
Captain Britain
Fergie Babes-
Compteur de contenus
5299 -
Inscription
-
Dernière visite
-
Jours gagnés
9
Tout ce qui a été posté par Captain Britain
-
L'âge moyen te donne une idée de la raréfaction du poste... RVN est sur la fin, Milito est un trentenaire (à vérifier), Klose également, Inzahi est sur la fin.
-
Cinéma
Captain Britain a répondu à un(e) sujet de Miss Becks dans SÉRIES TV / FILMS / JEUX VIDEO / MUSIQUE / LIVRES
Ca fait tellement longtemps que j'ai pas rigolé devant un film... -
Quel beau débat... Je me souviens qu'il y a deux ans, j'avais "prophétisé" la mort des purs numéros 9, du renard des surfaces, constatant que les derniers numéros 9 étaient des joueurs médiocres (Huntelaar en tête). Aujourd'hui, Chicharito s'est révélé, mais mon avis n'a pas changé : le pur numéro 9 est un anachronisme dans un football qui devient défensif et qui exige une fluidité totale des mouvements offensifs, une participation totale de tous les joueurs à la fois à la phase offensive mais aussi et surtout à la phase défensive (encore que Chicharito se défend, par un pressing plutôt intelligent). Il en va de même pour l'élégant, souvent un régal, mais pas toujours tranchant et très rarement constant. Bergkamp était un génie, mais qui souffrait à la fois de carences physiques et d'un football qui ne le mettait pas toujours en valeur. Berbatov souffre également de cela, Ibrahimovic également. Ces trois joueurs ont comme point commun d'avoir un mental souvent défaillant (même si Ibra est une grande gueule) et de ne pas toujours être présents lors des grands rendez-vous (Ibra et la LDC, ça fait 8 ; Berba et la LDC, ça fait 13). De plus, l'utilisation de ces joueurs au sein de systèmes qui tendent à s'uniformiser pose un problème : comment adapter un joueur totalement différent des autres tout en conservant une cohérence au sein d'un 11 qui se doit d'être compétitif ? SAF a échoué. Guardiola a échoué (à moitié) avec Ibra, et Milan a eu du mal avec le Ibra de la fin de saison. Bergkamp sur la fin posait certains soucis à Wenger, également. D'une façon quasi-certaine, il semble que le foot moderne privilégie les sprinteurs, techniques ou non, les dévoreurs d'espaces, ceux qui, en un coup de rein, parviennent à défaire une défense, mais qui ont du mal à se dépêtrer d'un milieu soudé à la défense. J'avoue ne pas aimer le sprinteur, même si Owen m'a fait vibrer, que je dois reconnaître la réussite d'un Henry. L'inconvénient de ce style de joueur, c'est que le ratio de top player (furioclasse pour faire plaisir aux Italiens) est très faible : pour un Owen, un Henry, un Ronaldo (même si j'ai du mal à le classer dans ce compartiment), combien de Cissé, Agbonlahor, Odonkor and co ? Beaucoup. Et surtout, ces joueurs possèdent un style de jeu trop frontal, trop vertical pour moi, trop peu subtil. Dernier argument qui me fait haïr cette catégorie : Ronaldo. Plus besoin de développer, la messe est dite. Finalement, je choisis le 9 et 1/2. J'ai vibré devant Ruud, devant Raul, mais cette catégorie de joueurs est condamnée à disparaitre. J'ai toujours considéré qu'être un 9, ce n'était pas qu'une condition de flair, de placement, de finition. C'est aussi un minimum de qualités techniques (Raûl est un excellent passeur, les enchaînements de Ruud sont au moins aussi rapides que ceux de Ronaldo, Owen est un bon technicien, Trézéguet n'est pas dégueu, etc.), de charisme. Le 9 est un point d'ancrage, pas au sens du pivot, mais au sens de l'attention, de l'estime. Aujourd'hui, aucun joueurs qui se considère comme un pur buteur n'a les qualités des joueurs suscités, peu importe l'âge d'ailleurs. Quant au 9 1/2, comment dire ? J'ai trempé mes mouchoirs devant des joueurs comme Sheva, comme Rooney ; des joueurs capables de perforer une défense par un simple geste technique ou par une accélération, mais également de faire briller les partenaires, de jouer en pivot (cf. Roo la saison passée, face à Milan notamment). Des joueurs capables de galvaniser une équipe, d'être des excellents contre-attaquants, mais aussi redoutables dans les phases où l'équipe tient le ballon. Des joueurs qui sentent l'espace, créent l'espace. En somme, des joueurs qui ont quasiment toutes les qualités des autres style d'attaquants, sans en avoir les défauts et qui, en plus, y ajoutent des qualités d'un 10, dans la nécessaire vision du jeu, dans l'intelligence (je considère que jouer en 9 1/2 demande une intelligence tactique redoutable), sans, encore une fois, en avoir les défauts (manque de dynamisme, trop peu polyvalent et souvent en difficultés lorsque l'adversaire a des lignes resserrées). Totti, Scholes, Rooney, Sheva ont tous, dans des registres parfois un peu différents, été de formidables 9 1/2, incontournables et inamovibles. Je rêve devant ces joueurs, capables d'aller au combat (Sheva un peu moins que les autres), de gagner un match, d'évoluer dans tous les registres, parfois avec flamboyance, parfois avec efficacité (Scholes derrière RVN, par exemple). J'espère que d'autres prendront la relève (Welbeck, notamment, Pato, qui pourrait y devenir un phénomène, etc.)...
