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Actualités des clubs européens


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Apparemment le milieu que prévoit Ancelloti c'est Kedhira-Modric. Ca m'a l'air pas mal offensif quand même, bon Kedhira défend bien mais il à l'habitude de jouer plus haut.

Maintenant qu'ils veulent jouer plus haut, l'absence d'un 6 dans l'effectif va peut-être se montrer problématique.

Le débile, soumis à la psychanalyse, devient toujours une canaille. Qu'on le sache.

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Il y a Casemiro aussi qui montre de très belles choses. S'il continue comme il a joué jusqu'ici, il prendra peut-être la place de Khedira. Et ce sera mérité, même si j'aime bien l'allemand.

Mata is Free

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Un Abidal à ce niveau il est laargement titulaire en tout cas. T'as vu sa décla sur l'equipe ? Il disait que si Pep était encore là il serait surement resté, qu'il ne comprend pas que le Barca déclare l'avoir vendu pour raison financières puisqu'il n'était pas payé lorsqu'il était malade.

J'avais oublié qu'il était si fin techniquement

Modifié par Skynet
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Oui Skynet c'est ce que j'ai mis au dessus.. Abidal comme j'ai dit plusieurs fois à son tpp est un des meilleurs defenseurs du monde. Pendant sa periode du Barça il s'est amélioré techniquement c'est dingue. Je l'ai tellement apprecié ce joueur ça l'a fait mal.de le voir partir.

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Bon allez petite nouvelle qui sort de l'ordinaire en général je ne mets pas ces recrutements. L'Athletic vient de signer un défenseur central d' Osasuna un certain Matias Lizarazu nè en 98 à Pampelune. Et oui c'est le neveu de Bixente.

 

 

https://twitter.com/matiaslizarazu

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Le parti politique est l'opium du peuple

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Le Barça indique dans un communiqué que le joueur a "continué de percevoir les mensualités accordées" pendant sa maladie et qu'il a, en revanche, recouvré la "partie proportionnelle" seulement lorsqu'il a retrouvé l'équipe première. Opéré d'une tumeur au foie en mars 2011, Abidal a dû subir une seconde opération en avril 2012 après le rejet de sa greffe et sa convalescence a duré un an.

Dans un entretien publié vendredi sur le site internet du journal L'Equipe, le joueur de Monacosouligne que son départ de Barcelone cet été n'était pas une "histoire d'argent", avant d'ajouter: "La preuve, c'est que tous les mois où j'étais malade, le club ne m'a pas payé."

"Le FC Barcelone clarifie que les deux parties confirment que le club a respecté les engagements contractuels signés avec le joueur français", écrit le club catalan. "Lorsqu'Eric Abidal a fait une rechute de sa maladie (...), d'un commun accord, le FC Barcelone et le joueur ont suspendu le contrat jusqu'à l'autorisation médicale de reprendre l'activité sportive. Pendant cette période, Eric Abidal a continué à percevoir les mensualités accordées et, une fois qu'il a retrouvé l'équipe première, il a reçu la partie proportionnelle de son contrat."

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Magnifique article sur Borja Valero :

 

A lire la presse italienne, on croirait que Montella a confié les clés du jeu de sa violette à un mélange de Zidane, Xavi et Pirlo. Mais non, c’est bien le petit chauve tout maigre qui jouait àMajorque. Borja Valero, 28 ans, acheté huit millions d’euros à un sous-marin en détresse et tout le football du monde dans les yeux. Depuis maintenant un an, lItalie ronronne à chaque caresse de son espagnol, qu’elle a surnommé « le touriste ». Ou quand une simple visite se transforme en révolution esthétique

Pirlo Valero

En football, en économie, en art, en industrie, en politique, notre époque de crise est marquée par un même prisme d’analyse des évènements : le rapport entre la manière et le résultat. Il y a ceux qui ne vivent plus que pour le "pourquoi", la cause froide, la raison, et les autres qui restent attachés au "comment", à l’art de vivre, aux façons de faire les choses. Depuis maintenant un an, voir jouer Borja Valero sous la maillot de la Fiorentina pousse à s’arrêter, à prendre le temps d’admirer le "comment", à suspendre le temps. Il a le même pouvoir que la mer et la montagne : il donne le sentiment que la beauté viendra à bout de tout. Qu’elle « sauvera le monde », comme l’écrivait Dostoïevski. La Gazzetta dello Sport en convient volontiers : « peu d’équipes ont une telle qualité au milieu de terrain, cest-à-dire un joueur total comme Borja Valero qui illumine tout ce qui lentoure ». Le public aussi bien que ses coéquipiers.

