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Actualités des sélections nationales


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Menez qui critique Marc Wilmots et les Diables Rouges

http://www.sudinfo.be/1041148/article/2014-06-26/pierre-menes-remet-une-couche-wilmots-je-me-souviens-d-un-mec-super-pretentieux

Regardes un peu tes Francais avant de parler, tête de noeuds...
Les Francais gagne 5-2 contre la suisse et hop ca y est, les joueurs ,l'entraineur, les supportes clament : "On peut gagner la coupe du monde"

Et ca viens dire que les Belges sont des prétentieux tssss

Come on Nigeria :)

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Invité Skynet

Je mets mon avatar en jeu, je suis sûr que si Bento ne démissionne pas de lui même (la manière classe) il se fera viré. Y'a des signes qui trompent pas !

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Big les déclarations de Bento nous laisse penser qu'il va rester! Ça sent la cacahuète! Je suis un mec qui prône la stabilité mais après un tel couac un sélectionneur ne peut pas rester en poste c'est pas possible!

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"El tipo puede cambiar de todo. De cara, de casa, de familia, de novia, de religión, de dios. Pero hay una cosa que no puede cambiar Benjamín. No puede cambiar de pasión" - Sandoval

"Football is a whole skill to itself. A whole world. A whole universe to itself. Me love it because you have to be skillful to play it! Freedom! Football is freedom.” – Bob Marley

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Didier Deschamps a donné à chacun de ces joueurs une copie de l'autobiographie de Sir Alex Ferguson dans le but de les motiver.

 

http://www.dailymail.co.uk/sport/worldcup2014/article-2670582/Didier-Deschamps-gave-Sir-Alex-Fergusons-book-France-squad-motivation.html

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Invité Skynet

Je connaissais pas, et pour une fois que eurosport fait qqch de bien. je vous poste ca

 

Dans l'histoire du football brésilien, il y a eu Pelé, Garrincha… et Mario Americo
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Par Laurent Vergne
Dans cet article
Dernière mise à jour Il y a 5 heures - Publié le le 27/06/2014 à 03:17
Du Maracanazo au Tricampeão, cet homme a tout connu avec la Seleçao. Membre incontournable de l'équipe du Brésil de 1950 à 1974, Mario Americo en a été le masseur. Mais il était bien plus que cela…

C'est le seul Brésilien à avoir disputé six Coupes du monde consécutives. Pas n'importe lesquelles. Il a vécu l'âge d'or de la Seleçao. Celle de Pelé et de Garrincha. Il a aussi connu l'avant. Le juste avant. Et le juste après. Pourtant, il n'a jamais mis un but. A vrai dire, il n'a même jamais joué une seule minute. Et il n'était pas davantage sélectionneur ou technicien. Non, Mario Americo n'a rien fait de ceci et il n'était rien de cela. Il est pourtant une légende. Un personnage incontournable du quart de siècle le plus riche de l'histoire du football brésilien. Du Mondial 1950 au Mondial 1974, il fut le masseur de la Seleçao. Le confident des stars, aussi.

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La sélection du brésil avec le kiné Mario Americo - DR

Né en 1912 dans le Minas Gerais, Mario Americo a consacré trente-huit ans de sa vie au football. Les stars le comprenaient, l'écoutaient et, surtout, lui parlaient. Il partageait avec les géants du football brésilien un même parcours, de la pauvreté à la réussite sociale, eux par le football, lui par un autre biais. Quoi que. Orphelin de père, le petit Mario s'est fait tout seul. La légende dit qu'il est venu jusqu'à Sao Paulo tout seul, à l'âge de 8 ans. Cireur de chaussures, mécanicien, percussionniste, "Mario Negrinho", comme l'appelle tout le monde, a tout fait. Sa vie bascule une première fois lorsqu'il se lance dans la boxe, après avoir quitté Sao Paulo pour Rio. Il a alors 20 ans. Mais après un méchant K.-O., Americo doit se soigner, longtemps. C'est là qu'il fait la rencontre qui changera sa vie : Almir Do Amaral est médecin au Madureira Sport Club. Il l'initie aux techniques de soins et lui présente Giovanni, le masseur du club. Ce dernier est sur le point de partir à la retraite. Il propose à Americo de le former pour qu'il lui succède. Mario dévore tous les livres qu'il peut trouver. Voilà pour la théorie. Giovanni se charge de la pratique.

