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Actualités des clubs anglais


ericantona

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Si j'étais un peu prétentieux, en regardant le classement général de l'année passée, je dirait qu'ils en avaient bien besoin :P

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L'objectif de City c'est la c1. Ils ont viré Roberto et ils ont fait venir Pellegrini essentiellement pour ça en lui donnant d'une manière gerbante les arguments pour parvenir à atteindre cet objectif.

Le Cheik aussi veut sa veste UCL, comme Roman :)

Modifié par babyf@ce
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Et qu'après on fait une grosse série en février-mars avant de finir en grosse difficultée fin Avril-mai.

 

Mais on fait toujours le taf pour être devant Tottenham :P

 

Après là Rosicky sera là dès le début de saison, Wilshere aussi, Sagna aussi et ils feront tous une pré-saison, Ramsey commencera la saison en confiance...Je serais pas étonné qu'on commence mieux.

Le débile, soumis à la psychanalyse, devient toujours une canaille. Qu'on le sache.

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Diabaté aussi à un moment il avait un super ratio de but la saison dernière vers la fin (c'est vrai en plus).

Sa seule grosse qualité à Sanogo, c'est d'être un des meilleurs joueurs de FM.

On peut dire que vous avez une vision socialiste du football ?

 

Arrigo Sacchi : J'ai une vision correcte d'un sport d'équipe dont l'âme est le jeu. Voilà d'ou je pars.

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Retour dans le passé : 30 Mai 1999

Un destin chamboulé.

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Dans l'histoire d'un club, il suffit d'une fraction de seconde pour passer dans une nouvelle dimension. Quand on parle de Manchester City, cette dimension semble lié au rachat du club en 2008. Mais que serait devenu le club si le destin avait choisi l'autre camp ce fameux 30 mai 1999?

Alors que le rival honnis intégrait l'histoire du foot moderne en remportant un triplé inédit, Manchester City végétait en troisième division, accédant à la finale des play offs grâce à un parcours remarquable. Son adversaire se dresse à lui : Gillingham, modeste club situé au Sud Est de Londres, au palmarès presque vierge. Le décor est planté : La finale se jouera à Wembley, théâtre parfait pour une place en seconde division. Un club déchu face au petit nouveau, quasiment inconnu. Le nord face au sud. Outre le fait que le vainqueur obtiendra une place dans l'antichambre de la plus prestigieuse ligue de football, il obtiendra également une rentrée d'argent très intéressante. C'est d'autant plus important que durant ses années en division inférieure, les Sky blues avait pris des résolutions drastiques financièrement, décisions prise par le président de l'époque, David Bernstein, afin que le club soit capable de s'auto gérer. Tout les voyants semblent au vert pour City, une santé financière au point , un adversaire à sa porté, tout les éléments paraissent s'enchainer pour que le club bleu de Manchester remonte d'un échelon. Oui , mais pour cela, il restait un match...


Ce fameux 30 mai, les deux équipes font leurs entrées sur le terrain. Le stade est plein, deux peuples étant venus dans l'espoir de voir leur club de coeur remonter d'un échelon. 76 935 personnes, record pour un match de cette envergure, scandaient les noms de joueurs de chaque équipe. Gillingham, dirigé par un nom connu du football anglais, Tony Pullis, arborait un maillot bleu foncé, tandis que les citizens portaient un maillot jaune fluorescent à bande noir. Les ballons des couleurs des deux clubs étaient lâchés Il était15h pile, l'arbitre donna le coup d'envoi du match. Une page d'histoire commençait à s'écrire...

Début du combat final.

Le coup d'envoi à été donné, et directement, on observa que les deux clubs ne se feront aucun cadeaux, en l'espace de 5 secondes de jeu, déjà deux tacles ont été effectuer. L'esprit british est présent dans l'envie, et dans le style de jeu, les deux équipes usant régulièrement du fameux kick and rush, se basant sur les longs ballons. Après 20 secondes de jeu, les citizens s'approchaient déjà du but adverse, mais une main volontaire empêcha la conclusion de l'action. L'arbitre ne broncha pas. Les premières frappes ne se font pas attendre, les deux clubs ne semblant pas tétaniser par l'enjeu, beaucoup de frappes à distance, mais certaines actions mettaient les gardiens en danger, notamment le gardien des citizens. Au quart d'heure de jeu, un premier tremblement se fit sentir dans Wembley quand la frappe du latéral Crooks frôla le montant droit du gardien, battu sur le coup. Le danger s'approchait pour Gillingham, la pression s'amplifiait grâce à un très bon Dickov. Près de la demi heure de jeu, la superbe tête de Horlock est captée en deux temps par le gardien, City s'approchait du but, c'était indéniable, mais les joueurs de Tony Pullis arrivaient à se montrer dangereux par a-coups. A 7 minutes de la fin du premier acte, une première alerte pour les sky blues arriva lorsque Gilligham ouvra le score, logiquement refusé pour un hors jeu. Première alerte sans conséquence pour le moment, mais qui pourrait redonner le moral aux troupes de Pullis.

