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Charlie

Fergie Babes
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Tout ce qui a été posté par Charlie

  1. Nice. Par contre Van Der Sar "has been", laissons ça aux journaleux français. Il restait performant avec la sélection nationale.
  2. Charlie

    José Mourinho

    http://www.contre-attaque.fr/football/tactique/quatre-trois-trois/mourinho-chelsea-12363 On retrouve aujourd'hui certaines caractéristiques qu'il avait imposé à son Chelsea de l'époque. Je mets ça aussi puisque par moment ça parle de nos phases de jeu:
  3. Charlie

    Paul Pogba

    https://www.youtube.com/watch?v=NsNpUePZ-8M
  4. Charlie

    Henrikh Mkhitaryan

    https://www.youtube.com/watch?v=a7AK8hIcKCo
  5. Bailly qui s'en va à la CAN certainement, incertitude pour le moment avec Smalling, plus l'avenir, ce sont les raisons pour lesquelles on prend ce joueur et on anticipe aussi l’intérêt des autres clubs pour le suédois. Bailly/Lindelof + Jones/Rojo version Mourinho + Smalling/Blind, on vise le futur.
  6. Veron qui a connu une situation paradoxale: En 2001-2002 on l’accusait de se préserver pour la coupe du monde 2002 avec l'Argentine. Puis lors du match contre l'Angleterre en phase de poule, avec à la clé la victoire des anglais, on l'a cette fois-ci accusé de s'être volontairement laissé aller pour permettre aux anglais de pouvoir gagner le match puisqu’il affrontait certains de ses coéquipiers de club. L'histoire de ce joueur... C'était un superbe footballeur sur qui on avait beaucoup d'attentes, mais il n'a jamais eu le rendement espéré du moins pas sur la durée. L'idée fût très bonne de base, le faire jouer avec Scholes et Keane pour apporter de la technicité, un peu plus de jeu - court, de la verticalité, pour permettre à Scholesy de jouer plus haut, et aussi pour permettre de temporiser le jeu, mais au final ça a crée l'effet inverse et le joueur de la Lazio n'était plus. A ce jeu là, Carrick fut bien meilleur et a mieux cerné le style particulier du Ginger Prince.
  7. Charlie