Masseur, physio… et guérisseur ?

Voilà comment, en 1937, Mario Americo entame alors la période la plus riche de toute sa vie via cette nouvelle profession qu'il n'aurait sans doute jamais envisagée. A Madureira, il partage d'abord son nouveau job avec sa carrière de boxeur, avant de franchir définitivement le pas en 1942 en raccrochant les gants. C'est alors au Vasco de Gama qu'il va officier, avec l'entraîneur Flavio Costa, qui l'emmènera avec lui en équipe nationale lorsqu'il en deviendra le sélectionneur. C'est le fameux Maracanazo, en 1950. La première page d'histoire qu'Americo vit de l'intérieur. Il devient d'emblée une figure. Grand, musclé, charismatique, il est un membre à part entière de l'équipe. Son rôle déborde vite du simple cadre du massage. On l'appelle "pigeon", parce que c'est à lui que Flavio Costa demande de passer les dernières consignes sous la pelouse, prétextant une intervention "médicale".

Ses interventions deviennent à elles seules un évènement. Le public et les journalistes attendent le moment où Americo va débouler sur la pelouse. Il a avec lui deux accessoires qui feront sa légende : un seau d'eau et une ceinture de cuir, objet de tous les fantasmes, dans laquelle il range ses propres mixtures à base de plantes qu'il cueille lui-même, souvent mélangées avec du miel. Les joueurs, novices ou indéboulonnables, avalent ça sans broncher. On ne contredit pas Mario, dont certains sont convaincus qu'il possède des pouvoirs de guérisseur. On dit de lui qu'il "parle aux blessures". Dieter Hochmuth est un célèbre physiothérapeute du sport allemand. Americo fut son idole et il l'a rencontré à ses débuts, une fois celui-ci à la retraite. "Il y a une grande part de psychologie, explique-t-il. Le patient doit absolument être persuadé que ce que vous allez faire est ce qu'il y a de meilleur pour lui. Ça ne suffit pas à guérir, mais ça aide à la guérison. Or, Mario, les gens le croyaient à 200%."

" Ne t'en fais pas gamin, laisse faire papa"

Parfois, il ne pourra pas faire de miracles, comme avec Pelé en 1962 ou 1966. Mais au-delà de la force de conviction, plus qu'un masseur, Americo a été un des premiers physiothérapeutes modernes du sport. Une légende dans le métier. Son autre marque de fabrique, c'est sa façon d'évacuer les joueurs lui-même quand ils sont blessés. A une main, il les embarque sur son épaule, façon sac de pomme de terre. Là encore, tout le monde y passera, même Pelé. Pelé, justement. Mario Americo a vécu les quatre Coupes du monde de O Rei. L'éclosion du bébé star, la consécration, les blessures, le retour au sommet jusqu'à l'extase de 1970. Pelé a raconté la toute première fois qu'il a eu affaire à Americo en équipe du Brésil. C'était au printemps 1958. Le gamin de 17 ans vient d'apprendre qu'il est retenu pour le Mondial en Suède. Une évidence, avec le recul du temps. Pas forcément à l'époque. Beaucoup ne comprennent pas que Pelé, si jeune, puisse être retenu à la place de Luisinho, l'attaquant des Corinthians.

