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David Moyes


BigManUtd

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Moyes n'est plus à United, ça fait déjà des jours que la nouvelle est tombée, et je suis toujours aussi content. Pour moi on a frolé la catastrophe, il y a certaines choses que je ne voulais absolument pas qui allait arriver (notamment certains transferts mais pas que evidemment).
Je prends un plaisir immense à lire ce topic chaque jour depuis son éviction, parec que quoiqu'on dise, il n'est plus là :).

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La patience, c'est de garder Rodgers malgré un début de saison compliqué. Et virer Moyes au bout de 34 journées, c'est aussi de la patience, mais ce ne sera jamais de l'impatience. La patience a ses limites et si nous l'avions garder plus longtemps, nous les aurions franchies. Il faut arrêter de croire que la patience dure plusieurs années. La patience dure quelques mois et se renouvelle continuellement. Au-delà, on tombe dans l'aveuglement, dans la bêtise pure et simple.

Modifié par SK-2peer

 

 

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Moi je vois un Jiminy qui s'exprime en mode Juste sur ses déclarations, c'est feutré

Non mais surtout, c'est que Jim a eu cette discussion avec moi avant même la nomination de Moyes, et il était clairement contre le fait qu'il vienne à United. Je pense que sur le forum à un moment ou un autre, et même en apportant du soutien à Moyes, ses choix, idées, communication ont tous été discutés et par tous les membres(peut être pas avec la même virulence). Même toi OGS qui lui apportait grand soutien, tu trouvais qu'il faisait un mauvais travail avec pour aboutissement ton envie de le voir finalement se barrer.

On peut dire des choses mais pas en inventer Gray. J'ai déjà lu Jiminy critiquer Moyes sur ses choix ou autres, tout comme tonton et Moustik qui l'ont ardemment défendu jusqu'au bout, seulement ils ont surtout mis en évidence certaines carences de l'équipe et surtout le manque de professionnalisme de la part de certains joueurs et donc c'est ce qu'on retiens le plus.

Je ne prends pas parti, mais Jim à eu cette conversation avec moi, il ne voulait pas de Moyes ici, ça c'est un fait bien réel. Suffit d'aller vérifier ;)

Modifié par babyf@ce
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L'Angleterre a perdu ses bonnes manières avec ses entraîneurs

Par Philippe AUCLAIR le 25/04/2014 à 09:43, mis à jour le 25/04/2014 à 09:54
La gestion de l'éviction de David Moyes (MU) découle, pour Philippe Auclair, des nouveaux organigrammes des clubs anglais, gérés par des investisseurs étrangers.
Œ

1224228-25630517-640-360.jpgPanoramic

Perdre son emploi, quoi de plus normal quand on est manager? Le 13 décembre dernier, le site sportingintelligence.com, ayant pris soin d’écarter le paramètre Wenger de son équation, avait évalué la longévité moyenne d’un entraîneur de Premier League à 379 jours. Quatre d’entre eux étaient déjà tombés à cette date, après seize matchs de championnat. Par ordre de disparition des écrans: Paolo Di Canio, Ian Holloway, Martin Jol et Steve Clarke. Six autres les ont rejoints sur le bord de la route depuis: André Villas-Boas, Malky McKay, Michael Laudrup, Rene Meulensteen, Chris Hughton et, last but not least, David Moyes. Une hécatombe dans un football qu’on avait longtemps présenté comme un modèle de stabilité comparé au manège emballé de la Liga et, en particulier, de la Serie A, où un ogre nommé Massimo Cellino – président de Cagliari - a déjà dévoré trente-cinq victimes en l’espace de vingt-deux années; en 2010, l’espérance de vie d’un manager de club de Premiership était encore de 1263 jours. O tempora, o mores.

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Dans ce contexte, que David Moyes n’ait duré que dix mois après avoir hérité d’un job que beaucoup jugeaient impossible avant même que Sir Alex annonce sa retraite il y a aura bientôt un an, n’est pas une surprise, même si le timing de son limogeage en constituait une, et si la manière dont les dirigeants de United se sont conduits à cette occasion a de quoi choquer, ce sur quoi je reviendrai. Si vous lisez régulièrement cette chronique, vous vous souviendrez sans doute que j’avais plusieurs fois plaidé en faveur de l’ancien manager d’Everton. Si on lui avait donné un contrat de six ans, n’était-ce pas précisément parce qu’on se rendait compte de la taille du chantier dans lequel il débarquait, et qu’on savait qu’il faudrait du temps, beaucoup de temps pour mener à bien la reconstruction d’un club soudain amputé de son grand architecte? J’avais "défendu" Moyes par estime envers un homme d’une intégrité sans faille, par respect envers un technicien qui avait, par trois fois, été élu "entraîneur de l’année" par ses pairs alors que ses rivaux pour cette distinction s’appellaient Ferguson, Wenger, Mourinho et Benitez, mais aussi, je l’avoue, parce que je trouvais insupportables les jugements à l’emporte-pièce qui accompagnaient immanquablement chaque trébuchement d’une équipe déséquilibrée. Moyes est nul, Moyes est un dinosaure, Moyes est un anti-tacticien, j’en passe, et pas des meilleures.

