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Robin Van Persie


YBthebest

Messages recommandés

NON, je préfére même mettre young plutôt que lui, Soit on met Shinji - Rooney ou Rooney -Welbeck mais surtout pas VP

red devils jusqu'à la mort

 

"Mon rêve, c'était d'éviter la sortie du gardien, de m'arrêter juste avant la ligne de but, de me mettre à quatre pattes et de pousser le ballon de la tête dans le but. J'ai failli le faire contre Benfica en finale de la Coupe d'Europe 1968. J'avais dribblé le gardien mais, au dernier moment, je me suis dégonflé. J'ai eu peur que le coach fasse une crise cardiaque !"

George Best.

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OUT !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

"Oh, Monsieur et maître, la misère est grande. Les fantômes que j'ai conjurés, je ne vais plus pouvoir m'en dépêtrer"

 

Goethe.

 

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Hors de tout, comme l'équipe. On ne reconnaît plus notre van Persie. Avant, il avait une telle facilité à se débarrasser de son adversaire direct. Aujourd'hui c'était criant qu'il est en très grande baisse de forme ! Il n'a jamais réussi à prendre le dessus sur la défense de ces e******* de Reds

Modifié par Kenzo Kira
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Ca devient préoccupant quand même. Son itw me fait chasser l'idée d'un manque de motivation éventuel mais bon... c'est quoi le problème alors ?

 

Y a un an, il bonifiait chaque ballon qu'il touchait. Maintenant c'est tout le contraire.

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https://ultimodiez.wordpress.com/ (cliquez cliquez c'est la famille)

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Déjà, il y a apparemment un changement de consigne le concernant. Il joue plus haut que l'an dernier, et ne touche vraiment que peu de ballons. Cela explique déjà en partie qu'il ne puisse plus bonifier notre jeu de la même façon. Plus loin de ses partenaires, dans des espaces encore plus réduits paradoxalement (souvent entre les deux centraux), il évolue dans des conditions plus difficiles. Mais là, ce serait à lui alors de s'adapter et de décrocher plus régulièrement, comme il l'avait fait à Madrid. Après, peut-être que les consignes sont vraiment rigides, mais c'est juste de la spéculation à ce niveau.

 

Et puis, y'a l'âge ? Serait-il en train de perdre doucement de sa vivacité ? J'en doute un peu, mais bon. Après, il y a peut-être quand même un réel problème entre lui & David Moyes, quoique son interview dise. N'oublions pas que CR7 avait déclaré x fois qu'il souhaitait rester à vie à MU lors de la saison 2008/2009 avant de partir dès la fin de celle-ci. C'est peut-être, soyons fous, une demande quand même du club pour ne pas faire totalement imploser le groupe, et conserver une forme d'image à l'extérieure.

Mais bon, j'en doute quand même sérieusement. J'en viens quand même à chercher un tas de choses pour expliquer la perte totale de niveau de RvP ...

 

Je pensais à une crise de confiance, comme l'an dernier, mais lorsqu'il avait enchaîné 3 buts de suite, je pensais ça doucement enterré.

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Mata is Free

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Déjà, il y a apparemment un changement de consigne le concernant. Il joue plus haut que l'an dernier, et ne touche vraiment que peu de ballons. Cela explique déjà en partie qu'il ne puisse plus bonifier notre jeu de la même façon. Plus loin de ses partenaires, dans des espaces encore plus réduits paradoxalement (souvent entre les deux centraux), il évolue dans des conditions plus difficiles. Mais là, ce serait à lui alors de s'adapter et de décrocher plus régulièrement, comme il l'avait fait à Madrid. Après, peut-être que les consignes sont vraiment rigides, mais c'est juste de la spéculation à ce niveau.

 

Et puis, y'a l'âge ? Serait-il en train de perdre doucement de sa vivacité ? J'en doute un peu, mais bon. Après, il y a peut-être quand même un réel problème entre lui & David Moyes, quoique son interview dise. N'oublions pas que CR7 avait déclaré x fois qu'il souhaitait rester à vie à MU lors de la saison 2008/2009 avant de partir dès la fin de celle-ci. C'est peut-être, soyons fous, une demande quand même du club pour ne pas faire totalement imploser le groupe, et conserver une forme d'image à l'extérieure.

