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Dobrev Parushev a 16 ans et évolue à Limoux (DHR). Le TFC garde un oeil intéressé sur ce jeune bulgare, découvrez son histoire peu habituelle.

Débarqué en France en provenance d'Alicante (Esp) à cause de la crise financière, le gamin d'origine bulgare ne parle pratiquement pas le français. Il ne mettra que quelques mois pour s'exprimer à l'oral, mais également sur le rectangle vert. Agé de seulement 16 ans, il évolue déjà en équipe première à Limoux alors qu'il devrait jouer en U17. Son coach Bouchaib Danguire, ex-entraîneur des Féminines du TFC, ne tarit pas d'éloges sur le garçon : "Durant les matches amicaux, il marquait deux, trois, voire quatre buts. Il prenait le dessus face à des joueurs de DHR souvent très expérimentés. J’ai rarement vu un garçon de cet âge aussi doué. Il est rapide, puissant, doté d’une grosse frappe de balle."

Danguire a d'ailleurs parlé du joueur à l'un des recruteurs du TFC, et tout le monde s'accorde à dire qu'il n'a rien à faire à ce niveau. Il pourrait bientôt intégrer le centre de formation toulousain, et a de toute façon bien l'intention de réussir dans le monde du football : "Je veux devenir professionnel. Je suis sûr que je vais réussir."

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Le PSG pris en flagrant délit de fichage de ses supporteurs

17 SEPTEMBRE 2013 | PAR LOUISE FESSARD

La Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil), saisie en août 2012 par une cinquantaine de particuliers, vient d’épingler le club pour avoir fiché, avec l'aide de la préfecture de police de Paris, près de 2 500 supporteurs indésirables. Au mépris de la loi.

Depuis 2010, le Paris Saint-Germain s’emploie à écarter du Parc des Princes ses supporteurs contestataires, aidé, au nom de la lutte contre le hooliganisme, par les autorités policières et un arsenal législatif de plus en plus répressif. La Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil), saisie en août 2012 par une cinquantaine de particuliers, vient d’épingler le club pour avoir illégalement fiché, avec l'aide de la préfecture de police de Paris, près de 2 500 supporteurs indésirables.

Dans une décision du 29 août 2013, Isabelle Falque-Pierrotin, la présidente de la Cnil, a mis en demeure le club de régulariser ses fichiers de supporteurs d’ici un mois. Une délibération exceptionnellement rendue publique lundi 16 septembre « au vu du nombre de plaignants et de la gravité des manquements du club qui a créé deux fichiers sensibles sans autorisation et les a transférés à une autre entité juridique, Paris Handball », explique Mathias Moulin, chef du service des correspondants de la Cnil.

Les 8 et 9 novembre 2012, lors d’investigations dans les locaux du PSG, une délégation de la Cnil a découvert l’existence de deux traitements de données personnelles sensibles au sein du logiciel de billetterie du club parisien. Aucun de ces deux fichiers n’avait fait l’objet d’une demande d’autorisation, contrairement à ce que prévoit la loi du 6 janvier 1978*. L’un regroupe les supporteurs interdits de stade (interdiction administrative ou peine complémentaire prononcée par un tribunal), soit 244 personnes dont la liste est transmise « avant chaque match » par la préfecture de police de Paris.

L’autre, bien plus fourni avec 2 007 noms, fiche les personnes « suspendues » par le PSG. Sans avoir fait l’objet d’aucune décision administrative ou judiciaire, ces supporteurs se voient refuser l’accès aux stades par le club pour des motifs très flous. Le PSG, interrogé par la Cnil, a évoqué des « comportements non conformes aux valeurs du club » (sans pouvoir préciser ces valeurs), un « non-respect du règlement intérieur du Parc des Princes », ou « un non-respect des conditions générales de vente du PSG Football ».

Certains de ces noms ont été communiqués au PSG par la préfecture de police de Paris sur la base de « vérifications ou de contrôles d’identité opérés par les forces de l’ordre à l’occasion des précédentes rencontres du club à domicile ou à l’extérieur ». À Paris, les policiers de la cellule Stade (service transversal d’agglomération des événements), qui surveillent les événements sportifs du Parc des Princes et du Stade de France, travaillent en effet en étroite collaboration avec le PSG. « Cette collaboration prend la forme d’informations verbales et d’échange de courriels notamment sur l’identité des personnes portant les couleurs du club de football PSG et ayant provoqué des incidents à l’occasion des rencontres du club », indique la Cnil.

« La liste des interdits de stade nous est transmise par la préfecture de police, avait ainsi reconnu Jean-Claude Blanc auprès du Parisien en octobre 2012. Certains en font partie. D'autres sont connus des services de la préfecture de police avec lesquels nous travaillons. » Si la loi autorise depuis 2011 le préfet de police à communiquer aux clubs la liste des interdits judiciaires et administratifs de stade, à quel titre communique-t-il à une entreprise privée les noms de personnes contrôlées lors d'opérations de police ? La Cnil répond ne pas s’être penchée sur le sujet « hors mandat ». « Cela dépend du cadre conventionnel, il existe un contrat local de sécurité du PSG avec la préfecture de police », indique prudemment Mathias Moulin.

Ces listes ont également servi, « en dehors de tout cadre légal » selon la Cnil, en septembre 2012, à refuser des supporteurs du PSG lors d’un match de l’équipe de Paris Handball (lui aussi racheté par Qatar Sport Investment), comme l’avait raconté Rue 89.

Une trentaine de supporteurs du PSG avaient reçu le jour même du match une lettre de Jean-Claude Blanc, directeur général délégué du PSG et du Paris Handball, les informant de l’annulation de leurs billets. Pour certains, en raison d’une interdiction administrative de stade (pourtant uniquement valable pour les matchs du PSG). Pour d’autres, le motif était très flou : « Il est parvenu à notre connaissance que vous auriez adopté une attitude non conforme à nos valeurs et commis des incivilités voire des actes répréhensibles lors de la saison 2011/2012. » Pour la Cnil, le PSG a « manqué à son obligation d’assurer la confidentialité et la sécurité » de ces données confiées par la préfecture de police.

En 2008, à l’occasion d’une déclaration sur un fichier de clients du PSG, la Cnil avait déjà informé le club de la nécessité d’obtenir une autorisation pour ces fichiers. Le PSG a désormais un mois pour se mettre en règle. Les sanctions – le club encourt une amende de 1,5 million d’euros pour chacune de ces infractions – ne seront envisagées que passé ce délai. Après avoir refusé de réagir, le club a ensuite indiqué dans la soirée « entendre contester les fondements de cette mise en demeure » et se réserver « la possibilité de saisir le Conseil d’État ». « Le PSG a du pain sur la planche : il doit expliquer en quoi ces milliers de personnes ont manqué aux valeurs du club, alors même que ces valeurs ne sont formalisées par aucun document, comme le souligne la Cnil, et qu'elles semblent davantage relever de l'arbitraire de la direction », a réagi Me Dubois, avocat de plusieurs plaignants, dans L'Express (http://www.lexpress.fr/actualite/sport/football/listes-de-supporters-du-psg-c-est-au-dela-de-tout-ce-que-nous-imaginions_1282263.html)

D’autres clubs pourraient également avoir constitué ce genre de fichier en toute illégalité. La Cnil a récemment reçu plusieurs demandes d’autorisations, a priori pour régulariser des traitements déjà existants. Le 6 juin 2013, elle a ainsi autorisé l’Olympique lyonnais à ficher ses supporteurs interdits de stade, à condition de ne conserver ces données que « pendant la durée de l’interdiction de stade prononcée par l’autorité judiciaire ou administrative ».


Fichage en folie

La Cnil ne s’est pas prononcée sur la légalité d’un autre fichier, une « black list » de supporteurs constituée par la préfecture de police de Paris elle-même. La création de cette « black list » avait été annoncée le 16 août 2012 par l’ex-directeur de cabinet du préfet de police Jean-Louis Fiamenghi au détour d’un bulletin de communication de la préfecture de police de Paris. « Y sera intégrée toute personne ayant fait l’objet d’une interdiction de stade, elle ne pourra plus acheter de billets, ni souscrire d’abonnement », précisait le haut fonctionnaire.

Ce genre de traitement de données est soumis à autorisation de la Cnil (le régime le plus contraignant) s’il est mis en œuvre par un organisme privé, et à simple avis, s’il est mis en œuvre par l’État. Or impossible de retrouver la moindre délibération de la Cnil portant sur ce projet de « black list ». Cette dernière pourrait donc avoir été constituée pour contourner le fichier national des interdits de stade (Fnis), qui limite à 5 ans la conservation de ces données.