L'arbitre stoppa les deux équipes et les renvoyaient au vestiaire, au terme d'une première mi-temps rythmé ou aucune des deux équipes n'a su prendre l'avantage.

Un match ne se joue pas, il se gagne...

Les deux équipes ont fait leur retour après un repos bien mérité. Le deuxième acte de cette finale était lancé. Durant le premier quart d'heure, le spectacle se trouvait dans les tribunes tant les deux équipes se neutralisaient sur le terrain, les défenses prenant constamment le dessus sur les offensives adverses. Quelques offensives mettaient quand même les gardiens en danger, mais l'ouverture du score se faisait attendre. A la 75 eme minutes, le coeur des citizens a failli exploser lorsque la reprise de Goater heurta le poteau droit avant de s'éloigner. Deux minutes plus tard, c'est un mauvais dégagement du gardien des sky blues qui mis en difficulté toute l'équipe, Gillingham était tout proche de l'ouverture du score. Le but s'approchait pour les citizens, les occasions se multipliaient, il manquait une pointe de réalisme...

Premier coup de boutoir...

81 eme minutes, les joueurs du Sud de Londres combinent dans l'entre jeu, l'attaque semble voué a l'échec lorsqu'on observe le nombre de partenaire. Dos au but, il parvient d'une lumineuse passe à trouvé son attaquant Asaba, qui d'un pointu ne laissait aucune chance au gardien. Explosion de joie chez les supporters de Gillingham, dépit du coté des citizens.
Il reste 10 minutes pour arracher la prolongation, rien n'est perdu. Mais le danger s'accentuait sur les pensionnaires de Maine Road, on est plus proche du deuxième but que de l'égalisation. Remis du coup pris au mental, Manchester City attaqua, et failli égalisé 3 minutes plus tard lorsque Dickov se heurta a l'impérial Bartram.

Bis répétita...

86 eme minutes, alors que City est à l'attaque, l'impensable arriva : Alors que presque tout les citizens se trouvait en attaque, le premier buteur, Asaba, trouver pleine axe à une quarantaine de mètres du but, effectua une belle talonade en direction de son équipier Taylor. Sa fulgurante accélération lui permis de frapper, une frappe puissante, à ras de terre, qui trouva un angle difficile, le gardien était battu, deuxième but, Tony Pullis exultait, à 5 minutes du terme du match, son équipe menait de deux pions à aucun, l'ascension était au porte de son vestiaire. Les uns exultaient, les autres faisaient grise mine. Le destin semblait avoir choisi son camp.

Mais un match ne dure pas 86 minutes, et ça, les joueurs de Joe Royle le savaient bien. Mais le temps était compté, et les secondes s'égrainaient. L'espoir diminuait de plus en plus, le coup de sifflet final approchait. A quelques secondes du temps additionnel, une nouvelle attaque de City semblait voué à l'échec, mais Paul Dickov parvient a trouver Goater dans l'axe, le face à face avec le gardien pour redonné espoir à tout un peuple? Non, puisque le défenseur dans un tacle fantastique enleva le ballon des pieds de l'attaquant, mais le danger était toujours là, le gardien ayant déserté la cage pour se présenter face à Goater, le but était grand ouvert pour Horlock, qui avait bien suivi. 2-1 en faveur de Gillingham et 10eme but de la saison pour Kevin Horlock, il reste 2 minutes de jeu, un peuple prit peur tandis qu'un autre reprit espoir, le temps est compté par les deux équipes. Le jeu repris, et c'est du kick and rush de la part des deux équipes auquel on assiste. 94 eme minutes, le match arrivait à son terme, plus que quelques secondes pour espérer un peu plus. Ce qui paraissait impensable arriva. Après un nouveau dégagement lointain, un premier duel fut remporté par un citizen, qui envoya le ballon directement dans les pieds de Goater après une subtile déviation, le tacle du défenseur contra le ballon, qui arriva dans les pieds de Dickov, qui expédia le ballon sous la barre transversale. Explosion de joie de tout le peuple bleu, Dickov laissant sa joie exploser par une glissade sur les genoux. 2 buts de retard remonté en 8 minutes, le défi semblait impossible, mais rien n'est impossible. Le 15eme but de la saison de Paul Dickov est surement le plus important de sa carrière. Tony Pullis est abattu. Les deux équipes vont donc se départager lors de deux nouveaux actes de 15 minutes chacun.

