Juan Mata

[Helena]

Mata, comme un supporter chez lui Chaque semaine, Juan Mata parle de sa vie aux fans de Manchester United du monde entier dans son blog. Dans cet extrait, il parle de son absence pour le déplacement des Red Devils en Champions League, mais affirme être convaincu que ses coéquipiers reviendront avec un bon résultat. Cliquez ici pour aller à l'article

[Rayane Giggs]

Non selectionné pour le match amical de l'espagne face à l'italie. Dans quelle m**** tu t'es foutu Mata Moyes lui has no idea ^^

[rooney 8]

Player of the month

[dylan93]

Alors là désolé mais je comprends pas pourquoi. Bon en même temps fallait bien désigner quelqu'un, ça n'a pas du être facile ce mois-ci...

[Invité Skynet]

Celui qui touch le plus de ballons, qui est le plus juste et qui a donné le plus de buts.

[Red Eye]

Victoire par défaut.

[rooneydu93500]

En même temps, j'ai l'impression qu'on a pas beaucoup joue en février.

[superboydu92]

il a fait des passes décisives et bon je pense qu'il n'y avait pas grand monde vu le niveau affiché .... et le fait qu'il n'ait pas joué en LDC a du jouer aussi.

[Ramarax]

J'ai trouvé un article sur Mata la semaine passée, j'ai décidé de vous en faire part, tout à été rédigé par Javier Preto Santos, qui a interviewé Juan Mata, il est journaliste à Sport Foot Magazine en Belgique, j'ai aussi un article sur Fellaini que je posterais dans quelques temps, j'espère que ça vous plaira !

 

 

Mata D'or

Recruté naguère par le club d'Old Trafford pour 45.2 Millions d'Euros, l'international Espagnol est un joueur atypique qui passe son temps libre à étudier ou à lire. Rencontre.

Commençons par le plus étonnant : il paraît que tu es un passionné de littérature ?

Passionné, c'est un bien grand mot, mais disons que j'essaie de lire autant que je peux. C'est un moment d'apprentissage, et ça me permet de m'aérer l'esprit, de m'évader un peu. J'aime beaucoup l'atmosphère étrange des livres de Murakamipar, par exemple, où ceux de J.D. Salinger, même si dernièrement je me suis plutôt concentré sur des auteurs plus classiques comme Paul Auster ou Jorge Luis Borges. En fait, j'ai des amis qui me conseillent et qui ont plutôt bon goût. Là, ils viennent de m'offrir "Ham on Rye" ("Souvenirs d'un pas grand-chose") de Charles Bukowski. C'est très bien et, pour l'anecdote, c'est le premier livre que je lis en anglais. Marrant, non, de se dire que je perfectionne mon anglais grâce à Bukowski ?

Tu te reconnais dans ce qu'il écrit ?

J'aime bien ce qu'il fait, mais de là à me reconnaître... C'est un univers et une manière de pensée diamétralement opposés aux miens, mais c'est ce que je trouve marrant. C'est ce qui m'intéresse quand je prends un livre : me confronter à des univers différents du mien. Bukowski, c'était un homme libre. J'aime les univers de ces écrivains-là parce que justement je ne pourrais pas être comme eux. Et puis lui, avec la vie débridée qu'il menait, il n'aurait pas pu être footballeur !

A ce propos, c'était comment la vie d'un footballeur à Londres ?

Paradoxalement, c'était plus tranquille qu'à Valence. Londres est une ville énorme, très cosmopolite, où beaucoup de gens n'aiment pas le foot, et tant mieux d'ailleurs ! Là, je passais inaperçu, ça me permettait de profiter de la ville. J'aimais partir de l'entraînement et avoir la sensation de quitter le boulot comme n'importe quel citoyen lambda. J'ai beaucoup parcouru Londres à pied et en métro. Et puis, l'offre culturelle y était impressionnante. Je suis allé à beaucoup de concerts - notamment au Royal Albert Hall, une salle incroyable - et je suis même allé voir le Cirque du Soleil...

