One Sheasy Posté(e) le 4 octobre 2014 Partager Posté(e) le 4 octobre 2014 Apparemment il aurait fait un bon match selon un ami. Peut-être le meilleur Villain sur la pelouse selon lui! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Message populaire Santana Posté(e) le 20 octobre 2014 Message populaire Partager Posté(e) le 20 octobre 2014 (modifié) Un ami m'a prêté le dernier Sofoot. Dedans on y trouve un article sur Tom Cleverley. Notamment sur ses débuts, le rôle de son agence de joueurs dans sa carrière et quelques détails sur son transfert. L'article est plutôt intéressant, malgré beaucoup de choses que l'on sait, donc je le retranscris ici pour le partager avec vous. Je tiens à préciser que ce n'est pas un canular même si j'avoue bien volontiers que l'ami Tom est une source d'inspiration inépuisable. Tom Creuse Tom Cleverley devait devenir une vedette. Une marque. Et une pompe à fric. Ses agents avaient tout prévu. Sauf un problème de taille : Tom Cleverley est un joueur moyen. Et il le restera. La queue entre les jambes, il vient finalement de quitter Manchester United pour Aston Villa. Aujourd'hui, Tom Cleverley incarne les maux d'un foot anglais plus motivé à fabriquer des stars que des joueurs...(Par Marc Beaugé, avec Andy Mitten) Je projet est toujours là. Sur le site Internet de Creative Spark, une boîte de pub de Manchester, le logo "TC23" s'étale encore en lettres d'or. En-dessous, des photos d'artistes. Ou presque. Tom Cleverley, l'air pensif devant Old Traffod. Tom Cleverley, appuyé contre un mur de briques rouges. Tom Cleverley, moulé dans un t-shirt orné de son propre logo. Plus bas, un texte explique la démarche. "Tom est venu nous voir car il est conscient que, dans le monde moderne, son activité de marque en dehors du terrain doit être aussi performante que son activité de joueur sur le terrain. Avec cela à l'esprit, nous avons crée l'identité visuelle de la marque TC23..." C’était en octobre 2011, à l'époque, Tom Cleverley, avait 22 ans. Il revenait de prêts successifs à Leicester, Watford et Wigan. Sept petits matchs seulement dans les jambes sous le maillot de Manchester United, mais déjà cornaqué par une agence de "management sportif" aux dents très longues : Tom Cleverley était le produit d'appel de la "Kennedy McKeand". Un produit comme un autre qu'il va falloir vendre. Trois ans plus tard, force est de constater que l'entreprise a échoué. Et que la marque TC23 ne se porte pas très bien. Tom Cleverley ne pose plus devant des murs de briques rouges. Il ne traîne même plus l'air pensif, devant Old Trafford. Il joue désormais à Aston Villa, Il n'est plus appelé en équipe d’Angleterre, depuis de longs mois. L'été dernier, près de 20 000 supporters ont signé une pétition en ligne pour qu'il ne soit pas retenu par Roy Hodgson pour disputer la coupe du monde au Brésil. Résultat : il ne l'a pas été. Même s'il n'y a avait pas besoin de ça. À Old Trafford, aussi, les supporters l'avaient lâché. Déçus par un joueur que la rumeur annonçait aussi doué que Scholes. Avec les Red Devils, plus ses performances se dégradaient, plus les supporters de United avaient pris l'habitude de faire référence à Tom Cleverley par un surnom qui résumait tout le mal qu'ils pensaient de lui . "The brand". "La marque". La piaule de Gérard Piqué et de Darren Fletcher L'histoire de Cleverley démarre à cinquante bornes de Manchester, à Bradford, une ville industrielle du Yorkshire où s'entassent 500 000 habitants sous un ciel gris. "Je suis un gamin de là bas, dit-il. Tous mes potes actuels sont des gars que j'ai connus en jouant au foot dans les rues de la ville. On ne jouait pas à la Playstation, on était dehors tout le temps." Tom joue pour l'équipe de l'école. Puis les Bradford Boys, une équipe de quartier à la grosse réputation. Son père bosse dans la banque. Et est abonné à Bradford City. Le petit suit. Il a 11 ans quand le club monte miraculeusement en Premier League et dispose déjà de son abonnement personnel. Son idole s'appelle Benito Carbone, un