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Lol troller Tolkien. :mellow:

La deuxième trilogie (du Hobbit) est pas terrible.

 

Mais LSDA est juste introllable.

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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Lol troller Tolkien. :mellow:

La deuxième trilogie (du Hobbit) est pas terrible.

 

Mais LSDA est juste introllable.

 

Lis Le Maître et marguerite de Bulgakov, et dis moi qu'il n'est pas surcoté le Tolkien.

Modifié par Marvin
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Lis Le Maître et marguerite de Bulgakov, et dis moi qu'il n'est pas surcoté le Tolkien.

 

Attends, tu vas chercher du lourd là. Faudrait pas le ridiculiser le Tolkien non plus :D

Modifié par T2S

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"Het is niet echt de vraag OF we het WK 2014 winnen, de vraag is eerder: met hoeveel doelpunten verschil winnen we de finale?" De Motivees/Les Motivées

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Invité Skynet

Ah non là Marvin je suis pas d'accord, Tolkien en tant qu'écrivain c'est vraiment super.

Les films par contre, c'est moyen. Beaucoup de fans n'aiment pas trop, moi j'ai bien aimé.

 

Lis Le Maître et marguerite de Bulgakov, et dis moi qu'il n'est pas surcoté le Tolkien.

Ouais enfin y'a un peu rien à voir quoi. C'est un peu comme comparer the office à GoT tu vois.

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Je pense qu'il essayait surtout de comparer le rapport notoriété/talent des deux auteurs. Tolkien, tout le monde connait et tout le monde s'enflamme à son propos alors que la littérature de Boulgakov n'est que trop méconnue bien qu'infiniment supérieure à l'oeuvre du père du Seigneur des anneaux.

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Invité Skynet

Euh mouais, leur style sont tellement différents j'vois pas ce que tu veux comparer. C'est comme comparer le maitre et la marguerite avec le livre sans nom. :^:

 

"Je pense qu'il essayait surtout de comparer le rapport notoriété/talent des deux auteurs. Tolkien, tout le monde connait et tout le monde s'enflamme à son propos alors que la littérature de Boulgakov n'est que trop méconnue bien qu'infiniment supérieure à l'oeuvre du père du Seigneur des anneaux."

 

 

C'est déjà mieux oui, même si Boulgakov est plutot tres reconnu. Son livre est considéré comme un des plus grands de la littérature russe (qui est une des plus belle au monde), c'est pas rien ^^.

 

On peut aussi dire qu'on aime pas tolkien sans pour autant dire qu'il est surcoté, alors que c'est un tres bon écrivain. Et puis ils n'ont pas eu du tout la même carrière, les memes buts dans l'écriture, rien ne se compare entre ces deux la

Modifié par Skynet
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Euh mouais, leur style sont tellement différents j'vois pas ce que tu veux comparer. C'est comme comparer le maitre et la marguerite avec le livre sans nom. :^:

 

"Je pense qu'il essayait surtout de comparer le rapport notoriété/talent des deux auteurs. Tolkien, tout le monde connait et tout le monde s'enflamme à son propos alors que la littérature de Boulgakov n'est que trop méconnue bien qu'infiniment supérieure à l'oeuvre du père du Seigneur des anneaux."

 

 

C'est déjà mieux oui, même si Boulgakov est plutot tres reconnu. Son livre est considéré comme un des plus grands de la littérature russe (qui est une des plus belle au monde), c'est pas rien ^^.

 

On peut aussi dire qu'on aime pas tolkien sans pour autant dire qu'il est surcoté, alors que c'est un tres bon écrivain. Et puis ils n'ont pas eu du tout la même carrière, les memes buts dans l'écriture, rien ne se compare entre ces deux la

 

Pas pour le commun des mortels hein. En général, les gens - du moins certaines personnes - connaissent plus Dostoïesvki et Tolstoï que Boulgakov et Pouchkine, par exemple. Faut clairement s'intéresser à la littérature pour connaître le Maître et Marguerite ; ce qui n'est pas le cas pour LSDA (mais bon, c'est pas non plus la faute des gens ça, c'est marketing LSDA).

