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Les médias français et Manchester United


Scholesy

Messages recommandés

Et non mais sur RMC la, c'est la folie...

 

Premiere fois que j'écoute je suis pas déçu, quelle émission de geek, ils servent a rien l'autre idiot de Delperrier il connait quoi au foot lui ?

 

Courbis il sert à rien, enfin que du bon quoi...

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C'est clair que les commentaires de TF1 c'était du très haut niveau ce soir :lol: On va bien s'amuser avec Cricri (Jeanpierre)!

ENVIE DE PARTICIPER À L'ASSOCIATION OU AU PODCAST DE MANCHESTER DEVILS ?

REJOIGNEZ-NOUS !!!

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et comment qu'on va se marrer!!! :grr::grr:

preuve irremediable que dieu existe et qu'ils punie les hommes pour ce qu'ils font: dieu a reussi a caser pierre menez et philippe auclair dans le corps de ce salop de christian jeanpierre!!! :lol:

 

bon ben je crois qu'en 90minutes ila dit toutes les conneries de la carriere d'auclair reunies! :rules:

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14h30 – Steve Mandanda se réveille et jaillit sur ses pantoufles, placées à la limite du hors-jeu, dans le dos de Gaël Givet encore endormi. Plus loin, Victorino Hilton se plaint auprès d'Eric Gerets du manque de couvertures.

16h00 – Mandanda surprend Pape Diouf en conférence de presse au milieu d’une phrase de cent soixante-quatorze mots. Il attend qu’elle se termine, et la capte.

23h00 – Steve Mandanda envoie un sms à Djibril : "Si tu reviens, j'arrête d'arrêter tout".
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Ca y est l'Equipe s'est rendue à l'évidence :

 

 

LES PERCÉES DE L'ARMÉE ROUGE

 

Par Cédric ROUQUETTE (avec E. T.)Mardi, Luciano Spalletti a affirmé que Manchester United était la meilleure équipe du monde sur le papier. Elle l'est peut-être aussi sur le terrain. Le onze d'Alex Ferguson est, en tout cas, meilleur que l'an passé à la même époque. Son effectif, plus étoffé. Ses rêves de grandeur, légitimes.

 

Luciano Spalletti n'a pas attendu de perdre (0-2) chez lui un quart de finale de Ligue des champions pour dire tout haut ce que beaucoup pensent encore tout bas. «Manchester United est sur le papier l'équipe la plus forte du monde, avec de grands joueurs offensifs comme défensifs», disait l'Italien mardi. Sur le terrain, c'est presque aussi clair. MU n'en avait pas apporté la démonstration au tour précédent contre Lyon (1-1, 1-0). Mais l'odeur des grands matches attise manifestement son instinct de chasseur, comme d'ailleurs la Premier League où, sur ses sept dernières victoires, seulement deux l'ont été par un écart inférieur à 3-0. Un an après avoir renoué avec le titre de champion d'Angleterre, fait suffoquer l'Europe en laminant la Roma (7-1) puis en sortant vainqueur d'une demie magistrale contre l'AC Milan (3-2), la réalité est limpide : Manchester United a franchi un cap supplémentaire vers l'excellence.

 

 

C'est la même équipe. Parmi les titulaires, seul Gabriel Heinze n'est plus là. Mais tous les cracks se sont bonifiés - à commencer par Cristiano Ronaldo, désormais décisif sur les grands matches, auquel le Ballon d'Or France Football fait déjà les yeux doux - et l'effectif s'est renforcé. Par rapport à la saison dernière à la même époque, il est surtout en pleine santé. «Nous avons franchi un cap cette saison, je crois, et l'expérience de l'année dernière va nous servir, reconnaît Alex Ferguson. Pour arriver en finale, il nous avait manqué un peu de profondeur de banc», dit-il en référence à la demie perdue à Milan (0-3). «On ne se cherche pas d'excuses, mais c'est notamment en défense que ça a posé problème, observe Louis Saha. Entre Vidic qui avait un problème à la clavicule et Evra qui n'était pas là, on a pris un coup.» Depuis, Tevez, Anderson, Hargreaves et Nani sont arrivés. Ils sont tous titulaires réguliers ou en puissance. Pendant ce temps, tous les cadres quasiment sans exception continuaient leur oeuvre, même si la durée (et l'impact) de la blessure d'un Vidic sont pour l'instant inconnus. «On a quand même eu des blessés, nuance Saha, mais c'est juste qu'avec notre effectif, ça se ressent moins. Le onze de départ a beau être largement remanié, les résultats sont toujours là. Il y a une bonne émulation.»

