Aller au contenu

Charlie

Fergie Babes
  • Compteur de contenus

    8181
  • Inscription

  • Jours gagnés

    79

Tout ce qui a été posté par Charlie

  1. Charlie

    Anthony Martial [9]

    On connaîtra des jours meilleurs Quentin.
  2. Charlie

    L'info' - Française

    RAÍ, LARMES À GAUCHE PSG-Monaco, c'est avant tout l'édition de 1998. Celle qui s'est terminée sous une pluie battante après une énième défaite du PSG face à sa bête noire monégasque (1-2), mais l'essentiel était ailleurs. Ce soir-là, le Parc des Princes a dit au revoir à un monsieur : Raí Souza Vieira de Oliveira. Capitaine Raí, quoi. Les matchs entre le PSG et l'AS Monaco au Parc des Princes ont souvent été le théâtre dramatique d'événements uniques. Comme ce coup du sombrero de Laurent Fournier sur Lilian Thuram en 1995, ou le tacle de José-Karl Pierre-Fanfan qui repart avec le genou de Shabani Nonda le même soir où Pauleta claque son premier pion sous les couleurs parisiennes. Dans toutes ces histoires princières, l'édition du 25 avril 1998 est unique en son genre. Ce soir-là, Raí faisait ses adieux au Parc des Princes après un quinquennat incroyable dans la capitale. Cinq années ponctuées de 215 matchs et 72 buts et de nombreux titres (Championnat, Coupes des coupes, Coupe de France, Coupe de la Ligue). Pour ceux qui ont eu la chance d'assister à ce match, le score est anecdotique. D'autant que le PSG a perdu (1-2) et termine une saison catastrophique, la dernière de Michel Denisot à la tête du club. De ce match, il ne reste que Raí. Le capitaine. Et son rapport très particulier avec le Parc des Princes. Un stade versatile. Dur. Rancunier. Violent. Bruyant. Pourtant, ce soir-là, le Parc va saluer son héros pendant plus de deux heures. Unique buteur parisien du match, Pierre Ducrocq n'a rien oublié. « Tout le stade l'avait salué. Les deux virages avaient fait des tifos en son honneur. À chaque fois qu'il touchait le ballon, le stade se soulevait » , se souvient celui qui officie aujourd'hui sur France Bleu Île-de-France. Ducrocq toujours : « Avant la rencontre, il était dans la maîtrise. Il n'avait rien laissé transparaître. » Un sentiment corroboré par le Brésilien lui-même dans des propos rapportés par L'Équipe le matin du match. « Probablement ne vais-je rien montrer de ce que je ressens. Ce doit être plein de bonheur. Il ne sera pas fait de larmes. À l'intérieur, oui, au fond de moi, certaines couleront, mais j'ai vraiment envie de danser une dernière fois, de rire, de jouer et de séduire ce Parc que j'ai tant aimé… » Mais le grand Brésilien va se montrer présomptueux. Parce qu'il va craquer. Et vite. Pierre Ducrocq : « Le plus bel hommage rendu par le Parc » « La carapace a commencé à se fissurer à vingt minutes de la fin du match, détaille Pierre Ducrocq. Et là, il a craqué. Et voir un monsieur comme ça pleurer sur un terrain, après tout ce qu'il a connu, ça fait bizarre. C'est le plus bel hommage que le Parc ait rendu à un joueur. Même Pauleta n'a pas eu droit à ça. Le Brésilien représentait quelque chose à Paris. C'était la fin d'une ère. » Difficile aujourd'hui de comprendre l'importance de l'arrivée du joueur en 1993 si on regarde le PSG à travers le prisme de QSI. À l'époque, les Franciliens brillaient avec François Calderaro, Jean-Luc Sassus et Amara Simba. En 1993, c'est donc le capitaine du Brésil qui débarque dans la capitale. Un monstre. Premier match contre Montpellier au Parc, l'ancien du São Paulo fait une ouverture de 40 mètres avec un coup du foulard. Le ton est donné. Pourtant sa première saison va être un fiasco. Le garçon ne marque pas. Il se fait bouger sur tous les terrains et sa lenteur est pointée du doigt. Ducrocq se souvient : « Quand il arrive, c'est quand même le capitaine du Brésil et il va passer trois mois en CFA pour se retaper physiquement. Sa première année est difficile. Il a mangé dans la presse et pourtant, il n'a jamais ouvert sa bouche. Et