La Gazzetta, toujours, dans un paragraphe titré Pirlo Valero : « La Fiorentina est un spectacle de vitesse et dharmonie, de bons pieds et daccélérations imprévues. Littéralement, une équipe. Lespagnol est au-dessus de tous les autres, comme Pirlo pour la Juve, mais vingt mètres devant : on dirait presque un fantôme par la façon avec laquelle il disparaît dun côté et réapparaît au côté opposé, toujours avant les autres, liant les rôles et les lignes, lançant Rossi, Gomez et Aquilani. Pour comprendre où il est, on aurait besoin de la technologie de la ligne de but ». Un Pirlo sans la barbe et les cheveux soyeux. Ainsi, chauve, maigre, peu charismatique, timide même, Borja Valero se met en retrait derrière le ballon, à l’image d’un Iniesta dont on ne finit que par voir les pieds. Tout est dans le geste, la façon de jouer. La forme. Borja Valero nous invite tous les weekends à un football qui danse, chante, joue une mélodie. Avec le ballon, le madrilène prend des airs de pianiste, alternant sur son clavier les phases de violence dramatique et de douceur paternelle.

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Redondo comme idole, Guti comme modèle

Né d’un père ouvrier et d’une mère cuisinière, Borja grandit paisiblement dans la banlieue de Madrid, un ballon aux pieds et le Real dans la tête. Mais après une dizaine d’années passées dans laFabrica, Borja quitte la Maison Blanche sans rancune, comme un jeune homme fou amoureux d’une femme qu’il n’aurait jamais pu séduire. Déçu, évidemment. Mais déjà heureux d’avoir fait un bout de chemin à ses côtés, même de loin. C’est à dire deux matchs avec l’équipe pro sous Capello en 2006-2007. Puis, Majorque lui confie ses clés. Quelques extérieurs brossés plus tard, West Bromwich Albion se laisse tenter et débourse sept millions d’euros pour avoir son propre milieu espagnol. Valero est tenté : c’est l’opportunité de jouer dans un championnat médiatisé et de devenir autre chose qu’un milieu espagnol de plus. Le bilan est mitigé. Des médias, il y en a. Du football, beaucoup moins.

« Comme championnat, en termes dambiance, stades, préparation et organisation, lAngleterre est largement au-dessus de tous les autres, mais pour ce qui est du football à proprement parlerCest mythifié. On ne voit pas autant de football là-bas quen Espagne ou en Italie par exemple ». Car Borja aime la création, le jeu, l’élaboration d’une action. Le cœur blanc, il garde Redondo comme idole et Guti comme modèle. « Redondo navait même pas besoin de tout ce qui se fait aujourdhui avec les doubles pivots ou triples pivots au milieu. Lui seul suffisait pour gérer le milieu de terrain. » Trente-quatre matchs et l’art du « tackle » dans les bagages, Borja Valero revient en Espagne à Villareal. Dans la banlieue de Valence, si Marcos Senna est le moteur du sous-marin, il en est le conducteur. Deux saisons, un titre Don Balon de meilleur joueur espagnol de Liga et une sélection avec la A. Une seule et unique. « Mon malheur est de jouer dans la meilleure période de l’histoire du football espagnol. »

« La boussole du jeu de la Viola »

En Italie, il y a la Juventus d’un côté et la Fiorentina à l’opposé. L’obsession de la victoire de la première, prête à comptabiliser dans son palmarès des titres qui n’existent plus. Et l’idéal esthétique de la seconde. Il y a le violet, couleur originale pour un club de football. Toute la Toscane dans le mélange du bleu de la mer et du rouge de la terre. Et puis la ville de Florence ! Bref, un club de romantiques, où Borja Valero fait chavirer les cœurs. Pour l’Espagnol, ce voyage était à la fois une logique et un défi. Logique, car Borja Valero arrive dans un projet de jeu façonné pour lui. Le plus souvent en 3-5-2 avec trois milieux de terrain intérieurs, des attaquants qui savent merveilleusement s’associer, des ailiers jouant très haut sur le terrain. Un défi aussi, car les espagnols ne réussissent jamais en Italie, pour des profondes différences de conception du jeu. Le résultat, c’est que le journal rose parle de « boussole du jeu de la Viola ». Et attribue un immense crédit du succès de la Fio à son espagnol : « Si la Viola a joué en 4312, il serait plus juste de parler de 43Valero2. Sans position fixe, lespagnol traverse le troisième quart du terrain de gauche àdroite, avec tant de légèreté quil ne semble jamais toucher le sol ».

