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La Défense Lincoln est pas mal ouais.

Matthew McConaughey. :pet:

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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Le dernier Die Hard :mellow: vraiment ... déçu.

J'apprécie le coté que le film se tourne lui même en dérision mais j'apprécie rien de plus en fait ...

 

 

Sinon fatalité, une partie de l'histoire se passe à Pripygat, qui est mal prononcé en VF ... Je m'y attendais pas, mais une fois qu'on s'est renseigné sur cette ville, ça colle pas du tout avec ce qu'ils y font ... BREF ...

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Je viens de mater The Factory, le film est bien et le dénouement final ma juste cloué le bec ! J'ai vraiment était surpris, je le recommande rien que pour cette fin.

 

Effectivement très bon film mais la fin nous laisse un peu dans l’interrogation... si tu vois ce que je veux dire ???

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Non je vois pas trop, je vais continuer en spoil pour qu'on puissent parler du film !

 

La coéquipière qui as tuer le Flic, avait était avant enlever par le " papa " et avait était relâcher pour qu'il puissent avoir des enfant vu que elle est stérile.. C'est a peu près ça que tu n'as pas compris?

 

 

 

Effectivement très bon film mais la fin nous laisse un peu dans l’interrogation... si tu vois ce que je veux dire ???

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Non... je suis juste un peu surpris qu'on n'est pas le dénouement de son arrestation car en sachant que c'est une histoire vrai, c'est pour moi la base !!!

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UN CHEF-D'OEUVRE DE BILLY WILDER : ASSURANCE SUR LA MORT (1944).

 

- Ou le coup d'essai avant le film-d'une-carrière : Boulevard du Crépuscule. -

 

194185assurancesurlamort2.jpg

 

À une époque où les réalisateurs semblent obsédés par l'idée de distinguer le bien (USA) du mal (Nazisme) en faisant des films au propos lassant tels que Lifeboat (Hitchcock) ou Le Criminel (Welles), Billy Wilder offre quant à lui un propos tout en nuances et en pertinence. L'entreprise de ce film n'en est alors que plus louable et, au-delà de ses vertus purement cinématographiques, en fait évidemment un des longs-métrages les plus importants et réussis du milieu des années quarante ; ou devrais-je dire, du cœur de la seconde guerre mondiale.

 

[...]

 

Le film n'est peut-être pas exempt de tout défaut – que je n'aurais ni le cœur ni l'envie d'évoquer –, mais il touche là où ça fait mal, nous montrant à travers ce personnage en apparence irréprochable qui sombre dans une bassesse indéfendable, que aucun de nous n'est à l'abri de tomber un jour ou l'autre du « mauvais côté ». Billy Wilder ne juge pas les personnages. Il ne juge pas le Mal. Il montre les choses telles qu'elles sont : ambigües, incertaines, subjectives, et imprévisibles. Et il le fait en arrivant à intégrer son propos dans une histoire cinématographique palpitante et ingénieuse. En ce sens il a (à peu près) tout compris.

Modifié par Best_07

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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Invité Skynet

UN CHEF-D'OEUVRE DE BILLY WILDER : ASSURANCE SUR LA MORT (1944).

 

- Ou le coup d'essai avant le film-d'une-carrière : Boulevard du Crépuscule. -

 

194185assurancesurlamort2.jpg

 

À une époque où les réalisateurs semblent obsédés par l'idée de distinguer le bien (USA) du mal (Nazisme) en faisant des films au propos lassant tels que Lifeboat (Hitchcock) ou Le Criminel (Welles), Billy Wilder offre quant à lui un propos tout en nuances et en pertinence. L'entreprise de ce film n'en est alors que plus louable et, au-delà de ses vertus purement cinématographiques, en fait évidemment un des longs-métrages les plus importants et réussis du milieu des années quarante ; ou devrais-je dire, du cœur de la seconde guerre mondiale.

 

[...]

 

Le film n'est peut-être pas exempt de tout défaut – que je n'aurais ni le cœur ni l'envie d'évoquer –, mais il touche là où ça fait mal, nous montrant à travers ce personnage en apparence irréprochable qui sombre dans une bassesse indéfendable, que aucun de nous n'est à l'abri de tomber un jour ou l'autre du « mauvais côté ». Billy Wilder ne juge pas les personnages. Il ne juge pas le Mal. Il montre les choses telles qu'elles sont : ambigües, incertaines, subjectives, et imprévisibles. Et il le fait en arrivant à intégrer son propos dans une histoire cinématographique palpitante et ingénieuse. En ce sens il a (à peu près) tout compris.

