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Vos personnages de séries TV préférés


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Meilleurs contributeurs dans ce sujet

Jackson "Jax" Teller de Sons Of Anarchy

Une série que j'aime de plus en plus et qui nous offrent des personnages attachant ainsi qu'un scénario trés divertissant. ^_^

Nani-new.jpg

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PATRICK JANE ( The Mentalist )

Kimball Cho ( The Mentalist )

Spencer Reid ( Esprits Criminel )

David Rossi ( Esprits Criminel )

Derek Morgan ( Esprits Criminel )

Cal Lightman ( Lie To Me )

Eli Loker ( Lie To Me )

Leroy Jethro Gibbs ( NCIS )

Anthony D. DiNozzo Jr ( NCIS )

Dr House

Reese ( Malcolm )

Modifié par Anderson-15

Chicharito.png

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Je viens de penser au Roi Henry dans "The Tudors". Ses coups de sang, sa partialité totale, sa brusquerie et le fait qu'il soit totale dans ses actes.

A souligner que l'acteur joue bien son rôle.

Caribéen donc Post Pirate

 

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Citation There is only one Ronaldo and he is o FENÔMENO , The Rest Are Just Cristianos

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  • 3 ans après...

Alice Morgan (Luther), j'adore l'ambivalence de son personnage, une délicieuse méchante.

"Oh, Monsieur et maître, la misère est grande. Les fantômes que j'ai conjurés, je ne vais plus pouvoir m'en dépêtrer"

 

Goethe.

 

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Aimé césaire ( H )

Pas mal j'aime bien aussi.

 

Sinon moi j'dirais évidemment :

 

- Nathan (Misfits)

 

- Hank Moody (Californication)

 

- Kira (Death Note)

 

- Hank Schrader (Breaking Bad)

On peut dire que vous avez une vision socialiste du football ?

 

Arrigo Sacchi : J'ai une vision correcte d'un sport d'équipe dont l'âme est le jeu. Voilà d'ou je pars.

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Laure Berthaud (Engrenages) : Vic Mackey (light smile.gif ) au féminin

 

Numéro 6 (Le prisonnier) : N°6 quoi !!! le plus célèbres prisonnier de l'histoire de la télé. "Je ne suis pas un numéro, je suis un homme libre!!!"

 

Dans mes souvenirs de jeunesse :

 

Lord Brett Sinclair et Danny Wilde (Amicalement votre): Quel magnifique duo wub.gif

 

Docteur Miguelito Loveless (Les mistères de l'ouest): Mon méchant préféré

 

Sergent Garcia (Zorro) : le plus gentil des gentils

 

 

Je t'ai mis un j'aime pour ce duo légendaire, j'ai toujours adoré cette série, je l'ai regardé maintes et maintes fois.

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Ma liste à moi serai :

 

Jarod ( Le Caméléon )

Ted Mosby ( How I Met Your Mother )

Marshal & Lily ( How I Met Your Mother )

Barney ( How I Met Your Mother )

Luther ( Luther )

Hei ( Darker Than Black )

Les 4 personnages principaux de The Office US.

Sheldon & Leonard ( The Big Bang Theory )

 

Je mettrai à jour prochainement, lorsque j'aurai plus de noms.

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Je trouve plus facilement les persos que je deteste le plus plutot que ceux que je prefere.


Mes préférés sans trop réfléchir :

Shane (the shield)

Rust, Martin (true detective)

Lester, Bunk (the wire)

juge roban (engrenages)

Coach taylor, TIM RIGGINS (FNL)

arya stark

Sylar (heroes)

tous les persos de TWW mais surtout Sam et le président

Sawyer

Karadoc et Perceval

adebisi

... y'en a trop :D. Y'a aussi Omar, Patrick Jane que je trouve très charismatique,...

 

Niveau animé Kira est, je trouve, le perso le plus caricatural et le plus simple à créer de l'histoire.


Niveau animé mon perso préféré est Cartman, loin devant les autres. je trouve que c'est le perso le plus ingénieux de toute l'histoire de l'animé, et c'est ce qui fait la force de South park.

Modifié par Skynet
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Je sais que c'est l'inverse du but de ce topic, mais par contre la pire on est tous d'accord pour dire que c'est Carrie dans Homeland ? :D

 

D'ailleurs Anne Hathaway l'avait superbement parodié :D

 

"La France ne mérite pas Auxerre, l'Angleterre sans doute, mais pas la France." - Eric Cantona

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Je trouve plus facilement les persos que je deteste le plus plutot que ceux que je prefere.

 

 

Mes préférés sans trop réfléchir :

Shane (the shield)

Rust, Martin (true detective)

Lester, Bunk (the wire)

juge roban (engrenages)

Coach taylor, TIM RIGGINS (FNL)

arya stark

Sylar (heroes)

tous les persos de TWW mais surtout Sam et le président

Sawyer

Karadoc et Perceval

adebisi

... y'en a trop :D. Y'a aussi Omar, Patrick Jane que je trouve très charismatique,...