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Pele porté en triomphe lors de la Coupe du monde 1970 avec le Brésil - Panoramic

Juste avant de s'envoler pour l'Europe, le Brésil dispute un dernier match, précisément contre l'équipe de Sao Paulo. Pelé marque mais, surtout, se blesse. Touché au genou, il sort, en larmes. Il pense que le Mondial, c'est fini pour lui. Mario Americo le prend en charge et le rassure : "Ne t'en fais pas gamin, laisse faire papa. Je vais te remettre sur pied et tu chasseras à nouveau les filles en un rien de temps." La blessure, finalement sans gravité, n'empêchera pas Pelé, comme on le sait, de se glisser dans l'avion pour la Suède et d'y devenir la star que l'on sait. "Depuis ce jour, raconte O Rei, j'ai toujours écouté ce que disait Mario sans jamais le contredire." Après le drame du Maracanazo, Americo vit le premier triomphe brésilien. Deux autres suivent, en 1962 et 1970. Membre à part entière du Tri Campeao, Americo pose à chaque fois sur la photo officielle. Il y a les onze titulaires et lui. Ce sera le cas jusqu'en 1974, lors de son dernier Mondial.

Le Brésil lui doit les ballons des finales 1958 et 1962

C'est aussi à lui que le Brésil doit deux trésors exposés au Musée du football: les ballons des finales 1958 et 1962. Au coup de sifflet final de la victoire contre la Suède, en 1958, alors que tout le monde se congratule, Americo se rue sur l'arbitre, le Français Maurice Gigue, qui a enfoui le ballon sous son bras. D'une pichenette, il lui subtilise et se réfugie aux vestiaires. Deux membres de la FIFA tenteront de le récupérer mais Americo l'avait déjà rangé dans un sac de linge sale avant de s'éclipser. Il refera exactement le même coup en 1962 après la finale contre la Tchécoslovaquie, à Santiago.

"Oncle Mario", comme l'appelaient affectueusement les joueurs, n'a jamais été remplacé. Il est devenu une sorte de mythe, au Brésil comme dans son milieu. Retiré du football en 1976, il fera de la pub, tournera dans un film avec Garrincha, commercialisera des crèmes de massage à son nom et deviendra même député de l'Etat de Sao Paulo. Après avoir vécu ces mille vies, Mario Americo meurt en 1990, à Sao Paulo. On disait de lui qu'il était le meilleur second rôle de l'histoire de la Seleçao. C'est sans doute trop restrictif. "Il y a eu Pelé, il y a eu Garrincha et il y a eu Mario Americo", a estimé Mario Zagallo. Pelé, quand on lui dit qu'il est le seul à avoir dans l'histoire à avoir remporté trois fois la Coupe du monde, aime à rappeler qu'Americo, lui aussi, possède un palmarès inégalable, à l'image de sa personnalité.

  • Alors que la Coupe du monde revient au Brésil pour la première fois depuis 1950, année de son premier Mondial, le Musée du football de Sao Paulo a décidé de lui consacrer une exposition.
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Jose Mourinho: 'I want to be England manager'

http://www.itv.com/news/london/story/2014-06-19/jose-mourinho/

 

Euh.. ?

 

 

On peut dire que vous avez une vision socialiste du football ?

 

Arrigo Sacchi : J'ai une vision correcte d'un sport d'équipe dont l'âme est le jeu. Voilà d'ou je pars.

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De toutes façons Bunny, tu as 25 ans et on connait tous les deux les deux "nations" montantes du football avec les USA et le Japon evidemment. Le japon lors de son premier match a fait une des plus grosses audiences au monde.

Quand tu vois qu'on privilégie la formation "technique-vivacité" au Japon (les joueurs tres jeunes que j'ai vu en selection sont tous de ce type), il faut encore beaucoup de boulot et beaucoup moins de naiveté de la part des japonais, mais je crois que t'es parti pour vivre une belle histoire avec le Japon au foot

 

Le soccer se mondialise vraiment maintenant que les usa sont touchés (ça a d'ailleurs fait un mini buzz dans les universités, avec obama etc)

Chacun veut progresser, t'auras moins de vide apres une generation dorée je pense

 

En attendant, le plus grand joueur asiatique est et reste notre Park :).