« Ce n'est qu'une partie des plaintes déposées à la Cnil, les annulations de places par le Stade Rennais et par le club d'Évian Thonon Gaillard sont toujours en cours d'instruction et il y a toujours des entraves pour les ultras pour assister aux matchs à l'extérieur », rappelle James, 38 ans, porte-parole de l’ex-association Liberté pour les abonnés (LPA), association dissoute en avril 2012 « sous pression du club ». En février 2011, le Stade rennais avait lui annulé 248 billets de supporteurs parisiens sur instruction du préfet d’Ille-et-Vilaine. Le motif ? Les fans avaient décidé de se rendre à Rennes par leurs propres moyens et avaient acheté des places dans les tribunes locales, sans passer par le déplacement officiel organisé par le PSG. Ce qu’ils appellent un contreparcage, une façon de protester contre la politique commerciale du PSG.

D’après un courrier envoyé en avril 2013 par la Cnil à un plaignant, le club breton aurait identifié ces supporteurs contestataires « après analyse des adresses IP utilisées pour leur achat en ligne sur le site web du Stade rennais ». Selon la préfecture d'Ille-et-Vilaine, interrogée par L’Express, l’ordre d’annuler leurs billets serait venu tout droit d'un service de police spécialisé, la division nationale de lutte contre le hooliganisme (DNLH), qui craignait des troubles à l’ordre public. Plusieurs des fans n’étaient pourtant pas interdits de stade, comme James. La Cnil considère l’adresse IP comme une donnée à caractère personnel dont la collecte doit donc être a minima déclarée. Selon la Cnil, le Stade rennais n’avait déposé aucune demande auprès de la Cnil pour ce fichier.

Le club Évian Thonon Gaillard FC (ETG-FC) a également été contraint, en avril 2013, d’annuler une cinquantaine de places sur ordre de la préfecture de Haute-Savoie. Selon l’ ETG-FC, la liste des personnes concernées aurait cette fois été directement transmise par la DNLH.

Dans un courrier envoyé à l’ETG-FC quelques jours avant la rencontre, la préfecture indiquait que plusieurs billets avaient été « acquis par internet, au profit de personnes résidant à Paris et dans la grande région parisienne » et qu’elle redoutait « une tentative de regroupement des supporteurs du PSG, dans un cadre extérieur à celui fixé par les instances dirigeantes de ce club ». « De quel droit le préfet considère-t-il que moi qui n’ai pas de casier judiciaire, ni d’interdiction de stade, je ne pourrais pas acheter une place dans une tribune Évian Thonon Gaillard FC ou Lorient FC ? » proteste un supporteur qui a vu son billet annulé. « Les pouvoirs publics appliquent la politique commerciale du club, en faisant un amalgame sidérant entre des mecs dangereux et les supporteurs », estime de son côté James.

Interrogée sur les suites données à ces autres affaires de fichage, la Cnil nous a répondu ne pas pouvoir communiquer à ce sujet.

 

MEDIAPART

 

http://www.mediapart.fr/journal/france/160913/le-psg-pris-en-flagrant-delit-de-fichage-de-ses-supporteurs?page_article=1


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Après plusieurs mois d'hésitation, Serge Aurier a finalement opté pour la sélection ivoirienne plutôt que d'attendre une éventuelle convocation avec l'équipe de France. Dans La Provence, le défenseur toulousain précise que c'est Drogba qui l'a convaincu : "Didier m'a appelé plusieurs fois avant que j'aille en sélection ivoirienne. Il m'a dit qu'il aimait mon style de jeu, qu'il avait envie que je le rejoigne. Recevoir un appel de lui, ça fait réfléchir. Ça m'a fait super plaisir qu'il m'appelle pour me demander d'évoluer à ses côtés en sélection. J'étais tout fier, tout content. Didier est un mec sain, un homme de groupe. Au pays, tout le monde l'aime, aussi bien comme joueur qu'en tant qu'homme."

Depuis, Aurier s'est imposé dans le couloir droit de la Côte d'Ivoire. Il disputera en octobre et novembre le dernier tour qualificatif pour la Coupe du Monde 2014 contre le Sénégal.

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Le 31 juillet, Mihai Roman s'est donné une rupture totale du tendon d'Achille de la jambe droite lors d'un entraînement. Si son retour sur les terrains ne devrait pas se faire avant 2014, le Roumain reste proche du groupe. Alain Casanova a détaillé son emploi du temps : "Il suit très bien son programme et passe trois fois par semaine voir l'effectif. Il déjeune avec tout le monde les mardis et mercredis. Avec Denis Valour, le préparateur, il travaille le haut du corps. Il lui faut de la patience et de la cicatrisation."

Roman était arrivé gratuitement du Rapid Bucarest en juin. Il a rapidement impressionné en inscrivant trois buts lors des trois premiers matchs amicaux.

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Le magazine Challenges a dévoilé le classement des propriétaires de clubs de Ligue 1 les plus riches. Surprise : Tamim ben Hamad Al Thani (PSG) n'est même pas sur le podium ! Le numéro 1 est Rennais : François Pinault, à la tête d'un patrimoine personnel de 11 milliards d'euros.

Olivier Sadran est présent dans ce classement avec 110 millions d'euros (7ème). Attention à ne pas mélanger ces chiffres avec les budgets des clubs. Pour le PSG, son propriétaire peut se reposer sur l'aide du Qatar et dépenser sans compter. Rennes, Sochaux, Lorient, Montpellier et le TFC sont loin d'être les plus riches de notre championnat...

Le classement :

1. François Pinault (Stade rennais) - 11 milliards d’euros
2. Dmitry Rybolovlev (AS Monaco) - 7,1 milliards d’euros
3. Margarita Louis-Dreyfus (OM) - 5,5 milliards d’euros
4. Tamim ben Hamad Al Thani (PSG) - 2,4 milliards de dollars
5. Robert Peugeot (Sochaux) - 1,31 milliard d’euros
6. Loïc Ferry (Lorient) - 130 millions d’euros
7. Olivier Sadran (Toulouse) - 110 millions d’euros
8. Louis Nicollin (Montpellier) - 85 millions d’euros

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Pour affronter l'ASSE vendredi (20h30, sur beIN Sport 1), Alain Casanova devra de nouveau se passer d'Eden Ben Basat, en pleine phase de reprise suite à sa blessure à une cuisse. L'entraîneur toulousain a ainsi décidé de convoquer Mehdi Fenouche (en photo). Ce jeune attaquant de 20 ans évolue depuis deux années avec la réserve du TFC et compte une sélection avec les U20 algériens.

Cette saison, il a déjà inscrit un but en CFA 2 lors de la victoire à Anglet (0-2). Face à Limoges, il y a des dix jours, Fenouche est entré en jeu en seconde période et a été le plus dangereux de son équipe. Très technique, il aime provoquer son adversaire et a tapé dans l'œil de la rédaction d'AllezTFC.Com. Même s'il n'était pas présent au stage à Navata en juillet, il est aujourd'hui récompensé de sa bonne forme et mérite sa convocation chez les pros par rapport à Amadou Soukouna, écarté, et Manuel Delgado, qui n'a pas encore trouvé le chemin des filets cette saison avec la réserve.

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Depuis plusieurs saisons, le TFC traîne une étiquette d'équipe défensive. Petit à petit, Alain Casanova, le président Olivier Sadran et les joueurs s'efforcent de la faire disparaître. Interrogé à ce sujet, Franck Tabanou, désormais à Saint-Etienne, a donné sa vision des choses :

"C'est vrai que Toulouse a cette étiquette-là qui lui colle à la peau. Mais moi, qui ai joué dans cette équipe, je sais que ce n'est pas du tout une équipe défensive. D'ailleurs, quand on regarde leur match contre Marseille, ce sont eux qui ont eu le plus d'occasions. Donc, il ne faut pas s'arrêter sur ce débat et nous devrons les prendre très au sérieux."

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Selon Le 10 Sport, l'OM travaille déjà sur l'arrivée d'un ou de deux défenseurs pour l'été prochain. Aymen Abdennour serait suivi de près. Son excellente prestation le week-end dernier n'a fait qu'amplifier les envies d'Elie Baup et de José Anigo.