Torres & Romeu étaient déjà là quand tu es arrivé. en tant qu'Espagnols, ils t'avaient donné des conseils ?

Je me rappelle que la première chose que m'a dite Torres quand j'ai débarqué à Londres c'était : « Mange un Fish & chips, regrette de l'avoir fait et tu apprendras très vite. » Il avait raison : je n'ai pas aimé. ça et les heures de repas. Ici les gens mangent à n'importe quelle heure. Si tu te balades à 15h ou à 17h dans la rue, tu ne sais jamais si ils sont en train de déjeuner ou de dîner. à Chelsea, lorsqu'on jouait des matches à 13h, on se levait pour manger des saucisses, du bacon, des haricots verts... J'ai eu beaucoup de mal avec ça, au début. Je me disais : « Mais bordel, comment on peut manger des trucs pareils au petit-déjeuner ? C'est impossible ! » Bon, maintenant, je m'y suis fait. ça prouve que je suis parfaitement adapté !

A-t-il fallu que tu deviennes un joueur différent pour t'adapter au championnat anglais ?

Non, tout s'est fait très naturellement. Si je suis là, c'est parce que mes qualités, au départ, intéressaient André Villas-Boas & Roberto Di Matteo, ça aurait donc été idiot de ma part de jouer un autre football.

Et c'est quoi tes qualités, selon toi ?

En tant qu'homme ou en tant que footballeur ?

En tant que footballeur. Mais si tu as envie de parler de tes qualités d'homme, vas-y ...

On va se contenter de parler de mon côté footballeur. C'est déjà assez prétentieux comme ça... Je suis gaucher, capable de jouer des deux côtés, en milieu de terrain, derrière l'attaquant, j'aime le contact du ballon. Fluidifier le jeu ; faire des passes décisives, voilà mon job. Et j'aime aussi la mettre au fond, parce que c'est ce qu'il y a de plus beau dans le football. Un défenseur te dira toujours qu'il prend énormément de plaisir à récupérer un ballon en faisant un tacle, mais même lui, il préférera toujours marquer. Tout le monde veut mettre des buts. C'est la finalité du football. Et la chose la plus rare sur un terrain.

A Manchester, il y a Van Persie ou Rooney, tu as connu Drogba, Torres à Chelsea. L'approche est-elle différente en fonction de celui qui est devant toi ?

Avec Drogba, on était parfois conditionnés à jouer dans un certain style. C'était un guerrier. Tu lui donnais une balle et tu savais qu'il allait au moins provoquer une faute de l'adversaire. Quelque part, on avait peut-être trop tendance à trop s'appuyer sur lui. C'est un mécanisme naturel, tous les grands joueurs aimantent le ballon. Lui encore plus. Avec Fernando, c'était différent, ses appels n'étaient pas les mêmes, ce n'est pas un entonnoir comme pouvait l'être Drogba. Il n'aime pas jouer en pivot mais plutôt dans les espaces. Drogba, c'est quelqu'un qui permettait au bloc de tout entier de remonter grâce à ses prises de balles dos au but. Fernando, au contraire, aimait être face au but.

Pourquoi, selon toi, Torres a-t-il été autant en difficulté à Chelsea ?

Quand quelqu'un paie 58 Millions d'Euros pour toi et que tu deviens l'attaquant le plus cher de la Premier League, tu veux bien faire. Trop, peut-être. Surtout lui, Parce que Torres, c'est quelqu'un qui sait d'où il vient, un gars très humble qui connaît la valeur de l'argent. Sauf qu'il est attaquant, et que, je l'ai dit, marquer est la chose la plus rare qui existe dans le football, donc si tu as une période où ça ne rentre pas, tu doutes, et là, c'est très dur. Mais pour moi, c'est l'un des meilleurs attaquants du monde.

A Stamford Bridge, quel type de rapport avais-tu avec Roman Abramovitch ?

