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Les médias (Hors Manchester United)


Ole Gunnar Solskjaer

Messages recommandés

Ben j'ai peut-être envie de voir le reste, sans regarder le reportage sur Drogba.

Non mais tu fais ce que tu veux je fais juste que traduire !!!

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Hier dans Les Spécialistes était traité un sujet sur Chelsea (sur leur forme incroyable, un Drogba monstrueux, etc). Et un truc m'a fait sourire, alors que (presque) tout le monde sur le plateau encensait cette formidable équipe le seul qui ait osé émettre une réserve n'est autre que Christophe Lollichon, entraineur des gardiens de... Chelsea.

Il disait qu'il fallait bien regarder contre qui avaient été réalisés ces scores fleuves et que les deux premiers tests (contre City et Arsenal) étaient plutôt mitigés.

 

Enfin un peu de bon sens. -_-

Va où tu veux, meurs où tu dois. 

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C'est mérité, quel talent ce CJP!

 

TOP 3 CDM:

 

3. "Quel silence, regardez ce silence". :unsure:

2. "Ses origines africaines lui donnent le surplus d'énergie qu'il faut pour tenir... peut-être". :blink:

1. "David James est surnommé Calamity James, en référence à Lucky Luke". :lol:

 

Que de déclarations recherchées! Incomparable! :D

Modifié par Slash
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OH MY GOD.

 

Lu à l'instant sur le blog de l'after foot :

 

L'edito de l'After

Riolo: 'Rennes n'est pas enthousiasment'

 

Rassurez-moi, les journalistes de nos jours, ils font des études de français ?

 

(Je parle pas spécialement de Riolo, c'est p'tet le mec qui était chargé de mettre ça en ligne qui a fait la faute).

 

Du coup, je change ma question : Les français, ils apprennent le français à l'école de nos jours ?

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Sur France football c'est pareille, il y a d'énorme fautes de français -_- , alors que c'est quand même un site et un magazine reconnu :unsure:

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"It's the character of this club...we are fantastic at gritting our teeth and getting something from a dead situation." Sir Alex Ferguson

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Dit-il, arborant fièrement un "En Soutient Avec Wayne" en signature :lol:

 

j'ose parler de faute :o:D

 

pfiouuuu :D c'est juste énorme

 

m'en vais partir au loin très loin :rip:

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"It's the character of this club...we are fantastic at gritting our teeth and getting something from a dead situation." Sir Alex Ferguson

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Liga, modes et football

 

"Le Barça était à la mode, mais les modes finissent toujours par passer." Ces mots ont été prononcés par Iker Casillas, le gardien du temple du Real Madrid. Ce que le capitaine Madrilène tente de dire, c’est que la suprématie azulgrana n’est pas éternelle et que bientôt elle devrait prendre fin. Il n’a pas tort. La question est de savoir quand et comment le meilleur ennemi du Real finira par s’autodétruire. Si San Iker imagine qu’un jour le Barça se fatiguera de gagner, on ne peut pas le contredire, parce que rien n’est immortel. C'est vrai dans le sport que dans la vie. Maintenant, si on décide d’aller un peu plus loin et d’approfondir cette simple interprétation des mots du natif de Mostoles, son message a quelques failles sémantiques. Car si l’on suit le raisonnement d’Iker à la lettre, cela voudrait dire que le Barça a décidé de se tirer une balle dans le coeur, qu’il renoncerait à son propre style et donc qu’il serait plongé dans un processus d’autodestruction.