Mais bon, j'en doute quand même sérieusement. J'en viens quand même à chercher un tas de choses pour expliquer la perte totale de niveau de RvP ...

 

Je pensais à une crise de confiance, comme l'an dernier, mais lorsqu'il avait enchaîné 3 buts de suite, je pensais ça doucement enterré.

CR7 ? Il me semble qu'il a toujours déclaré qu'il allait rejoindre le Real un jour. En tout cas, jamais de la vie je l'ai vu déclarer qu'il allait rester à vie chez nous. Il voulait partir à la fin de la saison 2007/2008 déjà, mais Ferguson l'a convaincu de rester encore un an. Enfin bref, là n'est pas le sujet.

 

Je pense aussi que le plus gros problème vienne des consignes.

Si vous avez un doute sur une ou plusieurs sources liées à un transfert de ManUtd : Allez sur ce lien !


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Ça peut venir des consignes, mais on ne retrouve même pas les éclairs de génie qu'on lui connaissait la saison dernière. En ce moment, il n'arrive même plus à faire ce qui est censé être un de ses gros points forts selon moi : les enchaînements contrôle orienté/frappe avec la rapidité d’exécution qui le caractérise. Au lieu de ça, il met 3 plombes à se mettre face au but...

 

Mais Moyes n'aura pas le courage de le mettre sur le banc après quelques prestations plus que médiocres, comme il n'aura pas le courage de mettre Rooney sur le banc s'il le mérite. Ces deux joueurs ont des passe-droits, et c'est triste pour des joueurs comme Chicharito ou Kagawa. Moyes gère très mal la concurrence, celle-ci n'est plus saine. Il a du mal à gérer un effectif composé de joueurs considérés comme stars, il n'ose pas les remettre en cause.

 

Espérons au moins qu'il se relance, parce que de toute façon il sera sur le terrain à chaque match, performant ou non. Comme Rooney.

Modifié par Xx-Red-Devil

"Let me simplify the rhyme just to amplify the noise"

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CR7 ? Il me semble qu'il a toujours déclaré qu'il allait rejoindre le Real un jour. En tout cas, jamais de la vie je l'ai vu déclarer qu'il allait rester à vie chez nous. Il voulait partir à la fin de la saison 2007/2008 déjà, mais Ferguson l'a convaincu de rester encore un an. Enfin bref, là n'est pas le sujet.

 

Je pense aussi que le plus gros problème vienne des consignes.

 

Relis ses déclas pendant la saison 2008/2009. Il parlait du Real comme étant un "rêve mort", il disait qu'il voulait faire aussi bien que Giggs au niveau des apparitions pour le club, etc. J'm'en souviens très bien, parce que je l'avais cru à l'époque. Naïf comme j'étais. La fin de saison fut un horrible sentiment pour moi, comme nombre d'entre nous je suppose, avec les départs de Tevez & CR7, plus la défaite contre le Barça en finale de la LDC.

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Mata is Free

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Invité Skynet

Tu es sur ? En 2008-2009 je me souviens clairement qu'il ait dit que ça ne le dérangerait pas de rester à United toute sa carrière, mais que "Only God knows". Ronaldo n'a jamais été catégorique. Même aujourd'hui au Real il a fait la même décla "ça ne le dérangerait pas de rester tte sa carrière mais only god knows"

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Relis ses déclas pendant la saison 2008/2009. Il parlait du Real comme étant un "rêve mort", il disait qu'il voulait faire aussi bien que Giggs au niveau des apparitions pour le club, etc. J'm'en souviens très bien, parce que je l'avais cru à l'époque. Naïf comme j'étais. La fin de saison fut un horrible sentiment pour moi, comme nombre d'entre nous je suppose, avec les départs de Tevez & CR7, plus la défaite contre le Barça en finale de la LDC.

 

un grand merci pour ce post. Je suis soulager je n'étais donc pas dans le tord!

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Piochons sur le site ! :P

 

http://www.manchesterdevils.com/news.php?page=read&id=2189

 

http://www.manchesterdevils.com/news.php?page=read&id=2198

 

http://www.manchesterdevils.com/news.php?page=read&id=2158

 

http://www.manchesterdevils.com/news.php?page=read&id=2075

 

Dans le dernier lien (le premier au niveau chronologique) il met en effet ça en nuance. Mais plus on avance, plus il affirme son amour & sa volonté de rester au club.

