Actualités des clubs Français

[Sanji]

09/03/2007 20.50

 

 

LOSC : toujours privé de Cabaye et Bodmer

 

Absent lors du huitième de finale retour de Ligue des Champions, Cabaye et Bodmer le seront également contre Lorient.

 

 

 

On prend les mêmes et on recommence pour le LOSC. Pour le déplacement en Bretagne, et plus précisément à Lorient, les lillois seront toujours privés de leurs deux milieux de terrains, Yohann Cabaye et Mathieu Bodmer. Des absences ennuyeuses, cependant, on a pu le voir à Manchester, pas rédhibitoire.

 

Voici le groupe lillois :

 

Audel, Bastos, Chalmé, Debuchy, Dumont, Fauvergue, Franquart, Keita, Lichtsteiner, Malicki, Makoun, Mirallas, Obraniak, Odemwingie, Plestan, Rafael.

[Lylyvan]

Tu n'as pas mis ta source Larsson17

[Sanji]

Tu n'as pas mis ta source Larsson17

excusez moi je n'avais pas fait attention

c'est goal.com

[Cristiano27]

Paris va se qualifier pour les quart de final de la coupe de l'uefa

[Etienne]

allez les verts, faut rien lâcher !!

c'est vraiment dommage car cette année la ligue des champions est très ouverte mais on a loupé trop d'opportunités de bien faire, mais il faut s'accrocher et rester dans les 10 premiers. j'ai encore en souvenir le 3-0 a la mi temps à lens, c'est une faute professionnelle de jouer comme ils ont fait ensuite

[2pac]

Je m'en suis pas encore remis , on a abusé en seconde periode

[solskjaer20]

Le Guen : « La situation est grave »

 

Hier, le Paris Saint-Germain a concédé sa troisième défaite de rang. Face à Auxerre, les joueurs de la capitale ont une nouvelle fois sombré tel un seul homme. Leur entraîneur Paul Le Guen admet que la situation est des plus inquiétante mais met en exergue la capacité des siens à remonter la pente.

 

« La situation est grave, préoccupante et nous en sommes conscients » a concédé à nos confrères de l’Equipe, assurant en outre qu’ils soutenaient ses joueurs : « Je tiens à le dire et à le redire je suis derrière eux. Le problème c’est qu’ils sont trop tétanisés. Ils doivent se libérer du poids de la pression et jouer comme ils savent le faire. Je voudrais les voir batailler jusqu’au bout ».

 

Après ce revers contre l’AJA, le PSG s’est retrouvé à la 19ème place du classement. Avec 28 points à son compteur, la formation francilienne est à deux points du premier non reléguable, Troyes. Recruté pour sauver le club du naufrage, Le Guen ne perd pas espoir quant à un éventuel maintien : « Je l’ai dit quand je suis arrivé, je ne possède pas de baguette magique. Ca sera très très difficile. Nous nous devons de ne pas abandonner, autrement ça sera un désastre. Nous devrons être forts mentalement pour s’en sortir ».

 

source:goal.com

[Sanji]

12/03/2007 - Foot - L1 - OM

 

Zubar : «Le point du coeur»

 

 

Venus entre Rhône et Saône en TGV, les Marseillais sont repartis de Lyon dans la nuit en car. Ce qui n'est pas le moyen de transport le plus adéquat pour profiter de leur performance rhodanienne, mais qu'importe. Les Phocéens étaient surtout soulagés de ce match nul (1-1), acquis grâce à un but de Mamadou Niang à la 87e minute, répondant à l'ouverture du score de Milan Baros (20e).

 

 

 

«C'est le point du coeur, c'est une grosse bouffée d'oxygène», souligne Ronald Zubar, qui analyse ce match avec une once de regret, celui de ne pas avoir obtenu mieux. «Car avec un peu plus de réussite, on aurait pu marquer ce deuxième but. Mais les Lyonnais, de leur côté, se sont également procurés des occasions. Finalement, la match nul est donc équitable. Et puis ce point va nous stimuler.» Même son de cloche chez le capitaine Habib Beye : «On repart avec un certain capital confiance. On savait bien qu'on n'allait pas gagner 3-0, mais il fallait être costaud. On l'a été. Maintenant, il ne faudra pas être compétitif que contre Lyon.»