 

Parfois un peu cucul, surtout au niveau sentimental. Mais oui, un chef d'oeuvre, si t'en as d'autres de bons films comme ça, hésite pas à poster. ;)

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J'ai vu Le Hobbit , un voyage inattendu .

Alors oui , si on est un grand fan des œuvres de Tolkien , on connait déjà l'histoire et ses différents enjeux . On sait aussi à quel point ce prélude est important pour ce qui va suivre après ... Le film aurait pu nous lasser après les 30 premières longues mais nécessaires minutes pour former la scène ... Mais non , la magie opère finalement et on se surprend à s’intéresser à la suite des évènements . Événements qui s'enchainent rapidement (trop rapidement ?) et simplement avec un petit coté enfantin et sérieux ...

La force du film , bien qu'il soit assez hollywoodisé , c'est qu'on ne s'éloigne jamais de l'épopée , caractère essentiel dans l'écriture de Tolkien . Les décors , la multitude de personnages , la bande son aussi nous le rappellent chaque instant .

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Ai vu Le Hobbit : c'est quand même très décevant par rapport au Seigneur des anneaux. C'est exactement la même ligne conductrice (au point de reprendre certaines scènes) mais... en moins bien.

 

Ai vu L'Odyssée de Pi : c'est très bon. Une 3D efficace et une photo assez sublime. Bon, je n'irai pas jusqu'à le qualifier de chef-d'œuvre. Mais c'est clairement l'un des films grand public de ces derniers mois qu'il faut avoir vu.

Modifié par Best_07

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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Sleepy Hollow est bon. Le reste beurk. Je déteste. Surtout le jeu d'acteur de Depp, il est devenu tellement nul. Dans tous ces films récents. Le dernier bon film de Depp ou il jouait vraiment c'était la Neuvième porte de Polanski.

 

Dans Donnie Brasco et Blow tu l'a trouvé comment?

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Dans blow je l'ai trouvé moyen, et dans donnie brasco c'est vrai qu'il est bon aussi, mais entouré de Madsen et Paccino, c'est plus facile :P

 

Ce qui me dégoûte en fait, c'est que le mec est bon acteur, très bon même, mais là il fait toujours la même tête, toujours la même chose dans tous les films récent qu'il a fait, la recette fonctionne, il gagne de l'oseille, et du coup il refait sans cesse la même chose. Pareil pour Tim Burton d'ailleurs, mais j'en avais déjà parlé plus longuement ici même.


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Un des film les plus triste que je connaisse, mais une merveille.

"Oh, Monsieur et maître, la misère est grande. Les fantômes que j'ai conjurés, je ne vais plus pouvoir m'en dépêtrer"

 

Goethe.

 

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Dans blow je l'ai trouvé moyen, et dans donnie brasco c'est vrai qu'il est bon aussi, mais entouré de Madsen et Paccino, c'est plus facile :P

 

Ce qui me dégoûte en fait, c'est que le mec est bon acteur, très bon même, mais là il fait toujours la même tête, toujours la même chose dans tous les films récent qu'il a fait, la recette fonctionne, il gagne de l'oseille, et du coup il refait sans cesse la même chose. Pareil pour Tim Burton d'ailleurs, mais j'en avais déjà parlé plus longuement ici même.

 

C'est vrai que ça aide en effet. Madsen au passage dans Reservoir Dog :wub:

 

Totalement d'accord avec toi, j'aurai même tendance à penser que depuis "Pirates des Caraïbes", on lui colle depuis ce genre de personnage, toujours avec ces mimiques aussi farfelues les unes que les autres et qui avec le temps deviennent banales et synonymes de déjà vue.

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Depp c'est quand même pas Clavier niveau redondance.

"Oh, Monsieur et maître, la misère est grande. Les fantômes que j'ai conjurés, je ne vais plus pouvoir m'en dépêtrer"

 

Goethe.

 

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Quelqu'un peut me dire un mot sur Philadelphia (1993) ? C'est un film assez vieux que je n'ai jamais eu l'occasion de voir . On m'a dit que je vais aimer , mais je suppose que c'est parce que le décor est juridique .

Tom Hanks et Denzel , ça me tente sinon .

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Je vais le DL ! Par contre pour trouver une qualité potable ça va être hard .

 

Non c'est pas du hard, laches l'affaire.

"Oh, Monsieur et maître, la misère est grande. Les fantômes que j'ai conjurés, je ne vais plus pouvoir m'en dépêtrer"

 

Goethe.

 

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si t'en as d'autres de bons films comme ça, hésite pas à poster. ;)

 

Tu peux commencer par Boulevard du Crépuscule, du même Wilder. Puis Rebecca d'Hitchcock. ;)

Ça te pose les bases.

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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