 

 

Après la victoire à Rome, notre consultant Angel Marcos constatait : «MU, on le sait désormais, est aussi un collectif très discipliné, qui défend très bien», tout en soulignant dans sa chronique : «Cette organisation n'a pas empêché à Manchester d'aller au bout de ses actions.» En un mot : elle a aujourd'hui tous les talents, sans rien renier de l'identité de jeu qui a fait sa gloire. L'an passé, interrogé par L'Equipe Magazine, Alex Ferguson assurait «sans hésiter» que l'actuelle génération des Red Devils avait le potentiel de celle de 1999, celle du mythique triplé. «Il n'y a pas de mots, pas de superlatifs pour décrire ce que Cristiano Ronaldo fait, témoigne par exemple Saha. Par rapport à l'an dernier, il a encore gagné en volume de jeu. Alors que tout le monde attend le Ronaldo show, il est désormais capable de s'appuyer sur ses équipiers. En plus, il est constant. Pour moi, ce mec, c'est un super héros.» Notre consultant Angel Marcos relève : «Aucune autre équipe de la compétition n'a autant d'individualité. Vu qu'elle est aussi très performante sur le plan collectif, il sera très difficile d'aller la chercher.»

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C'est clair que c'est abusé ... deja quand c'est des francais j'ai toujours trouvé ca limite mais a la rigeur mais la ... LArquez, dont je suis loin d'etre fan, essaye d'etre un minimum objectif limite ca se sent qu'il se force a etre objectif tellement Jeanpierre est pro Arsenal et que ca se voit !

 

Je vais pas mentir j'etais pour Liverpool rien que pour que Arsenal degage de cette coupe et qu'il gagne rien! En plus je suis sur que si la demi est Chelsea Arsenal s'est pro-gunners vont la passer plutot qu'un possible Barcelone Manchester qui (sur le papier) est la plus belle rencontre possible en europe .... donc OUST ARSENAL

pu**** mais c'est exactement ce que je pense ! :bj:

 

Sinon l'article est magnifique, très objectif et très réaliste, à l'instar du Barca en 2006, MU a cette aura qui fait qu'elle est l'équipe la plus crainte en Europe, mais attendons la fin de saison pour voir si tout ça n'était pas que du rêve..

 

 

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Ca fait bizarre mais en même temps ca fait plaisir toute cette objectivité des médias

Doté d’une santé de fer, d’une volonté inoxydable, jamais blasé, le lapin Duracell des Ulis est un garde du corps coriace. Sa technique autant que sa capacité aérobie font de l’ancien attaquant une munition offensive de premier choix aussi. Sofoot concernant Pat Evra

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c'est dingue sa d'etre chouchouter comme sa!enfin je voudrais quand meme nuancer:ils ont attendu qu'on gagne 2-0 en ligue des champions a l'extérieur face a la roma et qu'on soit premier avec 5 points d'avance sur le deuxième en première league pour faire un bonne artcile sur nous!

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j'aime pas du tout cette objectivité tout d'un coup tout le monde nous aime ... c'est trop bizzarre j'ai pas du tout confiance

Je suis né avec un don et parfois un don s'accompagne de pulsions destructrices George Best

 

We're the best team in the world and they're the best fans in the world Wayne Rooney, December 21st 2008

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C'est un media Canadien : http://www.rds.ca/soccer/chroniques/249176.html

 

 

Jean Gounelle

Jeudi 03 avril 2008

 

D’abord toutes mes excuses pour avoir un moment douté de Manchester United. Des huit quart-finalistes de la Ligue des Champions, c’est bien la prestation des joueurs de Sir Alex qui aura été la plus impressionnante, la plus complète, la plus aboutie. Et ce dans un contexte loin d’être évident…

 

On avait coutume, ces dernières années, de voir un MU essentiellement concentré sur sa palette offensive. Solide derrière, à l’occasion, mais si peu assidu sur son replacement, sa récupération et ses transitions que l’édifice pouvait s’écrouler à tout moment. Ce qui fut, d’ailleurs, assez régulièrement le cas ces dernières années (à Milan l’an passé, contre Benfica, Madrid ou Porto en remontant encore plus loin).