meneur italien, petit et gominé qui dénote au milieu des joueurs locaux plutôt rustiques. Tom se retrouve en lui. Le samedi matin le gamin se balade. Un jour, sous le maillot des Bradford Boys, il inscrit un triplé contre le rival Huddersfield. Dans la foulée, Leeds et Blackburn, les deux grands clubs du coin se manifestent pour le recruter. Mais Andrew, le papa, finit par vérifier le répondeur de la maison familiale. "Il y avait un message de Manchester United, se souvient-il. Nous somme allés là-bas. Et Tom a adoré...". Pendant quatre ans, trois fois par semaine, la maman prend l’autoroute M62, reliant Bradford à Manchester, pour amener son fils à l'entrainement. Jusqu’à ce qu'il s'installe définitivement à Manchester, à quinze ans, dans une chambre précédemment occupée par Darren Fletcher et Gerard Piqué. Sur le terrain, Cleverley reste longtemps le plus petit. Et le plus frêle. "À 16 ans, j'étais un enfant alors que les autres étaient déjà des adultes...", se souvient-il. Cleverley doit quitter le milieu de terrain pour exister. Un temps, il se retrouve arrière latéral. Pour qu'il puisse grandir tranquillement, le club demande à la fédération ,L'autorisation de pouvoir l'aligner dans une catégorie d'âge inférieure à la sienne. Accordée. Cleverley avant, et voit ses potes quitter le club un à un, saison après saison. Même les plus plus talentueux ne sont pas assez bons. Avec des fortunes diverses : un de ses plus proches coéquipiers file à Hull, un autre à Leicester, Febian Brandy, le plus doué de tous s'exile en Grèce où il se retrouve obligé de dormir sur le canapé d'un coéquipier, pour cause de salaires impayés...Cleverley, lui, tient bon. Chunks, Nike et Georgina Ferguson semble croire en lui. Il connaît son nom. Ou presque. Dans les couloirs du Carrington, il l'appelle Thomas. C'est toujours mieux que ses vieux potes, qui l'alpaguent toujours en l'appelant "Chunks". Parce que gamin, Cleverley avait du mal à prononcer le mot "Trunks"... Pour aguerrir son joueur, l'écossais le prête à Leicester, en troisième division. Cleverley s'impose au milieu de terrain. Puis enchaîne avec un nouveau prêt à Watford, le club d'Elton John, en deuxième division. Il convainc, à nouveau. Il se souvient : "J’adorais aller dans des terrains hostiles, comme Millwall. Ou Leeds. Aller à Leeds en étant un gamin de Bradford et en étant lié contractuellement à Manchester United, c'est la pire des combinaisons possible. Je me faisais pourrir. Surtout sur les corners. Mais je m'en foutais pas mal..." Cleverley ne se pose pas de question. Enfin, si, quand même. "Après chaque match, il me harcelait, se souvient Malky Mackay, l'ancien entraineur de Watford. Il n'arrêtait pas : Qu'est-ce que j'ai fait de bien? De mal?" La cote de Cleverley monte au club. Il repart pour un dernier tour, à Wigan. En Premier League, cette fois. Une pige concluante. Cleverley a 22 ans: il va succéder à Paul Scholes, un jour ou l'autre. C'est écrit. Lui-même affiche une belle confiance. Il se décrit ainsi, à l'époque : "Je suis un milieu de terrain technique avec beaucoup d’énergie, capable de marquer des buts." ( ) À l'affut du bon coup, Nike se laisse séduire. La marque mise sur Cleverley. Il n'a pas encore démarré le moindre match officiel avec Manchester United quand il signe l'un des plus gros deals de l'histoire pour un footballeur de moins de 25 ans. Cleverley se montre. De plus en plus. La presse anglaise est demandeuse. Dévoreuse, même. Elle a toujours besoin d'histoires à raconter. Tom Cleverley est un local boy. Avec une bonne gueule. Et des airs à la Beckham. Vaguement, de loin. Au cours de ses voyages, Tom a la bonne idée de se trouver une copine. Georgina Dorsett. Peu pudique, très blonde. L'histoire est bien ficelée. Le package est complet. Elle plat beaucoup au Mirror, notamment, qui se tartine sur l’ascension de Cleverley. Les agents du joueur font minutieusement leur boulot. Pour faire monter la sauce, ils font fuiter des informations exclusives. Recadré par Ferguson, bazardé par Van