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Actualités des clubs Français



Messages recommandés

Oui je sais bien tout ça, il y a eu et il y a plein d'histoires pas très nettes autour de lui mais sur ce coup-là j'ai plutôt l'impression que certains sont bien contents de pouvoir le rabaisser face au dieu Zidane. Après comme je l'ai dis c'est peut-être vrai aussi et je ne défends pas Rothen plus que ça.

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Un ticket Girard - Emile ? 01/04/2009 08:51

 

Un ticket René Girard - Henri Emile pourrait succéder au duo formé par Rolland Courbis et Michel Mézy à Montpellier, selon une information de L'Equipe, mercredi. Le premier nommé, l'ancien sélectionneur des Espoirs, ne confirme pas, se contentant d'expliquer qu'il est «sur le marché» et qu'il connaît bien Louis Nicollin, le président du MHSC.

 

Henri Emile, bientôt retraité de la FFF, confirme pour sa part que son arrivée au club comme manager ou conseiller du président est «tout à fait possible vers le début de la saison prochaine». Rolland Courbis, qui a annoncé plusieurs fois cette saison qu'il arrêterait au terme de l'exercice, se dit prêt à aider. «Si on monte en L1 et que je peux donner un coup de main à René et Henri, si c'est bien eux, pour éviter de faire comme Le Havre cette saison je serai disponible...» Avant la 30e journée, vendredi, Montpellier est quatrième de la Ligue 2, à cinq points du podium.

 

francefootball.fr

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J'ai vu ça en live hier, elle a un accent à tomber quand même, en plus elle est super jolie et elle chante bien :wub:

"My greatest challenge was knocking Liverpool right off their fucking perch," Ferguson said. "And you can print that."

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Vaut mieux pas pour Etienne, le pauvre. Ca lui briserai le coeur de la voir partir avec moi.

"My greatest challenge was knocking Liverpool right off their fucking perch," Ferguson said. "And you can print that."

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:D:bj:

en plus avec le coeur brisé, il ne jouerait plus à son niveau pour le TFC et la fin de saison serait gâchée, pas d'Europe ni de titres à cause de toi, t'imagines ? tu serais banni de Toulouse, interdit de retour, plus de cassoulet (le drame), rien.

 

 

 

plus sérieusement, j'espère que c'est pas un poisson d'avril : Mathieu pourrait rester !!! :blink:

 

01/04/2009 15:58

Foot - L1 -Toulouse - Prolonger? Mathieu y pense

[Jérémy Mathieu réfléchit à l'idée de prolonger à Toulouse. (L'Equipe)]

 

Jérémy Mathieu devrait être prochainement fixé sur son avenir. Le milieu gauche arrive en fin de contrat avec Toulouse au mois de juin. Il avait promis qu'il annoncerait sa décision dans le courant du mois de mars. «Mais ça traîne un peu», nous a-t-il confié. L'ancien Sochalien a «encore besoin d'un peu de temps pour réfléchir». «J'attends de voir l'évolution du classement des clubs qui s'intéressent à moi. Je n'ai pas envie de me précipiter». Courtisé par le Genoa, Bordeaux et... le TFC qui aimerait le prolonger, le joueur s'accorde «un bon mois» pour se prononcer. «J'ai une échéance à tenir car les clubs aimeraient bien être fixés rapidement. En attendant, ils regardent d'autres joueurs au cas où...».

 

Alors qu'il avait affirmé vouloir à tout prix quitter Toulouse pour Bordeaux l'été dernier, Jérémy Mathieu ne se montre plus aussi catégorique. «L'an dernier, j'avais fait part de mon souhait de partir car je voulais franchir un palier, explique-t-il. Là, j'ai vraiment l'impression qu'il se passe quelque chose dans le groupe, que quelque chose a changé. Jusqu'au bout, on ne lâchera rien». Les exemples Gignac et Carrasso appelés en équipe de France lui donnent également matière à réflexion. «En étant à Toulouse, j'avais déjà été appelé en A'. Je sais que tout le monde est regardé à la loupe, mais c'est vrai que d'être dans un grand club, ça peut aider. Là, quand je vois ''Dédé'' et Cédric en Bleu, je me dis que c'est bien pour l'image du club. Ça fait réfléchir».

