RnB Posté(e) le 13 septembre 2011 Partager Posté(e) le 13 septembre 2011 (modifié) Un duel entre Bresiliens, entre Ballon d'Or, entre Artistes Tout d'abord Rivaldo ( que je ne connais pas assez pour mon malheur) Il quitte son Bresil natal (ou il aura acquis un titre de champion du bresil avec Palmeiras) pour intégrer le Deportivo La Corogne en 1996. Des sa premiere et seule saison sous ce maillot il marque une vingtaine de buts et est transféré dans la foulé au Barça Pour une somme record de 24 millions d'€ ( si je ne me trompe pas) ou il connaitra la consecration. Il aura des son arrivée la lourde tache de faire Oublier un autre Bresilien et pas des moindre, Ronaldo. Ca période Catalane qui durera de 1997 à 2002, lui rapportera deux Championnats consecutifs entre autres. Il y connaitra la c**sécration mondiale en étant nommé Ballon d'Or 1999. Durant son passage en catalogne il inscrit la bagatelle de 130 but en 235 matchs. Il connaitra la c**sécration en equipe nationale en faisant partie de l'equipe championne du monde en 2002. Avant cette période il avait connu une longue période de disette avec l'equipe nationale. Au niveau des caractéristiques le Bresilien est un joueur individualiste, trop amoureux du ballon rond pour le lacher a ses coéquipiers, mais il a pour lui un bagage technique hors du commun, une faculté et un instinct lui permettant d'etre present au bon endroit et au bon moment en atteste son retourné face au Fc Valence lors de la cloture de la saison espagnol. Il est capable comme son adversaire du jour de frapper sans elan et en puissance. Ces coups francs sont égalements dévastateurs. Malheureusement pour lui il n'a pas su s'arreter au meilleur moment, il a enchainer les clubs ouzbeks et les clubs bresiliens mineurs plutot que de partir dans la lumiere. Passons a Ronaldo de Assis Moreira, Le plus grand joueur pour ma part ayant évoluer au PSG C'est le plus grand virtuose du ballon rond que j'ai vu évoluer, il avait pour lui ( meme s'il garde toujours certaines caracteristiques) une classe hors du commun basée sur la créativité, l'improvisation et l'habileté devant les cages et dans le camp adverse. Ronaldinho possède une technique dévastatrice, loin du coté freestyle d'un CR7 et plus fluide et simple que celle d'un Messi. Sa position naturelle est celle de milieu offensif, meme s'il bouge beaucoup mais il est tellement a l'aise sur le front de l'attaque qu'il est souvent placé en electron libre afin de lui donner encore plus de liberté. Le Ballon d'Or 2005 est un genie du ballon rond, un créateur de mouvement, jamais avare en distribution et création de dribbles et passes imprevisibles et improbables ( des passes du dos, de l'exterieure du pied, a l'aveugle...). Ca panoplie technique lui permet d'etre totalement imprevisible pour ses adversaires. Il posséde un palmares bien rempli, ayant pour particularité ( si je ne me trompe pas ^^) d'avoir gagné quelque chose dans tous les clubs ou il est passé. La c**sécration de sa carriere en club étant son arrivée a Barcelona ou il remportera les championnat d'Espagne ainsi que la C1 face a Arsenal. Il a fait partie comme Rivaldo de l'équipe bresilienne sacrée championne du monde lors du mondial asiatique. Je vais voter pour Ronnie car c'est celui de deux qui m'a le plus enchanté. la Faute pour Rivaldo a une période footballistique que je connais peux Modifié le 13 septembre 2011 par RnB 2 "Nous ne sommes peut être pas suffisamment forts pour ne vivre que par la vérité. " RnB. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Andeerson Posté(e) le 13 septembre 2011 Partager Posté(e) le 13 septembre 2011 Ronaldinho vs Rivaldo. Ronaldinho, ce joueur majestueux. Ce joueur si talentueux le jour qui se détruisait la nuit. Il a reçu toute la grâce dans les jambes, et malheureusement pour rien ne lui a été laissé pour la tête. Ce joueur ne peut laisser personne indifférent et met(tait) tout le monde d'accord, il a pour moi (ré)inventé les dribbles, et même inventé la passe en profondeur avec le dos. Retour points par points sur ce joueur. Paris, l'espoir. Arrivé à Paris, il débarque de Gremio en tant que futur gros poisson et c'est là que commence son incroyable épopée européenne, sur les terres françaises, une star est née et ses chevauchées (surtout celle contre l'OM) resteront gravées dans ma mémoire. CDM 2002, la confirmation. C'est là que pour moi il a brillé de mille feux pour la première fois, ce joueur portant le maillot doré faisait danser la samba à ses pauvres adversaires qui ne pouvaient être que désemparés. C'est là que j'appris réellement qu'il était très bon tireur de coup-francs face à l’Angleterre plus précisément, et ce but magistral de 40 (?) mètres qu'il met ! Après on peut toujours dire que Seaman était trop avancé (deuxième fois qu'il nous la faisait d'ailleurs) mais il fallait le faire, il fallait l'oser et Ronnie l'a fait, c'est ce qui le démarquera longtemps des autres grands dribbleurs, il avait un culot sans pareille, pour illustrer ça j'aurais pu aussi citer sa balle qui touchait la transversale en finale où Kahn était largement battu. Un nouveau joueur était né, il avait passé un cap. Il n'était plus un espoir, mais bien un grand en devenir certain. Son apogée, le Barca. L'histoire on la connaît tous, United ou Barca ? Barca bien sûr (d'ailleurs je pense que l'ambiance plus chaude à Barcelone qu'à Manchester à joué un rôle prépondérant). Il a tout fait au Barca, volé la balle du gardien au moment du dégagement, fait et refait toutes ses gammes techniques, examiné tous les terrains de long en large, délivré des sublimes passes décisives, marqué de splendides buts. Que pouvait-il faire de plus ? Il avait tout gagné. Et malheureusement, c'était le genre de joueurs à reposer ses lauriers en boîte. C'était son côté fêtard, peut-être indissociable de la fête qu'il donnait sur le terrain, un chose est sûr, c'est bien le Ronnie du soir qui à éteint celui des terrains. Le Milan, la seconde chance. C'est peut-être le moment où je lui en ai le plus voulu, voulu de ne pas bouger son c** et de payer les erreurs du passé, la suite on la connaît tous, Ronnie ne convainc pas, ne confirme pas et n'y arrive plus, et ce malgré de bons matchs comme celui contre nous. Et comme tout bon joueur brésilien, le retour au pays (seul endroit où il est encore désiré) s'impose. Flamengo, la renaissance. Transféré depuis bientôt une année, le joueur revis et démontre à tous qu'il n'est pas fini, même si sa fougue et son culot ne l'accompagne plus, ses dribbles moins fréquents, la qualité est toujours là. Rivaldo, un grand joueur, dont je ne vais pas bafouer le nom. Je voterai blanc, je n'ai qu'un réel jugement sur un seul joueur, mais je tenais à dire mon avis sur ce fabuleux joueur. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Doraibu Posté(e) le 13 septembre 2011 Partager Posté(e) le 13 septembre 2011 Rivaldo et Ronaldinho... hum hum... ^^ C'est vrai que ces hommes partagent pas mal de points communs: Ils sont brésiliens, ont joué au Barca puis au Milan, mais surtout ils ont connu une riche heure de gloire. Ils ont gagné le B.O, et les deux sont champions du Monde. Mais pour qui vais-je opter?... Débutons par Rivaldo. Rivaldo, c'est un des premiers joueurs que j'ai connu, un des premiers joueurs qui m'a marqué, et dont je garde un très bon souvenir. Par son côté solo (certes ^^), mais surtout pour son talent incontestable, et ses nombreux coups de génie, du côté du Camp Nou... Grand adepte du ciseau retourné, du coup du foulard, il pouvait se retrouver bloqué sur le côté, et t'en sortir un venu d'ailleurs. Son pied gauche a toujours été d'une justesse intersidérale, il pouvait te balancer des Rockets, de plus de 35 mètres... BLAM! Mais surtout, Rivaldo possédait une technique large, qui lui permettait de faire un près tout. Coups-Francs, centres, passes décisives, jeu court/jeu long impec', doubles râteaux (une de ses spéciales également), amortis poitrine suivies de frappe sèches, imparables pour un gardien. Cela dit, je n'ai jamais réussi à vraiment le situer. Tantôt neuf et demi, tantôt meneur de jeu, tantôt milieu offensif gauche, je n'ai jamais su quel était son véritable poste... A vrai dire, je pense que c'était un joueur qui était plutôt libre sur le terrain, et avait un certain accès à toutes les zones du terrain (offensives), du moment qu'il restait performant, et pouvait éclabousser de son talent aux yeux du monde. Les frappes (revenons-en) qu'ils décochaient provenaient d'une autre Galaxy... Remember celle qui a faillit tuer la barre transversale, gardant