Bon après, je lui en veux pas, on est servi de ce genre de phrases tous les jours aujourd'hui. ^^

Mata is Free

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Invité Skynet

Non mais vous dites nimporte quoi. Après vérification, après avoir enflammé la presse avec son envi d'aller au real, il est resté un an à United. Pendant l'année on lui demandait ce qu'il en était quant à son envie d'aller au real ou le fait de rester à United, il a répondu qu'il aimait United, que le rêve real était mort et que son reve actuel est de soulever la coupe (ldc perdue) à Rome.

 

Voila les déclas de Ronaldo en 2009, source : le site Mudevils

 

 

 

"C'est un sentiment exceptionnel, et j'aime jouer ici. Je suis très heureux à Manchester. Je veux y gagner encore plus de titres. En ce moment, je sais que je suis dans le bon club. Et je veux gagner d'autres trophées la saison prochaine."

 

 

 

"Je ne pense plus à Madrid. Ce rêve est mort", a-t-il déclaré à The People. "La seule chose dont je rêve maintenant est de Manchester United et de gagner la Ligue des Champions à Rome."

 

 

Par ailleurs

 

 


Bref résumé de la saga Ronaldo

Ajouté par ericantona le 15 juin 2009 à 10:28
Catégorie : Transferts et rumeurs

Quand Cristiano Ronaldo était enfant, son père, jardinier dans un club amateur de Madère, lui dit qu'un jour il jouerait pour le Real Madrid.

Cette prophétie resta dans la mémoire de Ronaldo, l'obsédant et, cette semaine, se réalisant avec un contrat qui devrait être de 13M€ par saison, donc 78M€ sur six ans. Le contrat sera historique en lui-même, le plus lucratif de l'histoire du football.

Toutefois, c'est secondaire dans l'ambition de Ronaldo qui voulait non seulement réaliser le rêve de son père de porter le maillot blanc, mais aussi prouver qu'il était capable de conquérir le football espagnol aussi bien qu'il avait conquis le football anglais.

Une source proche du joueur a expliqué : "Il y a une grande différence entre Cristiano et les autres joueurs. Avec certains joueurs, il y en a qui changent d'avis tous les ans. Un jour je veux aller à Barcelone, un autre jour je veux aller à l'Inter et ainsi de suite. Mais avec Cristiano, il n'y a toujours eu que le Real Madrid."

"Leurs récentes difficultés sur le terrain ne comptent pas et il est resté vrai par rapport à ce qu'il a toujours voulu. Il a toujours voulu jouer au Real Madrid. Il ne parlait jamais d'un autre club. Il n'y a eu que deux clubs pour Cristiano : Manchester United et le Real Madrid."

"Manchester United est un club qui restera toujours dans le coeur de Cristiano. Il y a passé six bonnes années et il se sent maintenant prêt pour un nouveau challenge. Mais il n'a que 24 ans et il a encore un long avenir dans le football et il aimerait revenir à Manchester plus tard dans sa carrière. S'il quitte un jour le Real Madrid, il ne peut imaginer qu'un retour à Manchester United."


Pour qu'une telle chose arrive, il faudrait que Sir Alex Ferguson crée un précédent car il n'a jamais repris un grand joueur qui avait quitté Old Trafford. Mais l'Ecossais a toujours été un ardent défenseur de Ronaldo, que ce soit publiquement ou en privé, et cela soulève une intriguante possibilité pour l'international portugais si jamais les choses devraient mal se passer en Espagne (il faut bien envisager cette possibilité, les Galactiques ça a déjà planté une fois, le Real est actuellement très mal, le Barça est très loin au sommet, Ronaldo ne pourra pas faire une équipe à lui tout seul, etc...).

Ronaldo a failli signer deux fois au Real Madrid par le passé, à l'été 2006 et l'été dernier. Dans les deux occasions, il avait été dissuadé par la prudence de son agent adoré Jorge Mendes et les pouvoirs de persuasion de Sir Alex Ferguson. En termes de succès qu'il a connus ces deux dernières saisons au club (une Champions League, deux championnats et un Ballon d'Or), ces décisions furent clairement judicieuses.

