Copa America 2015

[BigManUtd]

Quand je lis certains commentaires des Scousers anglais sur Firmino ça me fait peur. On dirait qu'ils ont recruté le nouveau Messi ou que c'est un demi-dieu alors qu'ils ne l'ont jamais vu jouer de leur vie mise à part sur des vidéos. Certains sont même persuadés que c'est un buteur et que c'est pour ça qu'il n'a pas joué pas à son meilleur niveau avec le Brésil. Dur.

Et que dire de ces abrutis qui nous "trollent", parce qu'ils croient que le joueur nous a snobé. Mais ils ne se rendent pas compte qu'ils ont payé 40M€ pour un illustre inconnu qui jouait dans un club de milieu de tableau ? PTDR.

 

J'espère qu'il sera un p***** de gros flop pour qu'ils arrêtent de se la ramener.

[pj harvey]

Ramon a botté les fesses à Dunga

[Roo-10]

Quelle idée d'avoir engagé Dunga une nouvelle fois lol.

 

Euh quand même, l'idée Dunga a été bonne. Depuis la fin du mondial, le Brésil joue quand même beaucoup mieux, l'exemple de l'amical contre la France est flagrant. Le gars a pris l'initiative d'enlever les vieux briscards pour appeler les jeunes.

 

A voir dans le long terme !

[Neosquall]

Tu as bien vu qu'ils privilégient la gagne au dépens du beau jeu pendant la compétition. Du Dunga.

[Roo-10]

Tu as bien vu qu'ils privilégient la gagne au dépens du beau jeu pendant la compétition. Du Dunga.

 

Cela dépend, sur certains matchs ils ont montré des efforts dans le jeu, un jeu qu'ils étaient incapables de faire pendant la CDM. Après comme n'importe quelle équipe, tu leur enlève leur maître à jouer ça part un peu en couille.

[Neosquall]

Après je ne dis pas que Scolari > Dunga hein.

Les deux me font ch***. C'est moche de voir le Brésil comme ça.

[Roo-10]

Après je ne dis pas que Scolari > Dunga hein.

Les deux me font ch***. C'est moche de voir le Brésil comme ça.

 

Heureusement que tu le dis pas ^^

 

Oui enfin on verra pas un Brésil hyper chaud avec un jeu magnifique avant bien longtemps je pense. Comme chaque équipe qui domine le football, c'est par période et la période du Brésil a pris fin.

[Marvin]

gardien en mousse, défense en mousse sans mental, milieu défensif médiocre, Firmino-Robinho en attaque. A part Coutinho et Neymar aucun top player (T.Silva n'est pas un top player avec sa sélection c'est au mieux un plot), coachs bidons.

Modifié le 28 juin 2015 par Marvin

[Invité Skynet]

Je comprendrai jamais Silva, l'anti Sergio Ramos.
Ce mec a tout lui aussi, et il a été de très loin le meilleur DC du monde au Milan. Il n'a pas eu besoin de pub, tout le monde l'a reconnu.
Le mec adore le leadership, et dès son arrivée à Paris il a pris ses responsabilités. c'est le DC le mieux payé du monde, proche de Nasser, qui se permet de donner son avis sur tel ou tel coach etc...

Et puis arrive le mondial et on voit un peureux qui ose même pas tirer un péno. Il a refait le coup hier... C'est quand même affolant venant d'un autoproclamé leader. Faut savoir qu'il a ralé dans la presse du fait de sa mise sur le banc par Dunga.

Ca raler il sait faire, mais quand à cause de ton tu prends un péno sur une main ridicule, puis que tu oses même pas vouloir tirer un péno... Fragile..

 

Et dans trois mois eurosport nous fera un article sur la énième nouvelle revanche de TS

 

 

A côté tu avais Ramos qui lui aussi a déjà fait de grosses boulettes, plus irréguliers, moins "bon", mais avec un potentiel technique équivalent ou meilleur. Sauf que lui, il continue tête levé, il rate un péno qui tue un pigeon. Le prochain péno il le reprend... Il rate un CF ? Le prochain il m'a mis en lulu. On le critique ? Il met une tête qui rase la transversale. C'est le premier pour te motiver..

On devrait recruter Godin, pourquoi on n'en parle plus.

Modifié le 28 juin 2015 par Skynet

[redice]

Ben les deux individus ont une construction psychologique différente.

[Invité Skynet]

Tu balances pas mal d'évidences depuis hier, mais c'est toujours un plaisir de te lire !

