football est fait d’échecs et d’erreurs, mais aussi de rebonds. Si tout devait s’arrêter à la moindre contre-performance, aucun club n’aurait jamais connu de cycle durable.

Bref, oui la situation est compliquée, mais non, United n’a pas « touché le fond » et non, il ne faut pas déjà condamner Amorim. La vraie erreur serait de tomber encore une fois dans la spirale du court-termisme qui détruit ce club depuis plus de dix ans.

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50/50

d'un côté les chiffres font mal et la sauce Amorim met du temps a prendre de l'autre le virer aujourd'hui ou dans 3 mois c'est encore donner raison aux joueurs qui décident trop souvent quand ils se donnent à fond et quand ils veulent pas ! les licenciements n'existent pas dans un club de foot ? 

je suis très partagé sur la décision a prendre ! 

c'est Ineos qui va décidé 

 

Modifié par RedDidDevil
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il y a 16 minutes, Dr.Garuda a dit :

Je comprends la frustration après une telle élimination, mais je ne partage pas ton constat aussi radical. Oui, la défaite contre Grimsby est une énorme déception et pose question. Mais dire que tout est déjà fichu et qu’Amorim est un « mirage », c’est aller beaucoup trop vite.

Un projet ne se construit pas en quelques mois. Amorim a hérité d’un club malade depuis des années, rongé par des choix incohérents, des dirigeants instables et une pression constante. Reprocher à un entraîneur d’août 2025 de ne pas avoir encore redonné toute sa grandeur à United, c’est oublier que Ferguson lui-même avait mis du temps à imposer son empreinte.

Concernant le mercato, l’argent dépensé ne garantit rien immédiatement. L’adaptation des recrues, la mise en place d’un système, la construction d’automatismes… tout cela prend du temps. Amorim a un style clair, cohérent, et même si son 3-4-2-1 paraît rigide pour l’instant, il vaut mieux une identité en gestation que l’absence totale de direction tactique qu’on a connue sous d’autres coachs.

Enfin, juger un entraîneur sur une séance de tirs au but ou une posture me semble réducteur. Le football est fait d’échecs et d’erreurs, mais aussi de rebonds. Si tout devait s’arrêter à la moindre contre-performance, aucun club n’aurait jamais connu de cycle durable.

Bref, oui la situation est compliquée, mais non, United n’a pas « touché le fond » et non, il ne faut pas déjà condamner Amorim. La vraie erreur serait de tomber encore une fois dans la spirale du court-termisme qui détruit ce club depuis plus de dix ans.

Oh bordel ... Dr Garuda ? C'est bien toi ? On ne t’a pas échangé ? Je ne reconnais pas ta pointe de cynisme habituel ... 😱

Je crois que c’est la 1ere fois que je te vois écrire quelque chose d'aussi censé depuis de nombreuses années 😂. Mais je suis d’accord avec toi. 

Les mots d’amorim a chaud hier soir font peur malgré tout ... tu sens coach a bout, sans idées ni solution pour réveiller ces pietres joueurs ... 

Modifié par Senua_United
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il y a 11 minutes, Senua_United a dit :

Oh bordel ... Dr Garuda ? C'est bien toi ? On ne t’a pas échangé ? Je ne reconnais pas ta pointe de cynisme habituel ... 😱

Je crois que c’est la 1ere fois que je te vois écrire quelque chose d'aussi censé depuis de nombreuses années 😂. Mais je suis d’accord avec toi. 

Les mots d’amorim a chaud hier soir font peur malgré tout ... tu sens coach a bout, sans idées ni solution pour réveiller ces pietres joueurs ... 

Tu comprends que l'heure est grave quand les cyniques parlent sérieusement

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Il y a 13 heures, NamssonRedDevils a dit :

Le bilan est accablant. Amorim a bénéficié d’un marché estival en or, avec plus de 225 millions injectés pour remodeler l’attaque. Résultat : une équipe sans âme, sans idées, prisonnière d’un système unique, rigide, un 3-4-2-1 stérile qu’il applique coûte que coûte, comme si la Premier League n’était qu’un terrain d’expérimentation figé.

On ne fait pas un bilan au bout de deux semaines de compétitions. Te lire donne l'impression qu'on est en novembre et que la saison est déjà ratée. Alors qu'on a joué que 3 matchs. Dont un bon, avec des idées, contre un très gros.

Je ne trouve pas le système rigide du tout en plus.

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je suis d'accord qu'on a des joueurs moyen+, mais cela ne justifie pas de finir 15ieme du championnat...

une équipe c'est une chaine de fer, et s'il y a un ou deux maillons faible c'est toute la chaine qui se détache...

et c'est ce qu'il nous arrive depuis pas mal de temps..

on a un gardien qui ne fait que des bourdes à chaque match et qui est toujours maintenu...

meme si l'équipe veut bien faire... il gache tout ... est ce que vous savez combien c'est difficile de revenir dans un match de premier league quand tu sent que ton gardien va te foire tout à n'importe quel moment et qu'il a toujours la confiance du coach...

 

passant maintenant au coach... si on peut l'appeler comme ca...!!!

un entraineur qui ne joue qu'avec un seul systeme de jeu quelque soit l'adversaire et quelque soit le resultat n'est pas un entraineur...

 

un entraineur est celui qui sait s'adapter en fonction:

1- des joueurs qu'il a..

2- de l'adversaire qu'il affronte

3- de la physionomie des matchs..

et qui n'est pas têtu...

tu vois que tu va droit dans le mur mais tu ne change rien... !!! 

 

on ne peut s'attendre à un résultat différents si on ne change rien...!!!

et moi je ne vois aucun changement dans l'équipe..

le système qui n'a pas marché l'année dernier est toujours là

le gardien qui a saboté l'équipe l'année dernière est toujours là 

même les joueurs non désirables on a du mal à se débarrassé d'eux...

on n'achète plus de grands joueurs mais que des joueurs moyens a un prix fort..!!

on va droit en deuxième division cette année... j'en ai bien peur...

 

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