Gaal Chez "Kennedy Mc Keand", on accélère la cadence. Le père de la star est embauché pour faciliter le travail. Les interviews s'enchaînent. Un peu trop au goût de Sir Alex Ferguson, qui met sèchement en garde son joueur après la publication d'un énième entretient. Fini de parler, il est l'heure de jouer. C'est bien là le problème : quand Cleverley joue, sous le maillot de Manchester United, il ne fait pas la différence. Les statistiques ne mentent pas : le joueur effectue les deux tiers de ses passes vers l'arrière. Elles disent de lui qu'il n'est jamais décisif. Aucune dernière passe, peu de buts. Quatre en 79 rencontres. Cleverley ne progresse plus. Au milieu d'une équipe de Manchester United de plus en plus fragile, Moyes l'envoie à l'abattoir dans des matchs à haute-tension où il est le dépositaire du jeu, entre le sosie de Fellaini et le fantôme de Kagawa. Dans le dur, la mise en perspective s'avère brutale pour le joueur. Au bout du compte, au-delà du vacarme médiatique entretenu par ses agents, qu'a vraiment réussi Tom Cleverley ? Il s'est imposé à Leicester, Watford et Wigan,, certes. Mais après? À Manchester United, ses performances correctes se comptent sur les doigts d'une main. Cet été, Louis Van Gaal a mis fin à la blague. Après l'avoir aligné dans les matchs amicaux de pré-saison, il tranche. Pas le niveau. Dehors. Le Hollandais vient d'enterrer l'énième grandissime espoir du football anglais. Fin août, les penseurs de "Kennedy McKeand" se mettent en quête d'un niveau club pour leur client. Et d'un gros chèque pour eux. Histoire de limiter la casse, en somme. Everton et Aston Villa sont sur les rangs. Naturellement "Kennedy McKeand" fait monter les enchères. Jusqu'au dernier jour du mercato. Le 1er septembre, Tom Cleverley et sa fine équipe se dirigent vers Aston Villa, le club le plus offrant. Sur la route entre Manchester et Birmingham, Everton appelle. Avec plus d'argent sur la table. Le convoi change de route direction Liverpool. Mais Manchester n'a pas envie de négocier un transfert avec Everton. Une seconde fois, le convoi change de destination dans son GPS. Retour à Birmingham, sans faire les malins : entre temps, Aston VIlla, échaudé, a baissé son offre de salaire de 20 000 euros par semaine.Tant pis, Cleverley dit oui. Désormais, il veut jouer. Simplement jouer. Plus de marque, de t-shirt, plus de marketing. Cela tombe bien : l'agence "Kennedy McKeand" vient juste de déposer le bilan... Voilà, ça m'a pris pas mal de temps de le retranscrire donc j'espère que ça va en intéresser quelques uns. Au final Tom Cleverley c'est l’histoire d'un joueur qui s'est vu et que tout le monde a vu trop beau, trop fort, trop tôt. Il a bénéficié des avantages de la vie d'un footballeur de haut niveau sans n'avoir jamais vraiment confirmé et du coup, il était convaincu de sa valeur intrinsèque. Au final on se rend quand même compte de place de l'argent et de la gloire dans ses choix de carrière. Il a tout tenté pour devenir une star. Sauf peut-être devenir un meilleur joueur sur le terrain. Modifié le 20 octobre 2014 par Santana 19 twitter.com/AntiqueFootball Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Neosquall Posté(e) le 20 octobre 2014 Partager Posté(e) le 20 octobre 2014 Je confirme que l'article est bien présent dans le dernier SoFoot. Si vous avez un doute sur une ou plusieurs sources liées à un transfert de ManUtd : Allez sur ce lien ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité O.L.H Posté(e) le 20 octobre 2014 Partager Posté(e) le 20 octobre 2014 TC23 :D :D 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Don_ Posté(e) le 20 octobre 2014 Partager Posté(e) le 20 octobre 2014 Ca faisait longtemps que j'avais pas autant ri Incroyable cette histoire, on dirait un film. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