les cages de Peter Schmeichel... Si R.Carlos qui avait certainement la meilleure frappe du monde, d'un pointe vue puissance pure, ne cadrait pas toujours, ça fut souvent le cas pour Rivaldo qui ne se faisait pas prier. Mais oui, mais oui... Après un passage formidable du côté de la Catalogne, sa carrière est parti en fumée, à partir du moment où il a rejoint la Lombardie. Très en dessous de son meilleur niveau, il n'a pas réussi à se faire une place, dans une équipe rodée et qui renaissait de ses cendres. Avec le repositionnement de Pirlo, l'importance de Seedorf et Rui Costa. Il n'a pas réussi à faire son trou. Cela dit, c'est indéniablement l'un des meilleurs joueurs que j'ai pu voir à l’œuvre, et l'un de ceux, qui avait le plus la capacité à changer le cours d'un match. ... Ensuite il y'a Ronaldinho... Un autre style... Plus joueur encore, plus expressif, moins taciturne. Ronaldinho, c'est celui qui dominait la planète foot de 2004 à 2006, mais ça fut tellement démentielle, que ça a marqué toute une génération. L'inventeur de gestes, une créativité infinie, un culot démesuré, une insouciance enfantine, des dribbles d'une juste diabolique, d'une grâce inégalable. Quand Ronaldinho touchait ses premiers ballons, depuis son côté gauche, c'est toute une défense qui commençait à paniquer... Quand Ronnie effleurait le ballon, c'est tout un stade qui commençait à se lever, sachant à l'avance qu'il y'allait avoir de la magie... mais ne sachant pas encore, quel geste Ronnie allait nous effectuer... Sambreros, passes en aile de pigeon, enchainement de p'tits ponts, virgules audacieuses... Il prenait ce ballon de l'extérieur du pied, puis hop, il finissait de l'autre côté du pied, tout en ayant fini avec son adversaire direct. L'art de ridiculiser un défenseur, ce joueur le maitrisait, l'art du p'tit pont, ce joueur le maitrisait également, l'art de dribbler toute une organisation adverse, ce joueur le maitrisait aussi. Mais comme si ça suffisait pas... Ronnie était un avant tout (et reste) un fucking passeur. Des ouvertures au millimètre près, des petites arabesques suivi d'une passe Lazer, en profondeur, et aveugle s'il vous plait... Une petite course, un p'tit râteau (l'air de rien) histoire de se débarrasser de son vis à vis, et HOP, une merveille de transversale interstellaire, arrivant en parfaite destination, de son partenaire. Un joueur génial.... Sa saison 2005/2006 restera dans les anales, on a atteint probablement le paroxysme du haut niveau, et très peu de joueurs pourront se vanter d'avoir fait une saison aussi aboutie, au plus haut niveau, comme l'a fait l'international auriverde... Je n'évoquerais pas la suite, puisqu'elle est beaucoup moins glorieuse, et sans une fin en eau de boudin, Ronaldinho aurait indéniablement pu dépasser les plus grandes légendes de ce sport. Mais ce qui me fait plaisir, c'est de le revoir s'épanouir, sur ses vrais terres... Là où il a grandi, ça me ravi de le voir revivre pour un sport, dont Ronnie sera toujours amoureux, pour tout le restant de sa vie. Deux joueurs qui ont marqué une époque. Les plus jeunes pourront dire, qu'ils ont connu Ronaldinho, car oui, l'ex-joueur du Porto Gremio, est bel et bien le mec qui aura le plus eu d'impact, sur ces dernières années... Des récompenses, des récompenses, et des récompenses... Il faut comprendre sa baisse régime, il n'y avait plus de place chez lui ^^.... Bref! C'est un choix pas évident, mais à peu de choses, je vote pour Ronaldinho, le virtuose des virtuoses! 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gua2loup1 Posté(e) le 14 septembre 2011 Partager Posté(e) le 14 septembre 2011 L'inventeur de gestes, une créativité infinie, un culot démesuré, une insouciance enfantine, des dribbles d'une juste diabolique, d'une grâce inégalable. C'est exactement ça, voilà moi ce qui m'a le plus plu chez Ronnie (bon bien sur il a le talent pour ) mais c'est qu'il a toujours eu cette joie de vivre qu'il retransmettait sur un terrain et ça se ressentait dans son jeu. Toujours le sourire ce joueur, j'adore. Sambreros, passes en aile de pigeon, enchainement de p'tits ponts, virgules audacieuses... Sympa le jeu de mot (samba + sombreros) ! ^^ Une petite course, un p'tit râteau (l'air de rien) histoire de se débarrasser de son vis à vis, et HOP, une merveille de transversale interstellaire, arrivant en parfaite destination, de son partenaire. On sent le fan de DBZ qui parle Pour Rivaldo même si c'était un grand joueur, je n'ai jamais pu l'encadrer à cause de son comportement (et pourtant j'adore les brésiliens), il représentait (déjà) le vice Barcelonnais (tient tient...), il était mauvais joueur, truqueur etc et avec son talent il n'avait pas besoin d'être comme ça (comme le Barcelone de maintenant). Donc pour moi ça ternissait grandement son image et ça le différencie grandement de Ronnie pour ça, même si niveau talent ça se vaut à peu près. Ps : Tu vois Charlie je ne vote plus mais je donne mon avis quand même Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gray Posté(e) le 14 septembre 2011 Partager Posté(e) le 14 septembre 2011 Rivaldo et Ronaldinho, deux légendes brésiliennes qui ont tout gagner autant collectivement qu'individuellement. Deux meneurs de jeu et deux personnalité différente. Analyse. Je commence par le gaucher atypique, Rivaldo. C'est un joueur très talentueux qui fait aime faire le spectacle. Un milieu offensif qui joue avec son instinct avant tout, qui joue comme il le sent, sans calculé les choses a l'avance. Dés qu'il sent qu'il peut tenté un retourné alors qu'il est dans une position pas du tout favorable a ce geste, il le tente quand même. Il n'a aucun coéquipier et il y a 3 défenseur devant lui ? Il ira les dribblé pour enchanté les supporters. Sa vista, ses dribbles, son style de jeu simplement fait qu'il conquis chaque club ou il va car ce joueur donne tout ce qu'il a, il fait le spectacle. Une patte gauche de rêve, puissante et précise, une technique unique, un sang-froid a tout épreuve puisqu'il a tout gagner et qu'il était souvent décisif dans les grands match mais ce coté ' je veux faire le spectacle ' qui fait rêver les supporters a un défaut, celui d’énervé ses coéquipiers. En effet il avait un coté soliste que l'on remarqué assez souvent. Ce qui lui permettais malgré tout de faire la différence a n'importe quel moment du match. Ronaldinho, le fantastique, l'artiste. Je pourrais donner le même texte pour Ronaldinho car finalement les deux ont des qualités similaire mais c'est surtout le style de Ronaldinho qui est unique. Lui aussi, il fait le spectacle mais de manière différente. Il humilie ses adversaires, les plus grands joueurs de l'histoire du football ont inventé des geste techniques. Ronaldinho les réussit parfaitement mais surtout, il les personnalise a sa manière, a son style de jeu spectaculaire et le résultat est impressionnant. Des petits pont venu d'ailleurs, des virgules qui font tourné la tête au défenseur adverse mais aussi au cameraman qui film et bien d'autre geste. Il maitrise tout balle au pied, il est amoureux de ce ballon. Une frappe sèche et rapide, des buts d'anthologie, une capacité a surprendre n'importe quel défense, très efficace sur coup franc, une bonne détente et une bonne précision de la tête.. Je le lui trouve aucun défaut footballistiquement parlant, offensivement c'est pour moi ce qu'il s'est fait de mieux. C'est un prodige qui est venu poussé le football a l'humiliation, inventif dans ses mouvements, une vison de jeu énorme, toujours souriant sur le terrain.. Il a tout gagner, du ballon d'or a la ligue des champions et il a marqué la plus part des clubs ou il est passé. C'est un choix très difficile a faire puisque les deux sont des joueurs qui ont briller en sélection, en club et ils ont tout gagner mais les deux avaient un style différent donc je ferais un choix affectif puisque je connais moins Rivaldo et que Ronaldinho m'a énormément fait rêver. Donc Ronadinho pour moi. On peut dire que vous avez une vision socialiste du football ? Arrigo Sacchi : J'ai une vision correcte d'un sport d'équipe dont l'âme est le jeu. Voilà d'ou je pars. