filnic Posté(e) le 7 mai 2014 Partager Posté(e) le 7 mai 2014 Tiens, double post? Le revers de la médaille de supporter un club avec des joueurs fidèles. Un jour, ils s'en vont et nous ne reconnaissons pas notre équipe. La plupart des autres supporters n'ont pas ce genre de chagrin, habitués qu'ils sont aux changements. PJ, lui, est supporter d'avant 86, de 1976, je crois, il a un peu plus l'habitude que nous, mais ça remonte (des sources m'indiquent en fait qu'il a vécu le départ de Charlton, mais à vérifier). Nous, on devra continuer à aimer ce club s'en s'y retrouver dans un premier temps. Mais j'avais encore pas trop mal vécu d'autres départs, jadis. Ole, Schmeichel, Canto, Stamy, Becky, and many other, ma mémoire fait des faux, fait des bonds. Ensuite Gary, Paulie, VDS, CR, Berba ou même, parmis d'autres, Tevez ou Hargraeves... Pas tous la même aura que la ninety-two, mais des figures attachantes... Et là, Giggs, Vida, SAF... on va s'en remettre, mais y a plus de cadre, y a plus rien. J'oublie Gibbson. Quand on a survécu au départ du new Scholes, on est vacciné. Non? Ben non. Mais prenons ça comme un renouveau. On verra bien dans cinq ans comment on s'identifie. Une page se tourne. Ça rajeuni personne, ça peu faire un peu mal. Une espèce de sentiment de redevenir, le temps d'une transition, un club ordinaire. Mais ne dit-on qu'aucun joueur n'est plus important que Manchester United? Si tel est le cas, nous saurons aussi apprécier que les légendes qui s'en vont, sont également de vieilles biques qui laissent places à le renouveau. L'histoire, nous l'avons suivie depuis plus ou moins longtemps. C'est la nôtre. Aucun mercato, aucune retraite ne pourra nous la piquer. Une des plus belles histoires dans un championnat des plus propices à les écrire. Quand le club passe avant les enfants et les femmes, quand le foot passe avant la prière, les dîners de famille et le thé, quand il est permis de changer de religion, de sexe et de partenaire mais pas de club, on a tous les ingrédients pour faire du football quelque chose de spécial. Et ça, nous le vivons. Se battre pour le top four (le Big Four, on y est, ça c'est classé pour les années à venir) ça va être un challenge. Et honnêtement, les briscards que nous avions, en avaient-ils encore du challenge, de la soif? Je me console, je me réjouis. 5 l'argent ne fait pas le bonheur des pauvres et nique ton football Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gray Posté(e) le 12 juillet 2014 Partager Posté(e) le 12 juillet 2014 2 On peut dire que vous avez une vision socialiste du football ? Arrigo Sacchi : J'ai une vision correcte d'un sport d'équipe dont l'âme est le jeu. Voilà d'ou je pars. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gray Posté(e) le 21 juillet 2014 Partager Posté(e) le 21 juillet 2014 :wub: :bunny: 1 On peut dire que vous avez une vision socialiste du football ? Arrigo Sacchi : J'ai une vision correcte d'un sport d'équipe dont l'âme est le jeu. Voilà d'ou je pars. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gray Posté(e) le 23 juillet 2014 Partager Posté(e) le 23 juillet 2014 On peut dire que vous avez une vision socialiste du football ? Arrigo Sacchi : J'ai une vision correcte d'un sport d'équipe dont l'âme est le jeu. Voilà d'ou je pars. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ole Gunnar Solskjaer Posté(e) le 29 juillet 2014 Partager Posté(e) le 29 juillet 2014 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