redevilsyassine Posté(e) le 20 octobre 2014 Partager Posté(e) le 20 octobre 2014 Le pauvre, il voulait péter plus haut que son c**, en tout cas bonne chance a lui a Aston villa 1 "Il ne faut pas perdre son temps à avancer des arguments de bonne foi face à des gens de mauvaise fois"<span style="font-family: comic sans ms" ,="" cursive'=""> Hassan II Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Santiano Posté(e) le 20 octobre 2014 Partager Posté(e) le 20 octobre 2014 Bah il a toujours dit que Beckam était son modèle. Il a voulu le copier dans tous ses aspects mêmes marketings. Sauf qu'il n'a pas son pied droit, et au final c'est ça le plus important dans le foot... Glazers out! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Red Eye Posté(e) le 20 octobre 2014 Partager Posté(e) le 20 octobre 2014 Ça me fait limite pitié aujourd'hui toute l'histoire autour de Cleverley. Le mec est maintenant tellement enfoncé depuis ses débuts. Une longue agonie sa carrière. Mata is Free Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité O.L.H Posté(e) le 20 octobre 2014 Partager Posté(e) le 20 octobre 2014 Quand tu vies au dessus de tes moyens, à un moment ca pete, Clev c'est ca... Il s'est vu trop beau trop vite, alors qu'il pouvait faire une bonne carrière ici, à l'instar d'un DF24. Quand je lis cet article je suis juste choqué, et sa prouve que nous les membres n'étions pas complètement dans le faux au sujet de ce joueur. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ole Gunnar Solskjaer Posté(e) le 20 octobre 2014 Partager Posté(e) le 20 octobre 2014 Quand tu vies au dessus de tes moyens, à un moment ca pete, Clev c'est ca... Il s'est vu trop beau trop vite, alors qu'il pouvait faire une bonne carrière ici, à l'instar d'un DF24. Quand je lis cet article je suis juste choqué, et sa prouve que nous les membres n'étions pas complètement dans le faux au sujet de ce joueur. Un peu de respect, tu parles bien de Darren Fletcher 24! Car le DF Dong Fangzzzzz ça porte mal. Cleverley a manqué de beaucoup de choses de toutes façons pour réussir Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité O.L.H Posté(e) le 20 octobre 2014 Partager Posté(e) le 20 octobre 2014 Bah Darren c'est tout le contraire de cette chevre. Darren c'était un joueur avec un potentiel honnête qui a surpassée les attentes et a toujours travailler pour progresser. L'anti-star par excellence. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Skynet Posté(e) le 20 octobre 2014 Partager Posté(e) le 20 octobre 2014 (modifié) Et bah ce joueur n'inspire pas beaucoup de sympathie surtout envers des fans qui l'auront soutenu quoiqu'il arrive. Mais c'est aussi la csq de ce "monde" (je précise que perso je n'ai aucun avis sur la question). J'espere qu'il réussira tres loin de chez nous. Welbeck ca doit etre pareil a tous les coups vu sa danse. Modifié le 20 octobre 2014 par Skynet Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fletcher77 Posté(e) le 20 octobre 2014 Partager Posté(e) le 20 octobre 2014 La plus grosse blague reste tout de même son transfert quoi. Il refuse Aston Villa alors qu'il prenait la route pour Birmingham, pour une histoire de salaire plus avantageux à Everton, Manchester refuse et il se retrouve à finalement devoir accepter les Villans avec un salaire bien diminué Il aura été une blague jusqu'au bout. En espérant tout de même entendre parler de lui en bien un jour. C'est mal parti vu l'enchaînement de défaites que subit Villa depuis quelques semaines. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
One Sheasy Posté(e) le 20 octobre 2014 Partager Posté(e) le 20 octobre 2014 Pourtant malgré les défaites que subit son équipe (contre des poids lourds, ce qui se comprend), il parait qu'il n'a pas été si mauvais d'après ce que j'ai pu lire. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wazza Powaaa Posté(e) le 20 octobre 2014 Partager Posté(e) le 20 octobre 2014 Bonne chance à lui en espérant qu'il m**** pas trop sa fin de carrière. N'em N'empêche, qu'est-ce qu'on s'est fait allumés en critiquant ses passes pourries et son niveau. Un joueur du crû c'est bien, avec du talent c'est mieux Cantona, Best, Law, Beckham, quand tu entends ces noms et toutes les discussion autour de toi qui parle Du plus grand club de tous les temps tu comprend dès lors pourquoi Manchester United est un club à part qu'il y toute une histoire et un vécu derrière ce magnifique club!!! Glor Glory Man Utd!!!!! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
