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Un film à me conseiller pour ce soir ? Peu importe le style, un chef d’œuvre. (L’idéal serait une comédie)

On peut dire que vous avez une vision socialiste du football ?

 

Arrigo Sacchi : J'ai une vision correcte d'un sport d'équipe dont l'âme est le jeu. Voilà d'ou je pars.

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Ouais, néanmoins, j'ai bien aimé la fin.

Le mystère est quand même vite cramé, mais ouais la fin amène certaines précisions plus surprenantes

 

Christian Bale porte le film à lui tout seul, quel acteur, mon préféré de la new school..

YES SIR!

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Le mystère est quand même vite cramé, mais ouais la fin amène certaines précisions plus surprenantes

 

Christian Bale porte le film à lui tout seul, quel acteur, mon préféré de la new school..

 

Effectivement. Mais bon, plus que le scénario, c'est surtout le jeu d'acteur de Bale quoi ! Le look que prend le mec pour ce film est juste hallucinant !

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Effectivement. Mais bon, plus que le scénario, c'est surtout le jeu d'acteur de Bale quoi ! Le look que prend le mec pour ce film est juste hallucinant !

Ouais un tueur ce type

 

Je te conseil "Rescue Dawn" avec lui, il sort encore une grosse prestation. En plus le type a le don de ne jouer que dans des bons films, j'ai quasi vu toute sa filmo et j'ai jamais vraiment été déçu... Je te conseil aussi "Equilbrium" une sorte de délire à la Matrix pour les combats croisés mélangé avec Le Meilleur des mondes et 1984 pour ce qui est du scénar... Egalement "The Fighter" que t'as surement vu, Bale de nouveau bluffant.

 

Un autre film où il porte encore le film à lui tout seul, Bad Times (Harsh Times), cette scène :

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YES SIR!

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Des amateurs de Van Sant ici ?

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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Un film très riche en effet, bourré de bonnes idées et de bons effets. Brad Pitt y est juste génial – à l'époque où il pouvait encore jouer un type pas super-badass.

 

Sinon je sais que tout le monde s'en fout mais SUNDANCE a commencé hier. Et déjà quelques vidéos sont dispos sur le site officiel. Et non, Queens Boulevard n'est pas au rendez-vous...

 

https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=Fvj7m47C__E

Modifié par Best_07

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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Le dernier Tarantino est simplement exceptionnel, il a tout les ingrédients pour passer un super moment, la BO est juste dingue aussi, mais LOL quoi le moment où la grosse instru de rap us débarque t'entends la grosse voix de Rick Ross j'ai pris une barre dans le cinéma

 

J'ai souvent peur que Tarantino plagie un peu son propre style, donc j'appréhende un peu avant d'aller voir un de ses nouveaux film, mais vraiment c'est réussi.

 

Bref à voir de toute urgence

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J'ai envie j'ai envie mais faudra attendre mardi

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"El tipo puede cambiar de todo. De cara, de casa, de familia, de novia, de religión, de dios. Pero hay una cosa que no puede cambiar Benjamín. No puede cambiar de pasión" - Sandoval

"Football is a whole skill to itself. A whole world. A whole universe to itself. Me love it because you have to be skillful to play it! Freedom! Football is freedom.” – Bob Marley

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J'ai apprécié aussi malgré le fait qu'il ne fut pas en VO.

 

Christoph Waltz en VF c'est un peu comme un porno asiatique tout flouté. On sent le génie, mais on ne peut pas le palper.

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Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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J'ai apprécié aussi malgré le fait qu'il ne fut pas en VO.

 

Acteurs remarquables, et je ne parle pas de la BO .. :wub:

Je l'ai vu en VO et vraiment Christoph Waltz et Samuel L. Jackson rien que pour eux la VO est obligatoire !

"Le pouvoir de l'homme s'est accru dans tous les domaines, excepté sur lui-même."

Churchill

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Sauf quand Nathanel Alimi assure le doublage de Christopher Mintz-Plasse. Quelqu'un a déjà vu SuperGrave en VF ? C'est dingue, beaucoup mieux que la VO.