Ranieri était le "mort qui marche"

Mais cela, c’est le passé. Libre à chacun d’avoir son opinion sur la validité de la décision des Glazer. Le débat n’est pas clos, et ne le sera jamais – puisque Moyes n’aura pas pu aller au bout de son projet. Ce qui mérite davantage commentaire à mes yeux est le processus qui a mené à la scène qui s’est déroulée mardi dernier au centre d’entraînement de Carrington, et la façon dont il illustre la mutation accélérée d’un football coupé de ses racines. A 7h40, David Moyes, qui était arrivé à son bureau deux heures et demie plus tôt, s’est vu signifier que le club avait choisi de se dispenser de ses services. L’amateurisme avec lequel l’opération avait été conduite avait quelque chose de révoltant, dans la mesure où la victime avait été maintenue dans une ignorance totale du désir de ses dirigeants; un peu comme les gardiens de prison qui venaient chercher le condamné à mort prenaient soin d’ôter leurs chaussures et de déplier un tapis devant la porte de sa cellule avant d’y pénétrer, afin de surprendre le malheureux dans son sommeil.

Les médias avaient été alertés de l’imminence du limogeage avant l’Ecossais. Quelques journalistes proches d’un membre du directoire de Man U avaient été informés vingt-quatre heures plus tôt. D’autres plumitifs, qui avaient coutume de servir de courroies de transmission à certains "cadres" rétifs du squad, avaient aussi été mis dans le secret des dieux. Et c’est donc via quelques articles publiés le lundi après-midi que Moyes apprit son sort, sans pouvoir obtenir de confirmation immédiate de ses employeurs. Ne pouvait-on se comporter plus dignement?

Il est exact que la dignité n’est pas souvent présente au rendez-vous dans de telles circonstances. Des licenciements auxquels on a assisté cette saison, seul celui de Ian Holloway par Crystal Palace a été conduit avec le calme et la dignité, justement, qu’on pouvait espérer. Plus loin dans le temps, on se souvient de Claudio Ranieri, "le mort qui marche", attendant son inévitable exécution toute une saison durant; de Martin Jol, qui eut bien du mérite à conserver son calme lorsqu’on apprit que Tottenham était en pourparlers avec Juande Ramos pour lui succéder; de Carlo Ancelotti expédié en quelques secondes par le directeur exécutif de Chelsea Ron Gourlay dans un couloir de Goodison Park, juste avant de donner une conférence de presse pendant laquelle il se tint coi sur le sujet de son avenir. Mais eux, au moins, savaient ce qui les attendait.

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Le modèle traditionnel à l'anglaise n'existe plus

Ces exemples, vous le relèverez, sont tous relativement récents. C’est que la brutalité avec laquelle un club se sépare aujourd’hui de son entraîneur en Angleterre – je pense à la nature publique (et intempestive) de la séparation, plus qu’à ses motivations et à ses circonstances - est un phénomène récent, qu’il est difficile de ne pas relier à la nature changeante de la structure hiérarchique de ses plus grandes institutions. En 2003, avant l’arrivée de Roman Abramovitch, aucun des vingt clubs de Premier League n’était contrôlé par un investisseur étranger. Aujourd’hui, onze d’entre eux le sont. L’actionnaire unique ou majoritaire (lequel sera rarement un ‘homme de football’*) est devenu le décideur in fine, s’arrogeant certaines prérogatives "historiques" du président et de son directoire, dont les membres n’étaient pas toujours choisis en fonction de la part de capitalarrow-10x10.png qu’ils détenaient.

Le modèle traditionnel "à l’anglaise" était celui d’un propriétaire-supporter ayant acquis sa fortune dans un business local, se reposant sur un board assisté d’un club secretary (à l’origine, un ancêtre du directeur sportif contemporain, devenu ensuite simple administrateur) et, depuis les années 1950, d’un manager responsable de la gestion de l’équipe au jour le jour et du recrutement. Ce modèle, garant d’une grande stabilité, n’existe plus. Dans six de ces onze clubs qui sont la propriété de non-Britanniques, le "président" est une personne distincte de l’actionnaire principal, un homme de confiance, certes, mais dont le pouvoir décisionnel est très limité: qu’on songe à Bruce Buck à Chelsea ou à Sir Chips Keswick à Arsenal. Le directeur exécutif, simple employé du club, est bien plus influent sur sa gestion, même si son rôle est d’abord d’appliquer les ordres reçus d’Abou Dhabi, de Tampa ou de Moscou.