C'est quelqu'un de très discret, de très timide. Pas du genre à venir au centre d'entraînement en hélicoptère. Je crois qu'il aime Chelsea, fouler la pelouse, savoir comment va le groupe. La première fois qu'il est venu me parler, c'était pour me féliciter, et ça m'a touché parce que j'avais l'impression qu'il était vraiment sincère. Il était là aussi lors de la finale de l'Euro. Lorsque je suis monté à la tribune pour récupérer le trophée, je l'ai vu dans la foule.

Tu as déclaré un jour que tes exemples à Chelsea, c'étaient Lampard & surtout Terry. Tu n'aurais pas loupé un épisode ?

Pas du tout. J'étais sincère. Tous les joueurs qui viennent ici devraient prendre exemple sur eux. Ils ont grandi avec le club et lui ont permis de rentrer dans l'histoire. Aucun autre club au monde n'a connu une courbe de croissance aussi importante que Chelsea lors des dernières années, et c'est grâce à eux. Quand tu vois des Terry ou des Lampard se défoncer malgré tout ce qu'ils ont déjà fait ici. Tu es obligé de te mettre au diapason. Tu ne peux qu'être subjugué.

Ce que je voulais dire, c'est que l'exemplarité n'est pas vraiment l'adjectif qui colle le mieux à Terry...

Ca, je n'en ai évidemment jamais parlé avec lui, et je n'ai même pas envie d'évoquer ce sujet parce que ses problèmes extra-sportifs ne me regardent pas... Evidemment que ça l'a touché. Sa vie entière à été déballée dans la presse. On parle d'un homme qui n'a plus de jardin secret. Et c'est triste, parce que le type que je vois tout les jours se défoncer à l'entraînement ne correspond pas à l'image colportée dans la presse. Si tu as besoin d'un coup de main pour quoi que ce soit, il est toujours là. Et puis même s'il à fait des erreurs, est-ce qu'il va falloir lui rabâcher ça toute sa vie ? Tout le monde fait des erreurs.

T'est-il arrivé d'évoquer la crise économique Espagnole avec les Londoniens

Oui, j'en ai déjà parlé plusieurs fois, et la question qui revient le plus souvent c'est : « Comment se fait-il que votre économie aille aussi mal et que votre foot aille aussi bien ? »

Tu leur réponds quoi ?

Que c'est paradoxal, limite inquiétant, que le football soit le dernier truc à fonctionner en Espagne. La situation est difficile. Il suffit de se balader à Londres pour s'en rendre compte : Il y a un nombre incroyable d'Espagnols qui travaillent ici, c'est dingue. Ils viennent pour la langue, mais aussi pour trouver du boulot qu'on ne leur propose pas en Espagne. J'ai beaucoup d'amis diplômés qui sont dans cette situation. Le Football ne résoudra rien de tout ça. Il peut juste être une source intéressante d'inspiration...

Et sur le fait que le football Espagnol aille bien, tu leurs réponds quoi ?

On est dans le meilleur cycle de l'histoire du foot Espagnol, c'est tout. Et il faut en profiter. Pour moi, le jour où tout à basculé, c'est en 2008, face à l'Italie ( Quart de finale de l'Euro, victoire aux tirs au but.). Je n'y étais pas, mais j'ai la sensation qu'en gagnant ce match, toute une génération s'est mentalement débloquée. On avait passé des années à vivre dans une sorte de spirale négative, et d'un coup, cette séance de penaltys a agi sur nous comme la lumière au fond du tunnel.

Pour ce qui te concerne, en sélection Espagnole, tu es plutôt dans l'ombre pour l'instant. Qu'est ce qu'il te manque pour être un titulaire indiscutable de la Roja ?

Mon problème, c'est que je suis en concurrence avec des joueurs-clés qui sont là depuis longtemps et ont juste tout gagné.

Tu sembles résigné...

Je ne suis pas résigné, je suis réaliste. J'accepte mon statut de remplaçant en sélection sans problèmes, mais je sais que j'ai le potentiel pour être titulaire dans cette équipe. Je suis très jeune, il faut encore que j'apprenne beaucoup, il me reste encore du temps pour devenir un joueur important de la Roja.

Tu as été formé au Real Madrid, mais tu n'as jamais eu ta chance dans l'équipe pro. Comment l'expliques-tu ?