Justement, quand je vois que la génération dorée du football japonais se casse la gueule minablement au mondial, ça m'inquiète un peu pour l'avenir proche. Genre, les 5-6 prochaines années quoi. Surtout que les jeunes qui arrivent sont très tendres. A part quelques uns, je ne vois pas l'émergence d'un nouvel Honda ou Kagawa.

 

Le Japon réussit chez les jeunes avec un jeu vraiment spectaculaire, mais tu te rends compte que quelques années plus tard, il y a très peu d'individualités qui flambent au très haut niveau. Je vais te prendre un exemple qui va te parler : en 2011, il y avait une Coupe du monde U17 où le Japon a fait 1-1 contre la France. Et je peux te dire que ce jour-là, le Japon les avait baladés, mais vraiment. Sauf que dans cette équipe de France, il y avait un certain Aymeric Laporte, qui maintenant réussit au plus haut niveau. Je pourrais même parler de Kurt Zouma, bien que je n'aime pas son style.

 

Côté Japon, on attend toujours que les joueurs de cette génération se révèlent. Il y a Minamino (19 ans) qui est vraiment très bon (j'en ai souvent parlé d'ailleurs, notamment pour son but contre United, en amical). Mais voilà, même si je l'adore, je sais bien qu'à part en J-League, il n'a encore rien prouvé au haut niveau. Pas en Europe (il devrait y aller bientôt, je pense...).

J'espère que les jeunes japonais sont juste moins précoces que la moyenne (ça peut s'expliquer par le physique) et exploseront plus tard, mais pour l'instant, je ne suis pas rassurée par ce que je vois. Je préférerais moins épater la galerie avec le beau jeu en U17, et sortir 2 ou 3 très bons joueurs à chaque génération. Parce que là, le côté individuel est de plus en plus délaissé je trouve, et c'est ça qui me fait peur.

 

Encore une fois, je parle de l'avenir proche du Japon. Seulement de ça. Car je sais bien que dans les décennies futures, le Japon est voué à devenir une puissance du foot mondial. Ca a même fait l'objet d'études très sérieuses comme par exemple dans ce bouquin dont j'avais déjà posté le lien sur ce forum : http://www.amazon.fr/Soccernomics-Australia-Turkey-Iraq-Are-Destined/dp/1568587015

 

Ils y parlent des USA aussi. Mais je me rends compte que ce pays a de l'avance sur le Japon. Pas au niveau du talent, mais en terme de mental (encore que, le mental ça fait aussi partie du talent je trouve ; par ailleurs, même si ça peut sembler bizarre, les USA ont une culture football bien plus ancienne que le Japon, ça fait bien plus longtemps qu'ils jouent la CDM). La gestion de l'événement côté américain a été 1 000 fois meilleure cette année. Quand je vois le Japon qui bat 3-1 le Costa Rica juste avant le mondial (le 2 juin quoi !!!), et quand je vois les performances de l'une et de l'autre équipe au final, ça donne matière à hurler, même si ce n'était qu'un amical...

 

Le Japon a eu la trouille au mondial, et l'a payé très cher. Kagawa est celui qui l'illustre le mieux, hélas. D'ailleurs, après ce fiasco, je ne sais pas dans quel état il va nous revenir, celui-là. Je suis plutôt pessimiste quant à sa réussite à MU. Van Gaal le mettra dans de bonnes conditions, mais au bout d'un moment si le mec a peur, il n'y pourra rien. Vous vous rendez compte que le sélectionneur du Japon l'a mis sur le banc pour la Coupe du monde, tellement il était tétanisé ? C'est assez dingue tout de même.