[Kobe.Rooney]

Le chili joue avec quelle schéma pour ceux qui ont regardé ? C est toujours 3 dc ? Leur contrôle du ballon semble effrayant, a base de 80% de possession.

Et c'est qui le patron au milieu ? Il doit y avoir un métronome.

[busbybabe]

Le travail de Bielsa est tout de même exceptionnel. Et c'est un vrai travail qui reste même quand lui est parti. La différence entre une idée qui a germé en toi, que tu as ensuite planté ici et là et le pragmatisme de 99% des entraineurs qui essayent de gagner et n'ont que des vues à court terme. Avec Bielsa, ce n'est pas une équipe qui est changée, c'est le club, la sélection, le foot change là où Bielsa passe.

 

 

 

 

L'ENTRAINEUR qui fait avancer le foot actuellement. On manque de Bielsa.

[redice]

Tu balances pas mal d'évidences depuis hier, mais c'est toujours un plaisir de te lire !

 

[Pep Guardiola]

Le chili joue avec quelle schéma pour ceux qui ont regardé ? C est toujours 3 dc ? Leur contrôle du ballon semble effrayant, a base de 80% de possession.

Et c'est qui le patron au milieu ? Il doit y avoir un métronome.

 

Dépend des matches, parfois 3, parfois 4.

 

Le patron au milieu c'est le jeu, tous les joueurs touchent le ballon, ça permute, c'est bien placé, il y a toujours du soutien.. Mais bon si on doit choisir quelqu'un, c'est évidemment Valdivia. Il est malheureusement parti dans un club du Golfe. 31 ans, un talent fou, dommage que son hygiène de vie n'ait pas été la meilleure. Mais je suis certain que même à cet âge il aurait pu faire des merveilles dans un club avec un entraîneur qui sait le faire jouer. Au pif, l'OM.

[Kobe.Rooney]

Ok merci, je regarderais surement la finale probable,les demis n'ayant pas d'intérêt particulier.

En gros le Chili aura le ballon et les argentins vont jouer en contre et conter sur Messi pour détruire le milieu chilien. Messi a du mal dans cette copa mais peut faire la diff a tout moment.

[busbybabe]

Et le Pérou troisième ! Après Bielsa, je vous en conseille un moins connu qui avait déjà fait un gros travail avec Velez :

 

 

http://www.sofoot.com/blogs/lahinchada/gareca-l-oublie-149844.html

 

 

La répétition des "malgré" à la fin ... quand tu relis ça fait peur ... J'ai changé sur l'original du coup. Bref outre la forme, vraiment Gareca est un entraineur qui vaut le coup d'oeil Si vous avez l'occasion de le voir, n'hésitez pas.

 

 

 

 

 

 

 

 

Ah je m'en rappelais plus l'ancien entraineur du Pérou c'était Bengoechea. PJ t'aurais pu en parler plus ! m**** QUAND MEME !

Modifié le 4 juillet 2015 par busbybabe

[Invité Skynet]

Chili - Argentine, c'est aussi une finale made in Bielsa

Par Thomas Goubin

Dans cet article

Chili

Argentine

Dernière mise à jour Il y a 11 heures - Publié le 04/07/2015 à 08:38

Le sélectionneur du Chili, Jorge Sampaoli, est son disciple déclaré. Gerardo Martino, quant à lui, a joué et s'est transformé sous ses ordres, aux Newell's Old Boys. Samedi, l'ombre deMarcelo Bielsa planera sur la finale de la Copa América.

Pendant que Marseille attend Marcelo Bielsa, et ne voit toujours rien venir, El Loco sera bien présent samedi, à Santiago du Chili, pour la finale de la Copa América. Tout du moins dans les esprits de la majorité des spectateurs de l'Estadio Nacional. Quelques drapeaux affichant le slogan "Bielsa, le temps te donnera raison" devraient fleurir ci ou là, comme lors de chaque match de la Roja, et si le Chili venait à remporter la première Copa América de son histoire, on se rappellera que tout a débuté avec l'arrivée d'El Loco, en 2007.

