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Patrice Evra


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Bleus : Evra a parié avec Ferguson

 

L'arrière gauche de l'équipe de France, Patrice Evra, a parié avec Sir Alex Ferguson,son entraîneur écossais de Manchester United, sur le match France-Ecosse mercredi 12 septembre

 

Alors que l'équipe de France prépare un match crucial face à l'Italie samedi, une autre rencontre suivra dès mercredi face à l'Ecosse. « Il y a deux matchs. Beaucoup de gens ne parlent que du match Italie-France mais il y a aussi France-Ecosse, rappelait Patrice Evra. On doit faire notre boulot. »

 

Le deuxième match face aux Ecossais a d'ailleurs été l'objet d'un pari entre le défenseur de Manchester United et son entraîneur écossais, Sir Alex Ferguson. « On a déjà fait un pari pour ce match. Il dit que l'Ecosse va gagner donc on a parié sur ce match. Son rêve serait qu'on gagne face à l'Italie samedi et que l'Ecosse nous batte mercredi. »

 

footanglais.com

 

Et c'est quoi qu'ils parient ?

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Evra : «J'ai mûri»

 

Trois ans. C'est ce qui sépare Patrice Evra de sa première sélection en équipe de France face à la Bosnie (1-1) le 18 août 2004. Depuis, l'arrière gauche a parcouru du chemin. De son propre aveu, le joueur de Manchester United a «progressé, mais surtout mûri». «Avec le recul, je me rends compte que je suis plus calme, moins impulsif», explique-t-il. «A l'époque, lors de mon premier match en Bleu, tout avait été trop facile. Je sortais d'une superbe épopée en Ligue des champions avec Monaco. Tout était rose. C'est ce qui me permet aujourd'hui d'apprécier encore plus mes convocations dans le groupe France. Tout simplement parce que je sais qu'elles viennent récompenser mon travail».

 

Ce changement d attitude, l'ancien Niçois le doit à six premiers mois difficiles chez les Red Devils en janvier 2006. Arrivé durent le mercato hivernal en provenance de Monaco, le défenseur avait peiné à s'imposer, ne disputant que onze rencontres durant la deuxième partie de la Premiership. «Si on regarde bien ma carrière, je n'ai jamais vraiment connu de problèmes, à part cette fois là. Si, au début, ça n'a pas été évident à vivre, ça m'a surtout aidé à rebondir. Ça m'a poussé à travailler encore plus pour gagner ma place. Personnellement, ces six mois ratés, je ne les vis pas comme un échec».

 

«Un privilège»

 

Cette mauvaise passe lui a pourtant coûté sa place pour la Coupe du monde 2006. «C'est sûr que de voir les autres jouer, quand toi tu n'y es pas, ça fout les boules», admet-il, «sans se prendre la tête». Il faut dire que pour le joueur de 26 ans, qui est depuis devenu un titulaire indiscutable à MU, l'essentiel est ailleurs. Il aspire désormais à profiter de chaque instant dans un groupe où il se sent «de mieux en mieux», avec l'objectif de «répondre présent lorsque le coach fait appel à (lui)», comme ce fut le cas fin août en Slovaquie (1-0), «(son) meilleur match en équipe de France».

 

Assagi et conscient de «revenir de loin», Evra savoure, «sans se poser de questions», sa présence dans le groupe qui s'apprête à affronter l'Italie samedi à Milan. «Une sélection qui vient récompenser mon état de forme en club», confie-t-il. «C'est un privilège d'être en équipe de France. Quand j'étais plus jeune, je disais: "Il faut que je joue". Maintenant, je ne me prends plus la tête, je fais mon boulot du mieux possible. Que je joue ou que je ne joue pas, je me prépare pour être au service de l'équipe»

 

L'équipe.fr

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Bon en Slovaquie, Patrice Evra savoure son retour en Bleu après six mois difficile à Manchester United. Ce passage difficile l'a forcé à mûrir à à progresser. Mais, alors qu'il pourrait être titularisé à San Siro, l'ancien Monégasque refuse de se mettre la pression.

 

PATRICE EVRA, le groupe ressent-il la pression avant ce match en Italie ?

