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Parce qu'il n'a pas volé la voiture de Poppy.

Modifié par Best_07

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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J'ai vu Diana au cinoche. Alors c'est très ambivalent. Toute la partie romance est franchement à jeter. En revanche, le rapport de la princesse à la presse, au monde, est intéressant. Y a malgré tout quelque chose à puiser dans ce film, qui ne le rend pas complètement inutile. Dans l'absolu, c'est très moyen et je déconseille de payer pour le voir. Mais c'est pas ce qu'on peut regarder de pire ce mois-ci, loin de là.

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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Comment s'en sort Naomie Watts ?

 

Moi j'ai vu Blue Jasmine. Un Woody Allen quoi, toujours cette ambiance, cet humour et cette légèreté habituelle même si celui là est très pessimiste.

J'ai bien aimé au final, Cate Blanchett est parfaite et la narration est excellente mais il pourrait travailler un peu plus ses scénarios quand même, ces retournements de situations qui sortent de nul part c'est un peu trop gros et c'est pas la première fois avec lui.

Modifié par mondoudou
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Naomi Watts y est exceptionnelle. Rien à voir avec Naveen Andrews, qui est juste ridicule.

Woody Allen pour moi, et en tout cas sur ses derniers films, c'est le cinéaste de l'anecdotique. Je n'ai pas aimé Blue Jasmine. Cate Blanchett est bien, mais c'est à peu près tout. L'intrusion des flasbhacks est mal faite, et le scénario, comme l'ensemble des personnages secondaires, est catastrophique. On a les clichés des bourgeois d'un côté, et les clichés des beaufs de l'autre, c'est affligeant. Sans compter de nombreux aspects de l'intrigue ratés : le fils adoptif, le « twist » malvenu, et l'apparition d'Augie pour soudain faire virer le film dans une autre direction. Sans parler de ce mari de substitution, auquel on ne croit pas une seconde. Ce sont des choses qu'on aurait jamais pardonné à un autre réalisateur, mais Woody Allen jouit de cette espèce d'aura du « vieux réalisateur qui a déjà tout prouvé », du coup la critique se prosterne à chaque film alors que, franchement, c'est faible.

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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Bon après on le voit très peu Louis CK ^^

 

Naomi Watts y est exceptionnelle. Rien à voir avec Naveen Andrews, qui est juste ridicule.

Woody Allen pour moi, et en tout cas sur ses derniers films, c'est le cinéaste de l'anecdotique. Je n'ai pas aimé Blue Jasmine. Cate Blanchett est bien, mais c'est à peu près tout. L'intrusion des flasbhacks est mal faite, et le scénario, comme l'ensemble des personnages secondaires, est catastrophique. On a les clichés des bourgeois d'un côté, et les clichés des beaufs de l'autre, c'est affligeant. Sans compter de nombreux aspects de l'intrigue ratés : le fils adoptif, le « twist » malvenu, et l'apparition d'Augie pour soudain faire virer le film dans une autre direction. Sans parler de ce mari de substitution, auquel on ne croit pas une seconde. Ce sont des choses qu'on aurait jamais pardonné à un autre réalisateur, mais Woody Allen jouit de cette espèce d'aura du « vieux réalisateur qui a déjà tout prouvé », du coup la critique se prosterne à chaque film alors que, franchement, c'est faible.

 

Ah le montage je l'ai trouvé bon et pertinent moi. C'est en bonne partie ça qui réhausse mon jugement.

 

Les personnages je te trouve un peu sévère, enfin c'est surtout qu'ils n'ont qu'une toute petite place à par la sœur. Et encore. J'en trouvais le thème de l'égoïsme d'autant mieux traité.

 

Pour l'intrigue je te rejoins totalement par contre. Mais si on le "pardonne" à Woody Allen c'est parce que dans ses films ce n'est pas le plus important. Cette légèreté même dans ses scénarios c'est une de ses caractéristiques. Mais bon c'est quand même gênant je te rejoins, on a du mal à y croire.

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Pour l'intrigue je te rejoins totalement par contre. Mais si on le "pardonne" à Woody Allen c'est parce que dans ses films ce n'est pas le plus important. Cette légèreté même dans ses scénarios c'est une de ses caractéristiques. Mais bon c'est quand même gênant je te rejoins, on a du mal à y croire.

Un réalisateur se doit d'être complet. Tant sur le plan technique, que la diversité de sa palette scénaristique.


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Ah le montage je l'ai trouvé bon et pertinent moi. C'est en bonne partie ça qui réhausse mon jugement.