 

Zubar : Emon «est un humaniste»

L'avis est évidemment partagé par Pape Diouf : «Ce soir (dimanche soir), on a rompu le cycle infernal de défaites et tordu le coup à l'habitude de perdre à chaque fois que nous sommes menés. Au niveau des ressources morales, on a su répondre et réagir. Nous nous sommes remis dans le sens de la marche pour conclure désormais le championnat de manière positive. On doit renouer avec le succès de façon plus constante pour revenir sur les objectifs initiaux.» Autrement dit, il faudra battre Nice, samedi prochain au Vélodrome, histoire d'engranger une première victoire depuis sept matches, de débuter une série victorieuse et de se rapprocher des places qualificatives pour la Ligue des champions.

 

En attendant de se rassurer complètement, l'OM a au moins sauvé la tête de son entraîneur. «On est très content aussi pour Albert Emon, indique Zubar. C'est un mec proche de nous. C'est un humaniste. On avait envie de tout donner pour lui.» «Albert, il remplit son contrat à 100% depuis le début de la saison, renchérit Beye. Les premiers responsables (des récents mauvais résultats), c'est nous. C'est à nous d'assumer. » Pape Diouf a eu également un mot pour son coach. «Ecoutez, il a vécu des jours difficiles car certains ont fait de sa situation ce que j'appellerais une affaire. Je lui ai toujours maintenu ma confiance. J'ai juste dit qu'en football, le poste d'entraîneur varie en fonction des résultats et du contexte. »

 

Les dirigeants marseillais en ont profité pour placer une pique à Gérard Houllier qui, samedi, avait soutenu Albert Emon. «Il devrait d'abord s'occuper de son club et trouver par exemple trouver la recette pour gagner la Ligue des champions», lâche José Anigo. «Il ne devrait pas s'intéresser à ce qui se passe à l'Olympique de Marseille, souligne pour sa part Pape Diouf. Il perd les pédales, il déraille un peu. Il dit avoir vécu l'enfer lors de son élimination en Coupe de France il y a quelques semaines, mais il devait certainement être absent ce soir-là. Sinon, il aurait gagné le match.» Ambiance tendue. Cela n'a pas empêché le président marseillais, dans le couloir des vestiaires, de serrer la main tendue par le coach lyonnais.

 

lequipe.fr

[Sanji]

AUXERRE DANS L'ENTRE-DEUX

 

 

Pour son entraîneur Jean Fernandez, Auxerre a franchi «un grand pas» vers le maintien en s'imposant dimanche au Parc contre le PSG (1-0). Après une saison dans l'anonymat, l'AJA aspire à parachever sa période de transition. Sans s'interdire de rêver à un beau final qui pourrait l'envoyer en Coupe d'Europe. Une vieille habitude.

 

 

Deux défaites en treize matches

 

Juste la moyenne. Dixième depuis dimanche et sa victoire au Parc des princes aux dépens du Paris-SG (1-0), Auxerre apparaît dans la première moitié du classement pour la troisième fois seulement de la saison. Une discrétion inhabituelle pour un club abonné aux places d'honneur et régulièrement invité aux joutes européennes. Pendant l'ère Guy Roux, la (fausse) modestie du coach allait de pair avec des résultats inversemment proportionnels à la taille de sa bonne ville - 40 000 habitants. Pour sa première saison sur les bords de l'Yonne, Jean Fernandez n'a pas eu ce luxe. A force de flirter avec la zone rouge, l'AJA a fini par jouer - vraiment - le maintien. Mais la pression est un peu retombée depuis dimanche : «Ces trois points, explique le technicien bourguignon, nous font beaucoup de bien. On a fait un grand pas vers le maintien. Mais tant qu'on n'aura pas 43 ou 44 poins, il va falloir lutter». Des points, Auxerre en compte 38 avant d'affronter Lens, Bordeaux, Lyon et Lille à domicile, la fin de saison lui promettant aussi trois confrontations avec des clubs en (plus grand) danger : Nice, Troyes et Valenciennes.