La première fois qu'il fallit partir ce fut dans le chaos de l'après Coupe du Monde 2006. Il avait toute l'Angleterre à dos après avoir grandement contribué à l'élimination des Anglais, notamment en faisant expulser son coéquipier Wayne Rooney avant de marquer le tir au but décisif. Alors que le match était serré, Rooney piétina les roubignolles de Ricardo Carvalho, Ronaldo se précipita alors sur l'arbitre pour demander un carton rouge avant de cligner de l'oeil vers le banc une fois Rooney expulsé.

L'Angleterre avait trouvé son bouc émissaire et la réaction fut si violente que Ronaldo pensa à fuir, avec Madrid comme refuge idéal (ce fut la première fois qu'il exprima clairement dans une interview sa volonté de partir au Real). Mais Manchester United se rallia autour de lui et Ronaldo, ressentant cette sécurité, s'en sortit. "On pourrait croire qu'il s'en fiche" dit un proche ami, "mais croyez-moi, il avait trouvé ça très dur. Chaque stade dans lequel il allait lui faisait sentir qu'il était la personne la plus détestée du pays."

Vinrent donc deux saisons remarquables et Ronaldo fut à nouveau sur le point d'emménager au Bernabeu. En avril 2007, il signa une prolongation de contrat de cinq ans avec un salaire de 140000€ par semaine et produisait alors des performances brillantes. Il était inarrêtable lors de cette saison 2007-08, marquant 42 buts et permettant à United d'accomplir un beau doublé Premier League et Champions League.

Sur le vol de retour de Moscou, après avoir vaincu Chelsea au tirs aux buts, Ronaldo était étrangement silencieux et laconique. Il ruminait quelque chose et était étonnament sombre. Dans sa tête il était en train de quitter le club (malgré avoir dit juste après la fin de la finale devant des milliers de téléspectateurs "je reste") et dès le retour à Manchester il fit claires ses intentions de partir en Espagne.

Toujours une source au Portugal proche du joueur : "Là il a fait une grosse erreur. Il a été peut-être un peu naïf. Il a pensé qu'après cinq ans, il avait tout gagné, Manchester United le laisserait partir. Bien sûr c'était bien plus compliqué que ça."

Cette fois-là, si Ronaldo resta à Old Trafford ce fut surtout du à l'approche directe de Ferguson. L'Ecossais a une relation forte avec Ronaldo dont il admire ouvertement le courage et le professionnalisme. L'entraineur de United partit au Portugal et avec Mendes, parvint après une rencontre intense de quatre heures à persuader Ronaldo qu'il devrait rester encore au moins un an de plus à United.

Malgré des rumeurs d'un pré-contrat, aucun arrangement n'a jamais été fait pour lui permettre de partir cet été. Toutefois on a dit à Ronaldo que, s'il était toujours déterminé à partir dans les deux prochaines années et que si le Real Madrid faisait une offre qui satisfaisait United, alors il serait autorisé à partir. Et évidemment, c'est ce qui est arrivé. Les négociations entre les deux parties ont été amicales. Ronaldo ne veut pas couper les ponts avec United et il ne voulait pas tomber à nouveau dans ce qu'il sait être une mauvaise façon de se comporter l'été dernier.

Ce qui a aidé à faire passer l'accord ce fut les bonnes relations entre Florentino Perez et Manchester United. Le président du Real Madrid a gagné le respect de United quand il a signé David Beckham en 2003. Les relations s'étaient détériorées avec son successeur, Ramon Calderon, au point que Ferguson avait dit "ne même pas vouloir leur vendre un virus." En fait ce pauvre Calderon (en prise à des problèmes avec la justice de son pays) s'est beaucoup démené ces dernières 48h pour clamer haut et fort que Perez avait bénéficié d'un accord qu'il aurait passé avec Ronaldo. Mais le fait est que rien de cela est vrai et que Calderon n'a réussi à signer aucun des joueurs qu'il avait promis alors qu'en une semaine, Perez a ramené dans son escarcelle Kaka et Ronaldo.

Alors que les formalités se sont passées en douceur (deux heures seulement se sont passées entre la réception du fax officiel de Madrid et la réponse positive de United), les négociations ont duré quelques semaines. Quand il devint clair que Perez allait redevenir président de la maison blanche, United s'attendit à une approche. Ferguson aurait dit après la finale de la Ligue des Champions à Rome que le Real Madrid allait revenir à la charge pour Ronaldo.