Au Chili, Bielsa est devenu un référent national. Pendant les quatre ans de son mandat, le pays andin s'est fasciné pour l'entraîneur autant que pour le personnage, austère et introspectif. A tel point qu'en 2010, au moment de l'élection présidentielle, on disait que s'il se présentait, il serait élu. Evidemment, la cote d'El Loco n'a pu grimper que soutenue par une courbe de résultats positifs. Le socle de son influence. Une emprise encore criante aujourd'hui, que ce soit dans le jeu vertical et audacieux pratiqué par la sélection de Jorge Sampaoli, mais surtout dans l'attitude conquérante de joueurs débarrassés de nombreux complexes. "Marcelo a changé la mentalité du footballeur chilien, dit Gary Medel, l'homme fort de la défense de la Roja, ils nous a fait penser positivement, on sortait sur le terrain avec l'idée de dominer notre adversaire. Bielsa n'a pas seulement éte un entraîneur fondamental pour moi, mais pour tout le football chilien."

Sampaoli - AFP

Avant Bielsa, le Chili s'était déjà qualifié pour une Coupe du monde, mais jamais avec une telle facilité (deuxième des éliminatoires derrière le Brésil). Le seul pays sud-américain, avec l'Equateur, à ne jamais avoir remporté de Copa América, a aussi obtenu des résultats historiques, comme de battre pour la première fois l'Argentine en match officiel (1-0, 15 octobre 2008). Un précédent qui ne peut que nourrir la foi du peuple chilien à la veille de sa finale. Bielsa n'a toutefois pas tout inventé au Chili. Car, l'idole du Vélodrome a notamment pu tabler sur une génération dorée (Vidal, Sanchez, Medel …) qui avait terminée troisième du Mondial U20 2007.

" A une époque j'étais même Bielsa dépendant"

Reste qu'en cas de victoire samedi, Jorge Sampaoli ne sera pas du genre à minorer l'influence d'El Loco sur sa sélection. Il se revendique comme un disciple : "Je me suis toujours identifié à sa philosophie de jeu, à son projet de football d'attaque, déclarait-il en 2012. A une époque j'étais même "Bielsa dépendant". Dès que je sortais ou que j'allais courir, j'écoutais des cassettes de Bielsa. Je suivais et enregistrais tous ses discours". Eliminé de la Libertadores avec le Sporting Cristal (Pérou) en 2007, Sampaoli avait alors écrit une carte à son maître spirituel, qu'il ne connaît pas personnellement, pour s'excuser de ne pas avoir bien défendu ses idées. Un vrai fan.

Sélectionneur du Chili depuis décembre 2012, Sampaoli n'applique toutefois pas les enseignements de Bielsa de manière dogmatique. Il respecte son œuvre, mais s'est permis quelques retouches. Ainsi, sa sélection s'autorise parfois à ralentir le tempo, bien plus que le faisait celle d'El Loco. Sur le tableau noir, l'entraîneur à la tête de bonze en pince pour la ligne de trois arrières centraux, mais peut parfois associer deux hommes dans l'axe de son attaque (Sanchez et Vargas), ce que s'interdit encore aujourd'hui Bielsa, adepte d'une pointe unique. Pendant la Copa América est apparu un autre axe de divergence : celui de la morale.

Marcelo Bielsa n'a pas trouvé les réponses face à Nantes - AFP

A son arrivée à la tête de la Roja, Bielsa avait imposé un décalogue de principes à une sélection en proie à de graves problèmes d'indiscipline. Extrait : "la consommation d'alcool est interdite quelles que soient les circonstances". Ou encore : "à l'intérieur et en dehors du terrain, la volonté du joueur de faire ce qui lui est exigé n'est pas négociable". Des principes qui auraient clairement coûté à Arturo Vidal, chauffard en état d'ivresse, sa place. On peut aussi se demander si Gonzalo Jara aurait dû attendre la notification de sa suspension par la CONMEBOL pour se voir écarté de la Copa América, par un Marcelo Bielsa qui privilégie "la noblesse des moyens utilisés" au "résultat".

Marcelo Bielsa a déjà dirigé lors de deux Copa América, mais jamais avec le Chili. Alors sélectionneur de l'Argentine, El Loco s'était hissé en demi-finale (1999) et en finale (2004). Samedi, Gerardo Martino tentera de faire mieux que son ex-entraîneur à Newell's Old Boys, et de donner à l'Argentine son premier trophée depuis 1993. S'il y parvient, cela serait le sacre d'une sélection bien plus offensive que celle aperçue lors de la Coupe du monde, mais ce penchant vers l'avant ne fait pas pour autant de Martino un Bielsiste. Il suffit de se souvenir de son hermétique Paraguay, parvenu en finale de la dernière Copa América (2011), pour comprendre que l'ex-entraîneur du Barça se montre bien plus souple que celui qu'il côtoie encore au quotidien à Rosario : au sein du stade de Newell's Old Boys, rebaptisé Marcelo Bielsa depuis 2009, une des tribunes porte le nom de Gerardo Martino.