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Football espagnol et Renaissance

Borja Valero, c’est le football qui accorde une place au geste. Celui qui force la vie à ne pas se vivre sans la manière, sans le souci du « geste » quotidien. Un football typiquement latin. Le fait de prendre le temps. Le café chez le barista pour entamer la journée. Les discussions de football, de femmes et de banalités. Le fait de parler de banalités comme si c’étaient des choses d’une extrême importance, et de choses importantes comme si c’était des futilités. Borja Valero est ce football du « comment », le football espagnol. Celui qui se focalise sur la qualité des transmissions en sachant pertinemment que tu ne peux pas marquer avec des passes. Et qui se dit : « tant pis, je préfère quand même les passes ». Une obsession esthétique ? Une frustration née de décennies de cruelles défaites poussant tout un peuple à nier l’importance du résultat ?

Tandis que les Italiens s’entrainent à tirer et produisent des Di Natale, Inzaghi, Vieri, Rossi… Tandis que les Brésiliens se sont libérés de ce poids en prônant un football fêtard qui ne peut exister sans la célébration du but… En Espagne, c’est plus fort, plus violent dans le sens de la violence du drame. C’est même une question majeure de société. En Espagne, tu ne peux pas marquer sans jouer mieux que l’adversaire. Ce n’est pas que ce n’est pas correct moralement, la place de la morale est ici toute relative, mais cela ne doit pas arriver. Borja Valero, son palmarès vierge et ses passes, sont devenus aujourd’hui le symbole ultime de cette Espagne pré-2008, cette nation qui se battait avec des passes contre des tirs. Paradoxalement, ce même Borja fait rêver l’Italie des pointus et des pénaltys recherchés. Une révolution esthétique qui pousse ses premiers cris en Toscane, tiens donc…

Markus

source : http://fautetactique.com/2013/09/06/borja-valero-par-amour-du-geste/

"Le pouvoir de l'homme s'est accru dans tous les domaines, excepté sur lui-même."

Churchill

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Bien bien cet article sur Valero, quel joueur tout de même, la classe.

J'ai surtout apprécié ça, on se demande pourquoi. :D

 

"Comme championnat, en termes d’ambiance, stades, préparation et organisation, l’Angleterre est largement au-dessus de tous les autres, mais pour ce qui est du football à proprement parler… C’est mythifié. On ne voit pas autant de football là-bas qu’en Espagne ou en Italie par exemple."

 

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Galarreta encore et toujours lui

 

 

 

La perle de Lezama a encore frappé. Déjà le meilleur joueur lors des matchs précédents, il aura cette fois-ci permit à son équipe de prendre la tête de la Liga adelante en marquant l'unique but de la rencontre face à une équipe madrilène où l'individuel prend le pas sur le collectif et n'a pas engrangé le moindre point.

 

Le choc des extrêmes donc. Le jeune milieu de terrain de 20ans prêté par l'Athletic organisera le jeu, étant à la conclusion et à la finition de l'unique but de la rencontre, Inigo est en train de confirmer les espoirs placés en lui et remis à plus tard à cause d'une longue et douloureuse blessure aux ligaments la saison passée. Toujours trop volontaire, apprenant péniblement à gérer ses efforts, il effectuera cette fois-ci un match presque complet puisqu'il ne sortira qu'à la 84éme.

 

http://www.matchendirect.fr/live-score/cd-mirandes-real-madrid-castilla.html

 

 

Galarreta, el mejor del encuentro, lograba el tanto de la victoria y certificaba tres puntos de oro para seguir soñando con la permanencia.