    Phil Jones

    Jones obtient les performances qu'il doit obtenir quand les blessures lui laissent tranquille. Mourinho tout comme avec Rojo redonne à ce défenseur du plaisir à fouler les pelouses, de la rigueur, de la discipline afin de mieux gérer ses efforts, on le sent aussi plus impliqué, plus concentré. Mourinho a l'art de faire de ses joueurs des guerriers, et Jones a parfaitement bénéficié du travail général du portugais. Il faut que ça dure.
  8. Tu étais en effet l'un de ceux qui le soulignaient. Zlatan a une expérience des grands championnats, ce n'est pas un hasard s'il s'est retrouvé tant de fois championnat national avec ses équipes. C'est un winner.
  9. Je me dois de répondre à tous ces sujets crées dans la section salon Manchester United. Je commence par celui-ci: Comme satisfaction, ou agréable surpris je dirai... Vidic et Evra. Je savais qu'on recrutait là deux joueurs intéressants surtout Evra que j'avais suivi lors de l'épopée monégasque... en revanche je ne m'attendais pas à ce qu'ils atteignent un tel niveau à tel point qu'ils sont aujourd'hui dans la légende du club. Ils ont réussi à se hisser à l’échelle de Rio, et à trois formaient l'une des meilleurs défenses du royaume et d'Europe sans aucun doute. On savait que derrière ça allait tenir et contrebalancer notre football très offensif, on savait qu'on pouvait s'appuyer sur des valeurs sûres défensives, et qu'ils allaient au mieux contenir les offensives adverses. Vidic fût le profil qui permettait à Ferdinand de se libérer d'un marquage individuel en défense, chose qui était dédié au serbe généralement et Evra fut le parfait profil de contre attaquant, idéal pour lancer rapidement une attaque et apporter un poids offensif supplémentaire. J'aimais à penser qu'après le changement de registre de Ronaldo, et Giggs qui jouait de plus en plus au centre, qu'Evra restait comme le dernier véritable ailier au club. Ils ont été de vrais satisfactions. Ils ont permis à notre défense de franchir un véritable cap. Sinon aujourd’hui Bailly est bien parti dans le genre bonne affaire...
  10. Match géré tranquillement. On sait que nous sommes à l'approche du Boxing - day alors dés que l'occasion se présente on minimise au maxi' les efforts dans les rencontres. On s'est facilité le match même si en face ce n'était pas flamboyant. Propre prestation, les joueurs sont entrain de gagner en confiance. Une grande équipe est un collectif qui sait gérer toutes les situations de match, qui sait varier sa façon de jouer selon le contexte, l'adversaire, les conditions de jeu. L'équipe est entrain de se rapprocher de ça même si c'est trop tôt pour parler avec des certitudes, nous revenons de loin.
  11. https://www.youtube.com/watch?v=XJzESFI9POk
  12. Nice, roi de l'attaque placée Si son registre offensif est très varié cette saison, l'équipe de Claude Puel excelle surtout dans la préparation et la conservation, la qualité de passes, les déplacements de jeu et l'utilisation combinée de la largeur et de la profondeur. La preuve contre Lyon. Il y a deux mois, contre Bordeaux, Nice avait déjà fait le coup. Une séquence de vingt-et-une passes et soixante-deux secondes conclue par un but de Ben Arfa, le deuxième d’une partie survolée ce soir-là 6-1. Vendredi dernier, face à Lyon, l’équipe de Claude Puel a remis ça à la 19ème minute, quasiment à l’identique. A nouveau vingt-et-une passes, soixante secondes cette fois montre en main, et au bout de la chaîne, un but de Germain, celui qui a fait basculer le destin du match. Puisqu’il a les milieux de terrain faits pour échanger dans le coeur du jeu (N. Mendy, Koziello et Seri) et puisqu’il est moins bien outillé pour défendre et aller au duel, Nice aime avoir le ballon. C’est aussi l’une des équipes les plus joueuses de L1 et celle qui attaque, probablement, avec le plus d’intelligence. Elle ne joue pas spécialement haut, aucune autre d’ailleurs ne passe aussi peu de temps qu’elle dans la moitié adverse (seulement 22% de ses actions), mais quand elle y est, elle sait y être efficace (près de 5 tirs cadrés par match en moyenne). Si les 30 buts qu’elle a déjà marqués démontrent néanmoins que son registre est très varié (jeu parfois plus direct, frappes de loin, exploits individuels de Ben Arfa, attaques rapides, centres, coups de pied arrêtés...), c’est cependant sur attaque placée qu’elle se montre la plus habile et la plus redoutable. A l’image de son premier but contre Lyon que nous décortiquons ici. Pour pallier les absences et s'adapter au 4-4-2 en losange de Lyon, Claude Puel avait changé d?organisation (3-4-1-2) et inversé son triangle au milieu (avec Seri en pointe haute derrière les attaquants). (Capture d'écran Canal + Sport) (L'Equipe) A la récupération, tout est en place Au début, Nice a éprouvé un peu de mal à animer le 3-4-1-2 qu’avait mis en place Claude Puel (c’est la première fois de