 

Jean Fernandez n'en démord pas : sa saison, Auxerre l'a plombé lors des matches aller, lorsque s'enchaînaient Intertoto et poule UEFA : «C'était très difficile de jouer tous les trois jours et on a perdu beaucoup trop de points pour jouer le haut de tableau.» Selon lui, le Paris-SG doit d'ailleurs beaucoup de sa défaite de dimanche à son match contre Benfica trois jours avant (voir encadré). Les plus récents résultats d'Auxerre semblent lui donner raison : les pensionnaires de l'Abbé-Deschamps n'ont concédé que deux défaites (Marseille et Monaco) lors de leurs 13 dernières prestations. Championne du match nul (11), l'équipe a «progressé» selon son entraîneur et propose désormais «une meilleure qualité de jeu». Au point d'espérer faire (au moins) aussi bien que la sixième place de l'an dernier ? De l'autre côté de la salle de presse, Benoît Pedretti fait observer qu'Auxerre n'est qu'à cinq points des troisièmes. Mais l'ancien Lyonnais retouve bien vite les accents maison : «On ne va pas s'enflammer, il y a encore deux matches, on nous parlait de maintien, alors on ne va pas parler d'Europe.» La prudence, consubstantielle à l'AJA, n'est pas la seule raison à ce profil bas. Auxerre est aussi en pleine transition.

 

 

«Trouver une identité»

 

A regarder la feuille de match, dimanche, il est en effet frappant d'observer que le milieu et l'attaque auxerroises ont été profondémment bouleversés avec Jean Fernandez. Kanga Akalé, au club depuis cinq saisons et capitaine d'un jour (voir encadré), faisait figure de grand ancien. Younes Kaboul, 21 ans, buteur à la retombée d'un corner mal dégagé, à peine moins. Outre Benoît Pedretti, arrivé tardivement (fin août), longue est la liste des nouveaux joueurs, Frédéric Thomas et Issa Ba dans l'entrejeu, Ireneusz Jelen, Daniel Niculae et Moussa N'Diaye sur le front de l'attaque. «On est en train de construire quelque chose, analyse Jean Fernandez. Il a fallu trouver un équilibre, une identité, apprendre à connaître les joueurs.» C'est ainsi que se dégage l'idée qu'Auxerre, au delà de cette année de transition, a déjà commencé la saison suivante. En espérant secrètement accrocher un ticket pour l'Europe. Pour la sixième saison consécutive. Aucun club en France n'a fait mieux ces dernières années. Sauf Lyon, bien entendu.

 

 

lequipe.fr

[Rooney]

Juninho pourrait partir

 

Juninho a laissé entendre mardi qu'il pourrait quitter l'Olympique Lyonnais s'il n'obtenait pas une prolongation de contrat de deux années.

 

"J'ai 32 ans. Je connais la réalité du football. J'ai une histoire avec le club. Il y a trois ans j'ai dit que je voulais finir ici et à la fin de saison je dirai ce que je ferai. Je souhaite aller jusqu'en 2010" a expliqué le joueur à l'issue de l'entrainement de l'OL. Juninho, arrivé à Lyon en juin 2001, est en contrat jusqu'au 30 juin 2008 et il est actuellement en négociation pour une prolongation. "Je n'ai pas encore prolongé et je ne veux pas prolonger qu'un an", a expliqué le milieu brésilien. "J'ai arrêté en équipe nationale pour conserver un peu de fraîcheur, mais ce n'est pas seulement moi qui décide de mon avenir à l'OL. Si je ne prolonge pas, peut-être y aura-t-il une possibilité pour que je parte", a-t-il ajouté.

 

"Pour 2010, le club est en train de réfléchir. Je comprends bien qu'il y a le temps qui passe mais je me sens bien. Le président est à mon écoute. Il souhaite préparer une équipe d'ici 2010 pour gagner la Ligue des Champions". "Pour l"instant, il faut bien terminer la saison et je vais voir ensuite ce qui va m'arriver personnellement", a conclu Juninho.

 

Je suis sur qu'ils vont prolongé sont contrat juqu'en 2010 d'ailleur je sais même pas se qui les fait esiter car il aura 34 ans et c'est pas très vieux.

[solskjaer20]

Nantes porte plainte

 

Le club de Nantes a porté plainte mardi pour "diffusion de fausses nouvelles" contre Ouest France et Pierre Zerhat, pressenti par le quotidien comme possible nouveau dirigeant.