puis, fallait le voir à l'entraînement. Ce qui m'a toujours marqué, c'est sa lenteur. C'était un grand gaillard et j'ai dû défendre pas mal de fois sur lui au Camp des Loges. Avec Édouard Cissé, on n'arrivait jamais à lui prendre la balle. Il se mettait dos à vous, contrôlait la balle avec la semelle et son dos était tellement imposant qu'il masquait la balle. En deux crochets, il était déjà ailleurs et avait envoyé une ouverture sur un attaquant car il avait déjà tout vu avant vous. Il a mis un an à devenir le patron. Ensuite, il a déroulé…  » La marque des grands ? Un chant en son nom Une année pour apprendre en somme. Ensuite, le numéro 10 n'avait qu'un objectif : retourner l'opinion et surtout se mettre « son » Parc dans la poche. « Au début, on doutait de moi. Quand je ratais un dribble ou une passe, lorsque j'essayais de jouer mon football et qu'il ne passait pas, ce n'est pas le public que je défiais. Mais ce stade. Cette arène. Je ne voyais que lui et j'étais enfermé, peut-être même perdu. Je me suis dit : "Il faut que tu lui plaises. Il faut que je le séduise." Oui, c'est un drôle de rapport qui s'est tout de suite installé avec le Parc… » se souvient-il le matin de son dernier match contre Monaco. 90 minutes plus tard, les larmes sont sur tous les visages. Alors que le joueur a le visage déchiré par les larmes, il s'en va jeter son maillot chez les Tigris Mystic, en Auteuil rouge, avant de terminer son tour d'honneur face au Kop de Boulogne. Le stade chante « capitaine Raí » sur l'air de Capitaine Flam, l'une des rares chansons du Parc des Princes destinées à un joueur, preuve qu'entre le stade de la Porte de Saint-Cloud et le Brésilien, il s'est passé quelque chose. Alors qu'il aurait pu faire son jubilé au Brésil, au chaud à la maison, c'est à Paris qu'il viendra fêter la fin de sa carrière en 2001. Tout sauf un hasard. Dans les coursives d'Auteuil d'avant le plan Leproux, certains grands noms du club avaient eu droit à des portraits sur les murs. Le Brésilien en faisait logiquement partie. Le Parc était sa maison. Forcément, lui dire au revoir a laissé des traces. « À la fin du match de Monaco, l'ambiance est particulière dans le vestiaire. Il est touché, ému, triste de partir car il aimait vraiment Paris et le Parc. Nous, on est triste pour lui. Triste de le voir partir car ça signifie la fin d'une époque » conclut Pierre Ducrocq. Dehors, le ciel pleure aussi. Il pleut des trombes d'eau. « Je ne saurai que plus tard, dans cinq ans, lorsque je reviendrai faire un tour à Paris, si j'ai compté dans l'histoire du club, déclarait le joueur le matin de cette dernière au Parc des Princes.On verra si les gens me reconnaissent et je constaterai de moi-même si je leur ai laissé un souvenir heureux. » Seize ans plus tard, même si les graffitis du Parc des Princes ont été effacés, l'âme du Brésilien est toujours là. À jamais. N'en déplaise à Zlatan Ibrahimović et son « avant moi, ils n'avaient rien » , car avant le Suédois, les Parisiens avaient Raí. Autant dire qu'ils avaient tout. http://www.sofoot.com/rai-larmes-a-gauche-189921.html
  3. Moi je me demande surtout combien de temps tu tiendrais ici ericlerouge si à chaque fois que tu intervenais, quelqu'un te reprendrait de la même façon que toi tu reprends un membre ou des avis quand tu n'es pas d'accord. Je pense que ça te ferais tout drôle d'un coup... Chacun à son interprétation de la situation, et je ne penses pas qu'il soit erroné de penser après coup que José n'était pas totalement dérangé par une élimination et les circonstances sont allés dans ce sens, et nous n'avons pas vu les joueurs franchement dégoûtés à l'issue de la rencontre. Si à 11 contre 11 il y'avait un coup à jouer, c'est évident qu'on aurait tenté quelque chose... Est-ce pour autant que les joueurs vont refuser le défi physique ou manquer d'engagement au commencement du match ? Pas quand on évolue à Manchester United.
  4. Charlie