Tout au long de la saison, Ronaldo a été d'accord pour se concentrer seulement sur le sportif avec United, évitant de parler de son avenir dans les médias. Mais il continuait d'en penser pas moins. Et dans les ruines de la défaite de Rome, il devint clair qu'il voulait un nouveau challenge. Bien sûr United ne voulait pas le vendre, mais vu la détermination de Ronaldo de partir et de jouer en blanc (et son ingratitude qui n'allait pas changer), un accord a été rapidement trouvé. Et un rêve d'enfant a été réalisé.

Il devrait profiter tant qu'il peut du calme avant la tempête. Car malgré l'envergure de United, les joueurs y sont plutôt protégés et leur vie privée est préservée. Le complexe de Carrington est une véritable forteresse, un microcosme en soi. Mais ce sera différent à Madrid. Ronaldo aura 300 journalistes qui le harcèleront en permanence, 24 heures sur 24. Il y aura 20 radios rien que dans la ville qui seront désespérées pour avoir quelque chose à dire sur chaque seconde de sa vie et il ne pourra pas bénéficier de la protection qu'il avait à United avec Sir Alex Ferguson. Au calme dans un relatif anonymat à Los Angeles (malgré des ébats nocturnes avec Paris Hilton), un joueur même le plus imaginatif ne peut pas imaginer la furia fébrile qui l'attend dans la capitale espagnole. Des questions seront posées, des accusations portées. Comme d'habitude, il répondra sur le terrain.

En attendant de voir si, au delà de son rêve, il réalisera un jour qu'il a commis une grave erreur ou non en quittant trop tôt le plus grand club du monde où il avait tout le monde à ses pieds et qui avait fait de lui le meilleur joueur du monde.

Il n'a jamais parlé de rester toute sa carrière à United. Après son transfert foiré, il savait qu'il aprtirait, mais il ne savait pas s'il partirait des 2009 ou en 2010.
Désolé de défendre Ronaldo sur ce coup, je sais que dark passenger n'attendait que ça par rapport à Rooney :P

Et sinon


"Quand vous parlez de loyauté, il faut comprendre que la loyauté ça va dans les deux sens. Dans le football moderne, la loyauté c'est d'être un grand footballeur, d'être dévoué à son club, d'être engagé derrière un entraineur et sa vision du football et personne ne peut reprocher ça à Cristiano car il est brillant en tant que professionnel."

 

ça nous manque actuellement ca

Modifié par Skynet
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Bah, dans ce cas, pourquoi tu dis que je dirais "n'importe quoi" ? Il me semble pas aller contre ton sens. Je n'ai pas dit que Ronaldo voulait rester forcément toute sa carrière à United, mais qu'il était, semble-t-il, parti pour rester encore un peu de temps. Il y a quand même une nuance ici.

Par ailleurs, j'ai retrouvé la décla de Ronaldo sur Giggs (après qu'il ait obtenu le titre de meilleur joueur de la saison) :

 

 

 

Ryan Giggs, tout juste élu joueur de l'année en Angleterre, vient d'atteindre l'incroyable chiffre des 800 matchs joués sous le maillot de Manchester United à l'occasion de la demie-finale de Ligue des Champions contre Arsenal hier soir.

Une performance unique qui fait dire à Cristiano Ronaldo qu'il aimerait en faire de même un jour:

"C'est un accomplissement. Il mérite son trophée (ndrl: de meilleur joueur de l'année) car il a fait une saison fantastique, aidant l'équipe à marquer de nombreux buts.

800 matchs! c'est incroyable et j'espère que je ferais comme lui un jour."

 

Après, la source ici citée est le Sun, mais je n'ai pas trouvé d'éléments qui ont contredit ça.

Modifié par Red Eye

Mata is Free

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Invité Skynet

Bah, dans ce cas, pourquoi tu dis que je dirais "n'importe quoi" ?