 

Le joueur de 25 ans assure que la perspective de jouer ou non la Ligue des champions ne sera pas déterminante dans son choix. «Jouer une Coupe d'Europe, ce serait déjà pas mal». Il se dit «prêt à tenter une aventure à l'étranger», mais pas à n'importe quelle condition. «Si c'est pour jouer dans un club équivalent à Toulouse, je ne vois pas trop l'intérêt. Au moins, ici, j'ai ma place dans le groupe». Il affirme par ailleurs ne pas avoir eu de nouvelles du Paris-SG que l'on disait, un temps intéressé, par ses services. «Moi, je n'ai jamais été en contact direct avec eux. C'est mon agent qui m'en avait parlé. Tout ce que je sais, c'est que leur intérêt est moins prononcé qu'un club comme Bordeaux, par exemple». - E. T.

 

l'Equipe.fr

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Si c'est un poisson d'avril, j'espère qu'il est de mauvais gout, on fait un poisson d'avril sur un départ pas une prolongation. ("Coucou, je reste marié avec toi ! Poisson d'avril !")

Mais en tout cas j'aimerais bien qu'il reste, c'est un des bons latéraux de L1.

 

Et j'ai un passe pour manger du cassoulet dans n'importe quel resto de Toulouse gratos.

"My greatest challenge was knocking Liverpool right off their fucking perch," Ferguson said. "And you can print that."

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Moussa Sissoko a marqué avec les espoirs, et Larsen a mis un autre but avec le Danemark, en deux matchs il a marqué 3 fois le bougre :D ce mec je me demande ce qui se passe : en sélection il marque à chaque fois au moins un but, mais à Toulouse il ne joue jamais, même pas remplaçant :cherche:

http://www.dailymotion.com/user/toulousefo...st&ajax_arg[0]=%2Fuser%2Ftoulousefootballclub&ajax_arg[1]=x8utea_ap-gignac-superstar_sport&ajax_rnd=1238691689851

 

dans une autre vidéo, Gignac qui dit à ses coéquipiers en revenant dans le vestiaire toulousain "j'ai pris mes marques pour la finale, on bat Guingamp et on va en finale" eh oui, on va la gagner cette Coupe :lol:

 

 

 

 

purée, M'Bengué s'est fait suspendre jusqu'à la fin de la saison :blink:

 

M'Bengue suspendu !

02/04/09 - 22:09 // Sanctions

 

Le latéral gauche toulousain Cheikh M'Bengue sera suspendu jusqu'à la fin de la saison. Il pourra cependant jouer face à Caen, car la sanction ne prend effet que dimanche soir.

Réunie cet après midi, la Commission de Discipline de la LFP a décidé de suspendre Cheikh M'Bengue jusqu'au 1er juin 2009. Cette décision intervient suite à une faute commise par le joueur sur le Monégasque Alonso, lors du dernier Monaco-TFC.

 

tfc.info

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Accueil du site > Articles > L1 - L’heure du Téfécé !

vendredi 3 avril 2009

 

Lyon, Marseille, ou Bordeaux, bien entendu. Le titre ira à l’un des trois. A Paris, à la rigueur. Ou à Lille et son fameux pentagone du milieu. Mais oui, mais non. Car tout l’indique, c’est Toulouse qui sera sacré. Et Zebda va se reformer.

 

Chaque jour, un signal est envoyé à la France, mais elle préfère encore s’aveugler plutôt que d’envisager la catastrophe annoncée. Non seulement, la famine va faire sa réapparition dans notre bon pays, vidé par une crise à durée indéterminée, mais le peuple va perdre son opium ou plutôt se voir refourguer de la camelote à la senteur de violette. Trop de signes qui ne trompent pas. Voyez plutôt.

 

Lundi, Gignac est déclaré apte au combat face à la Lituanie. Mardi, c’est Maria Paz, la compagne d’Etienne Didot, le régulateur-orientateur du jeu haut-garonnais, qui se qualifie pour la poule finale de la Nouvelle Star. Elle ne chante pas si bien que ça, mais peu importe, est-ce que le TFC se soucie de bien jouer au foot ?

 

A chaque page du calendrier, son Toulousain. Mercredi, Dédé Gignac donne la victoire aux Bleus, d’une superbe passe instantanée que Ribéry n’a plus qu’à pousser au fond des filets. Et jeudi ? C’est La Dépêche du Midi qui l’annonce : enseignants et chercheurs de la fac du Mirail décident de valider le second trimestre de tous les étudiants. Révolution rose. Décidément, tout sera donné aux Toulousains cette année.

