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Ligue 1/ligue 2-Saison 2013/2014


Bibu

Messages recommandés

On ne gagnera plus jamais à Bordeaux, c'est vraiment incroyable...

 

 

:D J'étais au stade ! Comme d'hab ou presque LE match de l'année. On a commencé à se chauffer avec les supporters marseillais quand ils sont arrivés, j'allais rejoindre la place Johnston et là on croise leurs bus, évidemment doigts d'honneur " e****** " etc ... on montre les écharpes, de l'autre côté de la vitre la même chose, des appels à se taper, puis une bouteille qui est jetée, les CRS présents empêchent tout le monde de passer, ça dure pas longtemps tout le monde au virage sud, tout le monde est devant, les CRS et stadiers postés dans les rues menant au stade empêchent les gens portant un maillot de Marseille de passer. Enfin sur place, un mec a réussit à passer maillot de l'OM noir, sifflé, chambré mais pas bousculé, un des principes des UB jamais se battre à domicile tant ça fait s***** par le surnombre.

 

 

Enfin un stade plein ! Et comme toujours un tifo. On le sait ce n'est pas un match comme les autres, ça avait déjà commencé jeudi à 10h au Haillan au centre d'entraînement. La banderole sortie alors en milieu de semaine " défaite interdite " est ressortie également. Skunk ( le speaker ) entame son speech comme d'hab et celui de fin d'année également. Les chants sont lancés et dureront tout le match ( sauf mon préféré :( ) Le " aux armes " est reprit par plus de la moitié du virage nord, le stade est pour une fois cette saison plein et opérationnel.

 

 

De la même manière que les PSG / OM, les Bordeaux / Lyon des années 2005 à 2009 ont détourné un peu le regard mais ça reste toujours un match spécial, ( d'autant plus qu'il y a eu pas mal d'affrontements avec les Bad Gones d'Aulas ) à part, qui va chercher ses origines loin historiquement. De plus, ce sera encore contre Marseille qu'on jouera le titre après avoir détrôné Lyon.

 

 

38ans, plus qu'un an à tenir avant le nouveau stade, il faut absolument le faire, puis comme la série s'arrêtera forcément un jour, à partir de la 3éme année dans le nouveau stade pourquoi pas, mais pas avant. DEFAITE INTERDITE ! contre nos ennemis intimes.

 

 

 

 

 

 

Marseille et Bordeaux ont souvent été au sommet du football français en même temps, donnant aux confrontations entre ces deux clubs une saveur particulière. Mais elles n'ont jamais eu autant de piquant qu'à l'époque de Bernard Tapie et Claude Bez….

L’OM n’a pas gagner à Bordeaux depuis le 1er octobre 1977 (1-2, buts de Victor Zvunka et Marc Berdoll). Lors de chaque déplacement en Gironde, cette histoire ressort des tiroirs. Tout le monde ne parle que de ça. Ça, tout le monde le sait. Quel OM fera chuter ce record ? On essaie depuis 37 ans…

48173.jpgCommençons plutôt par le commencement. Première grande confrontation entre ces deux clubs, cette finale de Coupe de France 1969 est une affaire de spécialistes. L'OM a déjà remporté six fois le trophée (1924, 1926, 1927, 1938 1943 et 1948). Bordeaux dispute sa troisième finale en cinq ans (1964, 1968). Mais les Girondins ont perdu les deux premières, face à Lyon (1964) et Saint-Etienne (1968). Ils vont se sentir maudits car, une fois de plus, ils s'inclinent aux portes du sacre. Autant le dire tout de suite, cette finale, en terme de jeu, est une des pires de la décennie. Elle se décante dans les 10 dernières minutes, d'abord sur une frappe magnifique de Novi (légèrement détourné par Joseph) à la 80e puis sur un deuxième but de Joseph, à la dernière minute. Le public marseillais ne tient plus et envahit la pelouse alors que, dans les vestiaires, en même temps qu'il (Novi) rase sa moustache, pleure à chaudes larmes. Le lendemain, 150.000 supporters rendent hommage à leurs héros sur le Vieux-Port. Marcel Leclerc, le flamboyant président, finit dans l'eau ! C'est son premier titre. Il en annonce d'autres. L'OM est de retour au sommet. Bordeaux attendra 17 ans pour rejouer une finale de Coupe, et la gagner, face... à Marseille (1986).