 

 

 

Parce qu'on a posté en même temps, et de ce fait je ne parle pas de ton dernier post ;). (enfin quand je cherchais mes articles je n'ai pas vu ton dernier post)

Hs terminé pour ma part, j'étais étonné de ce que je lisais, je le suis moins du coup, ça ressemble + à ce que j'avais pour souvenir. Il me semblait bien qu'il avait fait des déclas ambigues concernant son avenir à United après sa tentative de départ, mais en aucun cas il disait qu'il resterait. Surtout pas toute sa carrière.

 

Et puis meme aujourd'hui il dit que son club révée est United. Il ne sépare plus United du real, les deux clubs sont dans son coeur.

Modifié par Skynet
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La décla sur Giggs est quand même un peu foireuse, non ? :P

HS terminé aussi pour moi ! Nous sommes à peu près d'accords, à quelque nuance près.

Mata is Free

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Il n'a jamais parlé de rester toute sa carrière à United. Après son transfert foiré, il savait qu'il aprtirait, mais il ne savait pas s'il partirait des 2009 ou en 2010.

Désolé de défendre Ronaldo sur ce coup, je sais que dark passenger n'attendait que ça par rapport à Rooney :P

 

je suis bleuffé! Quelle mémoire...je ne pensait pas que quelqu'un s'en souviendrait de cette vieille discussion.

 

Tu gardes en mémoire les mots clés "Rooney" ou "CR7" ? ;)

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Robin van Persie peut-il voler seul ?

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Quel pied. Après une dizaine d’années d’observation, il ne fait plus aucun doute que la patte gauche de Robin van Persie a des superpouvoirs. Tout comme ses compatriotes néerlandais Bergkamp, Rembrandt, Sneijder, van Dyck, van Basten, Vermeer ou encore Robben. Comme si une force créatrice avait décidé de compenser la laideur de leur langue par la grandeur de leurs talents artistiques. La peinture, la sculpture, le football. Puisque la création ne s’explique pas, limitons-nous à raconter celle de Robin van Persie : sa trajectoire, ses choix, ses œuvres.

Si Rotterdam est le plus grand port européen, il n’est pas certain que Robin ait eu l’occasion d’admirer de nombreux albatros au cours de sa jeunesse. Il est simplement né comme ça, avec des bras d’une longueur infinie. Et si sa dégaine est fascinante, elle ne l’est pas autant que ses pieds. Ceux-là deviennent pros à 17 ans sous les couleurs du Feyenoord. Victime de son talent insolent, van Persie joue deux demi-saisons sous Bert van Marwijk, entre exclusions, grosses prestations et caprices. « J’étais jeune, immature, très ambitieux et impatient ». A 21 ans, il traverse la mer du Nord, à peine 321 kilomètres jusqu’à Londres, et 2,75M£. Le Sun s’empresse de parler d’un « bad boy » au « tempérament explosif ». Avec un peu de talent, aussi.

Huit ans à Arsenal, deux titres et trois périodes

En huit années passées chez les Gunners, il connaît trois périodes. 2004-2006. C’est dramatique, mais Robin remporte ses deux seuls titres avec Arsenal lors de sa première saison : un vulgaire Community Shield et une légère FA Cup. Robin gagne surtout sur le banc, ou alors sur un côté. Derrière Henry, au service de Bergkamp, en retrait. En 2006, il n’inscrit pas son nom sur la feuille de match de la finale de C1 contre le Barça. 2006-2009. La prise de pouvoir manquée. Peu à peu, professeur Wenger retente les expériences qui avaient fonctionné sur Henry : le 11 devient un avant-centre. Robin essaye, convainc, mais se blesse. Beaucoup. Entre 2005 et 2009, Adebayor marque plus et mieux : 46 buts avec un ratio de 0,44 but par match, contre 34 et 0,38 pour van Persie le maudit. A 26 ans en 2009, van Persie sort de sa saison la plus complète avec seulement 11 buts et 11 assists. Et 2009-2012. La première saison est courte – 16 matchs de championnat – mais intense. Le Néerlandais tire les pénaltys, les corners, marque 9 buts et porte le brassard lorsque Cesc est blessé. Surtout, il se fait adopter définitivement par les Gooners. « Mon cœur est à Arsenal et je ne peux pas m’imaginer porter un maillot différent ». Cela fait de l’effet. Aussi, Adebayor le traître choisit van Persie pour s’essuyer les crampons lors du polémique City-Arsenal. Sur le point de devenir une icône, van Persie est déjà un symbole.