    L'info' - Française

    TOP 10 : PAPINADES Jean-Pierre Papin, c'est avant tout un attaquant qui a le sens de l'esthétique. Parmi tous ses buts, nombreuses sont les chiches, peu importe la position dans laquelle il se trouve. Tellement nombreuses qu'elles ont désormais un nom : les Papinades. http://www.sofoot.com/top-10-papinades-222752.html
  5. C'est également l'impression que j'ai eu.
  6. Moyes n'avait pas les épaules, en revanche Van Gaal si. C'est un bâtisseur, une personne qui avait une personnalité colorée et qui ne laissait pas indifférent, il correspondait au club tant du point de vue de la cohérence-jeu que de son fort caractère qui pouvait servir de catalyseur. Ce qui l'a eu, c'est son obstination dans sa philosophie alors qu'United est un club qui demande à s'adapter à son histoire et pas l'inverse. Notre jeu repose sur un mix d'attaque placée/contre avec des joueurs qui pressent constamment l'adversaire, et a pour objectif d’asseoir une domination territoriale avec des attaques rapides et permanentes. Van Gaal s'est entêté avec une possession stérile et peu productive... Il s'est enfermé dans son idée et a cru détenir la vérité même quand les événements lui démontrait le contraire ce qui coûte toujours très cher. Mais Van Gaal avec plus de discernement aurait pu réussir à United, mais dans l'histoire tout n'est pas entièrement de sa faute et la situation du club n'est vraiment pas évidente. Il est facile d'être dépassé, et si SAF s'est illustré c'est parce que c'est un génie du management, un entraîneur qui savait tirer le meilleur de son groupe comme personne. Quiconque d'autre débarque sera vu comme le successeur potentiel alors que personne ne peut égaler un tel charisme. Maintenant ce n'est pas en cherchant des excuses que l'on règle une situation, et chacun a sa part de responsabilité mais ça ne serait pas étonnant que le club accorde plus de patience à Mourinho de part sa compétence, mais surtout en comprenant que ce n'est pas éjectant un entraîneur tous les ans que l'on va régler la situation et instaurer une stabilité. Les transferts records moi le premier je suis dérangé, mais nous n'avons pas réellement le choix on doit passer par cette étape pour retrouver notre réel niveau, qui fait d'United un top 5 européen. Dans un monde idéal, on prendrai des joueurs à 10/15 millions d'euros et ils deviendraient des machines de guerre, j'en serai le premier satisfait mais aujourd'hui c'est bien plus difficile et il faut parfois mettre beaucoup sur la table. C'est ainsi et il faut s'y faire. Un jour viendra où il sera moins nécessaire de dépenser. Je ne sais pas mais ce que tu dis laisse paraître qu'en débarquant, eux auraient réellement des résultats. Ce qui dans l'idée n'est pas erroné, mais la situation d'United est trop particulière où tout devient hypothétique au lieu d'être certain. Beaucoup au mercato estival dernier pensait qu'avec le recrutement effectué on retrouvait rapidement les premiers rôles (même les fans adverses), et pourtant ce n'est clairement pas le cas malheureusement.
  7. Tu n'en sait rien. Sinon d'après ta logique Guardiola aurait été un dieu au Bayern, et aurait remporté la C1 vu qu'il en avait la stature et que la situation lui en permettait plus, qu'un entraîneur qui reprenait United post - SAF. Un Conte ou un Simeone ont l'avantage d'être catalyseurs, des meneurs en plus d'être des excellents tacticiens, mais ça ne garantie pas qu'ils redresseraient United, la seule certitude se retrouve dans ton imagination mais la réalité elle nous montre qu'il y'a beaucoup de trop de facteurs pour avoir des exactitudes. Le football a toujours été un milieu compliqué, complexe et aujourd'hui n'en parlons même pas avec la pression, les attentes, l'exposition qui est encore plus prononcée. Et United est plus qu'un club, c'est une institution où on doit avoir une vision, une optique qui aide le club à aller vers le haut, avoir une emprunte qui va permettre à Manchester United de gagner des trophées. On ne débarque pas au club et change toute la dynamique en quelques semaines/mois, faut arrêter de rêver. Il y'a une identité à instaurer et qu'il faut respecter. Les structures mettent du temps à se mettre en place, on expérimente, on essaye de s'améliorer. Surtout dans notre situation. Le réel problème de Mourinho et de son United est son manque de tempérament et de consistance. La raison pour laquelle on a lâché tant de points à domicile contre des équipes qu'on devait battre à coup sûr, ce qui fait qu'on serait dans une situation bien différente aujourd'hui. C'est un problème qu'on doit absolument régler pour pouvoir espérer viser plus haut à l'avenir. Mourinho et ses joueurs payent leur manque d'agressivité positive, de confiance par moment ce qui te rend plus prolifique et plus dangereux pour les adversaires.