Que ce soit à Marseille ou dans un autre club en Europe, Abdennour a de grandes chances de quitter le Tèf en 2014. Mais Olivier Sadran aura toutes les cartes en main puisque le Tunisien est sous contrat jusqu'en juin 2017. Un transfert à plus de 10 millions d'euros est déjà entendu.

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Exclusivité AllezTFC.Com

Ce soir, le TFC se déplacera à Saint-Etienne. Le coup d'envoi sera donné à 20h30. Florian Genton sera au micro de beIN Sport 1. Ce célèbre journaliste, passé par RMC et Orange Sport, a répondu à nos questions et nous présente cette affiche.

 

En tant que journaliste qui suit la Ligue 1 depuis des années, quel est ton meilleur souvenir avec le TFC ?


Florian Genton : "J'ai passé de bons moments avec Gignac à l'époque. Je suis proche de lui, je me rappelle avoir fait une interview de lui au Stadium après sa première convocation chez les Bleus. Sinon, le match TFC - Liverpool en 2007 m'a marqué. J'étais aux commentaires sur RMC, Voronin avait marqué un but extra. Il y avait du monde, c'était Liverpool en face et quelle fournaise... Même moi en tribune, j'étais en nage !"

Quel sera le dispositif de beIN Sport ce soir pour ASSE - TFC ?


"Comme tous les vendredis, je serai avec Luis Fernandez et Eric Roy au bord de la pelouse dès 19h30 pour présenter la rencontre. Christophe Josse et Eric Di Meco prendront le relais pendant la rencontre. Anne-Laure Bonnet aura pour mission de récupérer les réactions à la sortie du terrain. Puis nous débrieferont le match jusqu'à 23h00."

Comment vois-tu cette rencontre ?


"Il y aura des buts ! Saint-Etienne tourne bien et leur 4-2-3-1 leur permet d'avoir une bonne présence offensive. Tabanou, Corgnet, Hamouma et Erding, ça attaque ! Pour Toulouse, même si leur classement est difficile, j'ai vu une très bonne prestation de leur part à Monaco avec un très bon Abdennour et une bonne première de Braithwaite. Contre Marseille, c'était le match le plus abouti du TFC. C'était vraiment une belle performance, l'équipe prend forme. Saint-Etienne peut laisser des espaces et Toulouse est capable de faire quelque chose."

Qui est le meilleur joueur du TFC selon toi ?

"Je suis supporter du PSG, donc je vais dire Chantôme, obligatoirement. Mais, je trouve qu'Abdennour est le meilleur défenseur de notre championnat. Il est gaucher, c'est rare. En plus de ça, il est costaud, très bon de la tête, il va vraiment vite, je le vois depuis le bord du terrain, il est fair-play, rarement pris à défaut... Bref, c'est un joueur complet et régulier."

Es-tu convaincu du changement d'approche du TFC, plus offensif qu'avant ?


"Tout le monde dit que c'est une équipe défensive, mais en regardant les chiffres, pas tant que ça. Quand il y a un buteur comme Gignac ou Ben Yedder, Toulouse termine plutôt pas mal au classement des attaques. En tout cas, il y a des équipes en France bien plus défensives. C'est vrai que l'an dernier, le milieu de terrain en 4-1-4-1 était plutôt travailleur. Là, avec Didot, Trejo et Chantôme, il y a plus de qualités offensives et techniques. Ça se bat, ça va vers l'avant. Je me bats contre cette étiquette d'équipe défensive. Contre Marseille, j'ai vraiment vu une équipe joueuse et qui aurait mérité de marquer un deuxième but."

Penses-tu que l'image du TFC dans les médias sportifs est représentative du club ?


"Toulouse joue mieux que la plupart des équipes en Ligue 1. Et puis, dans le foot, il n'y a pas que les buts. Oui, voir un 4-4 c'est super, mais bien défendre, c'est du travail. Je trouve juste dommage le manque de ferveur à Toulouse. Il y a moins de public qu'à une certaine époque. Pourtant, cette saison, Toulouse a du talent, bien plus que d'autres clubs."

Est-ce que le fait que le président se répande très peu dans la presse joue un rôle dans cette image d'après toi (journalistes susceptibles) ?


"Non... C'est avec les performances que tu arrives à conquérir l'opinion public. Rien qu'un exemple : quand le TFC a affronté Liverpool, tout le monde était très content de Sadran..."

Pensez-vous que le TFC est en danger pour se maintenir cette saison ?


"Il ne faut pas trop le dire, sinon il peut y avoir une forme de décontraction, mais honnêtement absolument pas ! En s'appuyant sur le dernier match, il y a des équipes bien moins armées en Ligue 1. Le championnat est long et avec une petite série de deux ou trois victoires, l'équipe pourra se replacer au milieu de tableau. Après le match contre Paris, le calendrier sera plus simple."

Plutôt Romeyer ou Sadran ?


"Sadran !"

Plutôt Casanova ou Galtier ?

"Galtier... Je trouve Casanova très agréable en bord de terrain. Il est toujours très disponible, c'est une vraie qualité et ce n'est pas le cas de tout le monde. Discuter foot avec Casa, c'est top. Je le préfère à la quasi-totalité des entraîneurs du championnat, mais là, Galtier, j'aime trop son enthousiasme sur le terrain."

Plutôt Erding ou Ben Yedder ?


"Aujourd'hui, Ben Yedder. Il y a quelques années, quand il était à Sochaux et à Paris, j'adorais les qualités d'Erding."

Plutôt Ruffier ou Ahamada ?


"Ruffier ! Il est monstrueux. Ahamada est spectaculaire, il vit le match et j'aime sa personnalité. Mais sur le potentiel, Ruffier est au-dessus et est plus proche des Bleus."

Plutôt la tranquillité du Stadium ou la folie de Geoffroy-Guichard ?

"Le Chaudron. J'aime quand les stades vivent, j'aime quand c'est chaud et qu'il y a de la pression."

Finalement, plutôt le Vert ou le Violet ce soir ?


"Malheureusement pour Toulouse, je vous souhaite de réussir quelque chose, mais ce sera très compliqué. Cette saison, je vois très bien Saint-Etienne. Leur effectif est plus important en quantité et ils ont fait un très bon recrutement avec des joueurs qui connaissent la Ligue 1.Sainté va terminer entre la 4ème et la 7ème place ; Toulouse juste derrière entre 8 et 11."

Un grand merci à Florian Genton pour sa disponibilité. Il sera ce soir au bord de la pelouse pour ASSE - TFC et présente "Dimanche Ligue 1" tous les dimanches de 10h00 à 11h00 sur beIN Sport 1.

Modifié par Alruud
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Qu'est ce que c'est rageant cette première période. En effet, malgré un début de match sous pression, ce qui tout à fait normal en déplacement, on a montré une belle maitrise collective avec notamment de la disponibilité et du mouvement même si dans le dernier geste ce n'est pas assez précis. Malheureusement dans notre temps faible, on prend un but assassin mais surtout grâce sur une énième bourde de Ahamada dont le staff devra rapidement se pencher sur son cas !!!

 

Nous ne sommes pas dans une période où les approximations sont de mises. En effet, il faut se rassurer techniquement et dégager une sérénité totale. Le rôle d'un portier est clé dans ses domaines. On voit bien que ses défenseurs n'ont aucune confiance en lui car même quand il parle, ils préfèrent balarder en touche. Il va falloir aussi rectifier au niveau de la rigueur défensive et s'occuper du cas Hamouma qui nous pose d'énorme problème !!!

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Excellent résultat et première belle victoire dans la saison après un début de match compliqué. On a su petit à petit s'imposer au milieu grâce notamment à la technicité, la disponibilité et le mouvement du trio Didot, Chantôme et Trejo. A noter', la bonne performance Braithwaite inconnu au bataillon pour la plupart des amateurs du championnat français mais tellement rempli de qualité notamment sur la combativité, les appels, la vivacité et la vitesse. De plus, il claque et son but nous a permis de nous relancer pour finir le travail de belle manière !!!

 

Il va falloir continuer dans ce sens là et ça commencera par confirmer les bonnes intentions de jeu le week-end prochain pour la réception de Lorient !!!