 

Au fil des semaines, au fil des matches, au fil des petites modifications dans l’organisation du jeu, cet United a accumulé cohésion, maturité et l’«in-quantifiable» savoir-faire sur la scène européenne qui permet de maîtriser à peu près n’importe quelle situation.

 

Digne du grand Milan

 

À Rome, ce n’est pas tant la qualité offensive de Man’U. qui aura marqué les esprits que son organisation exemplaire. Avant tout, son jeu sans ballon. Dans une configuration surprenante (Park et Anderson titulaires, Giggs, Hargreaves et Tevez sur le banc), Manchester s’est d’abord employé à mettre à profit les absences de Totti et Perrotta pour brouiller le système de jeu de la Roma, à commencer par ses organisateurs, De Rossi, Pizarro, voire Aquilani. Acceptant parfois de subir, mais de subir sans véritables conséquences. Des doublons Park-Brown et Rooney-Evra sur les cotés pour bloquer les solutions secondaires de Rome sur les ailes, une défense centrale axée sur deux concepts - ne pas reculer et limiter les appels de Vucinic. Une défense centrale à peine perturbée par la sortie de Vidic, bien remplacé par un O’Shea sobre et sûr.

 

C’est avec cet acquis que Manchester a pu ensuite placer son jeu. Jusqu’à ce premier but. Qui conclut une très longue phase de possession avec mouvements, avec un Scholes super-disponible, présent d’un bout à l’autre de l’action. Un magnifique geste de Rooney, contrôle orienté-feinte-coup de rein, qui élimine quatre joueurs de la Roma. Scholes décalé et le centre parfait pour le jaillissement de Ronaldo.

 

Ensuite, Manchester a joué une partition assez digne du Milan AC de ces dernières années. Tenir une phase de pression adverse assez soutenue, ponctuée de deux interventions décisives de Van der Sar. Et appliquer la deuxième couche, avec une grosse tonne d’opportunisme (Rooney). Sans oublier deux occasions supplémentaires pour Cristiano Ronaldo.

 

CRonaldo, maître du jeu

 

À son sujet, on dira qu’il est tout simplement en état de grâce cette saison. Tout ce qu’il entreprend, même le plus osé, fonctionne. Pas un hasard. En ce moment, il rayonne d’autorité, de confiance. Chacun de ses gestes est marqué de cette absolue certitude. Vrai qu’il ne s’est pas encore totalement départi de certains «gris-gris», même s’il s’est sérieusement calmé dans ce domaine. Il doit cependant faire terriblement attention. L’important n’est pas qu’il «chambre», volontairement ou non, ses adversaires. L’important est qu’un jour ou l’autre un défenseur puisse penser qu’il le fait sciemment, et décide de faire un puzzle 1000 pièces avec ses jambes. Ce qui serait un tragique gâchis pour un joueur appelé à rayonner sur le jeu de façon durable.

 

Fin de parenthèse. Sur sa lancée, MU peut sérieusement envisager une fin de saison en apothéose. Aussitôt après le match retour, ils accueilleront Arsenal en Championnat, avant de se rendre à Chelsea le 26. Titre anglais en jeu. Sur ce que l’on voit en ce moment, ce MU-là est bel et bien la génération la plus à-même de rejoindre celle de 99.

 

Arsenal frustrant

 

Ce qui nous envoie directement à l’autre choc de ces quarts de finale, Arsenal - Liverpool (1-1). Match ouvert, plus agréable qu’attendu. Essentiellement marqué par l’inefficacité récurrente d’Arsenal et l’à-propos tactique de Liverpool. Honnêtement, les «Gunners» auraient pu prendre un avantage, voire un avantage net, en deuxième mi-temps. Lancés vague après vague après vague sur la défense de Liverpool qui semblait au fil des minutes de plus en plus en difficulté sur les attaques de son adversaire.

 

Oui, il y a eu le contre de Bendtner à l’entrée du but de Liverpool qui prive sans doute Arsenal de la balle de match. Il y a peut-être un pénalty pour une faute de Kuyt sur Hleb. Mais au-delà, il y a cette énorme domination d’Arsenal, dans la possession comme dans le territoire, incapable d’être concrétisée de façon nette, franche, décisive.