 

Les personnages je te trouve un peu sévère, enfin c'est surtout qu'ils n'ont qu'une toute petite place à par la sœur. Et encore. J'en trouvais le thème de l'égoïsme d'autant mieux traité.

 

Pour l'intrigue je te rejoins totalement par contre. Mais si on le "pardonne" à Woody Allen c'est parce que dans ses films ce n'est pas le plus important. Cette légèreté même dans ses scénarios c'est une de ses caractéristiques. Mais bon c'est quand même gênant je te rejoins, on a du mal à y croire.

 

Le montage n'est pas mauvais. C'est l'intrusion des flashbacks que je trouve mauvaise. Pas dans la mesure où ils s'agencent mal avec le reste (même si au début c'est déroutant), mais dans la mesure où ce sont les passages que j'ai trouvé les plus dépourvus d'intérêt. C'est tellement plat et cliché, qu'à chaque fois qu'on faisait un bond en arrière dans le temps, je m'enfonçais dans mon siège. Au moins dans les passages à San Francisco il y a un peu d'humour et Cate Blanchett peut illuminer l'écran. Quand je repense à un film comme Martha Marcy May Marlene, où il y avait, pareillement, une alternance présent/passé, je me dis que le film de Woody Allen est à des années lumières de remplir le contrat attendu d'un tel schéma : rendre chaque partie également intéressante, également réussie.

 

Les personnages sont vraiment mal écrits. À part celui de Cate Blanchett et de sa (fausse) sœur. Et encore. Ce qui m'a le plus choqué, ce sont les personnages masculins, en fait. Je vais me répéter mais ce sont de purs clichés. J'ai lu ou entendu quelque part que quelqu'un considérait le personnage de Alec Baldwin comme « l'un des personnages les plus réussis de ces dernières années ». On lit/entend beaucoup de conneries sur le cinéma, y compris de la part de spécialistes, mais là c'était mon plus gros facepalm depuis les éloges faits à Spring Breakers. Ce personnage n'a aucune profondeur, c'est juste un petit bourgeois magouilleur et lâche, qui trompe sa femme. Il n'y a rien d'autre à dire dessus, Alec Baldwin joue le rôle d'Alec Baldwin, point barre, il est d'une pauvreté affligeante. Quant aux beaufs que l'on voit à San Francisco, eh bien, même chose : j'aime la bière, le foot et les tatouages, mais sinon je n'existe pas en tant qu'être humain. Génial.

 

Le propos est plutôt intéressant, en effet. Cette manière dont les individus choisissent avec qui ils partagent leur vie et à qui ils accordent leur amour en fonction de. Ça montre bien qu'il n'y a aucun contact humain désintéressé, que tout est orienté, pré-défini, c'est un regard sombre et déprimant sur l'humanité. Mais bon, un propos c'est bien, mais revenons-en au cinéma : il n'y a pas de scénario, il n'y a pas de réalisation. Qu'est-ce qu'il reste alors ? Cate Blanchett. Citout.

 

J'ai vu Le Majordome et Parkland.

 

Alors le premier est paresseux. Il traite de l'évolution des droits des noirs américains, mais pourtant on est jamais pris dans le flot, le film manque d'énergie, c'est trop académique pour un tel sujet. Y a bien quelques séquences d'action (liés à l'activité des Black Panthers, notamment), mais c'est toujours contrebalancé par cet espèce de rythme lancinant, qui fait corps avec le personnage de Forrest Whitaker. C'est volontaire, me direz-vous, puisque le film ne bifurque pas dans le film-révolte, à l'inverse d'un Harvey Milk par exemple (beaucoup plus dynamique et, aussi, sans conteste, beaucoup plus réussi). Il dresse au contraire une fresque à travers l'histoire, centrée autour de ce personnage passif qu'est le fameux Majordome. Finalement, ce qui m'a le plus intéressé, ce n'est pas la grande histoire, mais la petite histoire : celle d'un homme traumatisé dans son enfance, qui n'ose plus se révolter, pendant 70 ans. Car le film raconte ça, au final, le traumatisme d'un homme qui a mis toute sa vie à s'en remettre et qui parvient enfin, sur le tard, et grâce à son fils (alors que son traumatisme provenait de son père), à retrouver une conscience de « couleur ». Bon, au niveau de la performance de Whitaker, comme avec Naomi Watts, une perf' à oscars. Je ne sais pas si c'est bien ou pas, mais ça fonctionne. Étonnement surpris par Oprah Winfrey aussi, super-star aux US qui investit son rôle avec naturel et qui convainc. Par contre, gaffe, le dernier quart-d'heure en mode propagande Obamienne est à la limite du supportable. Comme la photographie ou la musique.