 

Niveau animé Kira est, je trouve, le perso le plus caricatural et le plus simple à créer de l'histoire.

 

Niveau animé mon perso préféré est Cartman, loin devant les autres. je trouve que c'est le perso le plus ingénieux de toute l'histoire de l'animé, et c'est ce qui fait la force de South park.

Juge Roban excellent, je croyais que t'avais une préférence pour Joséphine Karlsson :P

"Oh, Monsieur et maître, la misère est grande. Les fantômes que j'ai conjurés, je ne vais plus pouvoir m'en dépêtrer"

 

Goethe.

 

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Preference physique dirons nous :D.
Mais faut dire qu'elle joue sacrément bien elle aussi, mais le juge Roban est vraiment réussi, que ce soit l'acteur ou la création du perso en lui même, wa...

 

 

A lire que pour ceux qui ont vu engrenages, un article de le monde sur le juge roban :

 

Engrenages – Roban, juge magistral et ambigu

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Cela pourrait être un personnage de roman, et il y a un peu de Javert dans le juge François Roban, personnage central de la troisième saison d'Engrenages. Tout deux partagent cette idée que la justice mérite qu'on lui consacre son courage, son abnégation et finalement sa vie, car sans elle règnerait le chaos et il n'y aurait plus d'ordre des choses. Tous deux sont animés par une sorte de pessimisme. Javert ne croyait ni à la clémence, ni à la réhabilitation, et c'est la grâce que lui accorde Jean Valjean qui va provoquer sa folie et son suicide. Roban sait que les circonstances de son métier ne lui laissent que cette alternative: abandonner le combat en s'inclinant devant l'autorité ou le poursuivre, quitte à soi-même enfreindre la loi qu'il met tant de détermination à défendre.

Roban est un individu solitaire, abandonné à sa finitude et à ses limites. Sa grandeur tient au fait qu'il ne les accepte pas comme tels, qu'il porte en lui la conviction que l'intelligence et une forme de roublardise peuvent lui permettre de dépasser ce qu'il est, et de s'accomplir en réussissant là où d'autres auraient renoncé. Les succès qu'il remporte dans ses enquêtes lui inspirent une intense jubilation, une forme de joie que rien d'autre dans son existence pratiquement vide ne pourrait lui procurer. Comme Javert, il est un chasseur consciencieux, implacable, prêt à défier sa hiérarchie pour parvenir à capturer sa proie. Mais à la différence du personnage de Victor Hugo qui devient dément et suicidaire, Roban n'agit pas seulement mû par la conviction que la loi est une expression divine et intangible. Non, il y a en lui la volonté de préserver un ordre minimal, mais surtout l'envie de pratiquer un jeu où se mêlent la morale, le courage, le frisson de l'interdit et une forme de sadisme.

Il y a en lui une sincérité désarmante et une forme de revanche lorsqu'il explique au procureur Marchard, bras armé du pouvoir politique au sein de palais de justice, que s'il avait rêvé de pouvoir et de carrière, il ne se serait pas consacré à l'instruction. "Il possède une intégrité car il a une certaine idée de la justice", raconte Philippe Duclos, qui prête magnifiquement ses traits au magistrat depuis le début de la série diffusée sur Canal+. "La juge d'instruction, que j'avais rencontrée pour préparer la première saison, m'avait dit qu'en fait il y avait autant de juges d'instruction qu'il y avait de gens. Pour incarner Roban, je suis parti de moi. Ce qui m'a beaucoup aidé est de comprendre que l'individu est une coexistence de choses qui ne sont pas nécessairement contradictoires, mais diffférentes. Et si l'on se met à s'interroger là dessus, cela peut rendre fou car on se demande sans cesse qui on est".

Roban est un personnage à la fois hors du temps et parfaitement en accord avec le monde dans lequel il vit. Il porte en lui un caractère compassé, un peu amidonné et rigide, comme le col de ses chemises. Il est une représentation de la justice qui correspond assez bien à l'idée que l'on s'en fait de l'extérieur, quand on n'a pas fréquenté les salles d'audience ou que l'on n'a pas été convoqué dans le cabinet d'un juge. Il présente ce côté à la fois strict et distant qui semble être nécessaire à une forme d'intégrité dans l'application de la loi. Mais, dans le même temps, il est un personnage capable de mener des combats dont il admet qu'ils ont toujours existé et qu'ils ne disparaîtront jamais. On devine qu'il a embrassé cette carrière en parfaite connaissance de cause, en accomplissant un choix et en anticipant son existence. Il devinait qu'il y aurait sur son chemin des Machard ou des Decourcelles, maire d'une petite commune, incarnation d'une classe politique décomplexée et qui se considère comme intouchable.