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Voici la réaction d'Alain Casanova après TFC - Saint-Etienne (1-2) :

 

"Notre première période est vraiment trop faible par rapport aux capacités de l'équipe pour espérer quelque chose. Nous avons été logiquement menés. Après la mi-temps, l'état d'esprit à changé. Les joueurs ont eu à cœur de livrer une bien meilleure seconde période pour tenter de revenir dans la partie. Nous avons mis la main sur le match à partir de nos trois milieux qui ont eu plus d'influence alors que nos pistons ont été plus performants. Après deux grosses situations, nous égalisons logiquement et je pense que notre second but est mérité. Notre victoire, même si elle n'a pas été facile, avec des dernières minutes compliquées, est sur la seconde période méritée. Il a fallu attendre la 6e journée pour remporter une première victoire même si contre Marseille nous aurions mérité de gagner. C'est là que j'ai senti le déclic. Ces trois points vont être très importants pour la confiance. Nous recevons Lorient mercredi avant de nous rendre à Paris. Nous avons un groupe très intéressant, travailleur, avec un bon état d'esprit. Le potentiel est là et maintenant, il faut confirmer. Ce n'est pas facile de jouer à Saint-Etienne contre une équipe qui jouait pour prendre la tête."

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À la 70ème minute de TFC - OM (1-1), André-Pierre Gignac et Serge Aurier se sont chamaillés sur le terrain. L'arbitre a alors dégainé un carton jaune pour chacun. Cette sanction est lourde de conséquences pour le défenseur toulousain puisqu'il sera suspendu mercredi face à Lorient (accumulation de trois cartons jaunes en moins de dix rencontres de championnat).

 

Dans les colonnes de La Dépêche du Midi, Aurier revient sur cet incident avec Dédé : "Il a eu des propos qui n’ont pas lieu d’exister sur un terrain. Il m'a manqué de respect. Je ne reviendrai plus là-dessus, mais lui sait ce qu’il m’a dit… Je suis sorti de mes gonds, je ne pourrai pas être aligné contre Lorient. N’empêche : je ne serai pas au repos, je suis supporter N°1 du TFC !"

Ironie du sort, Gignac et Aurier auraient pu porter le même maillot cette saison puisque "Sergio" a confirmé que des contacts existaient entre lui et l'OM cet été. Selon plusieurs sources, Marseille pourrait le relancer à l'issue de la saison.

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Dans le 3-5-2 d'Alain Casanova, les pistons jouent un rôle essentiel. Contre Saint-Etienne, si Pavle Ninkov a été plutôt bon en première période, Issiaga Sylla, lui, est passé à côté de son match. Même s'il offre la victoire au TFC grâce à son but, l'entraîneur toulousain a vivement critiqué le Guinéen sur beIN Sport :

"J'étais très mécontent de lui. Il a fait 30 minutes très faibles. C'est la première fois qu'il a été aussi mal à l'aise sur un terrain. Il a eu du déchet technique et n'était pas assez présent dans les duels pour récupérer des ballons."

Avec deux matchs programmés cette semaine, Sylla pourrait être mis au repos soir face à Lorient, soit face à Paris. François Moubandje serait ainsi titularisé pour la première fois. Le retour de blessure de Jean-Daniel Akpa Akpro (certainement face au PSG samedi) offrira plusieurs possibilités à Casanova puisque JDAA a été testé durant les matchs amicaux sur ce côté gauche. Mais à seulement 19 ans et déjà deux buts inscrits en dix matchs de Ligue 1 (qui dit mieux à ce poste ?), nous en sommes certains : Sylla représente l'avenir du Tèf.

Sur le côté droit, le retour de Jonathan Zebina va permettre à Serge Aurier de quitter l'axe défensif pour, enfin, évoluer dans son couloir : "Je me suis déjà exprimé. On en a discuté avec Alain Casanova. Après, je suis un compétiteur avant tout. J’ai envie de jouer ; ainsi où l’entraîneur me met, j’essaye d’être performant" a répondu, en souriant, "Sergio" à La Dépêche du Midi. Il faudra attendre, au mieux, samedi pour voir cette disposition puisqu'Aurier sera suspendu contre Lorient.

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Depuis quelques années, le jeu toulousain évolue au niveau de la possession de balle et de l'utilisation du ballon. C'est un leitmotiv d'Alain Casanova qui souhaite que l'équipe contrôle le jeu et construise ses occasions "à l'espagnole", et qui contraste avec les premières saisons où le TFC essayait surtout de trouver son attaquant par de longs ballons ou de prendre l'adversaire en contre.

La société de statistiques liées au sport, Opta, a illustré ce changement de style en étudiant le nombre moyen de passes réussies par match.

L'étude débute en 2009/2010 avec 282 passes réussies par match pour les Toulousains.
Trois saisons plus tard, en 2012/2013, la moyenne était de 329, soit une augmentation de près de 17%. Cette progression quasi constante se poursuit en 2013/2014 où l'équipe obtient une moyenne de 360 passes réussies.

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Une autre information intéressante est donnée par Opta. Depuis le début de la saison 2012/2013, Etienne Didot a réussi un total de 1185 passes dans le camp adverse ! Seul Mathieu Valbuena (OM) fait mieux en Ligue 1. Bravo Etienne !

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Petit à petit, l'opinion publique commence à changer concernant le TFC. Même si ça reste fragile, l'image trop défensive du club semble disparaître. Sur beIN Sport, Alain Casanova sait pourquoi cette réputation est arrivée :

"C'est une étiquette qui colle à l'équipe et à ma peau depuis ma première saison (2008/2009) où on avait encaissé peu de buts et où on avait pratiqué moins de spectacle. Mais je sais pourquoi on l'avait fait : on sortait d'une saison difficile (17ème) et j'avais un très bon attaquant, André-Pierre Gignac, et je voulais profiter de ses qualités."

La saison dernière, le TFC avait inscrit 49 buts en championnat, soit plus que Rennes, Marseille ou encore Bordeaux ! Malgré tout, certaines critiques continuent de persister et Casanova a tenu à y répondre :

"Je passe au-dessus de tout ça. Je sais quelle est ma philosophie et le football que je veux pratiquer. Pour gagner des matchs, il faut d'abord bien défendre. J'ai lu une phrase disant que les grands attaquants faisaient gagner des matchs, alors que les grands défenseurs font gagner des championnats. Avec un raccourci, si nous voulons faire une bonne saison, il faut être très costaud sur le plan défensif. Mais ce n'est pas suffisant ! Je suis d'origine espagnole et j'en ai une mentalité qui se rapproche de ce qui se passe là-bas. J'aime qu'on pratique un jeu de passes avec beaucoup de participation, beaucoup de mouvements, avec une supériorité numérique à l'intérieur du jeu pour, ensuite, trouver des zones affaiblies sur le terrain et se créer un maximum de situations intéressantes. Si j'avais vraiment une disposition défensive, à Saint-Etienne, le piston droit qui centre (Aurier) et le piston gauche qui marque (Sylla) ne se seraient jamais trouvés dans la surface adverse... Je n'ai pas à me justifier, je sais ce que je veux faire, je sais où je veux aller."

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ETG 2-2 MHSC

 

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CE SAMEDI soir le MHSC se déplaçait à Annecy où l’Evian Thonon Gaillard FC l’accueillait l’équipe de Jean Fernandez pour le compte de la 6e journée de Ligue 1. La première action chaude de cette rencontre intervenait après seulement 40 secondes de jeu avec Bakar qui lançait Cabella côté droit. Le N°10 talonnait pour Jebbour dont le centre dans la surface n’arrivait pas à trouver Montano ou Mounier. Dans la minute suivante, Montano lancé à la limite du hors-jeu par Tiéné, se présentait seul face à Laquait, éliminait le portier de l’ETG mais le Colombien tirait au-dessus du but vide (2e) ! Une combinaison Bakar-Cabella plein axe trouvait ensuite Mounier côté gauche mais l’extérieur du pied gauche du N°7 pailladin ne trouvait que le petit filet (14e). Sur l’action suivante le MHSC était tout proche de concéder un penalty (on n’aurait pas crié au scandale s’il avait été sifflé) mais il ne fallait pas s’y tromper : durant le premier quart d’heure de ce premier acte ce sont les Pailladins qui avaient offert le visage le plus séduisant au Parc des Sports. Avec un bel arrêt de Jourdren sur un tir de Wass les Haut-Savoyards revenaient cependant dans la partie. A la 31e, sur une ouverture de Cabella dans une surface encombrée, Montano se présentait devant Laquait et cadrait son tir, cette fois-ci, mais le portier de l’ETG veillait au grain. Sur le corner qui s’en suivait, suite à un cafouillage, la reprise de Bakar volait de peu au-dessus de la transversale des buts locaux. Le MHSC allait finalement ouvrir le score à la 36e et la troisième tentative allait être la bonne pour Montano. Bien lancé à la limite du hors-jeu par Bakar, le Colombien piquait suffisamment son ballon au-dessus de Laquait pour trouver les filets (0-1, 36e). Victor Hugo Montano inscrivait ainsi son 50e but sous les couleurs pailladines et son 2e de la saison (à l’extérieur à chaque fois). Alors que la pause citrons approchait, les locaux allaient cependant se révolter. A la 40e Bénézet talonnait pour Bérigaud en pleine surface mais l’actuel meilleur buteur de L1 tirait sur l’extérieur du poteau gauche de Jourdren. Sur un centre de Bénézet, à novueau lui, Wass reprennait au-dessus des cages alors qu’il avait l’opportunité de battre Jourdren à bout portant (43e). Ça avait terriblement chauffé pour le MHSC en cette fin de première période mais les Pailladins rentraient aux vestiaires avec un but d’avance au tableau d’affichage. Une avance pas non plus imméritée !