 

Jorge Valdano, le directeur sportif du Real, grand littérateur, apôtre du jeu offensif, qui s’est tiré une balle dans le pied en faisant venir Mourinho dans son club, a frôlé la perfection le jour où il avait écrit : "Dans le football, il y a deux types de spectateurs : ceux qui aiment le football et ceux qui aiment la mode. Ces derniers sont dangereux." Rien à ajouter, je 100% d’accord avec Valdano. Ces derniers temps, que l’on soit supporter ou non du Barça, nombreux sont ceux qui ont admiré cette équipe, sa vision romantique du football et son amour pour le ballon rond. Regarder ce Barça, c’est regarder une équipe qui aime par dessus tout le football. A l’inverse, ceux qui aiment la mode, ces êtres dangereux, sont persuadés que la fin justifie les moyens. Nombreux sont les journalistes de bas étage qui ne parient que sur le cheval vainqueur, que sur celui qui n’obtient que des bons résultats. Eux, ils adorent, ils vénèrent un entraîneur comme Mourinho. Ils voient en lui quelqu’un d’élégant, de brillant et d’exemplaire.

 

Casillas affime que le Barça a été la mode mais que les modes finissent toujours par passer. Iker se trompe car il ne peut pas dire de l’équipe qui a une telle culture du beau jeu et qui nous a régalé tout au long de son histoire, de notre histoire qu’elle est juste un phénomène de mode. Le Barça n’est pas une mode, c’est un canon de beauté footballistique.
Le Barça "n’était" pas à la mode puisqu’il l’est toujours. A mon humble avis, qui est très loin d’être la panacée, je crois qu’Iker confond ses désirs avec la réalité. Le Barça c’est encore la référence. Et ce sont ses adversaires, ses concurrents qui sont aujourd’hui une mode. Et les modes aussi populaires et aussi brillantes soient-elles comme le tsunami José Mourinho sont condamnées à passer… de mode.

 

Une équipe qui ne traite pas bien le ballon finit par maltraiter les spectateurs. Et même si elle est soudainement à la mode, cette mode finit toujours par disparaître. Mourinho est une mode. Il peut remporter un, sept ou quinze titres, mais un jour il ne sera plus à la mode. Alors que le style d’une équipe est historique. Casillas devrait le savoir mieux que quiconque : le football que pratique la sélection espagnole n’est pas une mode passagère. L’Espagne peut gagner ou perdre, mais elle sait et elle a démontré que le chemin à suivre était bien celui du beau football.

 

Un blog moisi tenu par un pseudo pro sur eurosport.fr.

 

Le mec, il a juste rien compris aux propos de Casillas. partant de là, il balance inepties sur inepties.

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Même blog mais rédacteur différent.

 

Zanetti, tout là-haut

 

Javier Zanetti est un joueur à part, un footballeur d’une autre époque.

 

Au premier regard, en le parcourant de haut en bas, on se dit d’abord qu’il a peut-être le plus beau brushing du football mondial. Sa petite vaguelette savamment entretenue ne bouge jamais même après 80 minutes de jeu et un énième déboulé sur son côté. Vous en connaissez d’autres vous des joueurs qui portent encore le brushing ?

 

J’ai beau chercher, je n’en trouve pas. Mais Javier est d’une autre génération. Il aime lire, il aime chanter, il aime écouter Eros Ramazzotti ou Luis Miguel, et il aime par dessus tout, lorsqu’il a un jour de congé, s’en aller se promener et pique-niquer avec sa femme sur les hauteurs du lac de Côme. Il aurait pu proposer à d’ex-coéquipiers comme Ronaldo, Figo ou Ibrahimovic, de l’accompagner, mais je ne suis pas certain qu’ils auraient accepté.

 

Le capitaine de l’Inter a soufflé le 10 août dernier ses 37 bougies. Il a le même âge que Roberto Carlos, un an de moins que Rivaldo et trois de plus que Ronaldo. A la différence de ces trois grands joueurs qui ont marqué de leur empreinte le football européen, Javier, lui, est toujours au sommet de sa forme. C’est un titulaire indiscutable de l’Inter de Milan dont il est l’emblématique capitaine. Les saisons passent mais il est toujours là, fidèle au poste. Depuis son arrivée en 1995, il a connu quinze entraineurs différents. Ils lui ont toujours fait confiance. En fin de saison dernière, il a signé une prolongation de contrat jusqu’en 2014. A cette date, il aura alors plus de quarante ans. Il deviendra une sorte de Paolo Maldini, un Franco Baresi ou un Dino Zoff, papys footballeurs, à la sauce intériste.