 

Cette équipe était, et est toujours la meilleure de l'histoire du foot japonais, mais contrairement à ses homologues de 2002 et 2010 qui avaient atteint les 1/8èmes de finale, elle n'avait pas d'âme. Alors peut-être que le joueur japonais de base manque de caractère, mais c'est aussi à l'entraîneur d'insuffler le mental, la grinta qu'il manque à ses joueurs. On en revient à ce qu'on a dit sur le rôle du coach toute la saison avec Moyes. Zaccheroni a vraiment fait progresser le Japon au niveau du jeu (d'ailleurs j'espère que son successeur ne bafouera pas ce bel héritage), on l'a tous vu à plusieurs reprises, mais il n'avait pas le tempérament pour bouger ses joueurs lorsque c'était nécessaire, en cas de grosses difficultés. Le Japon a vraiment besoin d'un coach sanguin, avec de la poigne.

 

La fédération est vraiment proche de signer Aguirre. Vous en pensez quoi ? Je vois beaucoup de gens qui ne sont pas emballés, qui voient en lui un simple pompier, qui n'a pas été capable de faire véritablement passer un cap à ses équipes. D'ailleurs, il était très critiqué au Mexique, en 2010. J'ai du mal à me faire un avis.

 

J'espère juste qu'il gardera l'héritage de Zaccheroni, tout en faisant profiter le groupe de son caractère. Parce qu'il m'a l'air d'en avoir. Déjà, rien qu'en ayant traité Valbuena de FDP... Enfin bref. Mais je m'inquiète un peu pour l'avenir.

 

Mais bon, quand je vois le Costa Rica, la Grèce ou l'Algérie, je me dis qu'il n'y a pas forcément besoin d'avoir des joueurs dans les plus grands clubs pour faire bonne figure et aller en 1/8èmes (bon, je le savais déjà). C'est aussi une histoire de coeur, de force collective, de détermination et de courage. Alors j'espère que, même une génération moins talentueuse (mais avec des cojones), le Japon atteindra de nouveau les demi-finales en 2018. Aguirre, l'homme de la situation ? ^_^

Sinon, Junya Tanaka a signé au Sporting, ça y est :
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Avec une clause de départ de 60 millions :D Bon, s'il réussit là-bas, il aura de bonnes chances d'aller en EN, alors souhaitons-lui le succès. Il a déjà 27 ans par contre.
Modifié par Bunny-Tsukino
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Man watching this Colombian game I think I have my fav player in the world cup! Obviously his name help that out #Biased #10 #James #WC2014






on voit que les USA c'est entrain de changer. bientôt ils vont être dans le top mondial foot

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Interview tactique intéressante de Matuidi aujourd'hui dans l’Équipe. Si vous avez l'occasion de la lire, n’hésitez pas.

Modifié par Gray

On peut dire que vous avez une vision socialiste du football ?

 

Arrigo Sacchi : J'ai une vision correcte d'un sport d'équipe dont l'âme est le jeu. Voilà d'ou je pars.

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Tactique totalement bidon durant les 60 premières minutes du match.

Benzema sur le coté qui ne sait pas couvrir, Giroud en pointe qui ne sait pas prendre la profondeur. Donc une animation offensive totalement inutile. Les défenseurs, notamment Varane a du trouver des passes qui traversaient 2 lignes, et encore avec Giroud c'est difficile de jouer au sol. Je n'ai pas du tout compris sa titularisation, même Benzema à qui ce n'est pas la qualité première a un meilleur jeu dos au but de Giroud. Et lui il sait prendre la profondeur. Bref si tu ne relances pas très long en l'air, Giroud ne sert à rien, surtout avec des milieux qui se projettent si peu, ou si mal (Matuidi).

La rentrée de Griezmann, et le replacement de Benzema ont tout changés dans le jeu. Beaucoup plus de percussion, moins d'approximations technique, plus de profondeur. Bref du meilleur football.

J'espère que Deschamps aura retenu la leçon.


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A la limite il est professionnel. Il fait ses recherches, en général il sait comment prononcer le nom des joueurs contrairement à la plupart. Ecoutez be.in durant la saison vous comprendrez. Après certes ses anecdotes sont trop souvent foireuses mais en vérité c'est loin d'être le pire. Quand on rencontre des équipes inconnues, repasser l'historique du joueur moi ça me plait bien par exemple.