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Lors du second acte, Sanson, plein axe, lançait Cabella qui partait ajuster Laquait d’un tir du gauche puissant à ras de terre (0-2, 52e). Voilà qui récompensait un choix osé de Jean Fernandez qui avait décidé d’aligner le jeune joueur venu du Mans d’entrée de jeu et qui opérait ce soir en milieu relayeur aux côté de Stambouli devant la défense héraultaise. Mieux qu’un effet de surprise ! Bérigaud manquait de réduire le score à la 63e mais son tir dans la surface était dévié et tombait dans les gants de Geoffrey Jourdren. Le MHSC semblait maîtriser son avance durant ce second acte mais Jean Fernandez devait réorganiser son équipe avec la blessure de Tiéné à la 68e. Congré rentrait à droite et Jebbour glissait à la place de l’international ivoirien côté gauche. Les locaux allaient finalement réussir à réduire le score à la 73e à la suite d’un coup franc accordé à Wass à la limite de la surface. A l’origine, un accrochage pas du tout évident avec Jebbour. Wass exécutait lui-même le coup de pied arrêté pleine lucarne (1-2, 73e). Pire, seulement quatre minutes après, une mauvaise relance de Hilton allait amener à l’égalisation des locaux. Sougou était à la réception d’un centre dans la surface et trompait Jourdren (2-2, 77e). C’était à se mordre les doigts de rage après avoir mené 2-0 jusqu’à 20 minutes du terme pour des Pailladins en passe à ce moment-là de s’assurer une fin de soirée tranquille. Il n’en était malheureusement pas ainsi et il fallait qu’Hilton se rattrape de sa bévue en sauvant miraculeusement son équipe la 87e pour éviter le pire. Sans quoi, la soirée de ce soir aurait eu un goût étrangement amer tellement le MHSC avaient mérité ce point du match nul. Rendez-vous jeudi prochain à La Mosson avec le réception du Stade Rennais.

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Scénario contrariant, contenu encourageant

Samedi soir à Evian, les Montpelliérains ont concédé le nul à Evian (2-2) alors qu’ils menaient 2-0 à un quart d’heure de la fin. Analyse d’un match aussi frustrant qu’encourageant. C’est le retour du lundi.

 

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Décidément, il se passe toujours quelque chose dans les rencontres entre le MHSC et Evian. Un chiffre suffit pour en attester : Les 5 dernières confrontations entre les deux clubs ont produit 20 buts soit une moyenne de 4 buts par match. Le match de samedi soir à Annecy n’a pas dérogé à la règle avec 4 buts à la clé et un scénario renversant puisque les Montpelliérains menaient 2-0 à un quart d’heure de la fin avant de se faire rejoindre pour un score final de 2-2.
C’est justement plus le scénario de cette rencontre que le résultat en lui-même qui faisait rager les Montpelliérains samedi soir à l’issue de la rencontre
« C’est difficile à accepter, car on avait fait le plus dur en menant au score, explique l’attaquant colombien Victor Hugo Montaño, auteur samedi soir de son 50e but sous le maillot du MHSC.On a perdu pas mal de ballons en seconde mi temps ce qui a remis en confiance cette équipe d’Evian. On a une équipe jeune et cela fait partie des domaines dans lesquels on doit progresser. » Ajoutez-y la blessure de Siaka Tiéné, et un coup-franc litigieux sur le 1er but de l’ETG et cette soirée savoyarde qui avait si bien débuté aurait finalement pu devenir très indigeste.

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Cela dit, le MHSC a livré samedi soir une prestation très encourageante. Avec un onze de départ très offensif où Mounier, Bakar, Sanson, Cabella et Montaño étaient titulaires au coup d’envoi, les Montpelliérains ont montré un visage très séduisant, se créant de nombreuses occasions. Défensivement aussi, l’équipe est à créditer d’une bonne prestation d’ensemble malgré la fin de match compliquée. Si le scénario est difficile à digérer, ce point ramené d’Annecy semble donc motif d’espoirs : « Même si nous avons concédé l’égalisation, je pense que ce match est plutôt encourageant par rapport à ce que nous avons fait en première mi temps et au début de la seconde, poursuit Victor Hugo Montaño. On a joué plus haut, plus vers l’avant, les milieux étaient plus proches des attaquants. C’est la preuve que l’on progresse et j’espère que l’on pourra confirmer cela dès le prochain match pour gagner et pour nous redonner la confiance, à nous mais aussi à nos supporters. » ça tombe bien, les Montpelliérains n’auront pas le temps de gamberger. Le prochain rendez-vous est déjà programmé à jeudi soir face à Rennes à La Mosson (21h). Une affiche qui promet beaucoup et lors de laquelle les Montpelliérains auront une fois de plus besoin de votre soutien. Venez nombreux !

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Que faire lorsque, en tant qu’amoureux de football, vous débordez d’ambition pour votre club mais que vous ne disposez pas des finances extensibles de Paris ou de Monaco ? Epineux problème auquel Toulouse et Lorient, qui s’affrontent au Stadium ce mercredi, apportent sensiblement les mêmes solutions. Un projet de jeu, des finances stables et une relation particulière tissée entre un président et son entraîneur. Explications, au cœur de deux clubs qui se ressemblent bien plus qu’on ne voudrait y croire…

 

Le jeu comme salut

Ce n’est plus un secret pour personne, Alain Casanova souhaite depuis longtemps révolutionner le fond de jeu de son équipe. Défense à trois, jeu de passes courtes, mercato agité, le TFC de cette saison tranche avec l’image qu’on a lui a trop souvent collée à la peau. Tandis que la Haute-Garonne semble découvrir un autre football, cela fait déjà de nombreuses années que le Morbihan s’en est accoutumé. 10 ans, exactement, depuis le retour de Christian Gourcuff aux affaires du FCL. Le Breton, ancien professeur de mathématiques, s’est depuis mué en théoricien du football, et s’est ainsi fait l’ambassadeur d’une conception nouvelle du jeu. Celle qui considère que le résultat n’est pas plus important que la façon de l’obtenir, et que la manière est indispensable à la réussite. Les Violets s’apprêteraient-ils donc à affronter leur alter-égo en matière de jeu ? Pas seulement...

Le Président, l’homme fort

Car en coulisses, les deux clubs semblent également se trouver plusieurs points communs. A commencer par leur président respectif. Issus de la même génération, Olivier Sadran (42 ans) et son homologue lorientais Loïc Féry (39 ans) sont tous deux des chefs d’entreprise reconnus, devenus par passion (et ambition) des présidents de clubs de Ligue 1. Si le patron de Newrest a repris les rênes du TFC en 2001 lors de la rétrogradation du club en National, Féry a plus récemment troqué son costume de PDG dans la City de Londres contre celui de président des Merlus (2009). Pourtant, les deux hommes partagent une stratégie commune, et la conviction que la stabilité financière est à la base de la pérennisation d’un club dans l’élite du football français. Un style qui dérange certains amoureux du ballon rond, en demande perpétuelle de transferts, de grands noms et de spectacle économique. C’est le cas de Daniel Riolo, journaliste vedette de la radio RMC, qui déclarait au sujet de Sadran : "Il gère ce club comme une entreprise, de façon assez froide […] Il est très bon en business."