filnic Posté(e) le 23 août 2014 Partager Posté(e) le 23 août 2014 (modifié) C'est MU ou manchester United, svp nutilisez pas ce terme là (man u) Mais pourquoi pas? Parce que moi je dis aussi United, Man United, Man Utd, MUFC, Red Devils, Newton Heath... même parfois je dis Mancheshter... je devrais pas? Modifié le 23 août 2014 par filnic l'argent ne fait pas le bonheur des pauvres et nique ton football Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Beck's2740 Posté(e) le 24 août 2014 Partager Posté(e) le 24 août 2014 "Man U" est un terme péjorative utilisé par les supps adverses (notamment Liverpool) faisant référence à la catastrophe de Munich. https://www.facebook.com/notes/manchester-united-die-hard-fans/dont-use-man-u/209854162379676 Il y a d'autres explications sur le net "Chaque espoir est un paradis qu'on ne vit pas" Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Marvin Posté(e) le 24 août 2014 Partager Posté(e) le 24 août 2014 Et puis en cas de relégation.... "Hey Man U, tu descends??" 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
filnic Posté(e) le 24 août 2014 Partager Posté(e) le 24 août 2014 (modifié) Non mais je sais tout ça. J'aurais juste aimé que badcrime (sic) explique un peu plutôt que de juste imposer. En plus il n'impose que deux nickname possible, quand même.... "Man U Never Intended Coming Home" Ou manure=fumier. Quand je faisais la morale aux supporters qui utilisaient ManU, j'essayais de démontrer. Et en PV. Après, finalement, est-ce si grave? Answer: yes Modifié le 24 août 2014 par filnic l'argent ne fait pas le bonheur des pauvres et nique ton football Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Melo7 Posté(e) le 24 août 2014 Partager Posté(e) le 24 août 2014 (modifié) error 404 message rien a voir Modifié le 24 août 2014 par Melo7 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ole Gunnar Solskjaer Posté(e) le 13 novembre 2014 Partager Posté(e) le 13 novembre 2014 (modifié) Manchester United's top 10 Goalkeepers with most clean sheets: 1. Peter Schmeichel (180 clean sheets), 2. Alex Stepney (175)3. Gary Bailey (161)4. Edwin van der Sar (135)5. Alfred Stewart (96)6. Harry Moger (92)7. Jack Crompton (67)8. Ray Wood (55)9. Frank Barrett (54) 10. Fabien Barthez, David De Gea (50). Modifié le 13 novembre 2014 par Ole Gunnar Solskjaer 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
One Sheasy Posté(e) le 13 novembre 2014 Partager Posté(e) le 13 novembre 2014 Si on classait les joueurs en fonction du ratio matches avec clean-sheets/matches joués , John O'Shea serait premier Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ole Gunnar Solskjaer Posté(e) le 14 novembre 2014 Partager Posté(e) le 14 novembre 2014 Si on classait les joueurs en fonction du ratio matches avec clean-sheets/matches joués , John O'Shea serait premier Sauf que là on parle des gardiens uniquement Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pj harvey Posté(e) le 14 novembre 2014 Partager Posté(e) le 14 novembre 2014 Nathou va te répondre que O'Shea a joué dans les buts. 3 "Oh, Monsieur et maître, la misère est grande. Les fantômes que j'ai conjurés, je ne vais plus pouvoir m'en dépêtrer" Goethe. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
One Sheasy Posté(e) le 14 novembre 2014 Partager Posté(e) le 14 novembre 2014 (modifié) Plus sérieusement si DDG était titulaire sur la période 2006-2010 il aurait aligné le double de clean-sheets. Je dis ça très sérieusement. EDIT : Merci pj! J'avais oublié de le préciser! Modifié le 14 novembre 2014 par NATHOU92 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ole Gunnar Solskjaer Posté(e) le 19 novembre 2014 Partager Posté(e) le 19 novembre 2014 Plus sérieusement si DDG était titulaire sur la période 2006-2010 il aurait aligné le double de clean-sheets. Je dis ça très sérieusement. EDIT : Merci pj! J'avais oublié de le préciser! Rio Ferdinand a joué dans les buts lui Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