 

Vous refusez toujours d’y croire ? Scrutez le calendrier du championnat. Lors des quatre prochaines journées, le TFC ne rencontre que des équipes plus ou moins menacées par le maintien : Caen, Nantes, Grenoble, puis Lorient. Certes, Toulouse brille davantage contre les gros que face aux modestes, comme son récent revers à Monaco l’indique. Mais depuis sa démonstration de force face au PSG, qui venait confirmer la fessée administrée aux Girondins de Bordeaux, la start-up d’Olivier Sadran a changé de dimension, comme en atteste la présence de deux de ses employés chez EDF. Bien évidemment, il en va de Toulouse comme du reste : tout est de la faute de Domenech.

 

En sélectionnant Carasso et Gignac, le Dom’ a extrait de leur terroir à la qualité de vie sympatoche - soleil et cassoulet - ces grands gaillards pour leur faire goûter à la cuisine des grands chefs. Anoblis dans le château de Clairefontaine, les deux essentielles extrémités de la réussite toulousaine savent désormais qu’ils peuvent tutoyer les étoiles, ne plus se contenter des seconds rôles.

 

Etienne Didot aussi. A mesure que les tours de Nouvelle Star vont passer, le chaînon intermédiaire de la colonne vertébrale toulousaine va voir les costumiers d’M6 transformer son étudiante sud-américaine mignonnette, adepte du pull en laine de gauche, en une bombe latine, prête à piétiner ses concurrents de ses talons aiguilles. En parfait compagnon, le Paimpolais accompagnera évidemment sa moitié dans son ambition. Le titre bordel !

 

Des ailes poussent dans le dos des Toulousains. Qu’ils fassent le plein ou presque lors des quatre prochains matchs et le Téf se trouvera alors en embuscade avant un sprint final où il pourrait coiffer sur le poteau tous ses concurrents qui s’entretueront.

 

Le 30 mai, son championnat s’achèvera à domicile avec la réception de… Lyon. Troublant. Quand l’échéance du match a été fixée, personne ne pouvait encore imaginer que la bande de Casanova pouvait conquérir autre chose qu’un peu de respectabilité après une saison désastreuse. Faire de ce dernier rendez-vous un match au sommet, pour le sacre, à l’instar du Lyon-Lens de 2002 (premier titre pour les écuries d’Aulas), voilà encore une perspective galvanisante, pour aller plus haut ou toucher les étoiles, comme dirait Lio.

 

Bordeaux, Paris et Marseille sont des rivaux de l’OL, Toulouse, en revanche, figurerait plutôt un héritier. Un club tiède, sans réel soutien populaire, sauf dans la victoire. Un club avec un maillot moche, très moche (rappelez-vous de l’OL époque « Justin Bridou »). Un club préservé de la folie par le manque de ferveur qui l’entoure. Un club qui voit loin en attendant patiemment que son heure arrive.

 

Toulouse champion, de quoi désespérer du football français. Car le Téf ne manque pas seulement d’aura ou d’âme, son style de jeu, si physique et ennuyeux, ferait presque regretter que Lyon ne fasse pas le grand huit. Voilà pourquoi un soir de défaite au Stadium, on verra JM Aulas, bras dessus bras dessous avec son disciple, Olivier Sadran, déclarer avec un vieux sourire chafouin que « Toulouse fait un beau champion ».

 

Thomas Goubin

So Foot

 

pourvu que ça soit prémonitoire :D ce qui est en gras c'est tellement vrai :ptdr:

 

 

 

 

 

03/04/2009 19:07

Foot - L1 - TFC - Carrasso : «Un mois charnière»

 

Après dix jours passés en Bleu, Cédric Carrasso s'apprête à vivre une fin de saison passionnante avec le TFC. «Elle ne le sera que si on arrive à passer correctement le mois d'avril», nuance le numéro trois dans la hiérarchie des gardiens de l'équipe de France. Toujours en lice en Coupe de France où une demi-finale l'attend contre Guigamp, le TFC est également à la lutte pour le titre, à seulement quatre points de l'Olympique lyonnais. L'ancien Marseillais ne se dit pas «pas surpris». Il vante les qualités d'un groupe «jeune et mâture», avant d'adresser quelques pensées au Rennais Jimmy Briand, gravement blessé dans un contact avec lui lors du rassemblement à Clairefontaine. «C'est une histoire qui m'a réveillé plus d'une nuit». Entretien.