-
Actualités des clubs européens
Captain Britain a répondu à un(e) sujet de ericantona dans AUTRES CLUBS ET SÉLECTIONS NATIONALES
C'est ce que le directeur sportif du Bayern avait dit : une saison avec la réserve pour s'habituer à l'Allemagne et au jeu, à gagner en masse physique et à progresser, puis équipe première. -
Actualités des clubs européens
Captain Britain a répondu à un(e) sujet de ericantona dans AUTRES CLUBS ET SÉLECTIONS NATIONALES
Tiens moi au courant de l'évolution de Jennings stp, il n'est pas encore prêt pour le haut niveau, mais il a du talent à revendre. D'ailleurs, faudra que je vous fasse un petit truc sur lui, à l'occasion... -
Je pense que le duo titulaire en début de saison sera celui de la fin de saison, mais que Chicharito aura plus de mal, et que la concurrence sera accrue. Je pense aussi que Berbatov jouera clairement moins (dans la lignée de la fin de saison), et que Owen jouera plus, que Rooney restera dans son rôle, et que Welbeck sera son remplaçant naturel (toi comme moi savons qu'il excelle dans l'espace plus qu'en pur attaquant ), et qu'il pourra même apporter beaucoup dans le cadre d'un vrai 4-3-3. En fait, je pense que la hiérarchie sera celle-ci : Rooney > Chicharito > Welbeck > Berbatov > Owen (Macheda en prêt). Je pense que Welbeck sera un titulaire indiscutable dans les coupes, mais avec une équipe plus compétitive que celles qu'on a pu aligner par le passé (Lindegaard, Jones, Smalling, Evans, les jumeaux, Cleverley, Young, etc.). Si tu me demandes, je le vois bien disputer 20-25 matchs, pour finir à 8-9 buts et 4-6 passes décisives (comme Roo à ses débuts). Après, on connait SAF. Lorsqu'il trouve quelque chose qui marche, il l'exploite jusqu'à la fin du filon. Ce fut le cas du duo Tévez-Roo, ce sera le cas de celui formé par Roo-Chicha. Si il se rend compte que Roo et Owen cartonnent ensemble, ils seront alignés autant que possible. Dur de se projeter, finalement.
-
Rien de choquant, et vu le niveau de la réserve, rien d'alarmant non plus. Scholes ne jouait pas avec les A avant 21 ans, et n'est devenu un indiscutable qu'à ses 23 ans. Comme quoi...
-
SAF sur Danny : "They won't go on loan again," Ferguson confirmed. "Going on loan only serves one purpose; keeping them happy by playing all the time." " Welbeck is an England international now." "He is an exceptional talent." "We are happy both of them will stay with us."
-
SAF sur Tom : "And Cleverley will play for England too. He is an intelligent modern-day footballer. His movement and understanding of space is really good for a young player." "We are happy both of them will stay with us." Les deux resteront, comme prévu. La définition qu'il a de Cleverley est on ne peut plus juste : très intelligent, très subtil, avec une maîtrise du jeu en rupture impressionnante. Ca confirme ce que je disais de lui en début de saison dernière, et ça me réjouis au plus haut point.