 

Le club, qui verra sa plainte instruite le 21 mars devant le tribunal de grande instance de Paris, réclamerait un millions d'euros de dommages et intérêts à chacune des parties adverses, somme qui n'a pas été démentie par le président actuel. "Si c'est le cas, c'est pour les intérêts du club, explique le président. A titre personnel, j'ai demandé un euro symbolique. Il est de mon devoir, et de celui du propriétaire (le groupe Dassault, ndlr), de défendre les intérêts du club." Les Canaris et leur président reprochent au journal d'avoir fait état dimanche d'un possible changement de président dans les semaines à venir et de la nomination à ce poste de Pierre Zerhat, juriste spécialisé dans le redressement des entreprises.

 

eurosport

[2pac west side]

moi qui suis un fidèle supporter du psg je les voit mal gagner face au benfica lisbonne a lisbonne et je doute vraiment qu'il puissent rester en ligue 1 c'est vraiment malheureux de dire ça vu qu'il reste encore des gros match notamment lyon lens rennes ce week end....mais faut y croire allez donné tout en championnat les parigooooooooooo

[Sanji]

15/03/2007 20.02

 

 

OM : Mise au vert

 

Afin de préparer la fin de saison qui s’annonce cruciale en bien des points pour le club, les dirigeants ont décidé d’amener tout leur beau monde avec une mise au vert.

 

 

 

Les Marseillais, qui n’ont plus gagné en championnat depuis maintenant sept rencontres, cumulant quatre défaites pour seulement trois matches nuls, ont décidé de partir se mettre au vert avant le match déjà capital contre l’OGC Nice, au Stade Vélodrome. Une mesure qui vise à ressouder un groupe qui avait bien du mal à retrouver sa verve du début de saison. « C’est bien de partir deux jours avant un match. Cela permet de se parler, de se dire les choses. On vit ensemble, c’est bien. » commente Mathieu Valbuena. D’autant plus que l’Olympique de Marseille ne peut se permettre un tout autre résultat que les trois points de la victoire contre leur voisin niçois.

 

Un match difficile mais capital comme le confirme une nouvelle fois l’ancien joueur de Libourne : « On doit gagner si on veut accrocher la troisième place mais ce sera compliqué car Nice est en confiance avec une bonne série de sept matches sans défaite. Cette équipe est très physique et ce sera un véritable combat. Ils vont rester en bloc et jouer le contre car il y a de bons atouts offensifs avec Bellion, Koné, Vahiura et maintenant Laslandes. On devra jouer sur nos atouts pour l'emporter.» Un match pour lequel l’OM devra une nouvelle fois se passer de Oruma, Rodriguez et Ribéry.

goal.com

[solskjaer20]

OM : Ribéry devant le Tribunal

 

L’international français, Franck Ribéry a été convoqué devant le TAS afin d’examiner son transfert de Galatasaray à Marseille.

 

L’Olympique de Marseille a pris un abonnement devant les tribunaux en ce mois de mars. En effet, à la reprise du club, au jugement sur les transferts douteux de l’équipe dirigeantes à la fin des années 90 vient s’ajouter le problème posé par la venue de Franck Ribéry en direction du club turc de Galatasaray. Pour rappel, le milieu de terrain phocéen avait rejoint l’OM sans indemnité de transfert arguant que le club turc n’avait pas payé son salaire depuis un certain moment.

 

C’est donc en raison d’une plainte formulée par le club de Galatasaray que Franck Ribéry, accompagné de Pape Diouf, s’est rendu à Lausanne afin de comparaître devant le Tribunal Arbitral du Sport (TAS) afin de régler le litige opposant les deux clubs. Le club turc reprochant à Ribéry une rupture abusive de contrat, réclamant pour là-même un dédommagement de dix millions d’euros à l’Olympique de Marseille.

 

source:goal.com

[Math8]

15/03/2007 19.59

Lyon : Coupet espère prolonger

Le gardien de l'Olympique Lyonnais Grégory Coupet, encore lié aux Champions de France pour une année supplémentaire, aimerait rempiler rapidement avec les rhodaniens.

 

Le portier des Bleus devra néanmoins attendre d'abord que son président Jean-Michel Aulas négocie les prolongations de contrat de Juninho, Malouda et Abidal, très convoités. "Je suis encore sous contrat jusqu'à l'an prochain. Je ne suis pas le 1er dans ce cas au club, certains joueurs discuteront de leur avenir à partir du 31 mars. J'en ai déjà parlé avec mon président, j'ai de bonnes relations avec lui. Il sait que je ne lui poserai pas de problème, je ne lui mets pas la pression. J'ai 34 ans et à cet âge-là, on ne vous fait plus trop confiance en France. A l'étranger, c'est différent alors j'ai besoin de savoir si on me fera confiance ou si je devrais aller voir ailleurs. Je n'ai pas de raisons de partir, c'est un plaisir et un honneur de jouer pour Lyon." a-t-il déclaré à But.