 

«Cédric Carrasso, Toulouse ne compte que quatre points de retard sur Lyon à neuf journées de la fin. Vous prenez-vous à rêver ?

Non, pas à rêver. On attend d'abord de voir ce qui va se passer en avril. C'est un mois charnière qui va conditionner notre fin de Championnat. Pour beaucoup, le calendrier qui arrive nous est plutôt favorable, mais je ne suis pas d'accord avec ce terme. On va jouer contre des mal classés qui luttent pour leur survie. Ça ne sera pas évident. Il va falloir confirmer.

 

Depuis le début de la saison, personne à Toulouse n'a jamais annoncé un objectif clair et défini. Ça sera comme ça jusqu'au bout ?

A chacun son truc. Nous, on n'a jamais aimé trop se projeter. On prend match par match, tout en ayant conscience qu'on peut vivre une fin de saison extraordinaire. Ce qui est important d'ici là, c'est de ne pas commettre les mêmes erreurs qu'on a pu commettre par le passé. Quand je dis ça, je parle des points perdus en route comme à Monaco (2-3), par exemple. Si on veut jouer quelque chose jusqu'au bout, il faudra en lâcher un minimum.

 

Si en début de saison, on vous avait dit que Toulouse disputerait une demi-finale de Coupe de France contre Guingamp et serait toujours à la lutte pour le titre au mois d'avril, auriez-vous rigolé ?

Déjà, quand on voit les commentaires qui nous accompagnaient en début de saison, ça nous fait rire. Personne ne nous attendait là, mais si on y est, c'est qu'on ne l'a pas volé. En tout cas, nous, on savait qu'on en était capable. A l'intersaison, le groupe était jeune et en totale reconstruction. On s'attendait à des débuts difficiles, mais on savait que derrière, une fois qu'on serait lancé, on trouverait cette régularité. C'est elle qui fait qu'aujourd'hui, on est toujours dans le coup. A un moment donné, il faut arrêter d'être surpris. Le seul mot d'ordre, c'est de continuer ainsi, de garder le même état d'esprit.

 

«UN GROUPE JEUNE ET MÂTURE À LA FOIS»

 

Les débuts ont effectivement été difficiles avec une large défaite contre Lyon (0-3) lors de la 1ere journée...

Oui, mais c'est une claque qui nous a fait du bien. On sortait d'une bonne préparation où on avait livré des matches amicaux solides. Avec cette correction, on s'est rendu compte qu'on n'était peut-être pas si prêt que ça mentalement. Ça nous a servi pour la suite. C'est ce que je trouve extraordinaire avec ce groupe. Il est toujours à l'écoute de l'entraîneur, de ce qui se passe. Tous les jours, on se régale à travailler ensemble. Quoi qu'il arrive, on restera à notre image, on ne changera pas. On sent beaucoup de sérénité et de maturité.

 

Pourtant, vous disiez précédemment que ce groupe était «jeune». N'est-ce pas un peu paradoxal ?

C'est ça qui est bizarre, mais en même temps, ça s'explique. A Toulouse, chaque joueur a connu sa propre histoire. L'an dernier, les jeunes ont vu ce que c'était de galérer. Ceux qui sont arrivés cette saison ont également connu des difficultés dans leur club et ils sont revanchards. Tout ça est régulé avec brio par le staff. Toulouse, c'est avant tout un état d'esprit. On a également un style de jeu. On sait comment être bon.

 

Comme face à Bordeaux (3-0) et Paris (4-1), par exemple...

Gagner de cette manière, ça prouve qu'on a du potentiel, mais on n'a pas non plus le temps de s'asseoir et de savourer. On doit tout de suite se replonger dans le prochain match. Le plus important, c'est d'être capable de reproduire ce type de prestation.

 

«JIMMY, ÇA M'A RÉVEILLÉ PLUS D'UNE NUIT»

 

Avec André-Pierre Gignac, vous revenez de dix jours de rassemblement avec l'équipe de France. Cela peut-il rejaillir sur la dynamique du TFC ?

Moi je pense que oui. L'équipe de France, c'est dynamisant pour ceux qui y sont et pour ceux qui n'y sont pas. S'il y a des internationaux A, Espoirs et étrangers à Toulouse, ça prouve qu'on est observé. Tout le monde se dit que ce sera peut-être lui la prochaine fois. D'ailleurs, quand je suis parti avec «Dédé», tout le monde était vraiment content pour nous.