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Charlie Posté(e) le 14 septembre 2011 Auteur Partager Posté(e) le 14 septembre 2011 On sent le fan de DBZ qui parle Le fan de DBZ ici, c'est moi ! Rivaldo et Ronnie. Tout comme pas mal de personnes, ils m'auront aussi marqué. Si Rivaldo ne dominait pas complétement la planète football, car des joueurs comme Zidane, Figo, Del Piero, ou Beckham en faisait de même, en revanche Ronaldinho a clairement marqué de son empreinte, dans la moitié des années 2000. Il était le digne successeur de Zizou, et semblait intouchable. Comme Doraibu, Rivaldo est un des premiers joueurs que j'ai réellement connu, à une époque où accéder aux matches, était bien plus difficile qu'aujourd'hui. Un joueur exceptionnel, qui composait avec Figo, Enrique et Kluivert, une attaque de choix, constituée de certaines références mondiales. On ne va pas revenir en long et en large, pas mal de ses qualités ont déjà été évoquées. Dont une qui m'a vraiment sublimé, c'est effectivement cette faculté à fusiller un gardien, dos au but, avec une véritable retournée acrobatique. La gestuelle, le positionnement étaient parfaits. On sentait vraiment la maitrise du geste, avec une droiture, et une géniale exécution. Ses C-F étaient pas mal aussi, souvent brossés, ou souvent enroulés, avec une courbe majestueuse, à la David Beckham. Son problème, était sa fainéantise. Pas mal de joueurs de son niveau, avaient souvent tendance à négliger le travail défensif, mais Rivaldo ça allait au delà de ça (surement la principale raison, de son échec en Italie). Très peu enclin à se bouger, à se replier, ça lui a valu des performances ternes, quand il était exilé sur le côté gauche. Bien meilleur, en électron libre, derrière un attaquant, où il pouvait donner sa pleine mesure. Et on l'aura bien vu, avec Kluivert au Barca, et avec Ronaldo au Brésil. Mais c'est indiscutablement, l'un des meilleurs joueurs de l'histoire du football brésilien, une légende du FC Barcelone, et un grand des années 90. Pour ce qui est de Ronaldingo, c'est un autre genre. Déjà, Ronnie c'est le joueur qui va d'avantage mettre en valeur un partenaire. En terme de passe, il n'est pas réellement supérieur à Rivaldo (qui quand il voulait, pouvait de te placer un maitre caviar), mais il l'aura plus mis en application. Son sens inventif, déjà grandissant au PSG, se sera abouti au FC Barcelone. Un peu plus personnel et provocateur à ses premières heures, il aura vraiment modifié son football, pour devenir un véritable monopolisateur du jeu. Ses buts toujours plus fous, ses dribbles toujours plus déroutants, son niveau toujours plus impressionnant. Il a conquit le public du Bernabeu, il s'est amusé bon nombres de fois ,des madrilènes (et ça me fait mal de dire ça ^^). Il a enchanté bien des stades espagnoles, mais dont les spectateurs ne pouvaient que s'incliner. Je dirais qu'esthétiquement parlant, il m'a souvent semblé supérieur à Zidane, plus renversant peut-être. Je trouve cependant, qu'il n'a jamais atteint la maitrise d'un Zinedine, lorsque celui-ci était vraiment à son meilleur niveau. Quand l'ex-madrilène, contrôlait un match à lui seul, tout en pouvant changer la tournure du match à n'importe quel moment. Et puis... Sa chute libre est quand même regrettable, dû à un manque de professionnalisme flagrant, et un plaisir de la victoire qui commençait à être timoré. Ronnie écrasait trop, et du coup, il a finit par se lasser. C'est pour cela, qu'ils sont similaires, même si Rivaldo a l'avantage de ne s'être pas laisser aller, à cause d'une vie privée trop mouvementée. Puis Rivaldo n'avait pas un succès aussi unanime, que l'ex-joueur du PSG. Pour ce qu'il aura accompli sur une période plus longue, pour avoir fait parti d'un Brésil qui m'a toujours fasciné, et surtout, parce que c'est un des joueurs que j'ai découvert en premier, je vote pour Rivaldo. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
T2S Posté(e) le 14 septembre 2011 Partager Posté(e) le 14 septembre 2011 Entre parenthèse, Doraibu c'est le fan des produits Square Enix. Après, il est peut-être également fan de Mickey, Sora et compagnie ? (promis, j'arrête de polluer ce chouette topic Charlie, surtout si c'est pour parler de Doraibu ) U-N-I-T-E-D, United are the team for me "Het is niet echt de vraag OF we het WK 2014 winnen, de vraag is eerder: met hoeveel doelpunten verschil winnen we de finale?" De Motivees/Les Motivées Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Charlie Posté(e) le 18 septembre 2011 Auteur Partager Posté(e) le 18 septembre 2011 Rivaldo vs Ronaldinho: Ronnie: 4 votes Rivaldo: 1 vote Le prochain duel oppose: Thiago Silva vs Phillipe Mexes Le second duel oppose: De Rossi vs Cambiasso Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Doraibu Posté(e) le 18 septembre 2011 Partager Posté(e) le 18 septembre 2011 Je vais prendre le deuxième duel, mister ^^ Un duel entre le jeune loup et le rejeté du Real Madrid. De Rossi, ou le profil du milieu de terrain moderne, archétype... Là où je le trouve extra, c'est dans cette faculté à savoir tout faire avec le ballon: Tacler, relancer, monter, frapper fort, faire avancer le jeu, être bien placé sur les seconds ballons, savoir s'incruster derrière le dos d'une défense. C'est le mec capable de tacler en bout de course, à la Steven Gerrard, stopper une action de manière nette, puis ensuite de pouvoir accélérer avec le ballon, ou offrir une merveille d'offrande à un partenaire... C'est un concentré de physique et de technique, avec la rigueur italienne qui va avec, et aussi la GRINTA! Il reste avant tout un milieu récupérateur, et il saura parfaitement jouer le rôle du chien de garde, avec une redoutable condition physique, ce qui lui permet même de jouer en DC, si mes souvenirs sont bons... Il est capable de conserver le cuir, lorsque cela est nécessaire. Mais aussi de partir dans de folles montées, où il fait parler son sens du dribble, qui s'avère véritablement précis... Il sait y faire avec un ballon. Prometteur dés son plus jeune âge, il aura vraiment explosé à partir de la saison 2006/2007, qui s'avère être sa meilleure saison au plus haut niveau, une saison sur la lancée du sacre italien en Outre-Rhin. Je l'ai trouvé très impressionnant, pour toutes les qualités citées au-dessus, et pour ses qualités de leader naturel, qui en faisait en quelque sorte, le bras droit de Totti. Il n'y a pas à douter, que lorsque celui-ci prendra sa retraite, alors De Rossi sera le capitaine de l'AS Roma. Même si aujourd'hui il n'est plus aussi bon, ça reste un joueur ultra-intéressant, un excellent 6/8, récupérateur/relayeur, et dont le profil devrait se répandre progressivement dans le football moderne. Contrairement à Fletcher, même en méforme, et grâce à une bien bonne qualité technique, Daniele pourra toujours s'illustrer, là où Darren devra compter sur une forme physique optimal!... Ensuite, Cambiasso... Un 6 pur et dur! Véritable fantôme au Real Madrid, où il faisait pâle figure devant les galactiques, et n'ayant pas réussi à remplacer Makélélé, il aura cela dit, bien rebondi en Italie. Ça doit être le genre de joueurs fait pour le Calcio. Car la différence de niveau est trop énorme, entre le sien au Real puis à Milan, pour que ça ne soit dû qu'à un simple changement d'équipe. D'autant plus qu'il s'est illustré dans une Inter, qui n'était encore qu'un simple empilement de Stars, où le collectif était très loin d'être rodée... Donc encore pire que le Real Galactique. Plus les saisons avançaient, et plus il s'imposait dans cette équipe pour en devenir un véritable taulier, et un des indispensables de l'Internazionale. Peut-être moins complet que l'italien, il s'en sort grâce à une véritable science tactique, une véritable faculté à couvrir n'importe quelle zone du terrain, et lui aussi possède une belle technique, malgré une allure qui pourrait faire croire l'inverse. Ses passes osées, dosées, ses premières relances de qualités, son abattage de dingue sur le terrain, ses grosses frappes à l'approche des 16 dernières mètres, font d'Esteban, l'un des trois meilleurs 6 du monde... C'est une certitude. Mais c'est vraiment sous l'emprise de Mourinho, que ce joueur aura démontré sa toute meilleure forme, avec un rôle très essentiel lors du fameux triplée en 2010. Ce qui rajouta encore plus l'incompréhension de sa non-sélection, au mondial Sud-Africain (Mais bon, il n'aura pas loupé grand chose )... C'est aussi un grand joueur, dont le nom n'est pas si cité que cela, malgré une régularité monstre, et une importance indéniable dans le collectif de l'Inter Milan. Donc au final, c'est pas facile de choisir... Opter entre le milieu complet, multi-fonction, où le phénoménal récupérateur, capable de marquer une demi-douzaine de buts par saison, et souvent de biens importants... C'est ceci-dit à peu de choses prés, (mais quand même ^^) que je vote pour Esteban Cambiasso. Qui a le luxe avec Ibrahimovic, d'avoir été un des joueurs, qui aura révolutionné l'Inter Milan. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Charlie Posté(e) le 19 septembre 2011 Auteur Partager Posté(e) le 19 septembre 2011 Je t'ai mis un -1 sans faire exprès, j'espère que tu me pardonnera ça (Déjà que je t'ai payé un resto la dernière fois ^^) Un 6 pur et dur! Véritable fantôme au Real Madrid, où il faisait pâle figure devant les galactiques, et n'ayant pas réussi à remplacer Makélélé, il aura cela dit, bien rebondi en Italie. Ça doit être le genre de joueurs fait pour le Calcio. Car la différence de niveau est trop énorme, entre le sien au Real puis à Milan, pour que ça ne soit dû qu'à un simple changement d'équipe. C'est vrai que pour l'avoir vu souvent joué, au Real, Cambiasso n'était vraiment pas le même qu'aujourd'hui, et n'était en aucun cas une référence mondiale. Puis, l'erreur faite avec ce joueur, c'était de l'utiliser comme Makélélé au milieu de terrain. Ce dernier par son incessante activité, par sa condition physique parfaite, pouvait gérer la récupération à lui seul, ce que n'était pas capable l'argentin. Et d'ailleurs, même si c'est aussi un 6, je le considère quand même plus, relayeur que le français. La raison de ses relances plutôt pas mal. Queiroz a réalisé beaucoup d'erreurs tactiques au Real Madrid, comme aligner une paire Beckham/Guti complétement inexistante à la récup', entre autres, et surtout oui, l'utilisation d'Estaban qui était mauvaise. Arrivé à l'Inter Milan, on a vu un tout autre joueur, et je dois dire que pour moi, ça fût une véritable claque. Nul doute qu'avec un tel niveau à Madrid, il aurait énormément réglé les problèmes d'équilibre qui pouvaient exister au milieu, et les résultats auraient été totalement différents... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Doraibu Posté(e) le 19 septembre 2011 Partager Posté(e) le 19 septembre 2011 Je t'ai mis un -1 sans faire exprès, j'espère que tu me pardonnera ça (Déjà que je t'ai payé un resto la dernière fois ^^) Cher Prince des saiyens, cela doit rester top secret! (Et je passe pour quoi en plus ) C'est vrai que pour l'avoir vu souvent joué, au Real, Cambiasso n'était vraiment pas le même qu'aujourd'hui, et n'était en aucun cas une référence mondiale. Puis, l'erreur faite avec ce joueur, c'était de l'utiliser comme Makélélé au milieu de terrain. Ce dernier par son incessante activité, par sa condition physique parfaite, pouvait gérer la récupération à lui seul, ce que n'était pas capable l'argentin. Cambiasso c'est sûr que c'est un autre genre... Il y'a des joueurs type Gattuso, Tommasi, Davids, Makélélé, mais il y'a aussi le style Hargreaves, Cambiasso, Ambrosini, qui est bien différent selon moi. Là où le premier genre va occuper un rôle de cinquième défenseur, et devra effectuer un boulot monstre de récupération, le deuxième va s’octroyer les tâches dites défensives, mais aussi s'impliquer dans l'animation offensive. Même si j'ai du mal, à caser Davids uniquement dans la première catégorie... Et en parlant des soucis défensifs du Real de cette époque, ils n'avaient pas pigé que l'achat d'un grand défenseur n'aurait rien résolu, tant que cette équipe n'aurait pas résolu son problème d'équilibre, comme tu dis. La raison pour laquelle, Walter Samuel le meilleur défenseur du monde, a échoué; que Woodgate a échoué, mais que Cannavaro s'en ait plutôt bien sorti, car l'équilibre du Real, son ossature, était déjà bien mieux en place... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bobby Charlton Posté(e) le 19 septembre 2011 Partager Posté(e) le 19 septembre 2011 Je vote pour les 2 deux milanais qui surclasse largement les 2 Ro(u)mains Thiago Silva car un défenseur Brésilien qui sait défendre c'est rare & Cambiasso est joueur que j'aime bien alors qu'il est Argentin et ça c'est vraiment quelque chose qui fait de lui forcement un super joueur =) Le duel Rivaldo-Ronaldinho était superbe par contre ! "Bobby Charlton est mon dieu, Manchester United est ma religion, Old Trafford est mon église, les paroles de Sir Alex Ferguson sont ma bible..." Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Charlie Posté(e) le 19 septembre 2011 Auteur Partager Posté(e) le 19 septembre 2011 Cambiasso c'est sûr que c'est un autre genre... Il y'a des joueurs type Gattuso, Tommasi, Davids, Makélélé, mais il y'a aussi le style Hargreaves, Cambiasso, Ambrosini, qui est bien différent selon moi. Là où le premier genre va occuper un rôle de cinquième défenseur, et devra effectuer un boulot monstre de récupération, le deuxième va s’octroyer les tâches dites défensives, mais aussi s'impliquer dans l'animation offensive. Même si j'ai du mal, à caser Davids uniquement dans la première catégorie... Si tu le souhaites on pourrait poursuivre le débat sur le topic "Midfielder", j'en ai des choses à dire À vrai dire, je pense qu'on peut placer Edgar Davids dans ta première catégorie, car s'il possédait une qualité technique indéniable (frappe lointaine, Skills, passes courtes), il restait ce chien de garde qui allait couper toutes les trajectoires, et s'occupait de stopper les offensives adverses. D'où le surnom de "Pitbull". Pour le reste je ne peux qu'être d'accord, le Real Madrid a retrouvé un bon équilibre, à partir du moment où Don Fabio a ramené son double pivot au milieu (Emerson-Diarra). Après cela, les merengues n'ont jamais semblé aussi fort défensivement, autant qu'à l'époque où Makélélé-Hierro-Helguera étaient au tops. Un joueur type de Rossi, ferait merveille en PL, étant donné que son profil s'apparente à un Box-to-Box. Peut-être pour cela, que pas mal souhaitent le voir chez nous. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Charlie Posté(e) le 20 septembre 2011 Auteur Partager Posté(e) le 20 septembre 2011 De Rossi vs Cambiasso: Cambiasso: 1 vote De Rossi: 0 vote Le prochain duel oppose: Luka Modric vs Cesc Fabregas Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Doraibu Posté(e) le 21 septembre 2011 Partager Posté(e) le 21 septembre 2011 Si tu le souhaites on pourrait poursuivre le débat sur le topic "Midfielder", j'en ai des choses à dire Yep, j'ai donné mon avis sur ce sujet, j'ai opté pour le numéro 10 (Riquelme Powa!! ) Sinon pour le nouveau duel, il confronte deux meneurs de jeu hors paire, et qui auront fait le bonheur de leurs équipes respectives... Luka Modric... Modric, c'est le Johan Cruyff moderne. La même gueule, la même dégaine, presque la même corpulence, et presque le même style. La différence, se situe quand même au niveau du talent, où je ne placerais quand même pas le croate du même niveau que la légende néerlandaise... Ceci dit, Luka reste un très bon joueur, et ses performances en Angleterre depuis son arrivée mérite d'être soulignées. Il s'est très vite imposé comme le dépositaire numéro un des Spurs (même si Van Der Vaart lui a un peu volé la vedette), et aura étalé de toute sa classe, aussi bien à White Hart Lane, que dans bien d'autres stades. Ses passes fluides, sa vitesse d’exécution, son excellent jeu sur les p'tits espaces, son utilisation sensationnel de l’extérieur du pied, sa technique en mouvement, son côté Maestro, ont font de lui, un des meilleurs milieux de la Premier-League. Mais comme tout joueur slave qui se respecte (ou devrais-je dire, technicien slave ^^), il brillerait d'avantage dans le Calcio. Pour moi il ne peut pas donner sa pleine mesure, dans un championnat comme la PL, car le jeu est un peu trop direct, et physique pour lui. Alors qu'en Italie, un championnat qui a vu des joueurs du registre de Modric, exploser; il pourrait y faire sensation. J'en suis persuadé. Après, je n'ai jamais caché mon désir de voir ce joueur évoluer chez nous. Je l'aurais vu comme le successeur idéal de Scholes, bien plus que Sneijder. De plus, le 4-4-2 lui aurait plus convenu, que l'hollandais, qui n'est pas vraiment fait pour ce dispositif... Il mériterait de connaître un plus grand club, mais sa "fidélité" envers Tottenham est appréciable. Ça sera à lui, de devoir les quitter au bon moment, avant qu'il ne soit trop tard, et qu'il passe à côté de mieux, au vu de son immense talent... Puis en face, Cesc Fabregas! J'ai horreur du personnage, mais je ne peux que respecter le joueur. (Puis quand le mec, t'avoue qu'il s'inspire sans cesse de Scholes, voilà quoi... RESPECT!) Un véritable meneur lui aussi, un croisement entre le milieu relayeur et le numéro dix, son sens de l'orientation est ahurissant. C'est un joueur qui respire le jeu, son utilisation du ballon est on ne peut plus appréciable. Il n'en fait jamais trop, sait conserver le ballon quand il le faut, sait dribbler quand il le faut, et sait réaliser la passe