" Le football a été injuste avec Bielsa au moment de le récompenser"

Dirigé par El Loco, El Tata a remporté deux titres de champion d'Argentine (1991 et 1992). Mais avant cela, il était déjà l'idole du club, et même celle de… Marcelo Bielsa. "D'un côté, j'ai appris en le voyant jouer, dira Bielsa, de l'autre en le voyant se comporter comme capitaine et leader d'équipe. Quand il entrait dans le vestiaire, ses coéquipiers se taisaient, et quand il racontait une blague, tout le monde rigolait. J'ai alors compris ce que c'était que d'être un leader." L'influence ne fut cependant pas univoque. Car, quand Bielsa prend en main Newell's, Martino, s'il est déjà une idole, est aussi un numéro 10 qui traîne des pieds au moment de se replacer. Entraîné par El Loco, il se mettra à courir. Aujourd'hui, l'entraîneur Martino ne négocie pas l'effort de ses joueurs. De Bielsa, il a aussi retenu un certain comportement éthique. "J'admire chez Bielsa sa capacité à ne pas négocier ses valeurs dans un milieu où c'est est difficile". Quand on écoute Martino on croirait d'ailleurs parfois entendre El Loco. "Le football argentin est hystérique, la malhonnêteté y prédomine, l'esthétique est méprisée et le résultat dissimule tout", avait dit El Tata avant d'imiter Bielsa, en remportant un titre de champion avec Newell's Old Boys (2013), en pratiquant un football chatoyant.

Tata Martino - AFP

Comme l'on se rappelle toujours des premières fois, un autre protagoniste de la finale devrait aussi penser à Marcelo Bielsa si sa sélection remporte la Copa América. Le pilier de l'Albiceleste, Javier Mascherano. Car, le joueur du Barça, devenu le cerveau, le capitaine sans brassard, de l'Argentine, a connu sa première sélection en 2004, à 19 ans. Il ne jouait alors pas encore avec l'équipe première de River Plate, mais Bielsa, formateur dans l'âme, l'avait déjà repéré. Voilà ce qu'avait déclaré El Jefecito à El País, en 2012, quand le cas d'El Loco avait été évoqué : "En appelant un jeune qui n'avait pas encore joué en première division, il avait plus à perdre qu'à gagner, mais il n'a pas hésité à miser sur moi. Je lui suis reconnaissant à vie". Avant d'ajouter : "Le football a été injuste avec Bielsa au moment de le récompenser, car il mérite beaucoup plus que ce qu'il a gagné. Enfin, peut-être que son plus grand succès est d'avoir marqué chaque équipe et chaque joueur qu'il a entraîné". Ce ne sont pas les Alexis Sanchez, Gary Medel, ou Jorge Valdivia qui diront le contraire. Ni Gerardo Martino.

Correspondant au Mexique, Thomas Goubin est l'auteur de l'ouvrage "Marcelo Bielsa : El Loco Unchained", paru au printemps aux éditions Hugo Sport.

eurosport.

http://eurovisions.eurosport.fr/football/copa-america/2015/chili-argentine-c-est-aussi-une-finale-made-in-bielsa_sto4806376/story.shtml

Modifié le 4 juillet 2015 par Skynet

[Invité O.L.H]

Neo debarque dans 1,2,3..

[Invité Skynet]

Désolé jaurais pas eu les belles photos sinon

Match dans 30 minutes !

[Incredible Ronney]

Bordel Valdivia quel régal pour les yeux.

[nddkmw]

0-0 à la mi-temps, mais très beau match jusqu'à là.

 

DM est sorti blessé mais ça avait pas l'air bien grave. J'ai même eu la vieille impression qu'il sortait parce qu'il ne supporte, simplement, pas la pression... Messi touche pas des masses. Sanchez est insupportable, il arrête pas de se palucher avec la balle. Ah we. Otamendi est plutôt mauvais aussi. Rojo vient de faire une fausse touche..

Modifié le 4 juillet 2015 par nddkmw

[superboydu92]

y a un stream par hasard ?

[Roo-10]

Higuain qui confirme le statut de croqueur

[nddkmw]

Je trouve plus que c'est la passe de Lavezzi qui est trop profonde. Petite sueur froide cette action