L’opposition prend toute sa place quinze ans plus tard. Le paroxysme de la rivalité entre les deux clubs. Bordeaux avait dominé le football français dans les années 80. L’OM fut son successeur. En cette saison 1989-90, les deux clubs se tirent la bourre pour le titre. Les Girondins ont longtemps mené les débats, mais quand l'équipe de Gœthals se rend sur la Canebière à cinq journées de la fin, elle ne compte plus qu'un tout petit point d'avance. Le climat est pesant. Au-delà du duel sportif, déjà épique, il y a la haine mutuelle que se vouent les deux présidents, Bernard Tapie et Claude Bez. Il y a beau y avoir de grands joueurs des deux côtés, les vraies stars, ce sont eux. Ces deux-là se ressemblent plus qu'ils ne veulent l'admettre. La violence de leurs échanges par journaux interposés a fini par pourrir les relations entre les deux clubs, et même entre les deux équipes. A travers les piques, les provocations et les menaces échangées, ces deux figures les plus charismatiques et les plus controversées de l’histoire du football hexagonal se sont chargées de donner à cette opposition (de style) une connotation électrique. Motivés par la passion qu’ils vouaient pour leurs clubs respectifs mais aussi par ce goût de la provocation, Bez et Tapie ne rataient jamais une occasion de se déchirer. Tous les coups étaient permis, même ceux qui remettaient en question l’intégrité de la personne. Les insultes fusaient à chaque fois qu’une rencontre entre les deux clubs approchait. Ou alors lorsqu’un joueur quittait l’une des deux formations pour l’autre. Comme pour Alain Giresse pour lequel Bez avait lâché : "Joueur fini, qui n’avait aucune parole", avant de reconnaître que "Giresse sera toujours un grand joueur mais ses qualités humaines laissent à désirer". Mais l’expert-comptable voué en président omnipotent n’avait pas attendu l’affaire Giresse pour s’attirer le courroux de son homologue marseillais.

Si elle a culminé au printemps 1990, la rivalité Bordeaux-Marseille a donc débuté quatre ans plus tôt, à l'occasion de la finale de la Coupe de France 1986. Tapie venait tout juste de reprendre le club, mais l'OM ne possédait pas encore l'effectif capable de rivaliser avec les Girondins, alors au sommet. Avec Aimé Jacquet à sa tête, et un tiers de l'équipe de France (Giresse, Tigana, Battiston, Tusseau) sans oublier Roche, Girard, Lacombe ou Reinders, Bordeaux traverse une période faste. L'OM était beaucoup plus besogneux. Il avait, quand même, un peu de talent, avec Joseph-Antoine Bell, dans le but, et Abdoulaye Diallo en pointe. Le premier repoussait un penalty de Reinders en première période (poings dans le dos avant de bondir au moment de la frappe...) et le second, toujours sur penalty, ouvrait le score juste avant la pause. L’OM croyait à l'exploit, mais Tigana égalisait (52e). Ce même Tigana que Tapie a essayé d'approcher quelques jours avant la finale, en vue d'un transfert. Il se fera traiter d'escroc par Bez. La première d'une longue série de joutes verbales. Le match se jouait au bout de la prolongation, sur un coup de génie de Giresse. Son petit lob trompait Bell pour offrir le trophée à Bordeaux.

Cadillac et bananes

C'est donc dans un climat irrespirable qu'intervient le choc du 15 avril 1990. Dans l'après-midi, une rumeur circule. Claude Bez va faire un coup. Mais personne n'imagine ce que le président bordelais va oser. Dans une scène surréaliste, il arrive au stade en Cadillac. "Il fallait quand même une énorme paire de c... pour faire ça. C'était pas une provoc', c'était sa bagnole", dira Tapie, presque admiratif, quelques années plus tard. Le public marseillais est chauffé à blanc par cette arrivée théâtrale. La foule réserve un accueil particulier à son ancien gardien de but, Joseph-Antoine Bell, passé à l'ennemi, en lui jetant des bananes par dizaines. Ça vole haut... Le match, lui, déçoit. Il bascule en seconde période sur deux coup-francs magnifiques de Chris Waddle. L'OM s'impose 2-0 et prend la tête. Il sera sacré champion un mois plus tard. Ce match reste le symbole d'une époque où, quand Marseille croisait Bordeaux, le spectacle était, surtout, en dehors du terrain. Une sorte de PSG-OM avant l'heure. "C'était le Clasico de l'époque", selon Eric Di Meco.

Dans les années 90, Marseille et Bordeaux ont connu pas mal de vicissitudes. Les deux géant sont subi les affres de la relégation, l'un comme l'autre pour des raisons extra-sportives. C'est l'heure du retour au sommet. Lors de la saison 1998-99, comme au bon vieux temps de Bez et Tapie, Bordelais et Olympiens se disputent le titre de champion. Lescure s'est fait beau ce 29 janvier 1999. L'ambiance est chaude malgré le froid. Elle est surtout émouvante. Trois jours plus tôt, Claude Bez est en effet décédé. Le symbole est trop fort pour que les joueurs d'Elie Baup ne mettent pas tout en œuvre pour s'imposer. C'est le tourbillon de l'envie qui souffle sur la défense marseillaise. Laurent Blanc est mis au supplice par Lilian Laslandes. L'homme du match, c'est lui, même si Wiltord signe un doublé. En 17 minutes (de la 14e à la 31e), Bordeaux marque quatre buts. Dugarry sauve l'honneur en seconde période, mais l'OM a pris très cher. "Ce soir, il s'est passé quelque chose. J'étais réservé jusqu'ici, mais je crois que nous pouvons être champions désormais", avance Baup en sortant du terrain. Nouveau leader, le club aquitain sera sacré champion, au terme d'un incroyable suspense lors de la dernière journée.

