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Messages recommandés

Loic :

C'est visuellement la fin que c'est énorme.

 

La femme qui est coincé en plein milieu de l’océan avec son mari le voit se faire tuer par un requin. Elle reste seule, perdu.. puis voit un requin.. puis deux.. puis trois.. et ainsi de suite.

Et la c'est exceptionnel, la camera est à la 1er personne, on est donc dans les yeux de la femme et on voit énormément de requins dans l'eau tout prés d'elle bougé super rapidement... cauchemar, vraiment.

 

C'est trés bien fait cette scène et quand tous les requins tournent autour d'elle (une dizaine, voir plus), tu te dis put** si ça m'arrive je suis FOUTU.

 

Ah ouais ça me dit vaguement quelque chose... L'aspect "documentaire" ça te permettait vraiment de t'identifier à eux, bref encore plus traumatisant :D

YES SIR!

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Bienvenue_au_cottage.jpg

 

Souvenir, film d'"horreur" à la sauce anglaise :P

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Même la première partie ?

Franchement je me suis rarement fait ch*** devant un film. Je dois avouer qu'il me reste 15 minutes donc je compte sur cette dernière partie pour me faire vibrer !!!

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:dead::dead::dead::dead::dead: J'suis con, j'ai confondu The place beyond the pines et Only God Forgives.

Je comprend mieux Alruud, ce film est nul. J'ai un peu compris la symbolique mais c'est tout, mais la fin est marrante tu vas voir ^^

Modifié par Toinetking

"Le pouvoir de l'homme s'est accru dans tous les domaines, excepté sur lui-même."

Churchill

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Dam227

6 abonnés | Lire sa critique | Suivre son activité



5 - Chef d'oeuvre

Ahaha sacré Nicolas. Le succès public c'est pas bon pour la créativité et l'image d'artiste maudit que depuis toujours tu te traînes, sans compter qu'on te pardonnera moins aisément tes dépressions si jamais l'argent et les spectateurs commencent à abonder. Quoi de mieux dès lors que de saccager violemment la recette de ton film précédent, ce succès surprise qui t'aura sans doute toi-même décontenancé ? Quoi de mieux que de pervertir ton jouet, de tromper tout ton monde avec des bandes annonces allusives et des affiches où Ryan porte beau dans son costume de soirée ? Tout ça pour mieux, une fois les spectateurs captifs de la salle, fouler au pied la tronche de la vedette idolâtrée, lui refaire le coup du sparadrap de Nicholson, mais en transformant cette fois sa gueule en steak sanglant et avarié à la moitié du métrage. Ton précédent protagoniste était sans peur, sans famille, sans affect, immortel, celui-ci sera englué dans un oedipe sordide, dans un business crapuleux, sera velléitaire, émotif, hésitant, constamment battu, constamment perdant. Tu détestes Ryan Gosling ? Tu adoreras ce film. Tu adores le cinéma de Nicolas Winding Refn ? Tu l'adoreras également, car tu y retrouveras tout ce qui fait la quintessence de son cinéma : cette dimension contemplative et onirique, cauchemardesque surtout, où fantasmes, représentation mentale et réel s'enchevêtrent sans que l'on puisse jamais vraiment déterminer où l'un commence et l'autre s'achève. Le cinéma de Refn, et ce film en est encore l'illustration, trouve son essence sonore et visuelle dans le cinéma d'horreur, avec ces nappes vrombissantes et étranges, ici complétées par des musiques rituelles martiales et de jolis morceaux de karaoké (:bluesbro:/>/> ), ou encore cette photo écarlate teintée de néons rubiconds et de gerbes de sang qui jaillissent lors de déchaînements de violence subits et paroxystiques (à ce titre, la scène du cabaret, où des yeux se fermeront de diverses façons, m'a été personnellement très éprouvante). Tu voulais voir Drive 2, tu te retrouveras devant Bad Lieutenant in Bangkok, tant le personnage de l'inspecteur, garant d'une justice divine donc inhumaine, infaillible et tranchante, vampirise tout le film et s'accapare la majeure partie des attributs dévolus au driver du précédent. Kristin Scott Thomas en mère incestueuse et cannibale n'est pas le moindre des contre-emplois du film, et oui, puisque vous posez la question, on verra bien son fils s'introduire en profondeur dans sa matrice. Bangkok, à l'instar de L.A, subvertie par la caméra de NWR, se mue en une cité poisseuse et fantasmagorique, presque continûment nocturne, un Enfer étrangement doux et languissant dont on ne saurait s'échapper, surtout si l'on est Américain. Only God Forgives, c'est un peu comme si le cinéma asiatique défonçait la gueule d'Hollywood avant de lui couper les deux mains. Un bon cru rouge sang à la limite de l'autisme façon Valhalla Rising, un désastre public annoncé passé la première semaine, un p***** de film une fois encore. Bien ouèje Nico.



Je rejoins absolument sa critique :P



YES SIR!