 

André-Pierre Gignac a crevé l'écran contre la Lituanie.

Oui, mais ce qu'on a vu au Stade de France, c'est lui. Il a été naturel. Il a fait beaucoup d'efforts, il s'est montré très présent devant le but. Moi, ça ne m'a pas étonné.

 

Et vous, ce poste de troisième gardien, comment le vivez-vous ?

Très bien. Je suis dans un groupe qui prépare une Coupe du monde. Que tu sois 1er, 2e ou 3e gardien, c'est la même chose pour tout le monde. En tout cas, moi, je le vois comme ça. Je me prépare toujours comme si j'allais jouer. Quand tu as les vingt-trois meilleurs joueurs français rassemblés autour de toi, de toute façon, tu n'as pas le choix. Chaque entraînement est comme un match... J'ai vraiment passé dix jours où je me suis régalé. Et puis, quand Steve (Mandanda) est performant comme ça a été le cas, on le prend aussi pour nous.

 

Un mot sur Jimmy Briand qui s'est malencontreusement blessé sur un contact avec vous.

Oui, ça m'a beaucoup affecté. Je l'ai encore eu tout à l'heure au téléphone. Je l'appelle régulièrement pour savoir comment il va. Honnêtement, c'est une histoire qui m'a réveillé plus d'une nuit à Clairefontaine. Blesser un copain, c'est vraiment difficile, surtout quand c'est aussi grave. Je le sais car je suis aussi passé par là... Quand tu te blesses et que tu entames ta rééducation, tu traverses quelques moments de doute. Je veux être là pour l'aider. Je regrette ce qui s'est passé, mais ce qui est fait est fait. C'est ce qu'il m'a fait comprendre. Moi, je ne serai soulagé que lorsque je l'aurai vu avec le sourire, sur un terrain de L1 en train de marquer des buts...»

 

Propos recueillis par Emery TAISNE

l'Equipe.fr

 

sympa ce qu'il dit pour Briand. sinon le reste de l'interview est excellent

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Lorsqu’ils débarquent cet été au PSG, Claude Makelele et Ludovic Giuly découvrent un effectif au moral dévasté par deux saisons de lutte contre la relégation. Si le premier se charge d’entrée de booster la confiance et l’ego du groupe, le second, lui, s’est occupé avec brio de l’ambiance. Car au delà de son indéniable talent de joueur de foot, Ludo est aussi un vrai joueur de vestiaire...

 

Hors terrain, c’est entendu, Giuly est un branleur certes, mais un branleur attachant. Le genre de type toujours relax, capable d’ambiancer vestiaire, conférences de presse, mises au vert, séances de dédicace, et autres parties de poker au fond du bus, avec la même désinvolture. Sur le pré par contre, c’est une tout autre affaire. Le lutin parisien est à des années lumières du touriste qui vient parfois pourrir les interviews de Sammy Traoré ou de Mamadou Sakho au Camp des Loges. Depuis les balbutiements de sa jeune carrière dans la capitale des Gaules, Lyon, jusqu’à ses récentes performance dans la capitale tout-court, il en a toujours fait deux fois plus que les autres.

 

Quoi de plus normal au fond, lorsque l’on se lance dans le foot avec un corps de Schtroumpf qui n’a jamais voulu dépasser le mètre soixante-cinq. Dès le départ, le handicap est profond. Qu’importe, ce que la génétique prend sur le physique, elle le rend parfois côté mental, et chez Ludovic c’est une histoire de famille. Sa folie, son abnégation, sa vista, sa grinta, tout comme ses petites jambes, font partie de l’héritage paternel. Des gènes corses transmis par Dominique Giuly, dit « Doumé », qui a, en son temps, réussit l’improbable exploit de signer une carrière longue de trente trois saisons dans le foot amateur, en tant que portier d’1m69 de haut... Une vraie source d’inspiration pour le fiston.

 

Dès les premières années au centre de formation lyonnais, dans sa ville natale, les vannes fusent, mais le petit Giuly est doué, s’accroche et réussit chaque année à s’imposer chez les jeunes pousses de l’OL. Il fait ses débuts avec le groupe pro à 19 ans face à l’AS Cannes, et devient très vite indispensable dans son rôle d’attaquant de poche sorti de nulle part et qui, dans un clignement de paupière, vous plante un pion décisif. En un peu plus de trois saisons dans le Rhône, Ludo est également devenu « Super-Souris » grâce à Pascal Olmeta, gardien de but de l’époque. Un surnom à la con, le premier d’une longue série... De « la mobylette » pour son passage à Monaco, à « Little Big Man » lors de sa présentation par le speaker du Parc des Princes, en passant par « le Vespa » à Rome, « le petit rat » ou encore « Astérix » au Barça, c’est d’abord balle aux pieds que « le lutin magique » a toujours su s’attirer la sympathie du public et des médias.