 

On s'éloigne du topic là par contre. ^_^

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Top 10 des films à voir avant d'avoir 14 ans (selon BFI)

 

http://www.topito.com/top-films-avant-14-ans?fb_comment_id=fbc_146803662179002_161627_146808468845188#f2b69261a8

 

Best, t'en penses quoi?

 

Des films à rajouter?

 

Personnellement, je n'en ai vu que 3.

15 V, 5 D, 7 L and continuing...

http://www.mancheste...680#entry993300

Site off: Member: 3187618, nom: Gilment

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Je pense qu'il essayait surtout de comparer le rapport notoriété/talent des deux auteurs. Tolkien, tout le monde connait et tout le monde s'enflamme à son propos alors que la littérature de Boulgakov n'est que trop méconnue bien qu'infiniment supérieure à l'oeuvre du père du Seigneur des anneaux.

 

Non mais le seigneur des Anneaux c'est 15% de "l'oeuvre" de Tolkien, celle qu'un cinéaste à décidé de faire découvrir à ceux qui ne s'en interessait pas jusque lors.

Pourtant Tolkien a crée bien plus qu'un bouquin, une histoire, il a fait un univers complet utilisant certains code (pris dans la culture germanique et vicking) et qu'il a modifié et popularisé.

 

Aujourd'hui 75% de l’héroïque fantasy à comme prise de code l'univers de Tolkien, de près ou de loin, ne serais ce que par la forme physique des races utilisées, leur façon de vivre, les décors etc etc ...

 

 

Troll Tolkien :/

 

 

Sinon j'ai vu Only Gog Forgives, quitte pour une migraine qui m'a pas lâché de la nuit cause de la luminosité du film complément bousillé par un abus flagrant de filtres colorés.

 

Sinon, dans un de ses rôles il parle un peu le Ryan Gosling ?

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Invité Skynet

Pose la question à 100 jeunes de moins de 30 ans, et tu verra le pourcentage. Mais c'est surtout du aux films et à cette mode du fantastique/médiéval.

osef non ? ^^ Ca n'enleve pas le fait que ce soit un tres bon écrivain, dans son genre y'a presque pas mieux.

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Top 10 des films à voir avant d'avoir 14 ans (selon BFI)

 

http://www.topito.co...5188#f2b69261a8

 

Best, t'en penses quoi?

 

Des films à rajouter?

 

Personnellement, je n'en ai vu que 3.

 

J'en ai vudeux, et il n'y a pas "up" dedans, useless!

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Juger Tolkien à sa plume. :mellow:

Tolkien = un univers, pas une plume.

Et ouais, y a pas que la forme dans la vie.

Sinon Winding Refn serait un génie. Chose qu'il n'est absolument pas.

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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Rien à voir avec de vrais écrivains.

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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THE BLING RING (2013) de Sofia Coppola : ***

 

931694TheBlingRingaffiche.jpg

 

Idéalité.

 

 

De quoi les jeunes se nourrissent-ils aujourd'hui ? Que consomment-ils ? De la liberté. Mais pas la liberté d'Into the Wild, celle qui se jouait en tapant la discute à une pêche ou en écoutant Eddie Vedder. Non. La liberté du XXIème siècle se joue avec du fric, du fric, et encore du fric. Du moins une « certaine » liberté pour une « certaine » jeunesse. Sofia Coppola, en réalisant The Bling Ring, tape en plein dedans. On savait donc déjà de quoi le film allait parler, la question était de savoir comment il allait en parler. Et la talentueuse Sofia n'a, à mon sens, pas réussi à tirer le meilleur de ce fait divers, elle n'en a pas extrait la substantifique moelle ; bien qu'elle approche, sur quelques plans, de la douce mélancolie qu'on attendait, celle qui révèle la sincérité derrière la superficialité. Malheureusement elle est trop furtive face à ce qu'est réellement le film pour peser dans la balance. Il ne reste ainsi qu'un récit journalistique, en surface, à peine convaincant.