 

Au deuxième regard, en le parcourant de haut en bas, on remarque rapidement que Javier Zanetti a des cuisses d’haltérophile. Un sacré physique pour un papy footballeur. Il est inoxydable. Au pays, on le surnomme le tracteur. En Italie aussi. Et attention, c’est loin, très loin d’être un terme péjoratif. On dit d’un joueur qu'il est un tracteur pour sa puissance et sa résistance. Ce surnom lui va donc un comme un gant. Ce n’est pas le genre de footballeurs à faire les gros titres car il est voué, comme tous les latéraux de la planète, à rester dans un relatif anonymat. Et pourtant si l’on se fie aux chiffres, aux statistiques, il est déjà entré dans l’histoire. Avec 137 sélections, il est le joueur argentin le plus capé devant Maradona and co. Zanetti est également le premier Argentin à avoir soulevé, avec un brassard de capitaine enroulé autour du biceps, la Coupe aux grandes oreilles. Et avec 708 matchs au compteur, toutes compétitions confondues sous le maillot de l’Inter, il se rapproche à grands pas du record de Giuseppe Bergomi (758). Enfin, cerise sur le gâteau, il est le plus vieux buteur de l’histoire de la Ligue des Champions. Mercredi dernier, contre Tottenham, c’est lui qui a inscrit le premier but de l’Inter à 37 ans et 71 jours très exactement. Le record appartenait à notre Lolo national (Laurent Blanc). Sa réaction ? "Ça ne me rajeunit pas tout ça, mais ça prouve que malgré les années, je suis toujours là, titulaire dans l’un des plus grands clubs du monde. Mon dernier but en Ligue des Champions ? C’était il y a douze ans contre le Sturm Graz."

 

Si une carrière de footballeur se résumait au nombre de titres remportés, celle de Javier Zanetti serait plus qu’honnête : 5 titres de champion, 1 coupe de l’UEFA, 1 Ligue des Champions, 3 Coupes d’Italie avec l’Inter et une médaille d’argent olympique en 1996 avec l’Argentine. Avouez qu’il y a pire…

 

Mais ce qu’il est le plus impressionnant chez Javier Zanetti, c’est sa longévité. Tous les spécialistes vous le diront : le plus dur dans le sport, c’est de durer. C’est donc pour toutes ces raisons que le Pupi (son surnom en Argentine) est, pour moi, l’un des plus grands joueurs latinos à avoir foulé les pelouses du vieux-continent.

 

Au troisième regard, en le parcourant de haut en bas, on se dit donc que le Javier Zanetti, il faudrait le regarder un peu plus souvent et avec plus d’attention. Il le mérite.

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Même blog mais rédacteur différent.

Allez avoue, c'est toi qui l'a écrit :)

"Oh, Monsieur et maître, la misère est grande. Les fantômes que j'ai conjurés, je ne vais plus pouvoir m'en dépêtrer"

 

Goethe.

 

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Qu'ils font pitié à Studio 1, à absolument vouloir faire du "people" et attirer Bayat sur l'extra-sportif.

Journalistes de *****. J'éteins cette chiasse, et loic, c'est la dernièrement fois qu'tu m'fais regarder cette bouse d'émission!!

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Qu'est-ce que tu veux c'est ça les médias sportifs, quelques stars, les 5-6 plus gros clubs et des histoires de coucheries :)

 

Sauf qu'à Studio 1, les stars sont Benoit Thans & Jérôme Enzolo, les 5-6 plus gros club: Anderlecht, le Standard, Bruges, Gand, Genk & Kortrijk et les histoires de coucheries n'ont pas lieu mais sont remplacées par les piques de Pauwels. C'est ca de l'émission foot 100 % belge.. :D

U-N-I-T-E-D, United are the team for me

 

 

"Het is niet echt de vraag OF we het WK 2014 winnen, de vraag is eerder: met hoeveel doelpunten verschil winnen we de finale?" De Motivees/Les Motivées

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