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Messages recommandés

Je pense que tu aimerais bien. C'est un thriller qui a du rythme et des bonnes idées de réalisation (sensorielle : très gros plans, photos-flash etc.). Après ça reste assez convenu comme machin, mais pour passer un moment intense, si on outrepasse la fin, ça le fait carrément ! J'étais seul dans ma salle de cinoche et j'ai pris mon pied.

Avec Halle Berry, je te comprends

YES SIR!

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À ceux qui ont vu Only God Forgives, vous en pensez quoi ?

 

De la daube. Bon, je modère : j'ai détesté.

 

Avec Halle Berry, je te comprends

 

Tu risques d'être déçu, elle n'est pas très mise en avant et a une sale coupe (vraiment sale). :D

Puis elle vieillit quand même. :(

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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Si quelqu'un cherche une définition du terme "cinéma" :

 

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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Friday Night Lights : Pas mal mais largement moins bien que la série (normal en même temps, ce genre d'histoires se prêtent beaucoup mieux au principe sériel). Comme dit à peu près partout le coach n'est pas aussi charismatique, les familles des divers joueurs sont à peine esquissées, la femme du coach (jouée par Connie Britton en mode plus stupide) sous-exploitée, et même la réalisation me semble plus superficielle (plans-tournants utilisés abusivement, un aspect plus lisse de l'image etc). La musique reste au top, et les moments émouvants du film peuvent fonctionner, bien que compte tenu de la durée d'un film par rapport à l'immensité d'une série, ça puisse paraître tout de suite plus forcé, plus artificiel, et donc moins marquant.

 

After Earth : Comme prévu y a pas grand chose à voir. Je m'attendais quand même à une meilleure ambiance dans cette nature supposée hostile-à-l'homme qui, finalement, n'offre que très peu de moments de tension. Ça manque évidemment d'originalité, à commencer par la relation père/fils, vue et revue, et le pseudo traumatisme d'enfance, sur lequel on ne cesse d'insister (ce qui devient très très lourd). J'ai l'impression qu'on exploite jamais vraiment le côté "terre d'après", c'est dommage.

Modifié par Best_07

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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C'est plus ancien, ça a été fait en 2004 ! Avant la série. :)

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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Y a des trucs plus ou moins identiques à la série et au niveau du style ça s'en rapproche grandement. Mais c'est nettement inférieur !

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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Parait qu'un film se prepare pour 2014/15. Enfin les acteurs & realisateurs sont chaud...

ruud_van_nistelrooy_131-150x150.jpgDankje Ruud ! Van PERSIEEEEEEEEEEE! rvp10.jpg

 

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Ouais, mais il me semblait au contraire avoir lu que certains acteurs n'étaient pas très chauds (Kyle Chandler notamment, qui a beaucoup de sollicitations).

 

FRIDAY NIGHT LIGHTS (2004) :

 

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Little Odessa.

 

 

Friday Night Lights est l'un des rares exemples, et peut-être même le seul, d'une série a avoir été adaptée d'un film. On a plutôt l'habitude de rencontrer le phénomène inverse : lorsque qu'une série a bien fonctionné sur plusieurs saisons les créateurs saisissent souvent l'opportunité de la transformer en film, pour épuiser le concept jusqu'au maximum de ses capacités et, bien entendu, toucher le pactole. Souvent maladroits dans la transposition sur grand écran de leur petit bébé, ils ne parviennent en règle générale qu'à assurer un fan-service dispensable. Exception faite de Twin Peaks qui, de toute façon, n'évolue pas dans la même dimension.

 

La curiosité de voir quel genre de film avait pu être à l'origine de ma série télévisée préférée - sans discussion possible - était palpable, tout comme, par extension, une appréhension certaine. C'est plus de deux ans après avoir vu le dernier épisode de cette fabuleuse série que je me suis décidé à visionner le film, me convaincant qu'il serait forcément moins bon. D'avoir la confirmation de mes a-priori ne fut donc pas une déception, puisque j'ai vu ce que je m'attendais à voir. La seule déception restera donc celle de ne pas avoir été surpris (chose que j'espérais secrètement).