 

Le point d'entrée dans The Bling Ring est Marc. Lui qui restera, en fin de compte, le seul personnage du film. Les quatre jeunes filles avec qui il va se mettre à former ce « gang » de voleurs ne seront, quant à elles, que des archétypes. Des archétypes d'adolescentes aliénées par une conception de la vie qui ne passe qu'à travers l'exposition. Rien d'autre ne les intéressent que leurs apparences. Et elles n'aspirent qu'à une chose : la reconnaissance. Elles sont par conséquent détestables, car elles ne cessent de mettre en exergue leur égoïsme, leur individualisme. Cette manière dont procède Sofia Coppola, qui consiste à ne leur donner aucune personnalité propre, à ne pas écrire ses personnages (à peu de choses près, elles sont toutes interchangeables), met en lumière ce qui se dégage du récit. Cette impression de déshumanisation, ou plutôt, de robotisation, des adolescentes. Elles ne sont les filles de personne d'autre que d'une chose : la société des médias. La figure parentale est d'ailleurs soit totalement absente, soit totalement impuissante.

 

À la manière dont Marie-Antoinette était la fille du royalisme, ces quatre ados, complètement paumées, sont des produits de la médiactivité. Qui dit produits dit fabrication en série, raison pour laquelle elles se ressemblent toutes. Cette manière de confondre les gosses de riches est similaire à ce que Bret Easton Ellis pouvait faire dans son premier roman, Moins que zéro. Les prénoms se confondent, les lunettes de soleil font disparaître les visages, et il ne reste que des pantins par dizaines, à la recherche de « quelque chose ». Dans Moins que zéro c'était beaucoup plus brutal car la recherche était encore plus malsaine ; c'était une recherche de violence, d'expérimentation de la mort, de la cruauté etc. (on pourrait aussi citer Spring Breakers). Dans The Bling Ring elles ne recherchent qu'une chose : la sensation d'appartenance. La sensation d'appartenance à un mode de vie fait de strass et de paillettes. La sensation d'appartenance, même, à une famille : elles savent tout de leurs people préférées et pensent, en s'habillant comme elles, en allant dans les mêmes clubs qu'elles, partager une part de leur existence.

 

C'est là que ça devient le plus dangereux. Quand les people sont si exposés que leurs « fans » se nourrissent d'eux. Mettre leurs habits, utiliser leurs parfums, déambuler dans leurs maisons ; quel serait alors la prochaine étape, la prochaine conséquence de cette hyper-exposition ? The Bling Ring mène vers Antiviral (Brandon Cronenberg), où la population allait jusqu'à s'injecter des « virus de stars ». J'ai d'ailleurs utilisé le verbe nourrir mais il faudrait presque utiliser le verbe dévorer. Ces jeunes filles ne sont pas les consommatrices d'un système, elles en sont les cannibales, les zombies (Dead Set), qui transforment la réalité en idéalité, en ayant soif d'une liqueur qui n'existe pas.

 

Ce clonage des « lifestyle seekers » est le premier niveau d'idéalité. Il se transmet des people à leurs fans, de Paris Hilton à Rebecca et ses copines. Et Marc alors, dans tout ça ? Marc participe, lui, à un second niveau d'idéalité, plus subtil, que Sofia Coppola pointe du doigt de temps à autre : à travers un ralenti, en début de film, principalement. Marc se distingue tout d'abord de ses quatre acolytes car : c'est un garçon, c'est un complexé, c'est un personnage qui a un historique, bref, c'est un être humain. Avec cet être humain on perçoit encore ce qu'on ne perçoit pas (plus) chez les autres : de la naïveté, de la peur, de la sensibilité, etc. Et son idéalité à lui, ce n'est pas de vivre par procuration la vie des stars, mais c'est d'être entouré de ces filles-là, qu'il pense être ses amies. C'est parce qu'il veut être avec elles qu'il continue de les accompagner, de les suivre, quand bien même passe-t-il son temps à leur demander de se dépêcher ; ou quand bien même passent-elles leur temps à le manipuler.