L'effervescence descendu, les prolongations commençaient sous un rythme bien en deçà des deux mi-temps. Peu d'occasion de part et d'autre sont à se mettre sous la dent, seul une frappe contré de Goater a pu donner quelques espoirs au Sky Blues. La fin de match s'anime, avec plusieurs occasions franche pour chacun des deux camps, mais aucune des deux équipes ne parvient à prendre le dessus. C'est donc a la très aléatoire séance de tir au but que les deux équipes vont se départager. Manchester City contre Gillingham, Weaver face à Bartram, deux opposants, un seul vainqueur, un seul perdant.

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But de Paul Dickov à la 93eme minutes !

Au petit bonheur la chance.

Horlock, le premier buteur, est le premier tireur. Sa frappe pleine axe ne laisse aucune chance au gardien, parti du mauvais coté. Le premier tireur de Gillingham s'élance, et but sur un Nicky Weaver impérial, le tir au but fut très mal tiré. Joie mitigé du gardien, le travail n'étant pas terminé. La balance commençait à faire son choix, avantage City pour le moment. Le héros s'approcha, Dickov s'élança. Le gardien est prit à contre pied, mais le ballon heurta le poteau droit puis le poteau gauche avant de s'éloigner de la cage ! Cruauté ! L'occasion pour le tireur suivant est belle : il peut remettre les deux équipes au même niveau. Sa frappe était puissante, mais elle passait a coté du but ! Statut quo au tableau d'affichage. Nouveau tireur pour les Sky blues, la frappe etait très bien placé et termina dans le petit filet. Le gardien ne pouvait rien faire malgré le faite qu'il était parti du bon coté. Avantage de deux buts maintenant, mais Gillingham pouvait réduire l'écart. C'était chose faite grâce à une frappe puissante dans la lucarne. Le quatrième tireur de City s'approcha, pour agrandir l'écart au score. Sa frappe trouve un angle parfait pour un but plein de sang froid. Balle de match, si le pénalty n'est pas transformé, le vainqueur sera connu. Le frappeur s'élança, et tira directement sur le gardien ! Le destin avait choisi son camp, Manchester City monte d'un étage et se rapproche de la Premier League !

Un match n'est jamais terminé. Le destin a fait que le titre remporté en 2012 au terme d'une superbe saison fut dans le même style que ce match d'anthologie. Que serait devenu ce Manchester City si Dickov n'avait pas surgit ? Nul ne le sait... Ce 30 mai 1999, le destin avait choisi son camp.

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Nicky Weaver avec le trophée.

Modifié par Citizenx3
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Quand Citizen a cherché le synonyme du mot espoir, il est tombé sur Guidetti.

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De sérieux candidats au titre pour la saison à venir, surtout avec le tout nouveau duo Isco/Cavani.

"Oh, Monsieur et maître, la misère est grande. Les fantômes que j'ai conjurés, je ne vais plus pouvoir m'en dépêtrer"

 

Goethe.

 

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Un des meilleurs moments de football, si ce n'est le meilleur, de ces dernières saisons :

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On peut dire que vous avez une vision socialiste du football ?

 

Arrigo Sacchi : J'ai une vision correcte d'un sport d'équipe dont l'âme est le jeu. Voilà d'ou je pars.

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LE NOUVEAU PATRON DE FULHAM PRIÉ DE RECRUTER AU PAKISTAN. La Fédération pakistanaise de football a prié le nouveau propriétaire de Fulham, Shahid Khan, d'origine pakistanaise de recruter des joueurs dans son pays de naissance : "Nous tentons d'entrer en contact avec lui pour lui demander de venir au Pakistan pour qu'il puisse observer les jeunes talents et leur donner la chance", a déclaré à l'AFP la fédération pakistanaise.

 

:D :D

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Pour le belge le plus fan de Chelsea :

http://webfirstrow.eu/watch/195975/1/watch-thai-star-team-vs-chelsea.html

 

Lukaku a scoré sur péno, j'ai maté la première periode, il est quand même vachement brouillon. Par contre en seconde période il y aura un onze different, je sais pas si De Bruyne va continuer.

 

Chourlé est assez percutant, un poil maladroit par contre.

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