 

Après la mauvaise semaine des siens, Coupet a tenu à remobiliser ses coéquipiers ,largement en tête en Ligue 1 et finaliste de la Coupe de la Ligue :"On se doit de rebondir après l'élimination en Ligue des Champions et le nul contre l'OM. C'est important qu'on prenne du plaisir tous ensemble à l'entraînement et qu'on démontre notre envie de ramener des titres. Remporter un championnat est quelque chose de grand." a-t-il lancé.

 

goal.com

[solskjaer20]

Cayzac crie à l'injustice

 

Le président du PSG, Alain Cayzac, ne digère pas l'élimination de son club en Coupe de l'UEFA par le Benfica Lisbonne.

 

Le président du Paris SG Alain Cayzac s'est insurgé contre l'arbitrage, jeudi à l'issue de l'élimination de son équipe en 8e de finale retour de la Coupe de l'UEFA contre le Benfica Lisbonne (3-1), estimant comme une "grande injustice" deux penalties non sifflés, selon lui, par l'arbitre, M. Florian Meyer.

 

"Il y a penalty sur Diané (en première période), c'est une évidence et sur Rozehnal qui se fait tirer le maillot (en seconde période), ce n'est même pas discutable, a déclaré le dirigeant parisien. On va encore dire que l'on ne parle que de cela. C'est une grande injustice."Depuis le début de l'année, que ce soit avec des arbitres français ou étrangers, on vit des situations pas très normales, a ajouté M. Cayzac faisant référence aux penalties dont a été victime son équipe, en particulier le défenseur Mario Yepes pour tirage de maillot.

 

On fait un bon match, un très bon match même. Mais vous ne pouvez rien faire quand vous avez deux penalties pas sifflés dans un match de Coupe d'Europe de ce niveau-là."Je ne discute pas sur celui qui est sifflé contre nous (en fin de match) parce que je n'ai pas vu la faute, mais les autres non, a-t-il expliqué. On peut tout dire, mais il y a des règles qui doivent être appliquées." Selon le président du PSG, ces décisions arbitrales "vont fédérer le groupe"et l'équipe parisienne, avant-dernière de la Ligue 1 et qui doit se déplacer, dimanche à Rennes en championnat."Il y a un sentiment de révolte des joueurs que je n'avais rarement vu", a-t-il conclu.

 

eurosport

[Math8]

A l’image de ses coéquipiers, Mickaël Landreau était très déçu après l’élimination du PSG à Benfica en Coupe UEFA. Au Stade de la Luz, Mickaël Landreau a encaissé trois buts jeudi soir. Un total synonyme d’élimination pour le PSG qui n’en a marqué qu’un. Le portier du club de la capitale est déçu. «C’est une grosse déception, car il y avait la place de passer. Cette fin de première période nous a redonné espoir. Il aurait simplement fallu marquer ce deuxième but. Désormais, des matches différents avec une pression différente attendent le PSG. Il faudra rester unis et solidaires jusqu’au bout. A nous d’aller chercher les points nécessaires au maintien. Maintenant place à la récupération», déclare l’ancien portier de Nantes sur le site du PSG.

 

Sport24.com

[Math8]

De retour de blessure après une absence de trois semaines, le Lillois Yohan Cabaye devrait faire son retour samedi (29e journée de L1, samedi, 20h00). Il a affirmé qu'il était à la disposition de son entraîneur. L'entraîneur lillois qui devrait également retrouver Mathieu Bodmer après une déchirure abdominale sait qu'il ne pourra pas compter sur Nicolas Plestan, qui souffre d'une inflammation à la hanche et qui est d'ores et déjà forfait. Johan Audel, suspendu, manquera également la rencontre.