-
Allez, je suis presque d'accord, si ce n'est que Keane fait partie de ceux qui se démarquent, et non pas de ceux qui sont à suivre (dans ma vision des choses, naturellement ).
-
Manchester United et l'argent
Captain Britain a répondu à un(e) sujet de Mehdi United dans LA VIE DU CLUB
Les économistes font d'excellents analystes financiers. Bref, fin du HS. -
Manchester United et l'argent
Captain Britain a répondu à un(e) sujet de Mehdi United dans LA VIE DU CLUB
Attention aux sicav, ça peut être un réel piège. -
Manchester United et l'argent
Captain Britain a répondu à un(e) sujet de Mehdi United dans LA VIE DU CLUB
Le club devrait à nouveau coter en bourse, mais à HK (place particulièrement liquide, de droit anglo-saxon, permettant une approche facile du marché asiatique). Un bon moyen de lever des fonds, d'éponger et d'allonger une partie de la dette (avec les taux du marché, ce coup-ci), et de financer certains investissements. -
Manchester United et l'argent
Captain Britain a répondu à un(e) sujet de Mehdi United dans LA VIE DU CLUB
Outre le naming, les billets à Arsenal sont les plus chers d'Europe. Tiens, un truc qui m'a fait plaisir : je vois que les médias français enregistrent que la dette du club au sens strict est de 550 millions, et non plus de 880 milions. Y'a que l'équipe qui, après avoir interviewé un spécialiste du domaine qui avait confirmé que notre dette réduisait et qu'elle tournait à 500 millions, persiste à dire qu'elle grossit, mais c'est l'équipe : ça bande pour Arsenal et Barcelone, mais ça vaut pas grand chose. -
Brady pourrait finir en prêt à Hull. Bon choix, en espérant qu'il calme son tempérament, comme SAF l'espère.
-
Actualités des clubs anglais
Captain Britain a répondu à un(e) sujet de ericantona dans FOOT ANGLAIS
Reo-Coker a décidé de quitter le club, en dépit d'une offre de prolongation. Ceci étant précisé, j'adhère à l'idée d'ensemble de ta formation Seven_Red, même si je pense que N'Zogbia est plus un remplaçant à Young qu'un remplaçant à Downing. Les deux n'apportent pas la même chose. Là où le Français apporte percussion, vivacité et force de pénétration, l'Anglais apporte moins de fougue mais plus de subtilités, se rapprochant davantage d'un milieu central décalé (ce qu'il aura été à Villa, well done O'Neill) que d'un réel ailier. Pour le reste... Je n'aime pas McLeish. Ce n'est pas forcément sa méthode, mais son entêtement à rester enfermer dans un carcan stéréotypé, dans lequel le but du jeu est de détruire, un peu comme Allardyce. Il est intelligent, sait tirer le maximum de son équipe, mais est incapable d'accompagner l'explosion de son équipe, puisqu'il finit par se complaire d'un style de jeu indigent et d'une absence de créativité totale. -
Seattle Sounders 0 - 7 Manchester United
Captain Britain a répondu à un(e) sujet de Bibu dans JOUR DE MATCH
J'ai vu un match à Seattle. La ville est magnifique, et l'ambiance impressionnante. -
Actualités des clubs anglais
Captain Britain a répondu à un(e) sujet de ericantona dans FOOT ANGLAIS
C'est plutôt faiblard. Ils n'ont qu'un seul créatif pur (Bannan, excellent jeune Ecossais au demeurant), Agbonlahor est incapable de confirmer, derrière ça manque de vivacité, et surtout, surtout, ils ont l'entraîneur le plus détestable de la PL (en matière de style de jeu). -
Je ne vais pas aller jusque là, mais disons qu'il manque de puissance physique pour exploser réellement.
-
Keane est très technique, très intelligent, et c'est un excellent finisseur. Maintenant, c'est un profil à la Sheringam : joueur intelligent, très précieux dans la qualité de son jeu en pivot et dans sa qualité technique, mais pas forcément très rapide, pas forcément très puissant. C'est un profil qu'on ne voit plus dans un football où la vitesse et la puissance sont deux composantes essentielles. Après, on a tout le temps de voir arriver. Tunnicliffe et consorts sont jeunes : ils ont tous 18 ans.