C'est le cas pour pas mal de comédies américaines (à étendre potentiellement aux films d'animations).

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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Dans la VF de Inglorious Bastard, était-il doublé ? Parce qu'il est polyglotte et parle toute les langues entendues dans le film.

We're going Wild Wild Wild ! We're going Wild Wild Wild ! So come on David Moyes, play like Fergie's Boys !

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Le dernier Tarantino est simplement exceptionnel, il a tout les ingrédients pour passer un super moment, la BO est juste dingue aussi, mais LOL quoi le moment où la grosse instru de rap us débarque t'entends la grosse voix de Rick Ross j'ai pris une barre dans le cinéma

 

J'ai souvent peur que Tarantino plagie un peu son propre style, donc j'appréhende un peu avant d'aller voir un de ses nouveaux film, mais vraiment c'est réussi.

 

Bref à voir de toute urgence

 

tu peux m'expliquer please, j'ai vraiment pas capté cette phrase

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Petite promo d'un film que tout le monde se doit de voir...

 

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Depuis sa première projection à Park City l'an dernier, le film-évènement du festival de Sundance 2012 a parcouru beaucoup de chemin. De Cannes aux Oscars, où il parachèvera sa belle aventure en février prochain, il a provoqué l'unanimité chez tous les critiques de cinéma et, en décembre dernier, l'émoi des spectateurs français. Devant cette reconnaissance dithyrambique je ne pouvais pas rester insensible. De ce film au titre et à l'affiche sublimes, je ne savais pourtant pas grand chose. La seule information qui avait filtré jusqu'à mes oreilles était qu'une jeune actrice semblait y avoir épaté tout son monde. Logiquement nappé de mystères pré-visionnage, le film a, dès ses premières minutes, étouffé tout doute ou toute crainte, me laissant l'opportunité de pouvoir (enfin) connaître l'un des chocs visuels de la décennie.

 

Cela vient confirmer une tendance qui n'a plus besoin de l'être : Sundance est le paradis du cinéma. Son joyau le plus étincelant qui, en se fissurant sous la neige de l'Utah chaque hiver, donne lieu à des perles cinématographiques par dizaines. Parmi elles, toujours une se détache, plus rare encore que les autres. 2011 avait Bellflower, 2012 a eu Les Bêtes du sud sauvage. Un film qui remet en question notre manière de voir le cinéma et d'appréhender la vie. Un film qui, à travers les yeux d'une gamine et l'œil de la caméra, explore l'humanité en son essence la plus brute, et ce de la manière la plus sincère qui soit. Celui qui n'a pas vu, derrière cette mise en scène très malickienne, la réalité de la vie, de ses cycles et de ses fondements, n'a tout simplement pas assez ouvert les yeux.

 

En choisissant de poser sa caméra dans le Bayou, cette région marécageuse au sud de la Louisianne, Benh Zeitlin donne à son film une ambiance toute singulière, hors du temps et hors de l'espace. En effet, dans cette atmosphère quasiment post-apocalyptique (et aussi pré-historique), nous semblons totalement déconnectés du monde réel, de la société actuelle, ne gardant pour seul repère que ces quelques marginaux qui vivent au cœur d'une nature hostile, non pas comme des animaux, mais comme des Hommes originels. L'hostilité qui les entourent font d'eux des hommes forts, et de la petite Hushpuppy, la plus forte d'entre tous. Cette enfant de sept ans à peine vit seule avec un père aux enseignements féroces et à l'éducation difficile. Ce qu'il essaie d'inculquer à sa fille, c'est une prise de conscience de la dureté de la vie, et donc de l'obligation qu'elle a de mettre de côté toutes ses faiblesses, pour ne jamais se laisser submerger par ces dernières.