 

lequipe.fr

[solskjaer20]

Varrault : « Ce serait un gâchis »

 

Nice vit une saison particulièrement difficile. Alors que les Aiglons viennent à peine de sortir la tête de l'eau en championnat, ils sont désormais victimes des querelles internes. L'OGCN risque de se voir interdire de participer à tout championnat national à compter de la saison prochaine si le secteur professionnel et l'association du club ne se mettent pas d'accord sur une nouvelle convention, dont le principal point de discorde repose sur la gestion du centre de formation. L'association a par ailleurs commandé un audit sur la gestion du président Maurice Cohen, qu'elle soupçonne de «détournement», selon les termes de son communiqué. Dans ce contexte, pas évident de préparer au mieux le déplacement de samedi à Marseille. S'il estime que ses coéquipiers ne sont pas perturbés par ces histoires, Cédric Varrault, le défenseur niçois, attend que les deux parties trouvent un terrain d'entente, dans l'intérêt du club.

« Cédric Varrault, alors que la situation sportive de Nice s'est considérablement arrangée, vous risquez désormais de perdre votre statut pro en raison de querelles internes entre le secteur professionnel et l'association de l'OGCN. Cela vous perturbe-t-il à deux jours du déplacement à Marseille ? Non pas du tout. Notre métier, c'est d'abord de jouer au football. Le reste ne nous concerne pas, du moins, pour l'instant. Ce sont aux dirigeants de régler ce genre de problèmes. L'important pour nous, c'est d'abord de se sauver sur le terrain. Après, personnellement, sur cette affaire, je suis plutôt optimiste. Personne à Nice n'a intérêt à voir le club disparaître. Ils vont bien finir par trouver un terrain d'entente.

 

Et s'ils n'y arrivaient pas ?

Ce serait un gâchis ! Mais j'espère vraiment qu'on n'en arrivera pas là, surtout que, depuis quelques années, le club s'est stabilisé, même si, en ce moment, on vit une saison difficile. Le club a plein de projets, notamment la construction d'un nouveau stade. Si on veut bâtir quelque chose avec ce club, il faut que tout le monde y mette du sien.

 

Côté terrain, vous restez sur sept matches sans défaite. A quoi attribuez-vous ce renouveau ? Honnêtement, depuis le début de la saison, on a toujours réalisé des matches sérieux, mais on manquait tout simplement de réussite. On a également commis quelques erreurs qui se sont payées cash. Aujourd'hui, on a retrouvé cette touche de réalisme qui nous faisait défaut jusque-là. On est aussi beaucoup plus solide défensivement. Au final, c'est un ensemble de choses qui fait que les résultats et la confiance sont revenus.

 

Paradoxalement, votre retour en forme coïncide avec le faux départ de votre président, Maurice Cohen, fin janvier. Y a-t-il un rapport de cause à effet ? Je ne sais pas s'il y a vraiment un lien. On a surtout voulu montrer qu'on avait de la fierté et qu'on voulait tous tirer dans le même sens pour éviter la relégation. C'est sûr qu'on culpabilisait un petit peu. Si le club en est là aujourd'hui, nous en sommes les premiers responsables. On avait vraiment à coeur de se racheter. Pour l'instant, c'est bien parti, mais il ne faut surtout pas lâcher. On n'a que deux petits points d'avance sur le premier relégable. On devra lutter jusqu'à la fin, on l'a compris.

 

A l'inverse, Marseille reste sur sept matches sans victoire. Cela peut-il jouer en votre faveur ?

Non, Marseille a vraiment une belle équipe. Leur performance face à Lyon (1-1) m'incite à dire qu'ils sont à nouveau dans le coup. Il faudra vraiment se méfier. On va là-bas pour gagner. Ce que j'espère avant tout, c'est qu'on arrivera à faire abstraction de tous les évènements qui touchent actuellement le club. Ce n'est pas le moment de se disperser.

 

Dans un derby comme celui-là, qu'est ce qui peut faire la différence ?

Notre atout numéro un, c'est notre mental. Est-ce que ça nous permettra de faire la différence ? On verra bien. Personnellement, depuis que je suis arrivé à Nice, je n'ai jamais eu l'occasion de prendre ne serait-ce qu'un point au Vélodrome. J'espère que cette fois, ça sera la bonne.

[solskjaer20]

Le Guen blâme l'arbitrage

 

L'entraîneur du Paris St-Germain Paul Le Guen considère que sa formation aurait pu éliminer Benfica de la coupe UEFA sans les décisions très litigieuses de l'arbitre de la rencontre.