Mais si sa carrière s’était arrêtée en décembre 2010, on aurait été embêté pour tenter de la qualifier. Pourquoi n’arrivait-il pas à exprimer son potentiel ? Etait-il vraiment moins fort ? Pouvait-on tout mettre sur les dos des blessures ? Tactiquement, il est certain que les présences d’Henry et Bergkamp, puis Adebayor, Nasri et Cesc ont contribué à diminuer l’influence du gaucher sur le jeu de Wenger. Van Persie, jusqu’en janvier 2011, n’était pas beaucoup plus qu’un joueur d’Arsenal : son maillot en disait plus que ses statistiques. Puis, en un an et demi, tout s’emballe. 35 buts en 36 matchs de championnat sur l’année civile, et le titre de meilleur buteur de Premier League la saison suivante avec 30 buts. Van Persie est alors capitaine, figure emblématique, meilleur joueur et esprit d’Arsenal. Février 2011, finale de la League Cup contre Birmingham City. Robin marque en première mi-temps, se blesse en marquant, sort après la pause. Et Arsenal s’incline en prolongations. La lose. Manchester United propose 24M£ pour un joueur qui refuse de prolonger. Wenger dit oui.

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L’envol à Manchester

Une saison plus tard, l’arrogant numéro 20 floqué dans le dos, le héros marque d’une reprise de volée artistique le but du vingtième titre des Red Devils. Un triplé en moins d’une mi-temps, pour finir à 26 buts. 30, toutes compétitions confondues. Van Persie fait passer Rooney pour un joueur brouillon et est élu « homme de la saison 2012-2013 ». Toujours aussi esthétique, le batave rend United attrayant à lui tout seul. Lors de ses pires saisons, van Persie disparaissait sur le terrain. A Old Trafford, il développe l’art de la constance du coup d’éclat. Les « late-minute goals » deviennent une spécialité. A une certaine époque de la saison 2012-13, tout fan de football se devait de regarder Manchester pour ne pas rater les gestes osés, les déviations précises et les frappes chirurgicales de RVP. Pour résumer cet état de grâce, Robin est arrivé à un moment de sa vie où il peut marquer des reprises acrobatiques du droit sans que personne ne demande des explications.

Des explications sont en revanche demandées pour ses performances lors des grands rendez-vous. Alors qu’Ibra sera pourchassé jusqu’à sa tombe pour quelques matchs manqués avec l’Inter et le Barça (depuis 2011, il a toujours été décisif en C1, et ses éliminations ont toujours été logiques), van Persie est moins emmerdé. C’est certainement parce qu’il n’a jamais atteint un niveau de domination suffisant pour y avoir droit. La double confrontation de 2011 contre le Barça aurait pu tout changer. Ce but de chirurgien à l’Emirates, et puis cette expulsion « médicale » au Camp Nou, après que Robin n’ait « pas entendu le sifflet ». Une injustice historique. En équipe nationale, van Persie est un paradoxe. Meilleur buteur de l’histoire d’une nation (41 buts) dont le cœur a battu pour des Bergkamp, van Basten, van Nistelrooy ou autre Kluivert, Robin reste coupable de n’avoir jamais marqué en match à élimination directe. En 2010, il reste muet quand Sneijder et Robben volent jusqu’en finale. Lors du dernier Euro, il offre un beau but contre l’Allemagne, mais surtout beaucoup de ratés. En ce sens, van Persie est un anti-Sneijder : au top lors des qualifications, discret en phase finale. La revanche en juin ?