 

C’est donc avec cette même ligne de conduite qu’il décide d’attaquer son défi parisien. Malgré trente-deux printemps au compteur, Giuly entame la saison pied au plancher, avant d’être très vite rattrapé par une préparation physique légèrement tronquée. Pour ne rien arranger, il est dans un premier temps utilisé comme milieu droit par Paul le Guen, et doit donc s’acquitter de la charge défensive qui incombe à ce poste. Beaucoup trop lourd pour le numéro 7 parisien qui déserte alors son aile au profit de Stéphane Sessegnon, et s’en va graviter autour du géant Hoarau sur le front de l’attaque. Grâce à ce remaniement tactique effectué très tôt, le jeu parisien est autrement plus structuré, fluide et incisif. Ludo, lui, distille mieux ses percées, gagne en efficacité, et se paye même le luxe d’être à nouveau décisif. Au final, si son pari n’aboutit pas, que les Rouge et Bleu ne retrouvent pas l’Europe, cet éternel trublion aura au moins réussi un bel exploit : redonner le sourire au PSG. Pas une mince affaire en juillet dernier...

 

Source:So Foot

 

Article bien sympa...j'suis pas des plus objectifs, étant supporters de Paris, mais j'ai toujours aimé ce joueur, sur le terrain et surtout hors du terrain---un sens de l'humour digne de Mr. Elmaleh et une répartie à l"opposée de son camarade Rothen!!!

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De toute façon Giuly doit bénéficier d'un grand capital sympathie chez beaucoup de personnes, qu'elles supportent le PSG où autre. C'est un peu notre Ribery à nous cette saison :). Même Paga en prend pour son grade avec Ludo c'est dire le personnage :D .

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De toute façon Giuly doit bénéficier d'un grand capital sympathie chez beaucoup de personnes, qu'elles supportent le PSG où autre. C'est un peu notre Ribery à nous cette saison :). Même Paga en prend pour son grade avec Ludo c'est dire le personnage :D .

On aimerait tous qu'il ne vieillisse jamais lol on a besoin de ce genre de joueurs.

 

Belle victoire du PSG aujourd'hui au bout de 7 matchs de suite sans victoires contre nice dont 6 défaites, bravo luyindula pour sa magnifique passe inspirée dans la lignée de sa prestation contre les grands joueurs de la Lituanie

Modifié par ole.gunnar.solskjaer

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Niveau bourdes monumentales ( Csc et Passes décisives pour l'adversaire ), Paris doit être en tête sur ces 2 dernières saisons. Combien de but tout con on s'est pris, et combien de points on a perdu à cause de ça... :angry:. Dans le genre ridicule ya Ceara face à Caen qui se dribble lui même, j'ai bien aimé aussi Camara face à Toulouse cette année. Luyindula fait un super assist pour Remy aussi. Voilà mon best of :D .

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Invité axelou

Je ne sais pas du tout si Paris est capable du titre, le match contre Marseille à tout changé et depuis, les Marseillais eux sont en pleine bourre et eux seuls semblent en mesure de pouvoir faire tomber Lyon.

 

Je reste confiant mais scéptique tout de même.

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Aulas taclé par un journaliste

 

C’est pas souvent que ça arrive, le cas contraire étant nettement plus fréquent : Jean-Michel Aulas a essuyé un tacle glissé de la part d’un journaliste.

 

Après la victoire de Lyon au Mans 3-1 entachée par une décision arbitrale sujette à polémique (un pénalty accordé puis refusé aux Manceaux), Henri Legarda, le président du MUC 72, avait remis en cause l’intégrité morale de l’arbitre, accusé de « favoriser les gros ».

 

En conférence de presse, les journalistes locaux ont alors tenté de faire réagir le président lyonnais sur la polémique. Ce à quoi JM Aulas a répondu vivement, expliquant que « ça commençait à bien faire ».

 

Un journaliste local s’est alors adressé à sa majesté en lui lançant un cinglant « Vous êtes pitoyable ! ».