 

Galarreta le meilleur de la rencontre, a décroché la victoire et 3 points en or pour continuer à rêver à ne pas descendre

 

 

 

 

Si le rêve de ne pas descendre pour un leader s'annonce très mesuré, il ne peut en être de même avec ce joueur. Dès le premier paragraphe on parle de lui avant de parler de lui dans chacun des autres qui suivent. Les choses sont claires pour les rédacteurs du site de Mirandes aussi. Galarreta ouvre le jeu, Galarreta décale, Galarreta illumine tout simplement; Par sa vision du jeu, sa technique, inégalée sur la péninsule depuis un certain Xavi.

 

http://www.cdmirandes.com/web/index.php?option=com_content&view=article&id=863:r-madrid-castilla-0-1-c-d-mirandes&catid=9:noticias&Itemid=477

 

 

 

 

 

Alors en jouant contre le Real Madrid Castilla, Marca ou As feront-ils un article sur le jeune prodige cette fois ?

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Déclaration de Florentino Pérez sur Ozil : "It wasn't about the women but about the late nights, the hours spent not sleeping. He wasn't a good professional"

 

"Mesut discovered the world & became obsessed with women, a world that was alien to him before"

 

"Ce (le problème) n'était pas sur le femme mais sur les soirées, les heures passées à ne pas dormir. Ce n'étaient pas un joueur professionnel."

 

"Mesut a découvert ce monde et il est devenu obsédé par les femmes, ce monde lui était étranger avant."

 

source : abc.es

Modifié par Toinetking

"Le pouvoir de l'homme s'est accru dans tous les domaines, excepté sur lui-même."

Churchill

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Oui. L'article ABC n'a AUCUNE décla de Perez. C'est un journaliste qui parle. Mais bon, le Daily Mail...

ruud_van_nistelrooy_131-150x150.jpgDankje Ruud ! Van PERSIEEEEEEEEEEE! rvp10.jpg

 

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Mis à part Galarreta qui régale en D2 Jurgi Oteo qui régale en -19 de la Roja à 16ans Villalibre qui marque 3 buts en 2 matchs à même pas 16ans en D4 ... Inigo Vicente revient tambour battant également.

 

 

En effet comme je vous l'avais déjà dis, à force de marquer 2 buts par match avec l'Athletic, on l'avait envoyé dans un club à côté où il serait plus isolé. Ca a à moitié marché vu qu'il a quand même planté un but par match lol Le Real Madrid voulait absolument le recruter, mais comme pour Kepa, on a réussit à lui faire signer un contrat béton et il est du coup revenu à l'Athletic. Seulement voilà ... premier match il plante 7 buts ... et l'Athletic gagne 10.0.

Il va sérieusement savoir quoi en faire et déjà commencer à le surclasser vu qu'il joue toujours avec les joueurs de son âge. Il faudrait le mettre avec les -18 lui qui va avoir 16ans en janvier.

Les sélections risquent fort de commencer pour lui aussi.

 

 

 

 

En parlant de sélection, comme Laporte avec les -19 de la France, ou Kepa et Oscar Gil avec la Roja, Muniain s'est vu avoir le capitanat des -21 de la Roja et a planté un doublé hier. De quoi confirmer son amélioration cette année et le mettre parfaitement en confiance.

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Le parti politique est l'opium du peuple

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suis je le seul à être nostalgique de l'époque Sheva :wub: (c'est ma génération, le milan des nineties avait surement plus de gueule mais je l'ai pas connu)? Aujourd'hui l'effectif ne fait plus rêver. Pire ils sont même pas favoris pour le titre.

 

Cependant tous n'est pas à jeter. El Shaawary, Montolivo et Mbaye peuvent devenir stratosphérique dans quelques années.

 

Concernant Balo sur lequel beaucoup pense qu'il a progressé, moi je suis mitigé. Il a repris gout à la titularisation et marque régulièrement (la plupart des pénalties si je ne m'abuse, pas très rassurant en passant) mais il se donne moins sur le terrain et parait trop suffisant ou arrogant. ce dernier point Je sais que ca fait partit du personnage mais avant il les accompagnait de coups d'éclats. Dernier exemple en date, son euro 2012 qui était très bon puis depuis qu'il a atterit à milan, aucun des matchs qu'il a disputé n'a plus jamais atteint ce niveau (ps: j'ai pas suivit tous ses matchs au Milan Ac donc corriger moi si je me trompe). Et puis pour moi tant que je n'aurai pas revu le balo de l'inter, footballistiquement parlant, je ne sera pas convaincu de la dimension évolutive de celui ci.

Modifié par dark passenger
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