L’albatros et son pinceau

Si l’on s’intéresse tant à Robin van Persie, c’est bien plus grâce à la poésie de son jeu que pour ses statistiques. La manière de voler des oiseaux est souvent plus fascinante que l’oiseau en lui-même. Chez les footballeurs, c’est pareil. Il y a Robben le ptérodactyle, et van Persie l’albatros. Les gauchers sont fascinants. De la conduite de balle « publicitaire » d’un James Rodriguez aux angles fous d’Angel Di Maria en passant par le toucher d’un Recoba et les passes de Guti, le constat est le même : il n’est pas naturel d’être aussi doué, aussi adroit (c’est le cas de le dire). Et si le gaucher est parfois un brin vulgaire, à force d’en faire trop, ce n’est certainement pas le cas de Robin van Persie. Un nom digne d’un chevalier, ou d’un pilote de F1, au choix. Les tempes grisonnantes, le regard intelligent et le corps droit et long (1m88). Van Persie, sa dégaine désarticulée, ses bras infiniment longs, ses doigts d’artiste, est un élégant qui ne respecte pas les conventions. Insaisissable car harmonieux dans la disproportion. On l’imagine en tueur à gages, long manteau en cuir, gants noirs, costume cintré. Un méchant fascinant, qui irait égorger silencieusement les Stoke, Everton ou encore Arsenal. Une technique aussi élaborée, un sens du but aussi poignant. On croit souvent que c’est vulgaire ou futile de parler de « footballeurs artistes ». Mais Robin, né d’un père sculpteur et d’une mère peintre, a bien conscience de ce qu’est l’art, son monde, ses valeurs et ses représentations. « Je pense qu’il y a un lien créatif entre mes parents et moi. Et je pense que le football est l’endroit où ma créativité s’exprime. Comme eux, je vois des choses que les autres ne voient pas. Quand je vois un terrain de football, je le regarde comme si c’était ma toile. Et j’y vois des solutions, des possibilités, des espaces pour m’exprimer ».

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De l’excellence de United à la quête de Robin

Au fil des années de métamorphose du football en Angleterre, Sir Alex Ferguson est peu à peu devenu à lui seul l’identité de Manchester United. Si ce n’était plus le club de George Best, si les supporters vigoureux étaient partis, Manchester conservait ses valeurs à travers la poigne de son chef. Les joueurs s’y sentaient mieux que nulle part ailleurs (ils y restent en moyenne 5 ans !), le club gagnait et le prestige de l’institution grandissait. Surtout, United rimait avec la gagne. Avant de parler de nationalité ou de style de jeu, un joueur de Manchester était avant tout un gagnant. Une tête bien faite, un travailleur, un orgueil bien placé. Van Persie, le blessé, l’irrégulier, était un pur produit de cet Arsenal moderne. Acheté pour rien à 21 ans, nourri au biberon par tonton Arsène, technique, beau à voir jouer, et peu titré. Aujourd’hui, van Persie est devenu un joueur plus cynique que son propre club et a un plus beau pied gauche que Ryan Giggs. Ce transfert a quelque part démontré que tout ce qui est beau va bien à Manchester United, même quand cela vient d’Arsenal. Si l’on va plus loin, cela signifie qu’un Bergkamp aurait pu finir à United. L’excellence est une valeur, et Manchester l’incarne parfaitement en Angleterre, malgré les problèmes de jeu récurrents depuis 2009 et le départ de Cristiano.

Pour Manchester United, Arsenal n’est qu’un club londonien de plus, et Londres est bien plus une rivale sur la scène rock que football. Ainsi, l’arrivée de Robin n’est pas un argument pour la « perte de valeurs » de la Barclays Premier League. Si les supporters de Stamford Bridge ont rejeté Benitez du début à la fin, c’était avant tout une histoire personnelle. Et il n’y avait rien de personnel dans le transfert de van Persie. D’où la tristesse de l’histoire. Van Persie, de son côté, a bien trahi ces huit années passées aux côtés de Wenger. Evidemment, il n’a fait que suivre l’exemple de Cesc et Nasri, tous deux plus couronnés loin de Londres. Van Persie voulait être roi, peu importe le royaume. Une quête individuelle comme une autre, donc. Après tout, les artistes aussi vendent leurs toiles. Son agent l’a confirmé : « Robin aurait quitté Arsenal dans tous les cas, parce que rester revenait à gagner zéro trophée. Mais s’il avait su que Ferguson allait partir, il serait allé à Barcelone ou au Bayern ». Aujourd’hui, alors que Manchester s’enfonce dans une triste période, l’albatros est à présent sans peuple ni royaume. L’occasion de démontrer qu’il peut voler seul ?

Par mon pote Markus, lien de l'article en question -> http://fautetactique.com/2014/03/19/robin-van-persie-peut-il-voler-seul/

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On peut dire que vous avez une vision socialiste du football ?

 

Arrigo Sacchi : J'ai une vision correcte d'un sport d'équipe dont l'âme est le jeu. Voilà d'ou je pars.

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