Après ce n'est pas un consultant et de toutes façons de ce point de vue là, même Wenger ne me fait pas kiffer. Denoueix a malheureusement disparu.

 

Lizarazu me saoule plus en fait au final. Lui il se prend pour je ne sais qui et balance des banalités. Alors je veux bien qu'il faille s'adapter au grand public mais parfois c'est même merdique.

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Le parti politique est l'opium du peuple

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On l'a déjà interrogé là dessus parce qu'il se fait vraiment troller à chaque fois. Le mec y'a pas à dire, il s'en prend pleins la gueule, alors soit le salaire est attractif, soit il kiffe commenter les matchs de l'edf. Parce qu'il sait qu'il en prend plein la gueule.

Il disait que parler foot sce n'est pas son "métier", il laisse ça aux pros : arsene et Liza. Qui le font pas. Arsène vient scouter ou se faire du fric facile (parce que les interventions sont evidemment remunérées en france) et ne parle pas beaucoup. Ce qu'il dit n'est pas le plus pertinent, on en attend plus d'un coach, même si c'est mieux que fut un temps. Quant à Liza à part des interventions enfantines, on se demande ce qu'il fait là. Il a la gueule, la voix, mais tactiquement on en attend plus. ON veut découvrir qqch on n' arien...

 

 

CJP dit que lui veut apporter une plus value à sa façon, et ça passe par la préparation de fiches qui doivent lui prendre un sacré temps. C'est pas un flemmard qui met les pieds sous la table quoi.
Après moi j'te dis ça manque de passion CJP malheureusement, et il est souvent maladroit. Genre quand il se moque de Julio Cesar alors qu'il n'a pas suivi sa saison, ça ce genre de trucs faut éviter.

Son intervention là dans la vidéo, c'est là que je me suis dit p'tet que notre cjp il la vit cette cdm. C'est pas moi qui vais me moquer de qqun qui bagaye ou qui cherche un peu ses mots

 

 

Après faut avouer que c'est pas le mec le plus compétent loin de là. Et faut de la competence un peu qd meme...

Modifié par Skynet
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Quand on parle du loup, regardez ce que j'ai trouvé dans les commentaires SoFoot, tout simplement magique ! http://www.imabox.fr/a3/142406311GDZsWp21.swf

 

Sinon je trouve qu'il s'est amélioré le CJP. Auparavant je ne pouvais vraiment pas le voir, et puis c'est justement le fait qu'il sorte de ces énormités parfois, ou des ptites anecdotes à la noix qui me font marrer car on en a rien à foutre aha. Enfin bref, je trouve qu'il n'a pas la culture de Gilardi évidemment mais qu'il bosse, fait son taf et au final comme l'a dit Sky, c'est le meilleur des 3, ce qui est vraiment aberrant.

 

Lorsqu'on compare le niveau avec les mecs de la BBC c'est le jour et la nuit quand même.

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Quand on parle du loup, regardez ce que j'ai trouvé dans les commentaires SoFoot, tout simplement magique ! http://www.imabox.fr/a3/142406311GDZsWp21.swf

 

Sinon je trouve qu'il s'est amélioré le CJP. Auparavant je ne pouvais vraiment pas le voir, et puis c'est justement le fait qu'il sorte de ces énormités parfois, ou des ptites anecdotes à la noix qui me font marrer car on en a rien à foutre aha. Enfin bref, je trouve qu'il n'a pas la culture de Gilardi évidemment mais qu'il bosse, fait son taf et au final comme l'a dit Sky, c'est le meilleur des 3, ce qui est vraiment aberrant.

 

Lorsqu'on compare le niveau avec les mecs de la BBC c'est le jour et la nuit quand même.

 

Quand il dit des phrases genre " Bonjour, je suis champion d'Angleterre, j'ai ma place dans la seleçao " c'est infernal, je préfère écouter Patrick Bruel 6 heure de suite que de supporter ça.

 

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