One Sheasy Posté(e) le 19 novembre 2014 Partager Posté(e) le 19 novembre 2014 Je sais mais il avait concédé un but contrairement à Sheasy! (même si c'était un pénalty donc bon...) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ole Gunnar Solskjaer Posté(e) le 19 novembre 2014 Partager Posté(e) le 19 novembre 2014 Je sais mais il avait concédé un but contrairement à Sheasy! (même si c'était un pénalty donc bon...) Oui hein n'essaie pas de glorifier O'Shea aux dépens de Rio Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
One Sheasy Posté(e) le 19 novembre 2014 Partager Posté(e) le 19 novembre 2014 Je sais pertinemment que Rio a bien plus marqué le club que Sheasy laissez-moi le glorifier haha Sinon le meilleur gardien qui ait évolué sous nos couleurs reste Schmeichel, suivi de très près par VDS... on est d'accord ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
redice Posté(e) le 19 novembre 2014 Partager Posté(e) le 19 novembre 2014 (modifié) Schmeichel n'avait pas de point faible. VDS en avait un seul : Quand il relâchait la balle c'était souvent dans l'axe mais il avait dans un autre coté un qualité rare pour un gardien : Un excellent jeu de pied. Modifié le 19 novembre 2014 par redice Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rooneydu93500 Posté(e) le 19 novembre 2014 Partager Posté(e) le 19 novembre 2014 Il sautait mieux sur sa droite que sur sa gauche aussi. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pj harvey Posté(e) le 19 novembre 2014 Partager Posté(e) le 19 novembre 2014 Je vote VDS moins fantasque plus sobre mais plus complet, puis son jeu au pied 2 "Oh, Monsieur et maître, la misère est grande. Les fantômes que j'ai conjurés, je ne vais plus pouvoir m'en dépêtrer" Goethe. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rooneydu93500 Posté(e) le 19 novembre 2014 Partager Posté(e) le 19 novembre 2014 C'est vrai que son pied, c'était purement incroyable, dans toutes les positions il s'en sortait. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Message populaire Beck's2740 Posté(e) le 20 novembre 2014 Message populaire Partager Posté(e) le 20 novembre 2014 Je sais pas trop où poster cette article donc je le met ici : Ecrit par Eric Maggiori http://www.sofoot.com/adrian-doherty-le-cinquieme-beatles-de-manchester-united-192099.html Adrian Doherty, le cinquième Beatles de Manchester United Il aurait pu devenir une légende de Manchester. Le 20 novembre 1987, Adrian Doherty signe, à 14 ans, un contrat en faveur de Manchester. A l'époque, en 1992, on assure qu'il est plus fort que ses coéquipiers Ryan Giggs et Paul Scholes. Mais sa vie n'a pas pris le virage qu'elle aurait dû. Voilà pourquoi Coupure de presse après son décès, en juin 2000 Ryan Giggs fêtera dans 10 jours ses 41 ans. Paul Scholes a fêté ses 40 ans il y a quatre jours. Adrian Doherty, lui, aurait dû être l'aîné de cette bande, du haut de ses 41 ans et 5 mois. Mais sa vie s'est tragiquement interrompue le 9 juin 2000. Un jour avant son 27e anniversaire. L'annonce de son décès était presque passée inaperçue. Alors que, une dizaine d'années plus tôt, tout le monde s'émerveillait sur les prouesses de ce gamin né à Strabane, à une centaine de kilomètres de Belfast, en Irlande du Nord. C'était à la fin des années 80, en 1986, très précisément. Un jeune garçon de 13 ans débarque à Manchester. « Je l'avais recommandé aux scouts de Manchester United en Irlande du Nord et il est allé passer un test là-bas, se remémore Matt Bradley, l'un de ses premiers entraîneurs en Irlande du Nord. Après 15 minutes d'essai, Alex Ferguson a téléphoné à son père pour savoir si Adrian voulait signer à United ». A peine arrivé, le gamin impressionne les observateurs mancuniens. Il signe son premier contrat avec les Red Devils le 20 novembre 1987. Il y a 27 ans, jour