 

Toujours aucune nouvelle de ce dernier d’ailleurs...

 

sofoot.fr

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Aulas taclé par un journaliste

 

C’est pas souvent que ça arrive, le cas contraire étant nettement plus fréquent : Jean-Michel Aulas a essuyé un tacle glissé de la part d’un journaliste.

 

Après la victoire de Lyon au Mans 3-1 entachée par une décision arbitrale sujette à polémique (un pénalty accordé puis refusé aux Manceaux), Henri Legarda, le président du MUC 72, avait remis en cause l’intégrité morale de l’arbitre, accusé de « favoriser les gros ».

 

En conférence de presse, les journalistes locaux ont alors tenté de faire réagir le président lyonnais sur la polémique. Ce à quoi JM Aulas a répondu vivement, expliquant que « ça commençait à bien faire ».

 

Un journaliste local s’est alors adressé à sa majesté en lui lançant un cinglant « Vous êtes pitoyable ! ».

 

Toujours aucune nouvelle de ce dernier d’ailleurs...

 

sofoot.fr

Le journaliste est enterré par les émissaires de l'OL dans un champ lol ou alors ils vont ruiner sa famille

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Madame Didot éliminée ce soir ! (on s'en fou)

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"Le ballon c'est comme les femmes, il aime les caressses" Eric "The King" Cantona

 

La devise de Sir Alex Ferguson : "My way or the highway" en gros comprenez : C'est comme ça ou dégagez

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Qui c'est qui a cassé le c** de Montpellier !!!!!!!!!!!!!!!!!!!! :bj: :bj: :bj: :bj: et oui Nimes 2 - 1 Montpellier :bj: :bj: :bj: :bj:

 

Quel bonheur nous on se replace pour se sauver et on vient de tuer les derniers espoirs de Montpellier pour la montée en L1 ..................... bref que du bonheur !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

 

Allez on est sympas cette fois ci, vous êtes rentré en bus et pas à cheval !!!!!!!!!!!!!!!!!!!! :ptdr: :ptdr: :ptdr: :ptdr:

I AM A RED DEVIL AND PROUD OF IT !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

United forever

"Ces injections de speed dans le jeu mancunien agissent comme des décharges électriques sur le cortex de l'adversaire. Des coups violents qui sapent le moral, à force de courir dans le vide, avec la mort aux trousses. Parce que c'est bien connu, MU attaque en meute." SO FOOT 30/04/2009

 

Je voue un culte à Jiminy :bave:<----------- Ceci est un Hoax ... la réalité est que c'est Jiminy qui me voue un culte mais il l'assume pas :D

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très très belle victoire de nimes qui peut toujours éspérer rester en ligue 2, à la fin de la saison avec cette superbe victoire sur le quatrième, on sent un autre esprit dans cette phase retour chez cette équipe, ils ont aussi très bien recruter cette hiver, tous le monde les disait condamné mais les voilà de retour, a deux points du premier non relégable (Brest).

"tuer les derniers espoirs de montpelier" non pas encore ils sont a seulement 5 points de Lens et Strabourg qui s'affronte lundi et 6 de Metz il y a toujours un ptit espoir

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Nouvelles rassurantes pour Taiwo

le 17/04/2009 à 00:20

 

La blessure de Taye Taiwo, remplacé à la mi-temps par Bolo Zenden, n'est pas très grave. Le latéral gauche souffre d'une béquille à l’aine. Il sera laissé au repos pendant deux jours. "Il faudra voir" pour le prochain match a indiqué Erik Gerets. Mamadou Niang souffre, lui, d'un coup à la hanche.

 

 

lephoceen.fr

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Mathieu attendra la fin de saison avant de faire son choix

http://fr.fifa.com/worldfootball/clubfootb...attendre+saison

 

ça sent bon le renouvellement de contrat ça :bj:

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"Le ballon c'est comme les femmes, il aime les caressses" Eric "The King" Cantona

 

La devise de Sir Alex Ferguson : "My way or the highway" en gros comprenez : C'est comme ça ou dégagez

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Défaite a reins, meeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeerrrrrrrrrrrrddddeeeeeeeeee, avec cette victire on pouvait croire a la non relégation, sa va ere très très dur maintenant, mais il faut y croire !!!!!!!!!!!!!!!!

 

Pour ceux qui on vue la fin du match : FIGHT !!!

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