Une attitude critiquée, donc. Pourtant, les faits sont là, et depuis leurs remontées respectives en L1 (2003 pour le TFC, 2006 pour Lorient) aucune de ces deux formations n’a connu les affres d’une descente à l’échelon inférieur. Mieux, elles offrent à leurs supporters une impression de sécurité, incarnée par le visage de leurs deux entraîneurs, lesquels peuvent se vanter d’être les plus anciens à occuper le banc de leur équipe cette saison (11e saison consécutive pour Gourcuff, la 6e pour Casanova). Deux coachs fidèles au club et à ses valeurs, qui tissent au fil du temps une relation particulière avec leur président. Si Sadran ne cesse d’encenser son manager, en proclamant par exemple que "Casanova fait des miracles", son homologue Breton n’a pas hésité à sortir de son habituelle réserve pour répondre à Gourcuff au sujet de la fameuse affaire Mario Lemina, transféré à l’OM dans les dernières heures du mercato : "J'ai jugé qu'accepter le transfert de Lemina était la bonne décision pour le futur du FC Lorient."

Décision contestée par l’entraîneur Breton, mais qui prouve surtout que, à Lorient comme à Toulouse, les présidents font partie intégrante de la politique sportive du club, notamment en matière de vente et d’achat de nouveaux joueurs. Les ventes de Lemina, mais aussi celles de Gameiro, Amalfitano ou Romao avant lui, ne sont pas sans rappeler les départs, âprement négociés, de Capoue, Tabanou ou encore Gignac du TFC.


Toulouse et Lorient, deux équipes qui se structurent de façon similaire, sur le terrain comme en dehors. Deux équipes joueuses, deux jeunes présidents omniprésents, deux entraîneurs confirmés, pour une seule et même ligne de conduite : l’ambition viendra de la stabilité.

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Alors que le TFC voulait le récupérer en prêt cet été, Adrien Rabiot a finalement décidé de rester au PSG. Même s'il a inscrit un but face à Guingamp, son temps de jeu est famélique (55 minutes). Un départ dès le mercato d'hiver est ainsi possible. Selon plusieurs sources, Tottenham serait très intéressé. Rabiot retrouverait ainsi Etienne Capoue (actuellement blessé au péroné).

D'autres clubs français (Rennes, Saint-Etienne) pourraient relancer ce dossier en janvier. Le TFC, avec Clément Chantôme, Etienne Didot, Abel Aguilar, Oscar Trejo, Pantxi Sirieix et Adrien Regattin semble assez fourni au milieu de terrain et n'activera pas cette piste.

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Interview de Yann Lachuer :wub:

 

http://www.sofoot.com/yann-lachuer-si-je-jouais-aujourd-hui-je-serais-en-equipe-de-france-171581.html

 

http://www.sofoot.com/yann-lachuer-je-savais-pas-faire-50-000-passements-de-jambe-171615.html

 

 

Vu le nombre de passes décisives qu'il faisait je suis sûre qu'aujourd'hui où cette stat est devenue si importante il y jouerait au Real Madrid et il y en aurait pour en faire le meilleur 10 du monde :D

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Dans les colonnes de La Dépêche du Midi, Pavle Ninkov a analysé les premières semaines d'Uros Spajic, l'autre serbe du TFC :

 

"Je lui ai beaucoup parlé. Je lui explique les consignes. Je lui traduis les paroles du staff, des coéquipiers. Mais il n'a pas eu besoin de moi pour découvrir la ville : il habite au centre-ville et a déjà découvert Toulouse ! Moi, j'ai appris à découvrir et à aimer cette ville. Ma femme, mon bébé et moi-même, on se plaît beaucoup ici. (...) Les Toulousains sont très gentils et chaleureux. (...) J'ai aussi découvert des restaurants. J'aime beaucoup la cuisine française : l'entrecôte, mais bien cuite ! Je sais qu'ici vous mangez plutôt la viande saignante, mais en Serbie, on la préfère bien cuite..."

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Après deux bons matchs nuls contre Bordeaux (1-1) et Marseille (1-1), le TFC va recevoir ce mercredi à 19h00 Lorient. Alain Casanova espère, une nouvelle fois, que le public du Stadium jouera un rôle important dans la performance des Violets :

"Avec le président, nous avions fait un appel au public avant le match contre l'OM. Les supporters ont répondu présent et je tiens à les remercier. Ils nous ont beaucoup poussés et ils auraient mérité, comme l'équipe, de voir une victoire. Le soutien a été très important et j'espère que sur les prochains matchs, peu importe l'adversaire, ils sauront être derrière leurs joueurs pour prendre les points. Le public a une importance dans le comportement de l'équipe."

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Le 5 majeur de Victor Hugo Montaño

Samedi soir à Annecy, l’attaquant colombien du MHSC a marqué son 50e but sous le maillot du MHSC. A cette occasion, il a accepté de revenir avec nous sur les 5 buts qui l’ont le plus marqué
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25 MAI 2007 : MHSC 1-0 GRENOBLE. –Dernière journée du championnat de France de Ligue 2 2006-2007. Le MHSC doit absolument gagner pour assurer son maintien dans l’antichambre de l’élite. En cas de match nul ou de défaite, le club héraultais pourrait être relégué en National en fonction des résultats de ses concurrents directs. 68e minute, penalty pour le MHSC. « Ce jour-là j’ai pris la décision de prendre le ballon. Ça m’a fait un peu peur, mais je me suis dit, "soit tu le mets et on reste en Ligue 2, soit tu le manques et on descend en National. Il faut y aller » Le penalty, décroisé à ras de terre a pris le gardien à contrepied… et le MHSC s’est maintenu en Ligue 2. Le début de la renaissance.

19 SEPTEMBRE 2008 : MHSC 3-1 SEDAN. – 6e journée du championnat de Ligue 2 2008-2009. Le MHSC reste sur deux revers consécutifs en championnat contre Metz et Dijon et pointe à la 11e place, bien loin de ses objectifs de montée en Ligue 1. « Il fallait absolument gagner, se souvient Victor Hugo. A 0-0, je rate un pénalty, je m’en voulais. Heureusement derrière je mets un doublé. Forcément, vu le contexte, j’étais heureux et soulagé. En plus, je pense que cette victoire nous a libéré. La saison avait eu du mal à démarrer, mais après nous avons réussi tous ensemble le pari de la montée en Ligue 1. Un super souvenir »

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17 OCTOBRE 2008 : MHSC 3-1 VANNES. – Un peu moins d’un mois plus tard, le MHSC reçoit Vannes à La Mosson et concède l’ouverture du score par Delhommeau. Karim Aït-Fana égalise avant que Victor double la mise juste avant la mi-temps d’un superbe lob.


23 DÉCEMBRE 2009 : LYON 1-2 MHSC. –Dernier match avant la trêve de Noël. Le MHSC réussit l’exploit d’aller s’imposer à Lyon. Victor ouvre le score en prenant le dessus sur Cris avant d’enchaîner une frappe qui est allé se loger dans la lucarne de Hugo Lloris. Après l’égalisation de Gomis à 10 minutes de la fin, le MHSC décrochera finalement la victoire par Joris Marveaux, reprenant victorieusement un coup-franc de Tino Costa.

 

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22 NOVEMBRE 2009 : MHSC 2-0 LILLE. –Dans la foulée de son accession en Ligue 1, le MHSC réalise un début de saison tonitruant et pointe à une très belle 9e place après 13 journées avant de recevoir Lille pour un match de Gala à La Mosson. Dans une rencontre très intense, Victor inscrit 2 buts dont un – celui qu’il préfère sur les deux – d’une frappe en pivot.

 

 

 

 

 

VICTOR HUGO MONTAÑO : « ÇA FAIT PLAISIR »

Victor, quel l’effet cela te fait-il d’avoir marqué 50 buts sous le maillot du MHSC ?
Cela fait plaisir d’avoir marqué autant de buts avec Montpellier, car c’est mon club de cœur. J’ai vécu de supers moments ici et j’espère en vivre d’autres. Je vais tout faire pour continuer à marquer des buts et surtout à aider l’équipe... Mais c’est déjà une fierté d’avoir atteint ce chiffre là.
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Quel regard portes-tu sur cette équipe de Montpellier que tu redécouvres cette saison après 3 ans à Rennes ?
On est une équipe jeune mais qui est capable de faire de très belles choses. Parfois on manque d’expérience, de malice, mais le groupe est capable de faire encore mieux. Je suis persuadé que si l’on continue à travailler comme cela et si chacun en donne un petit peu plus, on va trouver les automatismes le plus vite possible pour faire une belle saison. On ne va pas finir dans les cinq premiers c’est certain, ce serait trop prétentieux, mais on peut faire un bon parcours. Il faut d’abord prendre les points pour assurer le maintien, et, à partir de là, viser plus haut. En tout cas, le groupe vit bien, l’ambiance est bonne et on essaie d’avancer tous ensemble.