pour jour. Adrian Doherty a 14 ans, et intègre une équipe de jeunes dans laquelle on trouve Paul Scholes et Ryan Giggs, entre autres. Il est le pendant de Giggs sur l'autre aile, mais pour beaucoup, il est bien plus fort que le Gallois. « Il était l'ailer le plus rapide que nous ayons jamais vu, rappelle Tony Park, co-auteur deSons of United, un livre sur les équipes de jeunes du club, dans un article du Guardian dédié à Doherty. Les scouts de United ont même dit qu'il était tellement rapide qu'il pourrait ‘attraper des pigeons' ». Avec ce maillot rouge sur les épaules, on commence même à le comparer à George Best. Que de promesses. L'idylle se transforme en cauchemarRapide, buteur, bon des deux pieds, Doherty semble avoir toutes les cartes en main pour devenir la star de cette équipe qui, quelques années plus tard, sera mondialement reconnue comme « La classe de 1992 », celle sur laquelle Sir Alex basera tous ses triomphes au cours des années 90. « A l'époque, un coach avait assuré que, de tous les jeunes du club, seuls Wilson, Scholes et Doherty allaient devenir pro » se remémore Tony Park. Mais l'écrivain n'est pas le seul à se souvenir de Doherty comme d'un crack. Brendan Rodgers, l'actuel coach de Liverpool, a fréquenté la même équipe de jeunes en Irlande du Nord. Doherty et lui s'étaient liés d'amitié. « Parlez à Ryan Giggs, Paul Scholes et aux frères Neville : ils vous diront tous que Doherty était le meilleur joueur avec qui ils aient joué à ce niveau là » assure Rodgers, encore au Guardian. Alex Ferguson suit de près sa progression. Arrivé sur le banc de Manchester United en 1986, le coach écossais est à la recherche de jeunes talents pour fonder son équipe du futur. Doherty apparaît comme une évidence, au point qu'Alex, pas encore Sir, le fait monter en équipe première en mars 1990, à seulement 16 ans. Tout ça pendant que ses petits potes de l'époque sont encore considérés comme des gamins. Mais c'est à ce moment là que l'idylle va se transformer en cauchemar. Ferguson a prévu de lui offrir son baptême en première division le week-end du 13 mars, face à Everton. Mais à quelques jours du grand rendez-vous, Doherty se rompt les ligaments croisés lors d'un match amical face à Carlisle. Diagnostic : six mois d'absence. Il en mettra finalement sept avant de refouler les pelouses. Mais lorsqu'il revient, il « fait une Giuseppe Rossi ». Crac, le genou saute à nouveau dès les premières foulées. Cette fois-ci, la rééducation dure un an. En tout, Doherty sera resté hors des pelouses pendant 19 mois. Rupture des ligaments et Bob DylanEt les 19 mois se font sentir. Lorsqu'il rechausse les crampons, Doherty n'est plus le même. Il a perdu sa vitesse, perdu sa folie, son allant. Le jeune Adrian comprend que cette double rupture des ligaments n'a pas seulement détruit son genou, elle a également détruit sa carrière. Une question peut alors se poser : si Manchester United était à ce point convaincu de son talent, pourquoi ne pas avoir pris plus soin de lui pendant sa longue blessure ? Dans l'enquête duGuardian, le père d'Adrian, Jimmy, émet une suggestion. Selon lui, United n'a pas cajolé son fiston parce qu'il ne représentait pas tous les standards du footballeur-type. Il préférait la guitare aux grosses bagnoles, le style bohème aux montres de luxe. On le voyait même se pointer régulièrement au Cliff, l'ancien centre d'entraînement de United, avec un gros sweat et une guitare sur l'épaule. « Il était très bon footballeur, mais ce dont je me rappelle, surtout, c'est de sa personnalité et de son intelligence. Il adorait parler de musique, de littérature et de poésie » se souvient Brian McClair, joueur des Red Devils de 1987 à 1998.Doherty ne sait plus vraiment où aller. Il dérive, se met à travailler