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Procol Harum. :wub:

Tom Cruise vs Tom Cruise, epic. :ph34r:

 

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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Dam227

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5 - Chef d'oeuvre

Ahaha sacré Nicolas. Le succès public c'est pas bon pour la créativité et l'image d'artiste maudit que depuis toujours tu te traînes, sans compter qu'on te pardonnera moins aisément tes dépressions si jamais l'argent et les spectateurs commencent à abonder. Quoi de mieux dès lors que de saccager violemment la recette de ton film précédent, ce succès surprise qui t'aura sans doute toi-même décontenancé ? Quoi de mieux que de pervertir ton jouet, de tromper tout ton monde avec des bandes annonces allusives et des affiches où Ryan porte beau dans son costume de soirée ? Tout ça pour mieux, une fois les spectateurs captifs de la salle, fouler au pied la tronche de la vedette idolâtrée, lui refaire le coup du sparadrap de Nicholson, mais en transformant cette fois sa gueule en steak sanglant et avarié à la moitié du métrage. Ton précédent protagoniste était sans peur, sans famille, sans affect, immortel, celui-ci sera englué dans un oedipe sordide, dans un business crapuleux, sera velléitaire, émotif, hésitant, constamment battu, constamment perdant. Tu détestes Ryan Gosling ? Tu adoreras ce film. Tu adores le cinéma de Nicolas Winding Refn ? Tu l'adoreras également, car tu y retrouveras tout ce qui fait la quintessence de son cinéma : cette dimension contemplative et onirique, cauchemardesque surtout, où fantasmes, représentation mentale et réel s'enchevêtrent sans que l'on puisse jamais vraiment déterminer où l'un commence et l'autre s'achève. Le cinéma de Refn, et ce film en est encore l'illustration, trouve son essence sonore et visuelle dans le cinéma d'horreur, avec ces nappes vrombissantes et étranges, ici complétées par des musiques rituelles martiales et de jolis morceaux de karaoké (:bluesbro:/>/> ), ou encore cette photo écarlate teintée de néons rubiconds et de gerbes de sang qui jaillissent lors de déchaînements de violence subits et paroxystiques (à ce titre, la scène du cabaret, où des yeux se fermeront de diverses façons, m'a été personnellement très éprouvante). Tu voulais voir Drive 2, tu te retrouveras devant Bad Lieutenant in Bangkok, tant le personnage de l'inspecteur, garant d'une justice divine donc inhumaine, infaillible et tranchante, vampirise tout le film et s'accapare la majeure partie des attributs dévolus au driver du précédent. Kristin Scott Thomas en mère incestueuse et cannibale n'est pas le moindre des contre-emplois du film, et oui, puisque vous posez la question, on verra bien son fils s'introduire en profondeur dans sa matrice. Bangkok, à l'instar de L.A, subvertie par la caméra de NWR, se mue en une cité poisseuse et fantasmagorique, presque continûment nocturne, un Enfer étrangement doux et languissant dont on ne saurait s'échapper, surtout si l'on est Américain. Only God Forgives, c'est un peu comme si le cinéma asiatique défonçait la gueule d'Hollywood avant de lui couper les deux mains. Un bon cru rouge sang à la limite de l'autisme façon Valhalla Rising, un désastre public annoncé passé la première semaine, un p***** de film une fois encore. Bien ouèje Nico.

 

Je rejoins absolument sa critique :P

 

Quand j'avais été le voir je me souviens d'un gros con qui avait dit à la fin "c'est nul!" (crache ton venin en silence pouffiasse) et deux mecs encore plongés dans l'adolescence avec un cerveau de 12 ans d'âge mental en balancant des "bah bravo Morray". Bref ce film est détestable pour des gens ne faisant pas le moindre effort intellectuel et de compréhension. J'avais bien aimé le film mais il faut que je me le remate pour mieux le comprendre.

 

Sinon ce soir j'ai vu Moi,moche et méchant 2, sympa à voir si on ne veut pas se casser la tête, par contre je l'ai trouvé moins bien que le premier.

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Bref ce film est détestable pour des gens ne faisant pas le moindre effort intellectuel et de compréhension.

 

Oh non, tu sais, il n'y a pas besoin d'avoir des carences intellectuelles et un manque d'envie de "compréhension" (bien que je n'ai jamais vu un film aussi lisible que OGF) pour détester ce film. On peut surtout le trouver pompeux, répétitif, se reposant sur sa photographie, et inintéressant au possible (les thèmes présents dans le film ne sont pas abordés, ils sont à peine effleurés).

Du sous-sous-sous-sous-Lynch.

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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Parce que tu es un pirate, bon en rien mauvais en tout.

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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Pas ça à minuit trente mec, je suis en train de me taper un bad trip avec ton truc psychédélique. J'ai peur, je sue, je tremble, et tout. m****, j'vais mater Toy Story 3.

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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Je me suis fait " Monsters, Inc " là, c'est vraiment une tuerie impossible d'être déçu. Best matte le après avoir fini les Toy Story, c'est vraiment excellent.

J vais enchainé avec Wall-E et Là Haut maintenant.

Modifié par yactiano7
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La haut > All.

 

Sinon j'ai vu Wolverine hier, j'pense que ceux qui produisent la franchise Marvel, n'ont jamais ouvert un comics de leur vie ! 201303287465996_nabila_allo.gif

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