qui tue, quand il faut... Je pense qu'il possède la panoplie complète, du parfait meneur de jeu. Un joueur diablement précoce, car même à ses 17/18 ans, il faisait déjà preuve d'une belle maturité. Ses frappes à mi-distance, son joli sens du but, ses efforts défensifs, et son intelligence tactique, font de lui, un milieu accompli. Et malgré son physique plutôt frêle, il a réussi à s'imposer dans la brutale EPL, et n'a jamais vraiment souffert, même dans les matches les plus engagés. Il représente pour moi, ce que je n'ai jamais pu apprécier chez les Gunners, mais il fait parti de ses joueurs très talentueux, qu'a su faire évoluer Arsène Wenger... Pour son âge, il est déjà très courronné, surtout avec sa sélection, où il aura remporté les deux trophées les plus majeurs pour une nation. Avec Arsenal, il est arrivé en fin de cycle, et le retour au bercail, va lui faire le plus grand bien. Certainement le successeur idéal de Xavi, je pense que le Barca va l'utiliser intelligement, en lui donnant un temps de jeu correct. Jusqu'au moment où son ainé prendra sa retraite, et alors Fabregas deviendra le dépositaire numéro 1 du FCB. Une place qui lui était promis, dés son plus jeune âge... ... Peut-on vraiment dire qu'il est au dessus du croate? Je ne pense guère. Quand je vois les deux évoluer sur un terrain, je n’aperçois pas une différence monumentale de niveau, et encore moins de maîtrise. Ceci dit, l'espagnol aura eu la chance d'avoir une vraie équipe autour, alors que Modric a du faire avec des joueurs moins calibrés, malgré le bel effectif des Spurs. Aussi, il faut dire que l'espagnol a peut-être plus prouvé au haut niveau, avec notamment de sublimes performances en LDC. Tandis que Luka découvrait cette compétition, et a fait peut-être moins preuve de régularité, en Angleterre. C'est pour cela, que Modric laisse quand même un doute, malgré son superbe talent, alors que Cesc a peut-être plus prouvé, et a souvent joué avec de véritables joueurs à ses côtés... C'est pour cette raison, que je vote pour le barcelonais! 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gray Posté(e) le 22 septembre 2011 Partager Posté(e) le 22 septembre 2011 Duel de meneurs de jeu, duel de faux ennemis Je commence par l'ex-gunners qui s’épanouit comme jamais dans sa nouvelle équipe au Barça, Fabregas. C'est un milieu de terrain qui a explosé trés jeune à la coupe du monde des moins de 17 ans. Meilleur buteur et meilleur joueur du tournoi il me semble. Il a toute les qualités pour être leader d'une équipe. Un sang-froid, une maturité exceptionnelle du justement a cette explosion précoce. Il possède une vision de jeu trés large, son volume de jeu le rend capable de distiller le ballon sur n'importe quel partenaire, sur n'importe quel partie du terrain. Il a aussi une belle qualité de passe, jeu court comme jeu long et un gros travail a la récupération qu'il a acquis justement a Arsenal, en Première league. Une frappe puissante et précise qui lui permet aussi d'être bon sur coup de pieds arrêtés. Finalement le constat avec Fabregas, c'est que c'est l'un des meilleurs milieux au monde et qu'il se serait parfaitement acclimaté a MU je pense. Le profil je sais défendre et j'attaque, je suis bon pour combiner, je maitrise jeu long et jeu court.. C'est un profil qu'on aime a MU. Aucune histoire extra-sportif qui plus est. Je passe Luka Modric, Ex-ennemi de Fabregas puisqu'il joue a Tottenham ! Il a explosé et a montré toute sa créativité lors de l'Euro 2008, c'est la qu'il s'est réellement fait un nom. Milieu plus créatif, plus technique que Fabregas. Il peut passer un, deux joueurs puis placé une passe ajusté au millimétre de qualité pour son coéquipiers. Modric associe trois palette de jeu dans lequel il excelle, sa créativité, sa technique et sa vision de jeu. Une vision de jeu large aussi, j'aime sa vitesse d’exécution et son jeu en première intention. Ce genre de joueur fait avancé l'équipe vers le haut rapidement, capable d'apporter le danger a n'importe quel moment, une vivacité qui parait impressionnante lorsqu'on le voit joué. Polyvalent mais pas seulement. Il peut joué a plusieurs poste mais il y excelle trés souvent, a gauche, dans l'axe, en milieu relayeur.. Une frappe limpide aussi et une mentalité de folie. Il est capable de coup d’éclat a n'importe quel moment. A voir par exemple, son but contre Liverpool la semaine dernière, une classe magnifique. C'est serré car les deux apportent sur le terrain, ils tirent leur team vers le haut et ils sont très bon a leur poste. Fabregas me parait un cran au dessus et je sens qu'au Barça, il va explosé réellement et être le milieu incontournable cette année en Europe comme Sneijder, il y a deux ans. 1 On peut dire que vous avez une vision socialiste du football ? Arrigo Sacchi : J'ai une vision correcte d'un sport d'équipe dont l'âme est le jeu. Voilà d'ou je pars. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Charlie Posté(e) le 24 septembre 2011 Auteur Partager Posté(e) le 24 septembre 2011 Luka Modric vs Cesc Fabregas Cesc: 2 votes Luka: 0 vote On va revenir, au système où les membres pourront choisir les duels. Cette fois-ci, ça sera pendant un mois, et plus si cela fonctionne correctement. Comme d'habitude vous viendrez donner vos duels, et ils seront pris en compte du moment qu'ils soient suffisamment cohérents, serrés et en symbioses avec ceux habituellement proposés sur ce topic. Pour le moment, je mettrais ceux proposés depuis la dernière fois. Ensuite viendrons ceux que vous m'aurez envoyé par MP. On commence avec une idée de Best_07. Le prochain duel oppose: Falcao vs Cavani Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Best_07 Posté(e) le 26 septembre 2011 Partager Posté(e) le 26 septembre 2011 Puisque c'est moi qui ai proposé ce duel, je vais participer, c'est la moindre des choses. Si j'ai voulu mettre en opposition ces deux joueurs, c'est parce que moi-même, quand j'essaie de les départager, j'ai bien du mal, tant ils disposent d'une certaine forme de perfection à l'état pur, dans leur manière d'évoluer sur un terrain. Deux attaquants typiquement latinos, dans la lignée directe des Batistuta et autres Hernandez - cheveux longs, aisance devant le but et grinta propre aux sud-américains -. Ce sont tous deux des joueurs massifs et imposants, tels des aigles, disposant d'une élégance et d'un instinct meurtrier à toute épreuve. Cavani a débarqué en Italie et s'est révélé à l'Europe successivement à Palerme puis au Napoli. Il est devenu l'icône de tout un peuple et son nom est désormais légende dans le club du sud du pays-botte. Joueur original, longiligne et à l'aise dans les airs, il n'en reste pas moins un joueur bénéficiant d'une très bonne qualité technique. Capable d'évoluer sur l'aile, c'est cependant dans l'axe qu'il reste le plus efficace. Sa manière de se mouvoir avec le cuir me fait un peu penser à celle de Berbatov, avec deux qualités en plus : La vitesse et la puissance. Sa vitesse se distinguera à travers ses grandes enjambées, qui lui permettent d'avaler le gazon balle au pied, et d'éliminer un à un ses adversaires, tandis que sa puissance, elle, se retrouvera sublimée à travers son jeu de corps et ses frappes lointaines, qu'il a pour habitude d'asséner aux gardiens. Car, si Cavani se révèle être l'attaquant moderne par excellence, c'est parce qu'il est capable de frapper de n'importe où, à n'importe quel moment. Les défenseurs savent que c'est un danger considérable, mais ils n'arrivent pourtant pas à cerner ses déplacements, à anticiper ses gestes, toujours plus classes les uns que les autres. Je me rappelle de ses match contre la Juve ou la Lazio l'année dernière, ils résument vraiment l'impact qu'il peut avoir au sein de l'attaque napolitaine. Classe, dynamique, déterminé, et opportuniste, voilà ce qui caractérise un joueur qui ne cesse de devenir toujours plus impressionnant au fil du temps. En sélection, cela tourne bien aussi, fraîchement vainqueur de la Copa America, l'avenir de cet homme là avec son pays est tout tracé. Lui, accompagnant fièrement Luis Suarez sur le front de l'attaque, et reprenant le flambeau de Diego Forlan. Le défi ne lui fait pas peur, les années passent et il est toujours plus à l'aise et toujours plus adulé, l'histoire ne fait que commencer. Face à lui, Falcao, dans le même style "serial buteur", capable de tout faire. Quand une défense doit s'occuper de son cas elle sait qu'elle va passer une soirée difficile, tant il est imprévisible et capable de faire la différence en l'espace de quelques fractions de secondes. 