RedLikeDevil Posté(e) le 21 octobre 2014 Partager Posté(e) le 21 octobre 2014 Euuuhhh il est pas en prêt? On risque de le revoir als ne lui dite pas trop vite "adieu" Le plus grand stratagème du diable, c'est de faire croire qu'il n'existe pas!!!! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
AMAUUURY Posté(e) le 21 octobre 2014 Partager Posté(e) le 21 octobre 2014 Euuuhhh il est pas en prêt? On risque de le revoir als ne lui dite pas trop vite "adieu" IL sera libre a la fin de son prêt Quand les mouettes suivent un chalutier, c’est qu’elles pensent qu’on va leur jeter des sardines. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gray Posté(e) le 23 octobre 2014 Partager Posté(e) le 23 octobre 2014 2 On peut dire que vous avez une vision socialiste du football ? Arrigo Sacchi : J'ai une vision correcte d'un sport d'équipe dont l'âme est le jeu. Voilà d'ou je pars. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Red Eye Posté(e) le 23 octobre 2014 Partager Posté(e) le 23 octobre 2014 Et c'est là qu'en Janvier, un pré-contrat est signé avec Tom ... Mata is Free Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
SK-2peer Posté(e) le 10 novembre 2014 Partager Posté(e) le 10 novembre 2014 Nouvelle interview de Cleverley pour le compte de MUTV. Il est question de sa vision du football ainsi que ses nouveaux plans de carrière. "Je suis un penseur", a déclaré Tom Cleverley, au moment de débuter l'interview. "Je ne vois pas le football comme les autres. Au club, on m'appelle le philosophe car j'ai toujours eu des débats passionnés avec les différents membres du staff. Ce surnom m'amuse, mais je ne pense pas être un philosophe car j'ai toujours eu ça en moi." Quand le journaliste lui a demandé plus de détails, il a continué en disant. "Depuis très jeune, j'ai ce talent pour comprendre la tactique dans le football. Mais pas seulement le football. Je pense tactique, je vis tactique. Le monde de tous les jours est une inspiration fantastique. Il me suffit de m’asseoir sur un banc, de regarder les pigeons voler et d'imaginer à partir de ça une nouvelle formation. De nouveaux mouvements sans ballons. J'ai toujours eu ce don." Le football est l'expression absolue de la collectivité. C'est la primauté du collectif sur l'individu. Il est fluide, sans gestes superflus. Quiconque touche le ballon plus de deux fois n'a rien compris à ce sport. Johan Cruyff disait que le football simple est le football le plus difficile à mettre en place, et je le rejoins totalement. Les passes latérales sont un art, les passes en retrait sont une nécessité. Il est très difficile de jouer comme je le fais. Il est aussi difficile de comprendre la finalité mon style. Je n'en veux pas au petit peuple qui ne s'extasie que sur les buts ou les dribbles. Il n'a pas le recul nécessaire qu'ont les hommes qui ont façonné ce sport Finalement, Cleverley s'est exprimé sur son futur proche et fais une annonce importante. "Je ne pense pas être fait pour le métier de footballeur. Je suis un penseur sur le terrain mais c'est sur le banc de touche que je pourrais le mieux exprimer mes qualités. Je pense mettre un termes à ma carrière de footballeur et me lancer définitivement dans le métier d’entraîneur. C'est un nouveau défi pour moi, j'ai le sentiment que je peux faire de grandes choses. Mais avant cela j'aimerai prendre une année sabbatique pour terminer quelques projets." Cleverley a confié, après cela, que parmi ses projets, il aimerait terminer d'écrire son livre sur l'importance de la passe en retrait dans le football, et acquérir la nationalité espagnole. http://www.manutd.com/en/Tour-2014/Tour2014News/2014/Aug/tom-cleverley-interview.aspx C'est beau, j'y ai presque cru ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Red