 

Cette équipe possède, sans doute mieux qu’une grosse majorité de «poids lourds» européens, une insolente aisance technique, dans son jeu au sol, ses mouvements collectifs, à une, deux touches de balle, et l’implication de cinq, six, voire sept joueurs à la fois sur certains mouvements offensifs. Qu’elle ne parvienne pas à transformer plus souvent cet avantage en buts demeure un petit mystère. Lié peut-être à la nature de son jeu, léché à l’extrême - parfois jusqu’à la parodie dans son obstination à «picoter» autour de la surface adverse. Rarement aura-t-on vu une équipe aussi à l’aise dans son approche, dans ses phases de domination, et aussi timorée au moment de prendre ses chances, tirer au but.

 

Gerrard dans la tourmente

 

En Ligue des Champions, Arsenal nous régale d’étincelles depuis des années, sans jamais parvenir à allumer le feu de joie. Manque, peut-être, tout simplement, de ce savoir-faire, de ce métier que Manchester semble aujourd’hui avoir apprivoisé et qui aura toujours été la seconde nature de Liverpool. Car même à la peine, même au bord de l’asphyxie en fin de rencontre, les joueurs de Rafa Benitez ont toujours eu en tête un objectif final. Tenir ce 1-1 pour se retrouver à Anfield avec un pas d’avance. Tenir, subir, sans oublier d’aller chercher à l’occasion chaque possibilité de contre capable de faire trembler Arsenal. De l’amener, insidieusement, à ne pas s’ouvrir complètement, à ne pas jouer à fond par crainte d’un retour de bâton, comme sur l’égalisation.

 

Dans ce domaine, celui de la maturité, de la sérénité dans la tourmente, Benitez possède deux maîtres du genre, avec Gerrard et Mascherano, énormes mercredi dans des registres différents. Si Liverpool a gagné un léger avantage de ce match aller, rien ne dit qu’un Arsenal en pleine possession de ses moyens n’est pas capable d’inverser la tendance à Anfield.

 

Barcelone éteint le feu

 

N’ayant pas encore vu les deux autres rencontres en intégralité, il m’est un peu difficile d’en parler trop longuement. Barcelone semble avoir choisi d’éteindre le feu né de sa dernière défaite en championnat. Face à un adversaire d’entrée sur la défensive, les Catalans ont poussé le peu de temps qu’il a fallu pour marquer, par Bojan. Ensuite, ils ont choisi de contrôler, sans trop s’exposer, même si Schalke s’est offert quelques occasions en deuxième mi-temps. À 1-1 comme à 1-0, le Barça se serait retrouvé en assez solide position avant le retour et pour le moment cela suffit à son bonheur.

 

Chelsea de son coté a grillé son droit à l’erreur à Istanbul. Menant 1-0 et avec deux ou trois occasions nette de plier la rencontre, les joueurs d’Avram Grant ont finalement laissé Fener’ revenir dans la partie, l’équipe de Zico prenant même l’avantage (2-1) face à une défense qui lui a finalement laissé beaucoup trop de place (trop sûrs d’eux?). Si les «Blues» demeurent favoris avant le retour, leur marge de manœuvre demeure on ne peut plus restreinte, Séville l’ayant appris à ses dépens au tour précédent. Encore une fois, Grant ne sortira pas grandi de cet affrontement, ses choix (Essien en latéral, Malouda titulaire, Anelka entré pour seulement 4 minutes) apparaissant de plus en plus passifs, toujours en réaction et jamais avec un temps d’avance - ce qui était l’une des grandes qualités de Mourinho.

 

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j'aime pas du tout cette objectivité tout d'un coup tout le monde nous aime ... c'est trop bizzarre j'ai pas du tout confiance

 

 

Complètement d'accord avec toi , je préfère qu'on nous crache dessus , c'est plus naturel ........ là ça sent pas bon ....