 

« Submerger » au cœur de ce bassin américain ce n'est pas un mot à prendre à la légère. Effectivement, cette ambiance post-apocalyptique dont je parlais va réellement voir le jour. Suite à une énorme tempête la région se retrouve dévastée et désertée. Ne reste au cœur des marécages, entre aurochs et alligators, que quelques survivants, derniers hommes déterminés à dompter la nature, à maîtriser l'hostilité, et à affirmer leur existence. Parmi eux, Hushpuppy et son père, évidemment. Ce dernier est cependant de plus en plus fragile, une blessure près du cœur semblant le ronger de manière progressive, le condamnant à une issue fatale. Cette gosse va donc se retrouver à lutter sur plusieurs fronts à la fois. D'abord contre la nature même, ensuite contre la maladie de son père, et enfin contre la société, celle qui se trouve de l'autre côté du bassin et qui essaie de les en faire sortir.

 

Une quête initiatique va alors commencer pour elle où, en devant affronter chaque situation, en ne pouvant se détourner de son destin, elle va incarner la persévérance de la vie, cette petite chose si éphémère mais si précieuse. Elle va apprendre – et finir par nous l'apprendre à nous – qu'il faut assumer sa place sur terre et faire en sorte qu'elle compte. Que nous ne sommes pas là pour fuir ou pour abandonner, mais au contraire pour garder en nous, constamment, l'abnégation propre à la rage de vivre, celle qui nous définit en tant qu'Hommes. Toujours à hauteur d'enfant, jamais perdue dans la facilité, la caméra vibre aussi fort que les personnages qu'elle dévoile. La réalisation n'a rien de pré-fabriquée et ne s'autorise aucune commodité. Elle accompagne la prise de conscience qui secoue Hushpuppy avec vigueur : mêlant les images les plus poétiques aux images les plus brutes. Car rien n'est plus poétique que la matière première, celle qui éclate devant nous, de sa force bestiale.

 

Une petite chose au sein d'un univers dense, c'est ce dont le film parle. De cette petite chose qui hurle et proclame sa légitimité, d'une voix puissante, qui pénètre l'horizon jusqu'à finir par se faire entendre de tous. Hushpuppy est la porteuse de cette voix, qui nous éblouit pendant toute la durée du film. En cette gamine, en son combat, on y croit éperdument, oubliant tout le reste pour ne se laisser prendre que par les images et les sons, plus percutants de minute en minute. C'est pourquoi, celui qui dira que sept ans c'est trop jeune pour jouer ou pour recevoir un prix, n'a rien compris à l'art. Dit-on d'un pianiste prodige à l'âge de six ans qu'il n'est pas encore pianiste car il doit attendre une quelconque majorité pour pouvoir l'être ? Non. Être acteur – en l'occurrence actrice – ce n'est pas un métier. La seule vérité qui compte est donc la suivante : quand tu es assez doué tu es assez âgé. Et dans le cas présent, le terme « doué » ne conviendrait même pas tant la jeune Quvenzhané Wallis évolue à des strates bien plus élevées.

 

Que dire alors de Benh Zeitlin, le génie à l'origine de ce projet ? Certainement que s'il ne décroche pas l'Oscar le mois prochain c'est que les votants n'ont rien compris. Son premier film est un colosse, certaines scènes font état d'une telle virtuosité qu'elles mériteraient déjà leur place au panthéon du cinéma. Quand un auroch se retrouve face à face avec Hushpuppy, l'intensité qui résonne en nous est de celles qui marquent pour une vie un spectateur ; de celles que certains grands réalisateurs, dans toute leur carrière, n'arriveront jamais à filmer. De celles qui font prendre conscience qu'un maître est né, et que ce maître répond du nom de Zeitlin, dont on attend le prochain film comme une femme attend son premier bébé. Comme quoi, le cycle de la vie, on n'en sort jamais, et Benh l'a compris et nous le fait comprendre, à travers ce film qui ne ressemble à aucun autre et auquel aucun autre ne peut ressembler.

 

Il n'y a plus qu'à dire bravo, je crois...

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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Dans la VF de Inglorious Bastard, était-il doublé ? Parce qu'il est polyglotte et parle toute les langues entendues dans le film.

 

Non ;)

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