 

Déjà il est évident que celui qui a vu la série ne portera pas du tout le même regard sur le film que le néophyte total. En effet il va pouvoir se mettre à jouer au « qui est qui » puisque les personnages de la série sont, en quelque sorte, des dérivés des personnages du film. On retrouve le running back promis à un avenir radieux un peu trop grande gueule (est Boobie, sera Smash), le quarterback au talent limité qui joue principalement pour faire plaisir à sa mère très malade (est Mike, sera Matt), et le full back semi-alcoolique à la relation tendue avec son père (est Don, sera Tim). Ce qui est assez intéressant au regard du film c'est de voir comment cet univers semble avoir été prédestiné au format sériel, qui permet de creuser beaucoup plus en profondeur les diverses cellules familiales. Dans le film on ne perçoit que des esquisse de ceux qui seront plus tard nos idoles du petit écran. C'est à la fois frustrant et amusant.

 

Peter Berg étant déjà aux manettes, les similitudes esthétiques entre le film et la série sont nombreuses. Même si le Texas est regardé avec un œil beaucoup moins baladeur, le cadre étant plus restreint en raison de l'obligation de tout condenser en un peu moins de deux heures. Les plans contemplatifs sur les vastes étendues, sur cette nature texanne, qui nous plongeaient dans une immersion totale, seront plus rares. Tout comme les « temps morts », propres à la série, où des discussions au calme, entre deux bières, pouvaient durer de longues minutes. Cette impression de ne pas pouvoir étendre son film, étirer ses personnages, a dû hanter le réalisateur puisqu'il a pris la décision d'en faire une série, certainement conscient du potentiel de cet univers et de la nécessité de le traiter avec toute l'ampleur qu'il mérite.

 

La thématique de fond reste la même : la place prépondérante du football lycéen dans les petites villes du Texas. Il y a donc deux choses qui sont pointées du doigt, la magie et le bonheur que le football peut apporter à une population qui ne vit pas de grandes émotions en dehors de ces fameux vendredis soirs, et les répercussions sur ceux qui en sont les principaux acteurs. Inspiré d'une histoire vraie, s'étant déroulée une quinzaine d'années plus tôt, Peter Berg essaie de montrer le côté « tragique » (tout dépend du point de vue) de cette gloire éphémère de jeunes lycéens. Eux qui, par la suite, seront amenés à vivre bien loin des stades, de la foule, et de l'admiration. C'est à travers le personnage de Boobie, qui se croit déjà en NFL, que c'est le plus marquant. Une blessure et le voilà contraint de reposer les pieds sur terre : ne l'attend, après cette année de terminale, qu'une vie banale et ennuyeuse. C'est aussi la raison pour laquelle les supporters sont des pourris gâtés, hystériques dans la victoire comme dans la défaite : parce qu'ils ont conscience qu'il s'agit de l'unique moment dans la vie de ces gosses où ils pourront rêver, rien qu'un peu.

 

Cette année faite de hauts et de bas va donc être rythmée par les matchs du vendredi soir, avec un côté épique qui est à prévoir pour les moments décisifs. La manière de filmer le football, dans l'action même, est peut-être le seul point qui me semble plus réussi que dans la série. Le même degré d'intensité n'est pas au rendez-vous, comme la même émotion n'est pas transmise, néanmoins, les actions paraissent plus crédibles, on a davantage l'impression d'avoir affaire à de vrais joueurs de football.

 

Hormis ce léger détail, l'émotion ressentie dans les moments forts du film (accompagnés par une musique toute aussi magistrale que dans la série et des ralentis de circonstance) paraît évidemment plus superficielle. Par ailleurs tout le film a un côté plus superficiel dans le sens où il ne peut pas se permettre d'approfondir et reste ainsi trop en surface. D'autant plus que la photographie semble moins réussie (image beaucoup plus lisse) et la réalisation fait moins corps avec son sujet (pas autant de caméra à l'épaule ; plans-tournants impertinents etc.).