 

P.E. : Je vous prie de croire qu'on ne ressent pas du tout cette pression. Nous, on doit faire notre boulot. On prépare deux matches. Tout le monde nous parle de l'Italie mais France-Ecosse sera plus important de ce match car, si on fait un bon résultat à Milan mais qu'on ne fait pas notre boulot face à l'Ecosse, ça ne servirait à rien. De notre côté, il y a une belle ambiance au sein du groupe. On ne fait pas attention à ce qui se passe autour. Chacun a ses problèmes personnels mais on ne pense qu'à gagner ces matches.

 

Comment jugez-vous les Italiens ?

 

P.E. : Ce sont quand même les champions du monde ! Donc il faudra les respecter. Mais, nous, on va vraiment là-bas pour faire notre boulot. On ne se pose pas de questions. Il n'y a pas d'esprit de revanche. En tout cas, moi je n'ai pas entendu parler de ça. Le seul discours que j'ai entendu, c'est qu'il faut absolument gagner ce match et ensuite penser tout de suite à ce match contre l'Ecosse.

 

A titre personnel, que représente ce retour en équipe de France ?

 

P.E. : Je reviens de loin. Je fais mon boulot avec mon club. J'essaye d'avoir la même confiance en équipe de France. Ça s'est bien passé la dernière fois en Slovaquie. J'espère refaire la même chose. C'est vrai que pour moi j'apprécie mieux ces sélections qu'auparavant parce que, avant, tout était un peu facile pour moi. Je n'avais jamais eu de contrecoup. Je sortais de la finale de la Ligue des Champions, j'ai été sélectionné... tout était facile. Là, j'ai dû me remettre à bosser pour revenir à ce niveau. Le football, c'est comme une pyramide, le plus important c'est de rester au sommet. Donc je fais tout pour y rester. Mais moi je redécouvre l'équipe de France. Quand je suis sélectionné, c'est davantage une récompense de mon travail qu'une forme de logique comme je pouvais le penser auparavant.

 

Que voulez-vous dire par "trop facile" ?

 

P.E. : Si on regarde bien dans ma carrière, tout a été tout rose. Je n'ai jamais vraiment connu de problème à chaque fois que je franchissais des paliers. A part cette fois. Les six premiers mois avec Manchester ont été difficiles mais m'ont finalement fait réagir. Ça m'a poussé à travailler encore plus pour rebondir et gagner ma place. Mais c'est vrai que de ne pas faire la Coupe du Monde et de voir les autres jouer à la télé, ça fout les boules.

 

Lors des moments difficiles avec Manchester, avez-vous douté ?

 

P.E. : Non. Mais si je n'ai jamais douté de moi, cette concurrence à Manchester avec Heinze et Silvestre m'a fait beaucoup de bien. J'ai vraiment mûri et j'ai surtout durci mon jeu. Auparavant, je préférais faire dix montées plutôt qu'un tacle. Aujourd'hui, je prends plus de plaisir à tacler, j'aime les combats. J'ai mûri défensivement. En France, on me reprochait de ne pas mettre la même explosivité dans mes gestes défensifs qu'offensifs. J'ai travaillé sur ça et j'ai réussi à trouver un bon équilibre.

 

Après votre bonne prestation face à la Slovaquie (1-0), prétendez-vous aujourd'hui à place de titulaire ?

 

P.E. : Absolument pas. Mon discours n'a pas changé depuis la Slovaquie. Quand j'ai dit que ça serait déjà bien que je sois dans le groupe, c'est une chose que je pense. Il ne faut pas brûler les étapes car je reviens de loin. Contre la Slovaquie, le coach m'a donné une chance et il fallait que je réponde présent. Je pense que c'était l'un de mes meilleurs matches avec les Tricolores mais pas l'un de mes meilleurs matches depuis que je joue en professionnel. Ce n'est pas pour ça que je n'ai pas de grandes ambitions mais je ne me prends pas la tête avec ça. Que je joue ou que je ne joue pas, je me prépare pour être au service de l'équipe. Après, si je joue, il va falloir que je prenne mes responsabilités.

 

Que représente ce match en Italie pour vous qui avez effectué vos débuts à Marsala en 1998 ?

 

P.E. : Marsala, c'est l'un de mes plus beaux souvenirs en tant que footballeur parce que j'avais 17 ans, j'ai signé mon premier contrat pro là-bas. J'étais aimé de tout le monde. J'ai vraiment un bon souvenir de l'Italie !