-
Bah, tu me lis mal Iloveny. J'ai toujours dit que, dans notre réserve, il n'y avait qu'un seul bon joueur, et qu'il n''exploserait sans doute pas en raison de son tempérament (Brady), plus le mystère Petrucci. Quant aux jeunes, j'ai juste dit qu'il y avait 4 jeunes qui avaient le talent nécessaire pour exploser, mais que un aurait la tâche très difficile vu son profil. En fait, pour être tout à fait franc, je n'en vois que 3 faire une carrière chez nous, même si j'en espère 5. Grosso modo, on est loin de toute la réserve. 5 (dont 3 que je vois quasiment certain) sur 78 joueurs, je trouve ça honorable.
-
Disons que ça intéresse moins les gens, que le talent est plus grand chez Morrisson. J'en ai parlé de Cleverley, en long, en large et en travers. Mais je me suis souvent senti seul sur son topic...
-
Ah non, je m'insurge. J'ai toujours eu du mal à situer Andy Cole sur l'échiquier des attaquants anglais, et européens. Avec le recul, j'imagine qu'il serait à la quatrième place, derrière Sheringam et les deux joueurs opposés. Limite cinquième, vu que Fowler avait un potentiel extraordinaire. Bref, très beau duel, entre deux attaquants qui partagent plusieurs choses. Le premier, c'est une affection pour les blessures. Shearer a arrêté pour cela (même si il restait encore une machine), et Owen a modifié son jeu à cause des blessures. Outre Newcastle, ils ont également partagé la pression d'être l'atout offensif numéro 1 de la sélection, d'une sélection qui, à l'époque, jouait, avec de bons techniciens (Scholes était bien utilisé par Hoddle, Gazza and co sous Robson et Venables, etc.), mais était terriblement naïve, au contraire de la sélection actuelle, qui refuse le jeu et se montre éperdument cynique et arrogante. Je commence par Shearer. Il faut déjà préciser qu'il a une mauvaise réputation dans les travées de OT. Son style de jeu (rude, agressif, à la limite de la violence), certains accrochages avec nos joueurs emblématiques (les Neville, Keane, Schmeichel, Stam) et son refus au dernier moment de nous rejoindre, ont sans aucun doute contribué à cette mauvaise image, n'empêchant malgré tout pas SAF d'en parler comme un de ses plus gros regrets (avec Gascoigne). Charlie a raison de souligner son intelligence, sa puissance. Dans sa prime jeunesse, mon père m'en parlait comme d'un joueur magique. Les vidéos que j'ai vu de lui étaient effectivement magiques. Il allait vite, dribblait bien, frappait fort et vite, faisait tout bien. Un Drogba blanc et blond avant l'heure, capable de tirer les coups-francs, de frapper magistralement ses pénos (lucarne, toujours), de changer le jeu par des transversales souvent réussies. C'était un monstre d'une efficacité rare, longtemps un 9 bis devenu 9 au fur et à mesure de son déclin physique, l'argument numéro 1 d'une équipe arrogante et depuis remise à sa réelle place. L'argument numéro 1 pour sa venue chez nous, pour ce qui devait être son explosion. Son amour pour Newcastle (quand même, belle histoire : jeté comme un chien du centre de formation, il y revient, consent à des sacrifices financiers et personnels pour y rester et ne jamais quitter le club de la Toon Army) aura eu raison de son destin, tout comme sa nationalité, et le poids de l'héritage des Lineker et autres attaquants géniaux, sans doute mieux entourés que lui, malgré tout. On pourra également retenir son charisme, son hygiène de vie, sa volonté à rester loin de l'abattage médiatique, contrairement à Gascoigne, Beardsley, et même aux jeunes Giggs et Beckham. Il était the man next door, le gars du coin, qui pleurait après chaque fin de saison à Newcastle, priant pour que ce ne soit pas sa dernière. Ridjaard disait de lui qu'il était l'attaquant de classe mondiale le plus surcoté de la planète foot, qu'il n'avait pour lui que son jeu de têtes. J'ai du mal à croire qu'un type qui a toujours marqué 1 match sur 2 lors des grands tournois (meilleur buteur de l'Euro 96, 2 buts et 1 assist en 98, idem en 