 

Marc n'idéalise pas les stars, il idéalise (ou veut idéaliser) les (seules) amies qu'il s'est fait dans ce nouveau lycée (lycée qu'on ne verra d'ailleurs qu'au début, devenant par la suite totalement inexistant aux yeux des personnages et donc du spectateur). Marc semble se chercher lui-même, c'est-à-dire chercher sa personnalité, mais aussi, de toute évidence, sa sexualité. Aime-t-il Rebecca parce qu'il la trouve jolie ou l'aime-t-il parce qu'il voudrait être (comme) elle ? La question se pose et le personnage de Marc demeure insaisissable. Il voudrait se convertir à leur groupisme mais n'y arrive pas complètement, et il finira d'ailleurs par se désengager, se désolidariser, en balançant Rebecca. Y compris ses « amies » ont conscience qu'il est différent, qu'il n'est pas dans leur bulle. Un dialogue du film, se déroulant en arrière-plan, apparemment anodin, en témoignera. Alors que les jeunes sont chez eux, en train d'essayer divers habits et accessoires, Marc essaie des lunettes de soleil. Une des filles lui dit alors « pourquoi tu veux mettre des lunettes ? Tu n'as pas de raison de mettre de lunettes. » Ce qu'elle lui dit, en réalité, en sous-texte, c'est : « pourquoi tu veux disparaître ? Tu n'as pas de raison de disparaître. »

 

Car si The Bling Ring montre une chose, c'est bel et bien la disparition des individus. Les dialogues n'amènent à rien, les conversations n'ont presque aucun sens, et nous avons l'impression de revivre plusieurs fois la même séquence : les maisons changent, les musiques changent, les onomatopées changent, mais tout reste identique. Cette répétitivité n'arrive cependant pas à véritablement faire jaillir le propos de la cinéaste, et si l'on veut, comme moi, aller puiser dans cette histoire le plus intéressant, il faut partir à la pêche. Ce que je regrette, c'est que Coppola n'ait pas pu faire prendre conscience plus clairement tout au long du film de ce qui se joue sous nos yeux. Dans Somewhere elle parvenait à faire jaillir le malaise père/fille, même si elle restait centrée sur l'ennui et le désintérêt. Dans The Bling Ring elle montre, elle montre, elle montre, et elle finit par trop montrer et pas assez dire. Comme si elle était embêtée par le fait de s'inspirer de faits réels (un comble quand on sait comment elle a pu s'emparer de l'histoire de Marie-Antoinette).

 

The Bling Ring atteint parfois des instants de grâce, qui font corps avec le (fond du) sujet, et transmettent ce malaise qu'on aurait aimé ressentir davantage (l'intrusion dans une maison, par exemple, filmée depuis l'extérieur en un plan-séquence brillant). Mais sinon, la plupart du temps, et de manière générale, le film ne reste que l'histoire de cinq adolescents qui s'introduisent dans des maisons de stars en s'échangeant des répliques inutiles, avec une BO à la mode et un montage de circonstance. Rien de très intéressant, donc, si on ne creuse pas les apparences. Sofia aurait pu (et dû) les creuser (plus souvent) pour nous. Tant pis.

 

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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Non mais le seigneur des Anneaux c'est 15% de "l'oeuvre" de Tolkien, celle qu'un cinéaste à décidé de faire découvrir à ceux qui ne s'en interessait pas jusque lors.

Pourtant Tolkien a crée bien plus qu'un bouquin, une histoire, il a fait un univers complet utilisant certains code (pris dans la culture germanique et vicking) et qu'il a modifié et popularisé.

 

Aujourd'hui 75% de l’héroïque fantasy à comme prise de code l'univers de Tolkien, de près ou de loin, ne serais ce que par la forme physique des races utilisées, leur façon de vivre, les décors etc etc ...