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en tout cas bravo a cet abruti de domenech qui trouve le moyen de ne pas titulariser evra contre l'italie encore une fois un coaching extraordinaire de sa part.Franchement un abidal dans l'axe et un evra a gauche pour moi offensivement ca aurait été vraiment meilleur mé bon quand on a un coach aussi incompetent on peut rien y faire.

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moi aussi je ne serais pas contre l'arrivée du rhinoceros... il est connaisseur quand meme...

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14h30 – Steve Mandanda se réveille et jaillit sur ses pantoufles, placées à la limite du hors-jeu, dans le dos de Gaël Givet encore endormi. Plus loin, Victorino Hilton se plaint auprès d'Eric Gerets du manque de couvertures.

16h00 – Mandanda surprend Pape Diouf en conférence de presse au milieu d’une phrase de cent soixante-quatorze mots. Il attend qu’elle se termine, et la capte.

23h00 – Steve Mandanda envoie un sms à Djibril : "Si tu reviens, j'arrête d'arrêter tout".
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  • 4 semaines après...

il est vraiment sympa Evra, et il parle pas pour rien dire, il s'exprime bien. j'aime bien voir des interviews de lui

(pas mal Saha, Anderson et Nani qui font des allers retours derrière genre on s'en fout de la caméra mais en fait c'est pour passer devant :D)

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Evra, un vrai mancunien

 

Patrice Evra devenu titulaire au sein de Manchester United, s'est aussi très imprégné de la culture du club mancunien.

 

Le défenseur français de Manchester United Patrice Evra explique dans un entretien accordé au magazine France-Football, qu'il s'est imprégné de la culture de son club afin de mieux s'intégrer : « Je me suis goinfré de cassettes, des DVD d'Eric Cantona, je me suis fait traduire plein de bouquins. Et maintenant quand un ancien me serre la main, je sais de qu'il s'agit. Je suis tombé dans un club avec une identité tellement forte que j'ai dû m'en imprégner. Le crash de l'avion de MU en 1958, m'a marqué. Quand je prends l'avion avec Bobby Charlton, je me demande comment il fait après ce qu'il a vécu. J'ai de plus en plus de respect pour ce maillot. Je conseille à tout le monde de s'intéresser à son club, à s'identifier à lui, ça m'a aidé » explique Patrice Evra.

 

Footanglais

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J'ai l'impression qui joue pour nous depuis des lustres. Qui s'était avant lui Gaby hei... ? :D Super l'interview vidéo, j'ai aussi écouté celui qui donne pour Luis sur rmc (section media français) et comme a dit Ericantona il parle juste, rien a redire :) Et respect a lui de s'investir tellement dans l'histoire de notre club, il est aussi fan que nous tous :D

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Patrice était un jouer clé de l'AS Monaco (avec Guily, Rothen , …). Le côté gauche était maîtrisé et le duo avec Rothen était pratiquement irréprochable.

La saison 03/04, là révélé à l’Europe avec une Champion League incroyable qui se termina par une défaite 3-0 (sans la blessure de Guily qui sait) face au FC Porto sous la houlette d’un certain José Mourinho.

 

Son arrivé à Man Utd en 2006, ne fut pas simple. Un peu dérouté par le « style du jeu anglais » :blink: (soutient aux avants, redescendre défense et ça de façon rigoureuse et soutenue à chaque match).

Il lui faut une saison pour s’adapter et la concurrence directe pour le poste avec Silvestre et Heinze, lui permet de développer son jeu et son mental.

Là il démontre aux yeux de tous son talent et s’impose dans l’effectif, en reléguant Silvestre sur le banc.

 

Que lui manque-t-il aujourd’hui ? De mon point vu, la reconnaissance de son talent en équipe nationale. On verra cela samedi, avec un Malouda pas très en forme et le retourne de Rothen (certainement titulaire), Domenech aura peut-être le bon sens de faire jouer Patrice une mi-temps. :rules:

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Moi qui voulais qu'il se repose un peu :(

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On sait ce qu'on est.. De quoi on est fait.. On a la guerre dans le sang.. Alors à quoi bon résister..

On ne tue pas pour son pays.. On tue pour soi-même.. Dieu n'arrivera jamais à éteindre la flamme..

Quand on nous pousse, on peut tuer comme on respire...

 

John Rambo.

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