  8. Blind cela fait combien de temps qu'il n'a pas joué à ce poste ? Pour ensuite l'aligner à cette position face au leader actuel du championnat ? Ce n'est pas parce que les joueurs que tu cites sont alignés qu'on jouera d'une meilleure façon le contre. La seule certitude c'est d'avoir des joueurs qui peuvent mieux garder le ballon, et poser plus de difficulté à Chelsea dans le monopole du cuir. Avec des Mata, tu gardes plus le ballon mais ça ne dit pas que tu seras forcément plus rapide sur le contre même. Ou bien tu décides d'avoir une équipe plus technique mais tu augmentes tes chances de t'exposer, ou bien tu alignes une équipe plus défensive mais tu diminues tes chances d'avoir des offensives. Ça ne veut pas dire que tu en auras pas, comme l'occasion de Rashford. Et dois-je rappeler qu'Ander nous a lâché aujourd'hui ? Le match n'aurait pas été le même à 11 contre 11. Moi je penses surtout que certains d'entre vous ont l'air d'oublié que le mal est profond à United, et que José fait du mieux qu'il peut. Ce n'est pour rien qu'un entraîneur de renommée comme Louis Van Gaal s'est ramassé ici alors que c'est un très fin connaisseur de base. Que Moyes s'est lui aussi planté alors qu'il avait fait un excellent travail avec Everton et a construit une solide équipe sur le long-terme. Vous pensez qu'ils débarquent à United et deviennent des impostures ? Du jour au lendemain ? Ça prouve simplement que Sir Alex était très spécial et avait une telle emprise sur le club qu'il a rendu le rôle ici très compliqué. Aujourd'hui encore on voit les failles du départ du Gaffer, ça se sent que c'est délicat de redresser cette équipe. Alors qu'il a fallu que quelques mois à Conte pour redresser Chelsea par exemple. Ce sont des signes qui ne trompent pas. Il y'a encore beaucoup de travail et je trouve que José fait plutôt bien son boulot même si lui aussi a commis des impairs. La saison prochaine sera réellement déterminante et réellement révélatrice pour le portugais, comme ça fut le cas pour Van Gaal en personne.
  9. Et donc tu ne penses pas qu'il y'a une raison à cela ? Qu'au vu de la seule présence de Rashford au poste d'attaquant, qu'il fallait pour compenser mettre le dispositif le plus rigoureux possible pour bloquer ce Chelsea qui est dans le top 3 des équipes les plus physiques de Premier League ? La réelle réponse on la verra à domicile contre cette même équipe et là on pourra tirer de réelles conclusions sur les leçons à tirer. Tout en sachant que la FA CUP n'est pas la priorité de Mourinho qui est maintenant focalisé sur l'Europa et la quatrième place en PL. Je lisais quelques fois qu'on allait finir cuit à force de tout jouer, et bien nous avons libéré une compétition pour mieux nous focaliser sur le reste. Nous venons de remporter une coupe, ce qui rend le sacre en FA moins important. Si Mourinho passait face à ce Chelsea, qu'on se retrouvait à devoir tourner obligatoirement car tiraillé entre plusieurs compétitions, le reproche aurait qu'il ne mise pas assez sur son équipe type ?
  10. Cool. Alors tu recommandes à Mourinho d'opter pour un système où on va privilégier le jeu défensif, avoir un bloc bas avec par moment avec 5 défenseurs, pour ensuite lui reprocher d'avoir été trop frileux ? Tu penses donc que Chelsea n'aurait quand même pas trouvé de solution face à ton système et ne se serait pas adapté en conséquence ? Tu penses qu'aujourd'hui ce n'est pas le contre que l'on a joué lorsqu'on avait l'occasion ?
  11. Mais que faire face à un Chelsea qui est un cran au dessus de nous sur plusieurs plans ? Que faire face à une équipe qui est la plus en forme cette saison, et nous qui jouions avec une équipe remaniée, dont Chelsea attendait au tournant et tentait d'exploiter les moindres espaces délaissés ?
  12. Oui on en avait parlé sur le topic Opposition pas plus tard qu'hier, et là quelle aurait été la stratégie avec l'équipe d'aujourd'hui ? Expliques nous tout ça !
  13. C'est intéressant ça, j'aime le concept de pouvoir gagner avec le bus. Tu peux expliquer ?
  14. Il n'est pas difficile de voir qu'au vu de nos absences on a décidé de bâcler la compétition. Mourinho est arrivé à un moment de la saison où il devait faire un choix et sacrifier une compétition, compétition qu'on a remporté la saison dernière en plus. Bye Bye FA CUP. Et bien sûr vivement que nos meilleurs éléments reviennent, je pense que ça sera toujours ça de pris.
  15. Charlie