2000), qui est le meilleur buteur de l'histoire de la PL, qui a fait pas loin de 40 passes décisives tout au long de sa carrière, qui a marqué de nombreuses fois en Europe, était surcoté. Quant à Owen... Owen, ou la genèse de ma relation avec Norvegian. Owen, dribbleur et sprinteur fou, puis finisseur génial mais sobre. Owen, révélation magique au sein d'une génération que j'espérais dorée mais dont on sentait (avec le recul) que l'échec pointait. Owen, symbole (Shearer aussi, mais dans une moindre mesure) d'un pays capable de produire des talents extraordinaires mais aussi de les briser, soit physiquement (King, Ashton, Woodgate, Owen, Fowler, etc.), soit footballistiquement (Le Tissier), soit moralement (Gascoigne). Là encore, je rejoins Charlie sur la comparaison entre Raul et Owen. Les deux ont explosé très vite, peut-être trop vite. Les deux ont connu des pépins physiques qui ont limité une ascension qu'on espérait supérieure, et les deux sont les meilleurs dans l'intelligence et la placement, loin devant un gars comme Pippo, par exemple. Il y a deux manières d'opposer Shearer et Owen. Soit on considère l'opposition entre le jeune Owen et Shearer, le feu follet contre le puissant, soit on les compare comme ils sont devenus en raison des blessures : l'intelligent et le pivot. Si je compare les deux premiers, je donne un avantage net à Owen, qui avait une capacité extraordinaire à changer le sens du jeu, supérieure à celle d'un Ronaldo, par exemple, d'un Rooney, d'un Sneijder. Quand Owen avait le ballon, c'était fini. Il dribblait, accélérait, finissait. L'UEFA de Houllier, c'est Owen. Le maintien de Liverpool dans la première partie du tableau, c'est Owen. La Cup ? Owen. Il était plus spontané que Shearer, plus imprévisible, plus diabolique, et tout aussi intelligent. Maintenant, si je compare les deux numéros 9, mon avis est plus mitigé. Owen fait partie des 4-5 meilleurs 9 de ces dernières années, en compagnie de RVN, Pippo et Raul. Ses déplacements sont superbes, toujours dans la rupture, toujours dans le bon tempo. Je ne peux d'ailleurs que regretter que SAF n'ait pas plus associé Owen, Roo et Giggs ensemble, les deux premiers ayant cette capacité à trouver le petit espace dans une défense confinée (cf. contre City), notamment le dernier, qui possède une maîtrise du contre-pied et de la passe en rupture que aucun joueur de notre effectif ne possède, ou n'a possédé. Il reste même à Owen des soubresauts de son virevoltant passé, avec des accélérations très appréciables (contre le Werder), des enchainements intelligents (le 1-2 avec Welbeck) ou des inspirations techniques qui lui ont permis de jouer parfois plus bas que Rooney. Pourtant, il lui manque la présence physique de Shearer. Shearer, même en passant au travers, même sans marquer, était un danger permanent, un superbe pivot, qui défendait et pressait les défenseurs adverses, un Kelvin Davies de classe internationale, un leader charismatique, qui inspirait ses coéquipiers et effrayait ses adversaires (demandez à Sol Campbell ce qu'il en pense ) . Il pouvait exister en étant isolé dans une défense physique, lui qui mettait à mal notre Batave à l'époque. Owen aura du mal dans ce genre de configurations, face à des défenseurs intelligents et bien placés, puissants et plutôt rapides. Finalement, mon vote ira à Shearer. Pour sa constance, pour avoir porté un club moyen jusqu'au sommet (deux en fait), pour sa classe, pour ses buts, et son importance jamais remise en question au sein de Newcastle. Quel joueur il aurait pu être sous nos couleurs...
-
Pas faux pour Cole, même si je lui préfère Brady. Sinon, j'ai vu que le goal de la réserve était l'entraîneur des gardiens. C'est marrant...
-
Actualités des clubs anglais
Captain Britain a répondu à un(e) sujet de ericantona dans FOOT ANGLAIS
Tiens, j'ai lu que Boas a titularisé Chalobah (16 ans), et qu'il le voit capable de faire 10-12 matchs cette saison, parlant de lui comme d'une "évidence".