dans une usine de chocolat à Preston, tente de continue à jouer à côté avec le maillot de Derry City, dans son Irlande du Nord natale. Mais l'envie n'y est plus. D'autant qu'à ce moment là, ses anciens partenaires commencent à exploser avec l'équipe première de United. Adrian décide d'arrêter définitivement le football. « Il aurait aimer percer dans la musique » se souvient Brendan Rodgers. Une vidéo amateur le montre même en juin 1991, en train de chanter une reprise de Bob Dylan, All Along The Watchtower, au Melmont Centre de Strabane, sa ville de toujours. Mais la musique ne marche pas non plus. Adrian a alors 19 ans. Et même s'il a encore toute la vie devant lui, la sienne semble déjà être arrivée à la ligne d'arrivée. Pendant des années, il va errer en Irlande du Nord, à la recherche de stabilité. Jusqu'au mois d'avril 2000.Meubles, coma et livre hommageCe mois là, Doherty, désormais âgé de 26 ans, décide de donner un nouveau souffle à son existence en déménageant à Amsterdam. Au même moment, Manchester United remporte son sixième championnat d'Angleterre en huit ans, avec comme stars les frères Neville, Ryan Giggs et Paul Scholes, tous ceux de la classe de 92, tous ceux qui étaient censés être « moins forts que lui». Dès son arrivée à Amsterdam, il est engagé dans une entreprise de meubles. Mais quelques jours seulement après son arrivée dans la ville, il tombe dans l'un des nombreux canaux d'Amsterdam. On ne saura jamais s'il s'agissait d'un suicide ou d'un accident, ni même les circonstances exactes de cette chute. Le fait est qu'il va rester dans le coma pendant un mois, avant de s'éteindre le 9 juin 2000. Un jour avant de fêter ses 27 ans. L'enterrement est organisé une semaine plus tard, le 16, par ses parents, Jimmy et Geraldine, et ses trois frères et sœurs. LeDerry Journal, en Irlande du Nord, lui consacre alors sa Une, avec un vibrant hommage. En revanche, hormis trois lignes dans le Sunday Mirror, pas un mot dans la presse anglaise, trop occupée à remplir ses colonnes des performances de l'Angleterre de Beckham et Scholes lors de l'Euro 2000. Doherty, quelque part, rentre alors dans la légende en devenant « l'oublié ». L'oublié de cette folle génération mancunienne. Celui qui aurait pu en être le fer de lance. Le cinquième Beatles, en somme. Un livre devrait bientôt être rédigé pour raconter intégralement et précisément toute son histoire. Sir Alex a déjà confirmé qu'il y participerait, tout comme son ami d'enfance Brendan Rodgers. L'actuel coach des Reds a d'ailleurs récemment raconté une anecdote à propos de la période où il était joueur à Reading, entre 1990 et 1993. Le mythique gardien écossais Jimmy Leighton est prêté à Reading lors de la saison 1991-92. « Je suis allé le voir pour lui parler de Manchester United, dont il avait été le gardien de 1988 à 1991, raconte Rodgers. Je lui ai demandé s'il avait entendu parler de tel ou tel jeune joueur, il me répondait ‘non', puis de tel ou tel autre jeune joueur, et il me répondait ‘non'. Et puis je lui ai demandé s'il avait entendu parler d'un jeune gamin de Strabane, appelé Adrian. Il m'arrête, et me dit : ‘The Doc ?'. C'était le surnom d'Adrian. Je lui dit : ‘oui'. Et Leighton me répond : ‘The Doc, c'est une légende' ». Le légende de l'oublié qui, 17 ans plus tard, perdure encore, et encore. Vidéo d'Adrian Doherty lors d'un amical entre les jeunes de Derry City et ceux de Nottingham Forest, envoyée par Derry City : 13 "Chaque espoir est un paradis qu'on ne vit pas" Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Skynet Posté(e) le 20 novembre 2014 Partager Posté(e) le 20 novembre 2014 Merci pour cet article. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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