 

Parkland est déjà mieux. C'est un peu l'anti-Le Majordome. Le film ne s'étale que sur quelques jours, est relativement court, très nerveux, caméra sans cesse embarquée, en mouvement, zooms furtifs, qui balaie les visages des personnages. Des personnages plongés dans une horreur intime et nationale, qui perdent pied et repères, en étant pourtant constamment dans des lieux peu propices à l'intimité : commissariat, hôpital, hôtel. Du coup il n'y a ni personnage principal, ni véritable scène intime. C'est très curieux comme film, à la croisée des chemins entre le thriller et le film-dossier. Comme ça relate les évènements liés à l'assassinant de Kennedy (et celui de Oswald le lendemain) c'est assez logique. Ce que j'ai fortement apprécié, c'est la manière dont on montre comment un drame x, c'est-à-dire un meurtre, possède autant de répercussions en fonction de la personne assassinée. Dans mon idéal sociétal, ça ne devrait pas exister. Et on nous montre en plus que c'est dangereux : les autorités deviennent amorales, les lois ne sont pas respectées, l'injustice règne soudain etc. Néanmoins le film réhabilite un peu la mémoire de Oswald, en accordant plus d'importance à son enterrement qu'à celui de Kennedy (même s'il y a montage alterné ; divisé en trois, même). Ça c'est, je pense, osé et honnête. L'apitoiement sur la mort de Kennedy, qu'on entrevoit et qui gave un peu, finit par disparaître totalement, pour nous ouvrir la voie vers autre chose. On ne se pose finalement pas de questions sur l'identité du meurtrier (le film est avare en faits et informations), mais on se pose ces questions : c'est quoi, l'égalité des hommes ? C'est quoi, la justice ? etc. Dommage que le film paraisse presque trop court. Mais son intention est louable. Après, rien de transcendant, cinématographiquement parlant. Comme prévu.

 

On fait tout un plat de La Vie d'Adèle et Prisoners, je suis déjà gavé...

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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Du très très bon.
L'histoire nous emmène dans le milieu de la police de Los Angeles des années 50, l'ambiance est parfaite, avec tous les ingrédients nécessaires au grand film du genre.
On s'ennuie pas une seconde, tout est bien ficelé, le casting est ENORME (Russel Crowe, Kevin Spacey, Kim Basinger, Danny DeVito, Guy Pearce,..) et point positif aussi y'a pas vraiment de "héros", chaque personnage à sa part d'ombre ce qui rend le truc encore plus réaliste.
Bref à voir et revoir!

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Très bon aussi.
Une histoire d'amour qui n'en est pas vraiment une, racontée de façon originale, sans jamais tomber dans le truc cucu.
Le duo Gordon-Levitt/Deschanel (sosie de Katy Perry!) fonctionne à merveille et on s'y attache tout au long du récit.

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Les kéké en feront leur film culte
Les puristes chieront dessus sans l'avoir vu
Moi j'avais pas aimé le 4 mais autant dire que celui-ci est une réussite. Tout ce que j'attends d'un blockbuster d'action du genre, ils ont poussé le délire loin mais ça fonctionne.
Les dialogues sont nuls mais ça fait son effet, The Rock joue comme une m**** mais ça tue par rapport à son rôle, les cascades fusillades sont lourdes.. bref j'ai kiffé, du pur divertissement bien fait.
Sympa aussi de revoir ceux des précédents opus.. Statham dans le 6 faut que je vois ça!

YES SIR!

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Un film policier (tueur en série) à me proposer ?

Silence des agneaux, mais t'as déjà du le voir :)

"Oh, Monsieur et maître, la misère est grande. Les fantômes que j'ai conjurés, je ne vais plus pouvoir m'en dépêtrer"

 

Goethe.

 

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Un film policier (tueur en série) à me proposer ?

 

Le Témoin du Mal avec Denzel Washington

 

c pas un grand film mais c assez original et la fin est coolos

 

mais c'est un tueur en série qui se déplace de corps en corps en fait

 

c une série B quoi

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Ouais, j'ai adoré ce film, un peu moins la suite ^^

Je ne t'avais pas cité la suite :P

 

Luther une série ;)

"Oh, Monsieur et maître, la misère est grande. Les fantômes que j'ai conjurés, je ne vais plus pouvoir m'en dépêtrer"

 

Goethe.

 

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