72 Buts en 85 matchs avec Porto, cela vous situe l'homme, toujours assoiffé de filets, il ne pense qu'à ça, mettre la balle au fond des cages. Il va essayer de combler son désir par tous les moyens possibles, auteurs de gestes venus d'ailleurs, il défie presque les lois de la physique pour reprendre les ballons, pour les propulser jusque dans les buts. Un tel ratio dénote un certain opportunisme et un sens du but développé, mais, comme Cavani, il n'est pas que ça. En plus de peser sur une équipe à travers sa présence athlétique (que ce soit de manière aérienne ou dans les contacts basiques) et ses déplacements autour de la surface de réparation, il va être capable de participer au jeu collectif, car il manie bien le cuir, il voit bien le jeu, et a une bonne intelligence tactique. Rien ne peut l'arrêter, ou presque, quand il est dans un grand soir. Les défenseurs s'encastrent sur lui, il reste debout, solide comme un roc, les défenseurs tendent le pied, il les dribble, les défenseurs le bloquent, il fait jouer ses partenaires, les défenseurs anticipent, il joue seul, les défenseurs sont à terre, il marque. Il n'y a rien de tel qu'un joueur de cet envergure pour changer à lui seul l'animation offensive d'une équipe, sans aller jusqu'à dire que les neuf autres joueurs doivent jouer pour lui, il est clair que l'avoir au sein de son attaque, ça change la vie. L'Atletico a d'ailleurs bien senti le coup et a été prêt à donner les clés de la maison au colombien, qui fait déjà des débuts tonitruants en Espagne. C'est un dynamisme sans failles qui se dégage de ce joueur, limpide dans ses prises de balles et dans ses frappes, lui aussi ne semble qu'être au début de son ascension, et lui aussi semble avoir ce qu'il faut pour mener son club et sa sélection d'une main de fer. Ces deux jeunes joueurs sont vraiment très proches l'un de l'autre et très similaires, que ce soit dans leur impact, dans leur marge de progression, et dans leur mentalité (même si pour ce dernier point je donne un petit avantage à l'uruguayen). Cela dit, pour les avoir énormément vu jouer l'un et l'autre, je dirais que Falcao parait encore plus régulier, encore plus instinctif, c'est une machine qui tourne à 150% pendant que l'autre tourne à 130. Quoiqu'il en soit, ce sont deux belles machines, mais (très) léger + pour Radamel... 2 Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Charlie Posté(e) le 29 septembre 2011 Auteur Partager Posté(e) le 29 septembre 2011 Falcao vs Cavani Falcao: 1 vote Cavani: 0 vote Le prochain duel, est une idée de Sofleboss: David Beckham vs Ryan Giggs Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Red Eye Posté(e) le 30 septembre 2011 Partager Posté(e) le 30 septembre 2011 Ah, quelle opposition entre Giggsy et Becks' Deux légendes du club, deux membres de la classe 92, deux grands ailliers... Commençons par le recordman gallois, marié à Manchester United depuis plus de vingt ans (soit avant ma naissance), et qui a écumé les défenses de Premier League, de part son aile gauche, ou désormais depuis quelques saisons, dans l'axe du terrain. Dès sa jeunesse, il a montré une vivacité, des dribbles déroutants, des tacles pour récupérer le ballon, une énergie débordante, et une qualité de passe et de centre largement au-dessus de la moyenne. Mais, ce ne furent pas vraiment ses années les plus glorieuses, passées comme étant l'un des sujets du King Cantona, et ce, malgré des performances déjà reconnues à l'époque, avec notamment, une fabuleuse percée qui fut décrit comme l'un des buts du siècle, face à Arsenal. Non, ce qu'il y a d'incroyable chez Ryan Giggs, c'est bien évidemment sa longévitié, sa capacité à s'adapter avec l'âge, pour devenir encore meilleur qu'avant, dans un autre registre, certes. Une mutation dans son jeu, qui a vu le jour lors de la saison 2008-2009...sur les ailes, Cristiano Ronaldo, Nani, Park Ji Sung voire même Wayne Rooney se disputaient les places. Giggs lui, était déjà dans un rôle plus centré, après une année 2007-2008 mitigée sur sa bonne vieille aile gauche. C'est là, que le Gallois avait fait étalage, encore une fois, de sa classe. Tout le monde se souvient sans doute de sa performance ahurissante face à l'Inter Milan du Special One, tant à Old Trafford qu'à San Siro, où il avait été le maestro des Red Devils...une année où il avait malheureusement échouée en Finale, englué dans le milieu de terrain catalan. L'année suivante, Giggsy retrouve son aile gauche, terrorise à nouveau les défenseurs, enchaînant des crochets, des petits ponts à la pelle, et bien entendu des passes décisives. Ce fut une saison qu'il avait commencée de manière tonitruante, à voir sa rencontre face à Manchester City lors du mémorable 4-3, offert par un certain scouser. Malheureusement, l'aillier ne parvint pas à reitérer ses peformances lors des matchs les plus cruciaux de la saison, vers la fin de la saison... ...Chose qu'il a su corriger, lors de la saison 2010-2011, relativement dans l'anonymat (relativement, relativement...) durant une bonne partie de la saison, le légendaire aillier de Manchester refit surface à partir des 8èmes de finale de la Ligue des Champions, pour distiller une pléthore de passes décisives, Marseille, Chelsea, Schalke 04, Barcelone, tous peuvent en témoigner. Son association avec Michael Carrick fait des étincelles, tant en Angleterre qu'en Europe. Cependant, encore une fois, le Welsh Wizard sombra face aux nains catalans, à Wembley qui plus est. Mais, quelle grandiose année, il nous avait fait. Revenons désormais sur son évolution et sa longevité, point que je voulais aborder plus tôt avant de sombrer dans la description des dernières saisons de Ryan Giggs. Oui, à 37 ans, les longues chevauchées, c'est terminé pour le soldat Ryan. Place désormais, à une science parfaite du jeu, à une qualité de passe encore meilleure, mais, ses petits ponts ravageurs ne sont pas à enterrer, Giggs aura soin de le rappeller à quelques occasions, mais sans prévenir, cela va de soi. Désormais, Giggs avec son expérience, donne le tempo d'un match, alors qu'il "ne faisait que porter le ballon" autrefois, sa nouvelle dimension lui permet désormais d'être plus lucide, plus intelligent dans son jeu, il sait quand il faut temporiser, avant de placer un ballon parfait à ses avants centres, que ce soit Chicharito, Rooney ou plus récemment, le jeune Danny Welbeck. Accessoirement, Giggs, c'est aussi le joueur le plus titré de l'histoire, et a marqué à toutes les saisons de Premier League depuis qu'il y joue (sauf celle-ci...et ça ne saurait tarder) mais, établir une liste des records de Giggs, ce serait bien trop long. Face au magicien gallois, se trouve le Space Boy, David Beckham. Quand on pense à l'anglais, il nous vient immédiatement à l'esprit ses coups-francs fabuleux (ou alors son pénalty raté face aux bleus non, je plaisante). Mais réduire Beckham à ses coups de pattes magiques sur coups de pieds arrêtés, que ce soit un corner ou un coup-franc, ce ne serait sans doute pas la meilleure des choses. Beckham est l'un des ailliers les plus atypiques qu'ait connu Old Trafford. « Son pied gauche ne lui sert à rien, il est mauvais de la tête, il ne sait pas tacler et il ne marque pas souvent. A part ça, il est pas mal. » Inutile de vous dire de qui est la citation. Et pourtant, malgré tout ça, Beckham s'est fait un nom à Manchester, endossant fièrement le légendaire numéro 7 des Red Devils, et en terrorisant toutes les défenses par ses centres millimétrés. Et oui, pour l'anglais, tout est quasiment dans la qualité de passe, quand on est quasiment parfait dans ce domaine, inutile d'être complet. Comme Giggs, Beckham, lors de son passage à Madrid notamment, fut utilisé dans un rôle plus central, et ainsi, il fit part de sa qualité de passe hors-norme au public de Santiago Bernabeu. Et oui, car, contrairement à Giggs, Beckham n'est pas l'homme d'un seul club, sa légendaire altercation avec Sir Alex Ferguson n'en finit plus d'être racontée, son émouvante fin de carrière au Real Madrid, avec son seul titre remporté au bout, après avoir joué un rôle majeur dans la Remontada du Real, fit dire à Fabio Capello himself: "J'avoue avoir commis deux erreurs. La première, c'est de n'avoir pas prolongé Beckham, la seconde, c'est de l'avoir écarté." Le bateau était déjà parti vers Los Angeles. Et puis, quelques passages à Milan, où sa qualité de centre et ses coups francs n'avaient rien perdus. Bien entendu, tout le monde se souvient du jubilé de Gary Neville, où nos deux légendes ont régalés Old Trafford, avec un certain Paul Scholes, à coup de transversales parfaites. Le jeu long, le jeu court, aucun souci pour Giggs et Beckham, c'est une chose à souligner. Alors, à qui vais-je donner ma voix ? Un choix difficile, on peut encore entendre, à chacun de ses passages à Old Trafford... Fergie, sign him ! ou Welcome Home, David Beckham ! Car, à défaut d'avoir été l'homme d'un seul club, l'anglais a toujours été fou de Manchester United, et cet amour fut réciproque. Mais tout ne fut pas parfait, bien entendu, et cela rajoute encore un peu de charme à cette histoire. J'aurais offert volontier mon vote à l'anglais, si dans le même temps il n'y avait pas... Giggs tears you apart since 1992. Bien qu'il s'agisse d'un choix difficile, entre deux joueurs qui m'ont fait aimé United, j'octroie mon vote à Ryan Giggs, alors, il peut tromper sa femme, il restera notre légende ! Ryan Giggs ! 