 

Enfin, venons-en à la plus grosse différence : le coach et sa femme. Malgré le plaisir (et la surprise) de retrouver Connie Britton dans le même rôle qu'elle tient dans la série, la joie ne sera que de courte durée. Elle est beaucoup plus effacée et ne sert presque à rien (et puis, Connie avec des cheveux frisés, c'est un sacrilège). La féminité est d'ailleurs trop absente du film, alors qu'elle est omniprésente dans la série. C'est la même chose pour Buddy Garrity, qui fait trois brèves apparitions. Et enfin le coach est, comme dit un peu partout, beaucoup moins charismatique que l'excellent Kyle Chandler. La part de psychologie dans sa manière de mener cette équipe vers les sommets est à peine effleurée, contrairement à ce qu'on a pu voir dans la série (dans celle-ci, la façon dont il tire le maximum de ses joueurs est sans aucun doute l'un des points les plus intéressants).

 

En définitive, pour ceux qui ont vu la série, vous ne pouvez vous attendre qu'à un petit frère un peu moins bon en tout. Avec cependant une certaine nostalgie dans les yeux compte tenu de toutes ces années passées dans ce vieux Texas, que l'on retrouve le temps d'un film. Pour ceux qui n'ont pas vu la série, ce n'est pas le film-de-sport que je conseille, on est bien loin de la maestria du Stratège, par exemple. Néophytes ou aficionados, tout converge vers la même issue : re(re)gardez la série !

 

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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Lol les critiques qui ne cessent de dire After Earth = apologie de la scientologie car : le film veut te convaincre de combattre tes peurs + le volcan du film ressemble au volcan d'un livre écrit par le créateur de la secte. :mellow:

 

Dans ce cas-là Harry Potter et des milliers d'autres œuvres font l'apologie de la scientologie. :mellow:

Et c'est vrai qu'un volcan ça peut être représenté de tant de façons différentes... :mellow:

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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Il peut y avoir plusieurs types de volcans (leur lave), mais c'est vrai qu'ils ont plus ou moins la même gueule :D

(sauf si un "bouchon" se forment comme il y avait eu pour le Mount St Helens).

 

Tu le recommandes After Earth sinon? il me tentait bien.

15 V, 5 D, 7 L and continuing...

http://www.mancheste...680#entry993300

Site off: Member: 3187618, nom: Gilment

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Je te conseille d'éviter de payer pour le voir. Il est franchement mauvais.

Modifié par Best_07

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Very Bad Things (1998), réalisé par Peter Berg : Marrant parce qu'en ce moment Very Bad Trip 3 est à l'affiche et ce Very Bad Things sonne un peu comme une parodie de cette bouse intergalactique, dégueulant à la tronche de la famille américaine et de son égoïsme. Avec une hargne et une humour noir sans commune mesure (à la limite du supportable pour les âmes sensibles). Une bonne grosse série B qui ne se pose aucun interdit. À noter la présence de Jeremy Piven (Ari Gold dans Entourage) et Jon Favreau (réalisateur des deux premiers Iron Man).

 

Quand on pense que Peter Berg a fait Friday Night lights, série avec une bonne dose de patriotisme et une certaine apologie de la famille, c'est assez intéressant de voir le contraste. ^^

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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A propos de Men in Black 4 :

Si les studios Sony réfléchissaient à un prequel de la franchise, il se fera sans Jaden Smith. "Mon père a dit non et il est allé droit au but. Il ne voulait pas me donner de faux espoirs. Je lui répète que j’ai quelque chose à apporter à la Men In Black Academy et que je suis prêt. Mais lui dit que je ne suis pas encore prêt" précise le jeune garçon de 14 ans

 

Ca choque personne ce pistonnage ?

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C'est pas le premier. Ni le dernier. Le pire c'est qu'il joue juste... horriblement mal. Encore y a des fils/filles de qui ont du talent. Mais lui. :mellow:

Modifié par Best_07

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Pire

 

Sinon, juste comme ca, la liste des producteurs de After earth : James Lassiter (il produit quasiment tout les films de Will Smith), Caleeb Pinkett (le frere de Jada Pinkett Smith), Will Smith, Jada Pinkett Smith

 

Les USA c'est vraiment une nation très... spéciale...

Modifié par roorooo
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Tu as vu celui qui est sorti au ciné récemment ?

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