I AM A RED DEVIL AND PROUD OF IT !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

United forever

"Ces injections de speed dans le jeu mancunien agissent comme des décharges électriques sur le cortex de l'adversaire. Des coups violents qui sapent le moral, à force de courir dans le vide, avec la mort aux trousses. Parce que c'est bien connu, MU attaque en meute." SO FOOT 30/04/2009

 

Je voue un culte à Jiminy :bave:<----------- Ceci est un Hoax ... la réalité est que c'est Jiminy qui me voue un culte mais il l'assume pas :D

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Quel c****** ce Auclair :D Il est presque en train de convaincre tout le monde que Boro va nous défoncer dimanche! Il est allé nous chercher un vieux match à Derby pour dire qu'on eut chuter là-bas. Il en rêve de nous voir perdre là-bas. Il a le droit de vendre un match mais faut pas déconner non plus.

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alors les gars j'ai beaucoup lu que Auclair etait un c****** mais je l'avais jamais entendu

 

aujourdu'hui je viens de l'entendre

 

QUEL c******!!!! avec lui on va affronter la PLUS grande equipe du monde qu'on va perdre et compagnie ca ma donne envie de :burp::burp::burp:

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lu sur les Cahiers du football (c'est en retard car ils mettent du temps pour écrire leur rétrospective du week end)

 

Villa a Maloney (et à la tête) :D !

United-Aston Villa: 4-0

 

Alex Ferguson ne ménage pas ses troupes. Trois jours avant un important déplacement à Rome, le onze (presque) type était aligné contre Aston Villa. Il faut dire qu’en rencontrant Arsenal, puis Chelsea dans les prochaines semaines, le leader n’a plus le droit à l’erreur s’il veut conserver son avance.

Certainement boostés par la fessée donnée aux Scousers une semaine plus tôt, les Mancuniens démarraient pieds au plancher et ouvraient le score par l’intermédiaire de Dieu, d’une inspiration magnifique. Ledit Dieu qui se retrouvait logiquement passeur décisif sur les trois autres buts avec successivement: un centre millimétré, une aile de pigeon et une passe dans la course (avec petit pont au passage).

Fort d’une première mi-temps très solide, les locaux rentraient au vestiaire sereins. À peine revenu sur la pelouse cependant, Maloney, seul devant Kuszczak, manquait la balle du 2-1. Les Villains rataient là l’occasion de relancer le match et réduisaient leur espoir de ramener un point de leur déplacement. Sans pitié, les Red Devils accéléraient de nouveau et amplifiaient leur avantage cinq minutes plus tard.

Puis finissaient le travail à la 70e par Rooney, tout heureux de marquer son premier but en un mois.

MU est présent dans le sprint final, et sur ce match, même Fabregas et ses petits copains peuvent aller réviser leur brevet des collèges.

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vous savez pas a quel point jté content de la façon dont Auclair parlé de nous le mec il pas honte tous les week-and c'est comme ça au lieu de parler du match Arsenal-Liverpool il voit plutot Boro nous battre je sais qu'on va gagner et là il dira c'est logique que nous gagnons mais il a pas honte ce mec quel type ce Auclair

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lu sur les Cahiers du football (c'est en retard car ils mettent du temps pour écrire leur rétrospective du week end)

 

effectivement j'ai lu ça masi bon j'ai eu la flemme de poster!!! :lol:

 

serieux le coup de dieu ça m'a plié j'en pouvais plus!!! :D

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14h30 – Steve Mandanda se réveille et jaillit sur ses pantoufles, placées à la limite du hors-jeu, dans le dos de Gaël Givet encore endormi. Plus loin, Victorino Hilton se plaint auprès d'Eric Gerets du manque de couvertures.

16h00 – Mandanda surprend Pape Diouf en conférence de presse au milieu d’une phrase de cent soixante-quatorze mots. Il attend qu’elle se termine, et la capte.

23h00 – Steve Mandanda envoie un sms à Djibril : "Si tu reviens, j'arrête d'arrêter tout".
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vous savez pas a quel point jté content de la façon dont Auclair parlé de nous le mec il pas honte tous les week-and c'est comme ça au lieu de parler du match Arsenal-Liverpool il voit plutot Boro nous battre je sais qu'on va gagner et là il dira c'est logique que nous gagnons mais il a pas honte ce mec quel type ce Auclair

ouais!! :kill::kill: et sourtout quel c******! :kill:

ryan giggs the legend

 

KENY ARKANA: LA RABIA DEL PUEBLO!!!!!!!

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