3 Mata is Free Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ole Gunnar Solskjaer Posté(e) le 1 octobre 2011 Partager Posté(e) le 1 octobre 2011 Choix évident, Ryan Giggs une Légende fidèle au club, un Seigneur des terrains. Il a eu le mérite de ne pas s'être embourgeoisé et de rester un Grand professionnel, il a eu une tromperie mais il gère sa carrière lui même pas besoin d'une Victoria pour guider son business, il sait ce qu'il doit à son Manager, dans sa carrière il a eu un coup de moins bien et beaucoup l'envoyaient à l'Inter mais non ce gars là est resté pour notre plus grand plaisir. Ce joueur avant c'était la rapidité, les dribbles, les prises d'espaces, les centres, les grosses frappes et j'en passe... Après sa période jeune passée il a modifié son jeu en étant intelligent (Une sorte de nouvel érudit) Il courre moins mais il compense tout cela par une technique et une vision du jeu augmentée considérablement, il s'est bonifié de façon différente avec l'age. David Beckham c'était le pied magique, un pied droit inusable, quelque chose d'impossible à enlever, des coups francs fabuleux mais il n'a pas eu la force de caractère nécessaire pour rester malgré sa dernière saison excellente et un coup de crampons sur une colère du manager. C'était un enfant de la classe 92 mais il a quitté le navire pour un club clairement pas fait pour lui quelque chose de difficile à avaler à l'époque surtout qu'il n'y avait rien qui laissait présager un départ au Real vu ses performances au club et les performances du club. Mon choix va au fidèle Ryan Giggs un homme qui m'a toujours semblé bien + volontaire et sympathique que Beckham. There's Only one Ryan Giggs. Les pleurs de David et son écharpe Pro Norwich ou anti Glazer comme vous voulez ne me feront pas oublier le goût amer de son départ. Pour moi techniquement et question intelligence la photo n'est même pas à faire. Choix Giggs and Giggs. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Axelou Posté(e) le 1 octobre 2011 Partager Posté(e) le 1 octobre 2011 L'ailier gauche contre l'ailier droit ! Tout deux symbole de la grande époque mancunienne !! Beckham, premier footballeur a avoir pris une dimension médiatique encore jamais vu dans ce sport, la rencontre avec sa femme, son transfert au Real, l'actualité de sa vie et de son couple qui faisait tourner la tête à tout les paparazzi et aux amateurs de potins. Mais derrière cette "bête de foire", il y a aussi un excellent footballeur au pied droit magique (c'est limite si il n'avait pas un laser au bout du pied tant il pouvait être précis). Néanmoins, je n'ai jamais réussi à considérer Beckham comme un génie du football, les Ronaldo, Zidane, Figo, Giggs etc... je les trouvais une classe au dessus. Mais j'adorais le joueur, pour son style et sa dextérité sur CPA, du jamais vu ! Pas aussi complet dans les autres compartiments de jeu, il reste pourtant un ailier droit de toute première classe, personne n'oubliera son numéro 7 distiller caviar sur caviar durant ses années chez nous. Un départ qui reste en travers de la gorge, l'influence de sa femme peut-être aussi... Je ne peux m'empêcher de penser qu'il aurait pu avoir une plus "grande" carrière. Bien évidemment, je ne pleurerais pas cette éventualité, car oui, sans lui, peut-être n'aurions nous jamais connu son formidable successeur : Cristiano Ronaldo. L'épisode madrilène, un semi-echec ? Chacun le verra comme il voudra. Il part sur un titre de champion -son seul à Madrid il me semble- et tente le pari Américain ! La MLS, Los Angeles Galaxy, un club au nom à l'image du joueur, tout le monde s'arrache l'actualité de sa nouvelle vie hollywoodienne, ses relations avec les stars américaines etc... Mais Beckham reste un footballeur et continue de maintenir un certain niveau sur le terrain. Et pourtant, ce joueur a réussi a passer de belles années au top niveau, capitaine emblématique de la sélection anglaise et icone dans tout les clubs où il est passé, c'est un joueur qui ne laisse pas indifférent, aussi bien pour les amateurs de foot que pour tout ceux qui ont faim de sa vie privée, Beckham fait et continuera à faire parler de lui. Maintenant Ryan Giggs ! La légende, un exemple à suivre dans un football toujours plus fou, toujours plus dans l'excès... Un homme qui a réussit à échapper à l'emprise du temps, qui a su prouver son amour au club sur le terrain pendant plus de 20 ans, un génie du football, un homme qui a su faire de son âge une arme, une force pour continuer à jouer au plus haut niveau à près de 40 ans dans un secteur de jeu qui requiert pourtant beaucoup de ressources physique. Ryan Giggs ne sera pas éternel, et ce sont probablement ses derniers mois que nous voyons le Welsh Wizard, floqué du désormais légendaire numéro 11, tâter le cuir sous l'emblème de Manchester United, avant de prendre une retraite archi-méritée en suivant ses anciens frères d'armes : Neville et Scholes, autres symboles de la gloire made in United. Pour un type comme moi, il est ahurissant de se dire que ce joueur, que j'ai vu cavaler et martyrisé les défenses pendant de nombreuses années, a commencé sa carrière en 1991... Je n'étais pas encore né ! Mais où est-ce qu'il trouve son envie, son peps pour jouer encore avec tellement de coeur après toutes ces années ? Oui, Giggs n'a plus 20 ans, non il n'est plus l'indiscutable titulaire qu'il a pu être dans à sa grande époque et pourtant, le Gallois reste un élément ô combien précieux, et tellement indispensable à notre bonheur et notre fierté de supporter. Mais pourquoi Giggs était-il si exceptionnel ? Parce qu'il était un footballeur de génie, parce qu'à sa grande époque, il était sans conteste l'un des plus grands avec pour seule "tare" le fait de ne pas pouvoir évoluer au sein d'une grande nation du football. Dribbleur, passeur, buteur, joueur altruiste au possible et pourtant capable d'exploits individuels tous plus géniaux les uns que les autres. Oui, cet homme est notre fierté, un joueur dont peu de club peuvent se vanter d'en avoir eu un dans leurs rangs. Mais surtout, au fil des années, alors que l'âge avance et que le temps passe, Giggs mue et évolue. Il se découvre de nouvelles capacités, de nouveaux talents qui lui permettent de garder un grand rôle dans le nouveau United de 2007, et celui de 2011 pour une dernière partie ? Moins direct dans son jeu, Giggs n'est plus l'instrument de torture sur pattes qu'il a été, mais il est aujourd'hui un cerveau et des yeux avec un vécu qui comblent parfaitement ses manques physiques. Ce joueur a vu défiler les Cantona, Beckham, Keane, RVN, Ronaldo, Neville et Scholes, il est unique dans ce football. Les plus tatillons viendront crier au scandale sur son dérapage extra-conjugal. Pour ma part je m'en contre-balance ! Il n'a pas été le premier, et ne sera pas le dernier. Rien ne nous dit que ce soit sa seule infidélité mais qu'importe ? Il reste un parfait exemple pour tout footballeur, une carrière unique à l'image d'un joueur unique. Ryan Giggs, nous t'aimons ! Je vote Giggs qui, pour moi, n'est tout simplement pas dans la même catégorie de Beckham, que j'adore lui aussi. Mais le Gallois est juste... il est juste lui, et pour ce qu'il a fait, pour ce qu'il a accompli pour le club, il sera toujours le numéro 1 ! 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