Le match à Evian et son scénario difficile sont-il oubliés ?
C’est difficile à accepter… Maintenant, ce qui est bien dans le foot c’est que dès qu’un match est fini, on doit penser au suivant. Même si nous avons concédé l’égalisation, le match d’Evian est plutôt encourageant. On a joué plus haut, plus vers l’avant. Les milieux étaient plus proches des attaquants. C’est la preuve que l’on progresse et j’espère que l’on pourra confirmer cela dans les prochains matchs pour gagner et pour nous redonner la confiance, à nous et à nos supporters, et montrer qu’il n’est jamais facile de nous battre chez nous.

Un mot sur la rencontre de jeudi soir contre le Stade Rennais…
Rennes est une équipe qui fait un bon début de saison, il faut se méfier, mais je pense que nous pouvons les inquiéter.

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Victoire courte mais tellement importante. En effet après la belle victoire chez les verts, il nous fallait confirmer et ce n'est jamais facile surtout après un début de saison où il était compliqué d'engranger des points malgré un jeu plutôt plaisant !!!

 

C'est vraiment intéressant car en plus des trois points, il y a la manière. Ce 3-5-2 a fait un bien énorme dans la qualité du jeu sans oublier les recrues et les joueurs en places dans l'entre-jeu qui amène une grosse touche technique. Que dire de Braithwaite qui en plus de claquer est très intéressant dans ses déplacements et sa prise de profondeur !!!

 

Ce week-end, c'est un tout autre morceau !!!

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Si ces dernières saisons, la cellule de recrutement s'est parfois trompée sur les attaquants recrutés (Bulut, Rivière, Tafer, Santander...), elle a tapé dans le mille pour Martin Braithwaite. Après une mise en jambes contre Monaco, le Danois a marqué face à Bastia (2-1), Saint-Etienne (1-2) et ce mercredi devant Lorient (1-0). On n'oubliera pas non plus sa passe décisive pour Wissam Ben Yedder contre l'OM (1-1).

 

En cinq matchs, Braithwaite a ainsi été décisif à quatre reprises. Face aux Merlus, il a été le meilleur toulousain de la première période en compagnie d'Aymen Abdennour. Dès les premières minutes, il était à quelques centimètres d'offrir l'ouverture du score à WBY (hors-jeu logiquement sifflé). Mais en seconde période, Braithwaite profitera de la déviation de la tête de Ben Yedder pour crucifier Reynet. Un but de plus pour la révélation de Ligue 1 de ce début de saison.

 

Outre ses qualités sur le terrain, il est adoré par ses coéquipiers et est devenu le chouchou du Stadium. Dès le coup de sifflet final, il s'est empressé de venir devant le kop des Indians pour venir danser avec eux et fêter la victoire. Après le Chaudron et le Stadium, deviendra-t-il le prince du Parc samedi ? En attendant : MERCI MARTIN.

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En conférence de presse depuis le Stadium, Etienne Didot a analysé la victoire du TFC contre Lorient (1-0) :

"Au niveau de l'esprit, on était bien, mais Lorient était bien organisé, bien en place. Sur les attitudes, il n'y avait rien à reprocher, mais on savait que Lorient avait deux jours de récupération de moins que nous et qu'il ne fallait pas baisser la tête. Il y a eu de très bonnes choses ces derniers temps, quand je vois la volonté, l'agressivité, je vois une équipe vraiment tranchante. Il y a des valeurs qui sont primordiales pour moi avant le jeu, cela nous a permis de revenir dans le championnat assez rapidement. Ce soir, ce qui m'a marqué c'est comment on est bien revenu après une première mi-temps compliquée. On ira à Paris samedi pour faire un gros match. Braithwaite ? C'est un mec sympa et sur le terrain, il est très disponible et efficace. J'espère que ça va continuer, c'est vraiment une belle surprise."

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Après une rencontre difficile à Saint-Etienne où il a offert le but à Romain Hamouma, Ali Ahamada s'est bien rattrapé ce mercredi en sortant une belle prestation devant Lorient (1-0). Le gardien du TFC s'est exprimé depuis le bord de la pelouse, après le match, sur beIN Sport :

"On est bien resté en place. On a fait une bonne partie et on a su ouvrir le score. Le début de championnat était mitigé. Notre union fait la différence sur ces derniers matchs. Le groupe a été très solidaire avec moi. Une équipe est vraiment en train de naître. Mentalement, j'essaye de ne pas baisser les bras. J'ai la chance d'avoir le soutien de mes dirigeants et du staff. J'en profite pour remercier Christophe Gardié, l'entraîneur des gardiens, qui me remonte le moral."

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Sochaux le club en péril, Eric Hély comme il l'a si bien dit a sauvé comme il pouvait la maison mais là s'en était trop.

 

J'ai vu le match et j'ai vu une équipe sans solutions, l'entraîneur a tout tenté pour bouger son équipe mais ils n'en ont rien fait et je me suis dit que le coach allait présenter sa démission, c'était certain, les joueurs étaient par terre limite avant la fin du match, la tête du Manager était vraiment celle de quelqu'un qui a essayé tout ce qu'il pouvait.

 

La démission a été acceptée par respect pour le Manager tout d'abord car sa conviction de ne plus avoir de solutions est sans doute la bonne et que les Dirigeants ont du le voir aussi. On voit un entraîneur tiraillé qui quitte ses fonctions avec un goût d'inachevé et les dirigeants vont devoir trouver quelqu'un.

 

Je noterai de façon personnelle l'investissement individuel de Roy Contout.

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PSG - TFC : J-1 et Pavle Ninkov, interrogé par La Dépêche du Midi, n'a pas caché son inquiétude de croiser le chemin de Zlatan Ibrahimovic :

 

"Pfff... Il est phénoménal. Un très grand joueur. Grand par la taille aussi : costaud, il sait jouer de son physique, il en impose." La saison dernière, le Suédois avait marqué contre le Tèf à l'aller et au retour.

Dans un récent sondage réalisé sur notre site, vous êtes 59.1% à estimer que le TFC peut créer l'exploit au Parc des Princes ce samedi (coup d'envoi à 17h00, sur Canal+).

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Et si les choses étaient vraiment en train de vraiment changer avec le TFC ? En plus de la presse nationale qui commence à accepter que les hommes d'Alain Casanova ne faisaient pas que défendre, les supporters sont, eux aussi, heureux. Sur la boîte mail du site, nous avons reçu un message de Steeve A. qui a tenu à faire passer un message au club.

Nous avons tenu à vous le faire partager :

"Bravo au TFC pour ce match contre Lorient, c'était super ! Un but de l'inévitable Braithwaite, mais surtout une ambiance d'après-match que j'ai rarement vue au Stadium. Comme souvent, avec un collègue, nous avons attendu les joueurs à la sortie. Et là, à mon plus grand étonnement, les joueurs se sont massés dans la foule, un par un. Pendant ce temps, les supporters Violets chantaient autour des Abdennour, Didot, Chantôme, Ahamada... Quelle générosité entre tout le monde, c'était un échange mémorable ! Une équipe et une ferveur sont en train de se créer à Toulouse. C'est fantastique !"

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Comme vous l'avez appris sur AllezTFC.Com depuis plusieurs jours, l'OM est très intéressé par Aymen Abdennour. Le 10 Sport précise même que Vincent Labrune, le président marseillais, aurait déjà contacté l'entourage du Tunisien pour lui indiquer sa volonté de le recruter lors du prochain mercato d'été.

Si Abdennour enchaîne les excellentes performances comme depuis le début de la saison, d'autres clubs européens seront sur les rangs et le Tèf pourra faire une immense plus-value pour ce joueur acheté en 2011 contre 450 000 euros.

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Après sa boulette à Saint-Etienne (1-2), Ali Ahamada a sorti une très belle prestation mercredi contre Lorient (1-0). À l'issue de la rencontre, le gardien toulousain a tenu à remercier l'ensemble du club qui continue à lui faire confiance :

"Le groupe a été très solidaire avec moi. Une équipe est vraiment en train de naître. Mentalement, j'essaye de ne pas baisser les bras. J'ai la chance d'avoir le soutien de mes dirigeants et du staff. J'en profite pour remercier Christophe Gardié, l'entraîneur des gardiens, qui me remonte le moral."