Le club à toujours eu un bon centre de formation. Moi, par exemple, dans ma promo, il y avait De la Red, Javi Garcia, Borja Valero, Negredo. Certains d'entre eux jouent dans les plus grands clubs Européens, mais voilà, la concurrence est terrible au Real. Les résultats doivent être immédiats, on ne peut pas se permettre d'attendre que les espoirs s'aguerrissent. En plus, les entraîneurs du Real sont souvent étrangers, donc forcément, ils font confiance aux stars qu'ils ont à leur disposition. Au Barça, c'est différent, les entraîneurs sont généralement issus du sérail. ça rend la relation plus facile entre le groupe pro et la cantera. Disons que le Barça a une philosophie de jeu, et que le Real à celle de la gagne.

A Valence, tu suivais un double cursus universitaire. Est-ce que c'est toujours d'actualité en Angleterre ?

Je suis toujours inscrit en marketing et en éducation physique, mais j'avoue que j'ai de moins en moins de temps à y consacrer. En plus, il fallait que j'aille passer les examens à Madrid, à l'université. C'est évidemment impossible, donc pour l'instant, c'est un peu en stand-by. Mais je compte bien finir un jour ce que j'ai commencé. Depuis que je suis ici, j'ai beaucoup appris question marketing. La Premier League & Chelsea, où à présent Manchester United, c'est l'idéal pour ça : tout est pensé pour être vu & vendu, ici. L'image est primordiale. Même les footballeurs sont dans cette logique. Un footballeur, aujourd'hui, vend des produits, une image, tout est lié...

Et toi, tu vends quoi ?

Moi, je n'ai rien à vendre. En tout cas, je ne vends pas de personnage. La seule chose que j'ai à proposer, c'est ce que je suis : un citoyen normal. Je ne joue pas au football pour être célèbre ou pour qu'on me reconnaisse dans la rue. Je joue parce que j'aime ça, parce que c'est ma passion et mon métier. Le football fait partie de ma vie, mais ce n'est pas toute ma vie.

[dylan93]

J'ai acheté le foot mag pour cette interview. J'ai eu l'impression de lire l'interview d'un fanboy de Chelsea, c'est à peine si Mata parle de United à chaque fois il revient sur Chelsea. Il ne sait pas où il est peut-être ?

Ca m'a foutu en rogne.

 

Bref, je rale encore plus que Moyes ait claqué 45 sur ce joueur, surtout pour le taper sur une aile

[Invité Skynet]

Bravo, encore un effort et on atteindra le point godwin plus rapidement que prévu.

[dylan93]

?

[Invité Skynet]

Tu veux qu'il dise quoi ? il a répété et archi répété tout ce qu'il fallait dire sur United, que ce soit sur son blog etc.

il répond le plus souvent à des questions de journalistes.

Il a passé les meilleurs moments de sa carrière à chelsea en remportant des titres majeurs, il est a United depuis un mois, repons. Sérieux, parler de Chelsea ça fait fan boy ? Encore heureux qu'il parle de Chelsea, c'est hypocrite de ne pas le faire.

 

Mourinho en venant au real parlait pas mal de l inter, tu crois que ozil n'a pas parlé su real ? Van persie disait tout le temps des choses sur arsenal.

Des que ça parle football vous êtes ailleurs , on a critiqué la recherche dzmploi de vidic, voilà qu'on critique une itw ou mata parle un peu trop de Chelsea attention.

 

Bientôt on sera en colère si rafael ose dire que Liverpool a une belle équipe. Jespere que j'aurais quitté ce forum dici la.

[dylan93]

J'ai aucun problème à ce que Mata ait vécu les meilleurs moments de sa carrière à Chelsea (c'est clair que c'est pas folichon depuis qu'il est à United).

 

Mais qu'il fasse un peu attention à ne pas donner l'impression de (déjà) regretter d'être venu à United et de faire passer le message qu'il n'est venu chez nous que parce qu'on ne voulait plus de lui à Chelsea

[hadlou]

Le journaliste lui pose des questions sur Chelsea, c'est normal qu'il y réponde non?