    L'info' - Française

    RAYMOND KOPA, UN DESTIN QUI DÉPASSE LE FOOTBALL Premier Ballon d'or français, demi-finaliste de la Coupe du monde 1958 et contemporain d'Alfredo Di Stéfano au Real Madrid, Raymond Kopa a vécu une carrière de footballeur hors normes. Comme sa vie commencée dans les mines du Nord de la France et que le Polonais d'origine a mis à profit pour être un pionnier du business et du syndicalisme dans le foot hexagonal. http://www.sofoot.com/raymond-kopa-un-destin-qui-depasse-le-football-222731.html
  16. FC Barcelone 6-1 Paris SG : l’analyse « Ils se sont dits que c’était possible alors ils l’ont fait. » http://www.chroniquestactiques.fr/ligue-champions-huitieme-finale-retour-barca-paris-saint-germain-analyse-tactique-echec-psg-remuntada-18131/
  17. Charlie

    Henrikh Mkhitaryan

    https://www.youtube.com/watch?v=VzPYoFaCrrY
  18. Charlie

    Marcos Rojo

    https://www.youtube.com/watch?v=K6nho7Og9Mo
  19. Charlie

    Henrikh Mkhitaryan

    Ce n'est pas excessif, surtout compte-tenu de la qualité du joueur et de ce qu'il pourra apporter à moyen-terme. On s'est moins fait avoir qu'avec certaines recrues des saisons précédentes. Dans les années 2000 il aurait peut-être coûté la somme d'un Park Ji Sung ou Van Nistelrooy, mais même aujourd'hui je ne trouve pas la somme mirobolante et on sait que c'est un joueur qui rentabilisera tôt ou tard.
×
×
  • Créer...