T2S Posté(e) le 1 octobre 2011 Partager Posté(e) le 1 octobre 2011 (modifié) Un duel entre deux magnifiques joueurs, mais pour moi, il n'y a pas d'interrogations, Giggs est au-dessus du lot, même si David Beckham en fait partie.... Mon vote ira donc à Sir Ryan Giggs qui, s'il n'avait pas été Gallois, aurait sans doute concouru dans la catégorie meilleur joueur de tous les temps. Malgré tout, il est toujours bien d'expliquer le pourquoi du comment, alors honneur au perdant et à David Beckham. Le Spice Boy a plusieurs cordes à son arc: footballeur talentueux, mannequin de l'égérie Armani, Bad boy tatoué, mari d'une pin(e)-up et père d'une flopée de bambinos. Manchester United, Real de Madrid, AC Milan, Los Angeles Galaxy, il y a cependant un truc qui cloche quand on oppose cela au Galois... Pendant que Giggs, de deux ans plus âgé, continue de rouler sa bosse en Premier League, et ce dans le plus grand des clubs, Beckham, lui, est à L.A depuis 2007 - bien qu'il ait entrepris plusieurs voyages en Lombardie entretemps. Alors je veux bien que Posh ait aidé à lui flinguer sa carrière en le convainquant d'aller signer au bord du Pacifique, mais tout de même: Giggs marque déjà des points. En même temps, question longévité, Giggs est le roi. Bien qu'il ne soit pas le joueurs le plus âgé du football, c'est celui qui a su conserver un niveau exceptionnelle pendant plus de vingt ans ! Aujourd'hui encore, Giggsy est capable de nous sortir des matchs références alors que David se la coule douce sous le soleil de Malibu. Ah les femmes... Il faut dire que Giggs a presque mieux gérer la chose que David qui m'avait l'air quelques fois bien trop soumis. C'est pas Giggs qui le serait ça, soumis, lui qui a réussi à faire tourner le manège pendant bien des années avec le scandale Ryan Giggs ne le rattrape. Questions ballon, les deux stars mancunienne multiplie les points communs: élégant, magnifique à voir jouer, technique (de passe/centre pour l'un, technique pure pour l'autre), efficace et fournisseurs de frisson garantis lors des situations les plus périlleuses. Beckham et Giggs sont les princes de l'assiste britannique ; que ça soit en championnat, en coupe ou en compétition internationale, les deux produits du club brillent de mille feus et font briller leurs coéquipiers. J'ai cependant un faible pour Ryan Giggs, parce qu'il est toujours au club, parce qu'il a 37 ans! parce que c'est un génie du football qui aura marquer l'esprit de millions d'amateurs de football tandis que Beckham, malgré son immense talent, a marqué l'esprit de millions de femmes en quête de fantasmes. Giggs pue la classe, il est plus complet, plus talentueux, plus fin, plus performant sur la durée que ne l'a jamais été David Beckham. Et puis voilà quoi, l'un a l'allure d'un homme bien poilu tandis que l'autre s'épile et se passe de la crème: Giggs est donc, de mon point de vue, gagnant sur tous les fronts. Même les plus grands joueurs du football moderne le reconnaissent: Giggs est tout simplement le meilleur ! +1 pour Giggs et l'année 1991 Modifié le 1 octobre 2011 par T2S 1 U-N-I-T-E-D, United are the team for me "Het is niet echt de vraag OF we het WK 2014 winnen, de vraag is eerder: met hoeveel doelpunten verschil winnen we de finale?" De Motivees/Les Motivées Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Doraibu Posté(e) le 1 octobre 2011 Partager Posté(e) le 1 octobre 2011 Duel atypique... David Beckham et Ryan Giggs, deux joueurs qui ont formé un duo hors paire, au sein de l'attaque de Man UTD. Une paire d'ailier qui par sa richesse, sa complémentarité, par l'entente entre les deux joueurs, qui l'a constitué, aura tout ravagé sur son passage. Le centreur fou et le sorcier gallois, ces deux britanniques auront eu droit à pas mal de surnom, pour leur particularité! Mister David Beckham... Milieu droit original, qui ne se débarrassait jamais de son vis à vis, par une vitesse certaine, ou une capacité d'élimination. Pour un joueur qui évoluait sur le côté, il avait plutôt des qualités de milieu relayeur. Ceci dit, il a tout de même réussi à s'adapter, et à compenser un manque de qualités physiques, par une véritable rage de vaincre, une bravoure, une volonté de combiner avec les autres autres, afin de mieux se débarrasser de son adversaire direct. On l'a souvent vu, faire des une-deux, pour se retrouver plus facilement en bonne position pour centrer. Mieux encore, il pouvait centrer directement, en contournant toute une défense, grâce à des ouvertures en feuille morte, dont le mot caviar serait une insulte, pour désigner ces merveilles de passes. Des longs ballons, sans avoir à éliminer un défenseur, depuis sa position de milieu droit. Beckham fait parti de ce type de joueurs, qui ont une véritable classe naturelle. Quelque chose d’innée, ces types qui n'ont pas besoin de surjouer, tellement ils sont atteint par la grâce. Ses Coups Francs l'auront également rendu célèbre. C'est indéniablement le meilleur tireur de son époque, si ce n'est le meilleur de tous les temps. Pas mal de grands joueurs l'ont reconnu. Zidane, Roberto Carlos, et caetera... C'est le maître dans ce domaine. Là aussi en feuille morte, le ballon qui montait haut pour redescendre très bas, afin de tromper la vigilance des portiers. C'est également un grand travailleur, un véritable professionnel, qui mouillait le maillot. Beaucoup ont été surpris de le voir aussi déterminé sur un terrain, gardant que trop, l'image d'une star ne se préoccupation plus tellement du côté sportif. Pourtant à chaque fois qu'il foulait une pelouse, l'arrière droit jouant derrière l'anglais, avait la garantie d'avoir un soutien de choix, tellement le Beck's affectionnait le repli défensif. Et d'ailleurs, on l'a souvent vu dans cette même position d'arrière droit, pour laisser son partenaire dé-doubler sur le côté. Gary Neville en sera le meilleur témoin... Sa meilleure saison aura été la 99, lors du fameux Treble. On aura beau dire ce qu'on veut sur ce joueur, pendant cette période c'était le niveau Ballon d'Or, et il avait vraiment la capacité de changer le cours d'un match à lui seul, grâce à sa patte droite phénoménale. Que ça soit à Manchester, au Real, ou au Milan, les attaquants auront toujours pu se régaler de ses maîtres centres, dont ils n'avaient plus qu'a effleurer pour terminer le travail. David te faisait 90% du boulot ^^ Un joueur magique, qui aura été une vrai perle rare, perdurant lui aussi la légende des 7. S'il y'a bien un départ, qui a affectionné plus que d'autres les supporters, c'est bien le sien. En face, Sir Ryan Giggs. L'homme de tous les records, l'homme d'un seul club, et probablement le meilleur joueur de l'histoire de la EPL. Avec ses nombreux titres glanés, ses nombreuses PL, sa longévité, sa régularité stupéfiante, on peut le qualifier comme le véritable soldat d'Alex Ferguson. Donc oui, on peut le nommer le Soldat Ryan Ailier ayant plus des caractéristiques du poste, que Beckham, il aura par contre ridiculisé comme il se doit, la plupart des défenseurs. S'appuyant sur sa vitesse foudroyante, sur ses changements de rythmes phénoménales, ses dribbles déséquilibrant, son pied gauche redoutable, et un pied droit loin d'être dégueu'... C'est ce qui lui a permis de faire tant de mal, à ses opposants. Hop je porte la balle avec le pied gauche, puis le droit, puis le gauche, puis le droit, et ainsi de suite... Et PAM! Crochet exter' fatal, suivi d'un p***** de centre, et on connait la suite Il aura lui aussi sublimé son côté, mais le gauche, et c'est ce contraste entre les deux joueurs, qui aura apporté une véritable complémentarité, et une cohésion paradoxale. De plus, il fallait compter Paul Scholes et Roy Keane, ce qui faisait qu'on avait à ce moment là, le meilleur milieu de terrain au monde. Et de loin! Peut-être un peu plus dans l'ombre, que l'anglais, il aura plutôt payé sa discrétion, et n'aura attendu que 2009, pour enfin gagner le titre de meilleur joueur du championnat. Un trophée honorifique, pour l'ensemble de son oeuvre, et qui l'aurait du gagner depuis bien longtemps ^^... Mais comme le disait récemment un article à son sujet, il aura connu toutes les périodes phares, et à défaut d'être l'arme fatale, il aura toujours contribuer à ses succès-ci. Traversant toutes les périodes. De Cantona à Ronaldo, en passant par le Becks... Roy Keane/Ince, le Treble, Ruud, les années de disette, il a tout connu... Véritable joueur emblématique, respecté, modèle, son statut du meilleur de tous les temps est incontestable, pour tout ce qui l'aura accompli au cours de ces deux dernières décennies! Malgré tout... Même si la carrière de Giggs est dans l'ensemble plus garnie, j'ai toujours préféré Beckham qui s'en ait sorti, avec un répertoire de jeu moins complet. Je vote pour Beck's... 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Charlie Posté(e) le 2 octobre 2011 Auteur Partager Posté(e) le 2 octobre 2011 Mode Doraibu On ( ) Mode Doraibu Off Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Messages recommandés