48174.jpgRarement on aura vu les trajectoires de deux équipes prendre des directions aussi opposées que celles de ces deux-là au printemps 2010. Les Marseillais ont tout gagné ou presque, la Coupe de la Ligue et le titre de champion. Les Bordelais ont tout perdu. A commencer par cette finale de Coupe de la Ligue, ce 27 mars. A trois jours d'un quart de finale de Ligue des champions face à Lyon, l'équipe de Laurent Blanc n'est pas dans son assiette. Pendant une heure, l'OM ne parait pas beaucoup plus fringant. Puis tout bascule à l'heure de jeu, sur un corner frappé par Lucho et repris par Souleymane Diawara. Le début de la fin pour Bordeaux. Valbuena puis Chalmé contre son camp transforment la défaite en déroute et le but de Sané, pour l'honneur, n'y changera rien. Le match en lui-même fut terne. C'est pour ce qu'il a impliqué qu'il a marqué les deux clubs. L’OM n'avait plus gagné de titre depuis sa victoire en Ligue des champions, 17 ans plus tôt. La fin d'un gaspi…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

http://m.om.net/fr/News/02/Actualite/77548/Cadillac_bananes_insultes_et_coups_de_genie

 

 

 

 

 

 

 

Rodrigo-Y-Gabriela.jpg

Le parti politique est l'opium du peuple

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Mais pourquoi il faut toujours des CRS et des flics montés pour les matchs de foot à travers le monde?

 

Pourquoi (sauf en Suisse tiens) au hockey, au rugby, au baseball, au foot US, au hornus, au polo, au tennis, au catch ou à la boxe, il n'y a pas besoin de toute cette infrastructure qui coûte une fortune aux collectivité?

Hein Marvin, qu'est-ce que t'en pense, tiens

l'argent ne fait pas le bonheur des pauvres et nique ton football

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Invité Skynet

Mouais bof verrati. Il est parfois passe a côté et n'a pas porte son équipe comme l a fait James Rodriguez, homme fort du 2ème du championnat. On commence a en faire trop avec ce PSG, ils vont tout rafler.

 

Yeah areola. Vous vous souvenez de son euro -21 monstrueux ? Meilleur gardien de l2 la. Faut retenir son nom celui la.

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Et Blanc sera sacré meilleur entraîneur.

 

Moi j'aurais mis Ranieri, ou même Garde.

Et moi Gourvennec, voir Renard.

"Oh, Monsieur et maître, la misère est grande. Les fantômes que j'ai conjurés, je ne vais plus pouvoir m'en dépêtrer"

 

Goethe.

 

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Ouais mais je parle des nominés :P

Moi de ceux qui le méritent :D

 

Je suis plus ces cérémonies qui ne veulent plus rien dire, du vu et revu ;)

"Oh, Monsieur et maître, la misère est grande. Les fantômes que j'ai conjurés, je ne vais plus pouvoir m'en dépêtrer"

 

Goethe.

 

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T'as raté l'annonce de fin de carrière de Landreau :pet:

Et bien merci Micka pour ta Panenka !

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"Oh, Monsieur et maître, la misère est grande. Les fantômes que j'ai conjurés, je ne vais plus pouvoir m'en dépêtrer"

 

Goethe.

 

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LOL le discours préparer à l'avance du meilleur entraineur de L2. C’était pas mal du tout.

On peut dire que vous avez une vision socialiste du football ?

 

Arrigo Sacchi : J'ai une vision correcte d'un sport d'équipe dont l'âme est le jeu. Voilà d'ou je pars.

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Qu'est-ce qu'il a dit Jacques ?

"Oh, Monsieur et maître, la misère est grande. Les fantômes que j'ai conjurés, je ne vais plus pouvoir m'en dépêtrer"

 

Goethe.

 

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Clean Sheet ouais mais bon ça veut tout et rien dire à la fois quoi qu'il en soit Sirigu est clairement le meilleur dans les pagelles !!!

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Je croyais que c'etait les trophees unfp !!! Mais en fait c'est la ceremonie des recompenses pour les joueurs du psg, comme MU a fait la semaine derniere !

Quelle plaisanterie !!! C'est ridicule !!

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Je l'ai trouvé moins décisif que l'année dernière moi Sirigu.

Enyeama s'est montré déterminant, et pas juste au cours de sa longue série d'invincibilité. C'est d'abord à son assise défensive que Lille doit son bon parcours en L1.

 

Ibra meilleur joueur, pas étonnant.

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