Ce nouveau modèle est certes trop général, trop simplifié pour qu’on puisse l’appliquer uniformément à tous les clubs; en fait, on pourrait avancer qu’il existe presque autant de "modèles" que de clubs aujourd’hui. Mais là n’est pas le noeud de mon argument. C’est que ces clubs, tous ces clubs, sont encore en recherche d’un nouvel équilibre, consécutivement aux convulsions économiques qui ont bouleversé le modus operandi du football anglais depuis un peu plus de dix ans. Celui-ci n’a jamais été plus volatil. David Moyes ne sera pas le dernier à en faire la cruelle expérience.

(*) On fera une exception pour Aseem Allam, égyptien de naissance, mais authentique Yorkshireman, quoi qu’on pense de son idée de rebaptiser Hull City FC les Hull Tigers.

A propos de l'auteur
1137117-17894922-128-96.pngPhilippe AUCLAIR - Eurosport

Installé à Londres depuis 1987, Philippe Auclair est une des plumes les plus reconnues du journalisme de sport. Auteur de plusieurs livres et biographies (Cantona, Henry), il écrit notamment pour France Football, intervient sur RMC et il est l'un des fondateurs-rédacteurs du Blizzard.

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Certains journalistes n'ont pas compris pourquoi on l'a viré.

 

Au temps que je suis d'accord que le coté 6 ans de contrat, faire plus confiance etc ils ont raisons que finalement on vaut pas mieux que les autres ( et encore qu'ils aillent trouver un coach qui restera plus de 6 ans et on verra) mais ils n'ont rien suivi, ils n'ont pas vu qu'on fais aucun progrès dans le jeu et que la communication de Moyes après chaque match était le même refrain, qu'on nous prenait pour des cons.

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L'article oublie de préciser également l'influence de la culture du propriétaire dans sa manère d'aborder le sujet. Chez les américains, la culture du résultat et la tenu des engagements (objectifs) c'est la base. D'ailleurs je pense que ce n'est pas un hasard si le licenciement est intervenu au moment même ou mathématiquement l'affaire était entendue ...

 

Bref, on parle de Moyes à Tott et je serais curieux de voir son oeuvre là bas, histoire de confirmer ou non que nous avons bien fait de ne pas être patient une deuxième saisons.

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Sincèrement je ne sais pas pourquoi ? On continue de polémiquer sur une personne qui ne fais plus partie du club, on est tous d'accord que c'est une page noire de notre histoire qu'il faut tourner.

Mais avec un peu de recul, on se rend compte que David Moyes a fait le même boulot qu'avec Everton et qu'il peut pas en faire plus ... On a tous remarqué qu'après son départ, Everton a pris une autre dimension, ils sont devenus très dangereux et ils sont plus aussi fatigué en fin de saison, alors que notre équipe a pris une autre dimension mais dans le mauvais sens, la même équipe à un Fellaini près (il aurait été utiles l’année dernière pour épauler ou relayer carrick) championne d’Angleterre et qui avait un mix d’expérience et de jeunesse.

Donc arrêtons de nous attarder sur un homme moyen, avec un sens tactique pauvre (il fait tourner très peu alors qu’il surentraîne l’effectif) et faible de sa personne.

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Non mais surtout, c'est que Jim a eu cette discussion avec moi avant même la nomination de Moyes, et il était clairement contre le fait qu'il vienne à United. Je pense que sur le forum à un moment ou un autre, et même en apportant du soutien à Moyes, ses choix, idées, communication ont tous été discutés et par tous les membres(peut être pas avec la même virulence). Même toi OGS qui lui apportait grand soutien, tu trouvais qu'il faisait un mauvais travail avec pour aboutissement ton envie de le voir finalement se barrer.

On peut dire des choses mais pas en inventer Gray. J'ai déjà lu Jiminy critiquer Moyes sur ses choix ou autres, tout comme tonton et Moustik qui l'ont ardemment défendu jusqu'au bout, seulement ils ont surtout mis en évidence certaines carences de l'équipe et surtout le manque de professionnalisme de la part de certains joueurs et donc c'est ce qu'on retiens le plus.

Je ne prends pas parti, mais Jim à eu cette conversation avec moi, il ne voulait pas de Moyes ici, ça c'est un fait bien réel. Suffit d'aller vérifier ;)

Merci de cette réponse car même si sur ce topic on était en désaccord, je vois que tu as bien compris notre message et donc venir parler de manque d'objectivité, c'est vraiment pathétique !!!