 

L'ancien technicien des Rangers croit sincèrement que le PSG a été désavantagé et aurait dû bénéficier d'un pénalty qui le qualifiait à 2-2 : "On a perdu sur un pénalty dans les dernières minutes. Le plus frustrant est qu'ils avaient commis une faute qui méritait un pénalty juste avant. C'était évident que l'arbitre ne voulait pas nous l'accorder. On a manqué quelques occasions mais on a surtout hérité d'un arbitrage inéquitable. Vous ne pouvez pas vous battre contre ça." a fulminé Le Guen.

 

"On avait commencé de belle manière en attaquant et ensuite on a bien défendu pendant le match. Entre ces 2 moments, on a pris 2 buts. On devra préparer nos 2 prochains matches avec le même état d'esprit. Je souhaite bonne chance à Benfica pour la suite de la compétition." a-t-il déclaré après la rencontre avec une lueur d'optimisme en vue des prochains déplacements capitaux à Rennes et à Lens en championnat .

 

goal.com

[solskjaer20]

Houllier : «Un match important»

 

Sur le site de l'OL, Gérard Houllier a confié son sentiment avant le déplacement à Nancy ce samedi, pour le compte de la 29e journée de Ligue 1.

 

«C’est un match important, un pas supplémentaire vers notre objectif numéro un qui est l’obtention du titre. En plus, nous jouons 24 heures avant Lens. Il faut en profiter pour soigner la performance et le résultat. Nancy ? C’est une équipe qui est en train de se stabiliser. La deuxième saison est toujours plus difficile. Cette équipe a fait une bonne première période de championnat. Elle va se maintenir. Elle a un groupe de qualité.»

[Math8]

Ta source stp

[Math8]

Interview de Richert, le gardien sochalien, concernant le sprint final que va disputer Sochaux pour arracher une bonne place.

 

http://www.lequipe.fr/Football/20070317_085634_01.html

 

Vous imaginez ? Sochaux en LDC

[Math8]

Le PSG en L2 pour 1 français sur 2

 

Encore sous le choc de leur élimination de la Coupe de l'UEFA, jeudi face au Benfica Lisbonne, les joueurs du Paris-SG, qui ont séjourné vendredi dans un cinq étoiles d'une station balnéaire portugaise, vont apprendre samedi à leur arrivée à Rennes (29e journée de L1), que près d'un Français sur deux les imagine en Ligue 2.

 

Selon un sondage réalisé par l'institut CSA paru samedi dans le quotidien Le Parisien-Aujourd'hui en France, 43% des Français sont effet persuadés que le club de la capitale va descendre à l'étage inférieur. Ils ne sont, en revanche, que 21% à penser que le club de la capitale va assurer son maintien (13% «probablement», 8% «certainement») et 15% à être persuadés d'une relégation assurée. Ce sondage a été réalisé par téléphone, le 14 mars dernier, auprès d'un échantillon national représentatif de 1003 personnes âgées de 18 ans et plus. Il comporte cependant une forte proportion de sans-opinion (36%), sans doute logique, car établi au niveau national selon la méthode des quotas après stratification par région et par catégorie d'agglomération.

 

David Ginola : «Une descente peut être profitable»

C'est tout de même en région parisienne que l'avenir du Paris-SG inquiète le plus. 47 % d'entre eux sont plus soucieux que la moyenne nationale et pensent que Pauleta et consorts ne s'en sortiront pas et seront relégués. Même chez l'ennemi juré, du côté de Marseille et ses environs, le chiffre n'atteint pas cette angoissante proportion (41 %). Originaire de Sainte-Maxime, dans le Var, et figure emblématique du club parisien de 1992 à 1995, David Ginola sait que la "mission sauvetage" s'annonce difficile : «Les joueurs ne s'identifient plus au club. Dès qu'ils ne jouent plus, ils demandent à partir. Lorsque j'étais à Paris, ceux qui ne jouaient pas se battaient comme des chiffonniers aux entraînements pour retrouver leur place. Quand on embrassait le maillot, çà voulait dire quelque chose. Descendre en L2 peut permettre de repartir sur des bases saines, solides».

 

lequipe.fr

[ericantona]

et sur un sondage sur l'Equipe.fr de mercredi ou jeudi, à la question "le PSG manquerait-il à la L1", environ 60-70% des gens répondaient non