la saison qu’il abandonnait son 4-4-2 en losange) et à trouver ses repères en l’absence des suspendus (R. Pereira, Bodmer, Wallyson) et, accessoirement, des blessés (Pléa, Le Bihan, M. Traoré). En particulier, à bien resserrer dans l’axe et à ressortir proprement le ballon de derrière. Mais sur l’action qui amène le premier but, on constate néanmoins que lorsque Koziello récupère le ballon en position médiane, l’équipe est alors bien en place, bien équilibrée et qu’elle est prête déjà à amener beaucoup de monde dans la zone de finition. Avec ses deux joueurs de couloir (Pied et Hult) et son trident offensif (Ben Arfa-Seri-Germain), où le milieu ivoirien n’hésite pas à venir s’intégrer à l’attaque et s’intercaler entre ses deux partenaires. Tout commence avec une récupération médiane de Koziello le long de la ligne de touche, côté gauche. L'action va alors repasser par derrière, puis se déplacer sur la droite selon le circuit Hult-Le Marchand-Baysse-Genevois. (Capture d'écran Canal + Sport) (L'Equipe) Déplacer le jeu, utiliser la largeur Avant de trouver le bon décalage et de déclencher la bonne accélération, Nice excelle dans la conservation de balle et il aime souvent se ménager des temps de préparation assez longs (12 passes et 31 secondes sur l’action qui amène le troisième but de Koziello). Une fois que le ballon repart vers l’arrière (passe de Hult pour Le Marchand), c’est d’abord sa patience, son habileté à déplacer le jeu et à utiliser la largeur qui vont chercher à étirer la défense lyonnaise, à la mettre hors de position et à trouver de l’espace. La séquence se développe à droite, revient dans l’axe (N. Mendy, Seri), repart sur la gauche, revient à nouveau sur la droite et c’est une première passe profonde de Baysse et un relais de Seri pour Pied qui crée une forme de déséquilibre chez l’adversaire. La seizième passe de la séquence, celle de Pied pour Germain, combinée avec l'appel de Ben Arfa, qui fixe Yanga Mbiwa et Morel, aurait pu déjà faire la différence. Il en faudra cinq de plus... (Capture d'écran Canal + Sport). (L'Equipe) C'est dans l'axe que tout se termine Servi dos au but un peu trop derrière lui et serré de près par Gonalons, Germain fait repartir l’action à nouveau sur la gauche. C’est ensuite une passe intérieure de Le Marchand pour Seri qui va amorcer le mouvement final. Grâce à la fois au bon déplacement vers la droite de Ben Arfa (le seul joueur de champ niçois à ne pas toucher la balle durant la longue séquence) et à la capacité de Seri à percuter et éliminer en un contre un (d’abord Darder, puis Tolisso) dans un poste de numéro 10 inhabituel, Nice réussit enfin à créer la supériorité numérique dans l’axe à vingt-cinq mètres du but lyonnais et à s’offrir ainsi des possibilités de passe profonde dans l’espace (Germain), voire dans les intervalles. Après avoir utilisé toute la largeur pour déplacer le jeu, c'est dans l'axe que Nice va placer l'accélération décisive grâce à Seri, au bon déplacement de Ben Arfa et à l'appel de Germain dans la profondeur. (Capture d'écran Canal + Sport) (L'Equipe) La dernière passe dans la profondeur C’est toujours celui qui demande le ballon et son appel qui déclenchent la passe, en l’occurence Germain. L’attaquant niçois part dans le dos de Gonalons (lequel garde les yeux fixés sur la balle) et vient se glisser entre le central lyonnais et Rafaël, la passe de Seri est parfaitement dosée, et c’est alors sa qualité individuelle qui crée la différence et se concrétise par un but. Qualité de contrôle du pied droit pour s’emmener le ballon dans la course et éviter le retour de Rafael. Qualité de toucher de balle pour lober ensuite Lopes du gauche et gagner son duel. Mais aussi qualité de sang-froid et justesse technique pour pouvoir enchaîner le tout. Au moment de conclure, le trident d'attaque (Seri-Ben Arfa-Germain) et les deux joueurs de couloir (Pied et Hult) se retrouvent idéalement placés dans les 25 derniers mètres pour transpercer la défense lyonnaise. (Capture d'écran Canal + Sport) (L'Equipe) http://www.francefootball.fr/news/Nice-roi-de-l-attaque-placee/610203
  13. Encore un déplacement compliqué... Je n'arrive vraiment pas à anticiper un quelconque résultat mais une victoire aujourd'hui sonnera définitivement notre retour en forme et prouvera qu'on s'est bien remis de la désillusion d'Everton. Il va falloir se donner une fois encore... Courage.
  14. Mon record c'est un livre de sociologie finit en quelques heures... mais je ne fais pas le fier quand je sais que par exemple Bill Clinton lisait plusieurs livres par jour
  15. Charlie

    BIG TOURNAMENT

    https://www.youtube.com/watch?v=05ds1Q5vFEY
  16. Charlie

    BIG TOURNAMENT

    Au moins c'est clair, je ne joue plus pour la gagne 2 points OGS 2 points Doraibu 2 points Rooney 24 3 points Macleod 3 points Jiminy
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