[Jiminy]

Il avait raison : je n'ai pas aimé. ça et les heures de repas. Ici les gens mangent à n'importe quelle heure. Si tu te balades à 15h ou à 17h dans la rue, tu ne sais jamais si ils sont en train de déjeuner ou de dîner.

 

 

Parce qu'en Espagne ils sont réputés pour prendre le p'tit dej' à 08h00, le dejeuner à 12h00 et le diner à 20h00 ?

Interview sympa et honnête !

[Xx-Red-Devil]

Tu sens que le mec a les pieds sur terre.

Il a l'air sympa, c'est le seul de l'équipe à être aussi ouvert au dialogue avec les supporters (via son blog notamment), et à parler un peu football.

 

J'espère en tout cas qu'il parviendra à s'épanouir à United, et qu'il aidera l'équipe à produire un jeu léché et fluide (dans le cas où, un jour, le projet soit de produire du jeu).

Modifié le 7 mars 2014 par Xx-Red-Devil

[One Sheasy]

 

 

 

A Stamford Bridge, quel type de rapport avais-tu avec Roman Abramovitch ?

C'est quelqu'un de très discret, de très timide. Pas du genre à venir au centre d'entraînement en hélicoptère. Je crois qu'il aime Chelsea, fouler la pelouse, savoir comment va le groupe. La première fois qu'il est venu me parler, c'était pour me féliciter, et ça m'a touché parce que j'avais l'impression qu'il était vraiment sincère. Il était là aussi lors de la finale de l'Euro. Lorsque je suis monté à la tribune pour récupérer le trophée, je l'ai vu dans la foule.

 

 

Un soupçon d'auto-dérision ?

[WayneRooney08]

Juan "Class" Mata, quel joueur quand même, ce qu'il fait avec un ballon fait rêver, son duo avec Rooney est très très beau à voir!

[Santana]

C'est simple, il a été notre meneur de jeu, le dépositaire. Le joueur qui bouge bien, qui fait les passes dans les intervalles, qui crée les actions.
Avant le premier but je le trouvais mauvais, un peu approximatif techniquement, pas serein. Mais après ce but, il s'est lâché, en combinant beaucoup avec Rooney notamment.

Les quelques bribes d’association avec Kagawa sont aussi vraiment très prometteuses, les deux ayant un peu le même profil. Leur présence rend notre jeu plus fluide et moins stéréotypé. Plus plaisant aussi

[pj harvey]

Nos meilleures actions et mouvements sont venus quand il était à la baguette dans une position centrale, ce n'est pas un hasard.

[Alruud]

Bof... je trouve qu'il est partout et nul part à la fois ce qui a le don de foutre de notre bloc en porte à faux. Je le trouve souvent peu précis dans ses transmissions et il recherche trop souvent le ballon décisif avec un brin de préférence pour le jeu en hauteur !!!

 

Il va falloir le replacer derrière l'attaquant en électron libre car c'est là qu'il sera le plus bénéfique !!!

[Bunny-Tsukino]

C'est vrai qu'il recherche constamment LA passe décisive, je l'ai déjà remarqué lors des derniers matchs (d'où ses stats mirobolantes aussi), par contre je te trouve quand même dur avec lui.

[pj harvey]

Bof... je trouve qu'il est partout et nul part à la fois ce qui a le don de foutre de notre bloc en porte à faux. Je le trouve souvent peu précis dans ses transmissions et il recherche trop souvent le ballon décisif avec un brin de préférence pour le jeu en hauteur !!!

 

Il va falloir le replacer derrière l'attaquant en électron libre car c'est là qu'il sera le plus bénéfique !!!

La faute a qui si il est partout est nul part ??? A celui qui est électron libre derrière l'attaquant non ? C'est une évidence que c'est le poste où il apporterait le plus, en bonifiant notre qualité de jeu.

[Bunny-Tsukino]

Non mais surtout, s'il crée du mouvement en dézonant vers l'axe, il faut que quelqu'un compense sur l'aile.