Même son de cloche du côté d'Alain Casanova qui n'a pas tari d'éloges sur son gardien :

"Quand je vois Ahamada, il a su nous maintenir dans le match après l'erreur qu'il a commise à Saint-Etienne et qui a été amplifiée. Il a été l'un des grands artisans de notre succès. J'ai aimé la volonté de notre équipe de rester solidaire face à une équipe compliquée à jouer. On ne s'est jamais désuni."

Depuis un an, Ahamada a été plus ou moins coupable sur une dizaine de buts encaissés par le TFC. À seulement 22 ans, Ali apprend encore et sa mentalité va lui servir pour rebondir. Dans l'édition de mercredi de L'Equipe, un proche d'Ahamada avançait que des différends financiers existaient entre lui et le club au sujet d'une prolongation. Un de ses conseillers, contacté par nos soins, a tenu à préciser certains points :

"Il y a eu des discussions en décembre 2012, mais depuis, il n'y a plus rien. Ali a fait toutes ses gammes à Toulouse et il veut absolument y rester. Il aime ce club. S'il peut faire comme Puyol, qui a fait toute sa carrière au Barça, ou Gerrard à Liverpool, il le fera au TFC."

Le contrat actuel d'Ahamada avec le Tèf court jusqu'en juin 2015. Il n'y a pas le feu au lac et son seul souhait est de retrouver son meilleur niveau.

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Dans un entretien pour RMC, Clément Chantôme, qui fera son retour au Parc des Princes samedi, a jugé les différences d'atmosphère entre le Tèf et Paris:

"Ce sont des grandes stars au PSG, donc c’est différent. À Toulouse, ce sont des joueurs plus jeunes, moins expérimentés et plus fougueux. Il y a plus d’ambiance dans le vestiaire. À Paris, ils savent ce qu’ils doivent faire, ils sont vachement professionnels. Ils font leurs trucs de leur côté. Ici, c’est du partage et c’est plus convivial. C’est sûr que c’est complètement différent. Il y a beaucoup moins de pression, moins de personnes, un autre style de vie. C’est une ville un peu plus tranquille et beaucoup plus axée sur le rugby. Ça n’a rien à voir avec Paris. Tu peux te promener, faire tes trucs un peu tranquillement, sans te prendre la tête. C’est un peu plus compliqué à Paris..."

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Dans un entretien réalisé par Sébastien Marti pour La Dépêche du Midi, Michel Platini a livré ses impressions sur les avancées des travaux du Stadium pour l'Euro 2016 :

"Plutôt bonnes, le chantier avance. Je sais que le budget consacré à la rénovation du stade ainsi que la capacité d’accueil ont baissé par rapport au projet initial et j’ai demandé à la ville de Toulouse de respecter ses engagements. Le maire de Toulouse m’a assuré que les engagements pris seraient tenus. Je veux que Toulouse, qui était revenue par la petite porte dans la sélection des villes retenues pour accueillir l’Euro 2016, soit quand même à la hauteur de l’événement. Toulouse est une ville festive, qui possède un très beau stade et je pense que la ville sera à la hauteur. Il y a ici une véritable chaleur et en 1998, lors de la Coupe du monde, tout s’était très bien passé."

Après avoir rencontré Pierre Cohen, le maire de Toulouse, Platini a assisté à la victoire du TFC face à Lorient (1-0) aux côtés d'Olivier Sadran.

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Vol à l'étalage ce soir face au PSG. En effet, on a joué très bien au ballon mais malheureusement cet enf**** de Enjimi nous a endoffé comme d'habitude. Entre un penalty scandaleux après un tacle de très haut niveau, il va nous refuser un but pour HJ complètement ridicule !!!

 

Bref, une défaite illogique mais beaucoup d'espoir car l'équipe joue très bien au football. Il y a de belles choses à faire cette saison contre des clubs moins protégés car malheureusement l'enculade est de mise face à certaines écuries !!!

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En conférence de presse, Etienne Didot a pointé du doigt l'incroyable amateurisme de Saïd Ennjimi, l'arbitre de PSG - TFC (2-0) :

 

"On lui en veut. Il y a une grosse erreur sur le penalty et ce n’est pas la seule. Cela nous coûte cher. Ça fait vraiment mal. Nous avons eu des occasions, nous avons fait un gros match. Depuis le début de la saison, nous montrons de belles choses. Ce soir, nous méritions de prendre un point. Malheureusement, on dit que Paris est à la peine, mais c’est Paris qui gagne 2-0."

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Uros Spajic, sanctionné d'un penalty pour une faute inexistante sur Edinson Cavani, a confié à L'Equipe qu'il a eu une discussion avec Saïd Ennjimi, l'arbitre de PSG - TFC (2-0) : "Il est venu s'excuser car il a sifflé penalty alors que je n'avais pas fait faute."

Le mal est fait et Spajic connaît des débuts bien compliqués avec l'arbitrage français après son incroyable expulsion à Valenciennes...

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Ingesson coach d'Elfsborg

 

Elfsborg a annoncé lundi avoir nommé comme entraîneur l'ancien international Klas Ingesson. L'ancien milieu de terrain, passé par Marseille en 2000, a indiqué à cette occasion qu'il était remis de son cancer de la moelle osseuse, un myélome, dont il avait révélé l'existence en 2009. Champion de Suède, Elfsborg est actuellement 6e à quatre journées de la fin.

 

lequipe.fr

 

Très heureux de son retour de sa très grave maladie, bravo gars et bonne chance

Modifié par Ole Gunnar Solskjaer

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L'émission J+1 sur Canal+ a diffusé une scène insolite qui s'est déroulée samedi soir au Parc des Princes. À l'issue de la rencontre PSG - TFC (2-0), Clément Chantôme, Nicolas Douchez et Alain Casanova se sont croisés dans les couloirs. Le milieu, prêté par le PSG, a glissé à l'entraîneur toulousain : "Douchez n'arrête pas de m'appeler pour venir." Casa a répondu du tac-o-tac :

 

"Je veux bien qu'il vienne, mais il va falloir diminuer le salaire par dix." Finalement, le coach du TFC et Douchez se sont quittés en riant.

Alors simple boutade ou vraie envie de Douchez de revenir à Toulouse ? Désormais âgé de 33 ans, le gardien parisien a disputé son premier match de Ligue 1 au Stadium avec le Tèf lors de la saison 2005/2006.

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Face au PSG (2-0), Abel Aguilar a fêté sa deuxième titularisation de la saison avec le TFC. Depuis mi-septembre, le Colombien souffrait des ischio-jambiers. Dans La Dépêche du Midi, Alain Casanova s'est montré satisfait de sa prestation :

"Il a été facile sur le plan athlétique, très présent dans le jeu sur le plan tactique, un positionnement parfait, il joue bien et simple."

Etienne Didot, qui a joué à ses côtés au milieu du terrain, est plus prudent : "Abel s'y met, il a été retardé par une blessure en sélection, il faut lui laisser le temps de prendre ses marques." À la rédaction d'AllezTFC.Com, nous voulons également revoir Aguilar. Au Parc des Princes, il n'a pas assez pesé dans les débats, a manqué de combativité balle au pied et est impliqué sur les deux buts encaissés, même s'il a tenu tête à Ibrahimovic et ses provocations (lire nos notes par ailleurs).

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Ce PSG - TFC fait couler beaucoup d'encre. Samedi, 69ème minute, Zlatan Ibrahimovic est remplacé par Edinson Cavani. Le Suédois, très énervé par le comportement d'Aymen Abdennour et Abel Aguilar, s'en prend au banc toulousain et à Jonathan Zebina plus précisément en mimant avec les doigts un pistolet. Jo' et Ibra ne sont pas les meilleurs amis du monde (ils s'étaient battus à l'époque où les deux évoluaient à la Juve), mais ce geste est inadmissible et mérite de passer en commission de visionnage de la LFP.

La Ligue pourrait également observer le duel entre ce même Ibrahimovic et Aguilar. Le Toulousain a été sanctionné d'un carton jaune (logique) puisqu'il a bousculé le Suédois dans le dos juste avant sa sortie. Mais, encore une fois, Saïd Ennjimi est tombé dans le piège parisien puisque Zlatan avait lui-même poussé le Colombien quelques minutes auparavant (sans être averti) !

Aguilar a décidément souvent des accrochages avec les meilleurs joueurs au monde. Il y a quelques années, il avait envoyé un ballon sur la tête de Lionel Messi en match international et les deux s'étaient insultés quelques mois plus tard dans le championnat espagnol :

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