Eye Posté(e) le 10 novembre 2014 Partager Posté(e) le 10 novembre 2014 T'as quelques mois de retard mon gars. 3 Mata is Free Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ole Gunnar Solskjaer Posté(e) le 13 novembre 2014 Partager Posté(e) le 13 novembre 2014 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Tom Cleverley Posté(e) le 4 janvier 2015 Partager Posté(e) le 4 janvier 2015 Bonjour petit peuple, Je profite de ce deuxieme post pour vous annoncez une grande nouvelle pour vous, le forum et le monde du football en general un genie est parmi vous ! MOI Desormais, une autre vision du football va s’installer dans ce sport. Vous ne vous extasirez plus devant un but qui a vu un joueur en dribbler 3 joueurs a l’aide de mouvements tel que les petits ponts, les sombreros, ou autres gestes superflus qui ne sont que des mascarades pour cacher le reel niveau et le manqué de talents et de prises rapides de decisions de ces joueurs . Le football est un art, Le jeu collectif doit primé sur le jeu individuel, et ces soit disant genies n’ont rien compri de la dimension collectives de ce sport. Desormais, vous ne vous interresserai plus aux qualities techniques, tactiques , physiques que l’on attribue a un joueur qui ne sont la que pour masque l’incapacite de ce joueur a pratiquer le vrai football Qu’est ce que le vrai football? Le vrai football que les conceptualiseurs de ce sport voulait creer est un football simple, quiconque touche la balle plus de 2 fois, dribble ou n’a rien a faire sur un terrain de football, qu’il renter chez lui jouer a FIFA, la il pourra montrer l’etendu de sa paprasse inutile. Lee vrai football est un football simple, sans mouvement que seul quelques rares genies (dont moi) peuvent se vanter de maitriser, car c’est le plus compilque a metre en place Il est compose de passes en retraits et laterales seulement. Vous pensez surement pouvoir realiser ces 2 elements, mais vous n’en maitriser nullemnt les subtilites (que je ne vous devoilerai pas), la passe en retrait est un art, la laterale est une necessite. Ce football dont je parle a ete cree par de veritables genies, qui pensent tactique, qui respirent tactiques, qui vivent tactiques, qui defequent, la tacttique est leur vie, tous ce qu’ils voient leur inspirent des nouveaux disposittifs ( j’ai recemment cree le 2-1-4-1-2), des nouvelles methods de passes en retrait … Vous petit peuple qui vous extasiez seulement sur des buts ou des dribbles, vous avez trouvez votre sauveur, celui qui vous sortira de cette conceptualisation idyllique du beau football fluide, technique, tactique ( si vous ne comprenez pas ce que je raconte ce n’est rien, c’est parce que je suis un genie). Maintenant, vous allez decouvrir ce qu’est le vrai football, je sais qe cela peut vous paraitre complique a comprendre, mais je posterai d’autre messages pour que vous compreniez ce qu’est the true football trust in me parce que je suis tom Cleverley et… TC23 is more than a player, he is a genius Prochain post: description precise du style de jeu du vrai football Ps: mon livre ainsi que mon film sur la passe en retrait seront bientot disponnible. N’hesitez pas a vous les procurez 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Louis Van Gaal Posté(e) le 4 janvier 2015 Partager Posté(e) le 4 janvier 2015 Mais t'es toujours là toi? Je t'avais pourtant dégagé. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Tom Cleverley Posté(e) le 4 janvier 2015 Partager Posté(e) le 4 janvier 2015 (modifié) Tu as cru pouvoir te débarrasser de moi aussi facilement, en m'envoyant simplement à Aston Villa? Modifié le 4 janvier 2015 par Tom Cleverley Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Messages recommandés
Créer un compte ou se connecter pour commenter
Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire
Créer un compte
Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !
Créer un nouveau compteSe connecter
Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.
Connectez-vous maintenant