 

 

Troll Tolkien :/

 

Je suis tout à fait d'accord. Pour ma part, je n'ai aucunement "trollé" Tolkien. J'ai beaucoup de respect pour l'univers qu'il a crée, c'est grandiose ce qu'il a fait. J'appuyais juste Marvin sur le fait que Boulgakov > Tolkien. De toutes façons, faut pas le prendre mal, Boulgakov > 90 % du monde littéraire. ^_^

 

Sinon, hier, j'ai regardé Coffee and cigarettes. Me suis endormi à la moitié du film, et ce malgré une casting à la pointe. J'ai raté la séquence qui m'intéressait le plus, celle avec RZA, GZA et Bill Murray, shit! (Ce n'est pas que le film est a c**é, je pense que le traitement anti-allérgie que je suis pour le moment a des effets secondaires, notamment la somnolence. :D)

 

Après avoir matté quelque-uns de ces films, je peux quand même dire que Jarmush, ce n'est vraiment pas ma tasse de thé.

Modifié par T2S
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Invité Skynet

Pour moi Boulgakov > Tolkien ça veut rien dire.

 

 

C'est un peu comme dire Verges > le meilleur avocat en droit des affaires de France. Ou Goodkind > Molière.

Oui.

Nop. On croirait entendre BHL quoi, et c'est pas un compliment hein :P

 

Limiter Tolkien à son univers en disant qu'il n'est pas un vrai écrivain en ayant lu qu'un seul livre d'une seule saga, je crois rêver.

Modifié par Skynet
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J'ai maté very bad trip 3 et effectivement le film porte bien son nom. En effet, quelle déception !!!

Modifié par Alruud
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Bah Boulgakov > Tolkien, ça veut dire ce que ça veut dire. Je peux pas être plus clair. :D

 

Mais bon, on commence à tourer en rond là. Et puis se début est entrain de se résumer à un "affrontement" fans de Boulgakov, fans de Tolkien.

 

Après, contrairement à Marvin, je reconnais l'énorme talent de Tolkien, ne vous m'éprenez pas. ^_^

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Tolkien c'est un univers, pas une plume. C'est dommage. J'avais été très déçu par son talent d'écriture, lors de ma lecture du premier bouquin, et je n'avais pas plus de 16 ans. Alors maintenant, si je le relis, je vais encore plus tomber de haut, vu que logiquement ma culture littéraire s'est développée depuis le temps.

 

Après l'univers oui c'est très détaillé, mais au delà de ça, c'est médiocre, il faut bien l'avouer.


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C'est pas médiocre, faut pas déconner. Tolkien ne cherche pas à intellectualiser son écriture. C'est académique, mais ne serait-ce que pour sa capacité à décrire (et non écrire), il enterre pas mal d'écrivains. Son écriture sert le genre : heroïc-fantasy. Il y a la même différence entre les bouquins Tolkien et du Maupassant qu'entre LSDA Jackson et Leos Carax. Ils ont des buts différents et mettent donc des moyens différents en œuvre pour atteindre ces buts. Mais affirmer la supériorité des uns et l'infériorité des autres, c'est de l'élitisme dans un sens ou du beaufisme dans l'autre.

Modifié par Best_07

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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C'est pas une question d'infériorité ou supériorité. C'est encore une question de goût. Et je t'avoue que quand je lis un roman, je suis exigent sur l'histoire mais aussi sur le style. Pas forcément "intellectualisé", ça c'est une vision assez fermé. Prend Dostoïevski par exemple. C'est un style qui n'est pas intellectualisé du tout, mais pourtant un style particulier, pareil pour Dickens. Tolkien, et tu l'as dit toi même, est un écrivain médiocre. C'est un bon romancier par contre, il a créé un univers complexe et, je le conçois, sûrement passionnant. Même si je suis sûr que n'importe quel autiste asperger peut créer la même en 5 jours.

 

 

Ce que je pense c'est qu'il est dommage d'initier les "jeunes" à la littérature, en ne peaufinant pas ton style d'écriture. Ca fait des personnes qui lisent du Dan Brown et pas du Dostoïevski. C'est simplement dommage. Et je fais le même reproche à JK Rowling pour la saga Harry Potter (j'ai lu les 7).


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