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Le mec a été zéro en tour point. Après une petite recherche je suis stupéfait.

Fellaini est passé de 50k par semaine à 125k par semaine chez nous. C'est le 3ème joueur le mieux payé.

http://www.express.co.uk/sport/football/426695/Cut-rate-Fellaini-forfeits-4m-in-United-move

 

Je prie chaque jour pour que lui et Young partent. Où avaient la tête les dirigeants lorsqu'ils ont finalisé ces dossiers là. J'arrive pas à y voir une quelconque logique. Deux joueurs de PL qui n'ont jamais rien gagner et qui ont jamais jouer l'Europe.

Gestion cata déjà avec Fergie et maintenant avec Moyes. Et quand je lis les 100k pour un ado de 18 ans j'ai des envies de meurtres.

 

Incroyable.

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Le mec a été zéro en tour point. Après une petite recherche je suis stupéfait.

Fellaini est passé de 50k par semaine à 125k par semaine chez nous. C'est le 3ème joueur le mieux payé.

http://www.express.co.uk/sport/football/426695/Cut-rate-Fellaini-forfeits-4m-in-United-move

 

Je prie chaque jour pour que lui et Young partent. Où avaient la tête les dirigeants lorsqu'ils ont finalisé ces dossiers là. J'arrive pas à y voir une quelconque logique. Deux joueurs de PL qui n'ont jamais rien gagner et qui ont jamais jouer l'Europe.

Gestion cata déjà avec Fergie et maintenant avec Moyes. Et quand je lis les 100k pour un ado de 18 ans j'ai des envies de meurtres.

 

Incroyable.

Fellani à l'inverse de young,je crois qu'il peut s'adapter au systeme, il jouait et s'entrainait telle qu'on lui demandait,donc pour moi il merite une deuxieme saison afin de se ratrapper,mais pour young je suis à 100% d'accord avec toi

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Fellaini a montré dans le système de Moyes combien il était incapable d'être bon alors qu'on leur demandait pas un jeu de possession.

 

Tu crois que tout d'un coup il va se découvrir des talents à la passe, création, contrôle ? Je n'y crois pas. C'est un boulet qu'on va devoir de trainer. Avec ce salaire personne le prendra.

Il aurait pu faire son "trou" dans le United que voulait Moyes, maintenant logiquement on se tourne vers un autre football, et Fellaini n'a pas sa place. Même ce qu'il est sensé apporter en théorie il sait pas le faire correctement.

Proposes le à Martinez, il va te rire au nez.

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Fellaini a montré dans le système de Moyes combien il était incapable d'être bon alors qu'on leur demandait pas un jeu de possession.

Tu crois que tout d'un coup il va se découvrir des talents à la passe, création, contrôle ? Je n'y crois pas. C'est un boulet qu'on va devoir de trainer. Avec ce salaire personne le prendra.

Il aurait pu faire son "trou" dans le United que voulait Moyes, maintenant logiquement on se tourne vers un autre football, et Fellaini n'a pas sa place. Même ce qu'il est sensé apporter en théorie il sait pas le faire correctement.

Proposes le à Martinez, il va te rire au nez.

Martinez veut Welbeck ET Cleverley :P

 

J'aurai tendance à être d'accord avec toi sur Fellaini, Young ça ne se discute même plus.

Pourtant, je suis prêt à lui laisser une saison sous les ordres d'un autre coach pour voir ce que ça donne. Comme ça par curiosité, enfin une curiosité à 32M quand même.

Avant de s'en séparer comme Berbatov pour une bouchée de pain, on pourrait lui laisser une autre saison histoire de voir.

Modifié par babyf@ce
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Cette saison aura au moins permis deux choses :

 

- Amorcer pour de bons la reconstruction prochaine de l'équipe qui tardait à se mettre en place depuis des saisons . L'incompétence de Moyes a permis aussi de voir l'incompétence de certains joueurs qui arrivaient à se se cacher sous SAF.

 

-Elle aura aussi permis de réduire l’influence de SAF sur le club en montrant que ce n'est pas dieu qu'il peut se tromper et que des fois il faut lui forcer la main .

 

Nul doute qu'il a tout fait pour sauver moyes . Il n'a qu'à voir le lobby moyesque qui a failli le sauver jusqu'au bout .

 

 

Il y a quand même du positif à retirer dans le malheur .

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"Mourinho où Guardiola auront surement terminé la saison premier avec l'effectif que possède Manchester United " Rene Muelensteen

^_^

On peut dire que vous avez une vision socialiste du football ?

 

Arrigo Sacchi : J'ai une vision correcte d'un sport d'équipe dont l'âme est le jeu. Voilà d'ou je pars.

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