Mais il est aussi quelqu'un qui triche, qui ment, qui un instant envisage d'étouffer sa mère pour que cesse enfin des années de supplice. Dans un moment d'égarement, cet homme si réfléchi, si pondéré, voire même parfaitement calculateur, pourrait devenir un meurtrier de sang-froid. Seulement arrêté dans son geste par l'arrivée de son frère. Se rendant compte de la folie qu'il s'apprêtait à commettre, il se ressaisit, la raison reprend le dessus et avec elle, une forme de compassion pour son cadet qu'il n'a jamais vraiment aimé et qu'il n'a jamais non plus renié, car la famille fait partie des valeurs qui lui ont été inculquées. Pour survivre à cette situation de profonde solitude, Roban possède une arme, celle d'une forme d'humour et de dérision qui n'était pas perceptible à l'origine et qui s'est lentement imposée.

"Cela est venu de mon jeu, car cela n'y était pas dans la première saison qui était plus tendue," précise Philippe Duclos. "Dans la deuxième saison, mon personnage était moins important et il n'avait pas d'enjeux personnels dans l'intrigue. J'ai eu un réflexe d'acteur. Je ne voulais pas m'ennuyer et cela s'est fait petit à petit. L'humour de Roban était là en germe et il est vraiment apparu sur la deuxième saison. Et du coup, les choses se sont alimentées les unes les autres. Pendant l'écriture, je n'ai aucun rapport avec les scénaristes et je ne veux pas en avoir parce je ne crois pas à ça et que je préfère me laisser surprendre par un scénario".

La mère, cette femme que l'on voudrait tuer

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L'idée des producteurs et des scénaristes était d'approfondir les personnages, en portant un coup de projecteur sur l'un d'entre eux à chaque saison. Ainsi la saison 1 était en grande partie centrée sur le procureur Pierre Clément (Grégory Fitoussi). La deuxième saison devait s'articuler autour de l'avocate Joséphine Karlsson (Audrey Fleurot) et cela s'est transformé en un duo avec Laure Berthaud (Caroline Proust). "Pour la troisième, ils voulaient vraiment donner à Roban une existence. Ce sont les 12 épisodes qui ont permis de faire ça, car sinon cela était impossible car l'intrigue et la difficulté de bâtir l'intrigue prenaient toute la place", explique Philippe Duclos. "Avec huit épisodes dans la saison 2, on pouvait trouver dommage que certains personnages n'étaient pas très développés. Le mien par exemple ou celui de Gilou (Thierry Godard) qui est formidable".

L'un des thèmes qui traverse cette troisième saison est la relation de Roban avec les femmes. Cette relation prend soit un caractère tourmenté et finalement funeste, soit une ambiguité dans laquelle transparaît une forme de sadisme, comme notamment avec l'épouse du maire de Villedieu. Ce sadisme (drapé dans la vertu du droit) provient sans doute du lien à la mère qui est tout simplement destructeur. Roban s'occupe d'elle, il déjeune avec elle tous les dimanches pour ne pas la laisser seul. Il se conduit en fils modèle, qui agit par devoir. Et comme cela est parfois le cas, elle lui paie cet amour en mépris, en ingratitude, en lui renvoyant au visage la préférence qu'elle éprouve pour son frère, type peu recommandable, égoïste et qui s'est attaché l'attention de sa mère en se laissant aller à son penchant naturel: l'indifférence. Ce triptyque est dévastateur pour le juge qui va pourtant jusqu'au bout résister avant de finalement accepter de couper le cordon familial. Si sa mère lui demande de l'aider à mourir c'est parce qu'elle nourrit le même égoïsme que son cadet. Elle fait passer son confort avant tout et n'hésite pas à exiger de son fils qu'il devienne un assassin. Se moquant bien de l'abandonner ensuite au monde des vivants avec un tel acte sur la conscience.

Par un jeu de miroir très subtil, cette relation maternelle tronquée va d'abord trouver un écho dans celle que Roban va renouer avec Isabelle, son ancien amour de jeunesse. "J'ai quitté cette femme. C'est l'amour de ma vie. Je l'ai perdue une fois. C'est moi qui ai lâché. C'est moi qui suis parti au moment où cette situation d'adultère, je ne la supportais plus", explique Philippe Duclos. "Ce jeune homme (Arnaud) est là comme l'enfant que l'on aurait pu avoir. Il est un lien possible car il a l'âge de mon amour et qu'il est le fils de l'homme qui m'a séparé d'elle. Ce qui est très important, c'est qu'un personnage est complètement déterminé par les situations. Ce n'est pas un personnage qui produit la situation. C'est la situation qui va déterminer une ambiguité." Là, encore, et malgré les retrouvailles, le constat est celui de l'échec. Comme si une malédiction planait sur lui et sur son intimité. Pour éviter que Roban sombre dans la dépression, des contreparties étaient nécessaires. Un peu de clarté dans ce sombre tableau.

Avec Marianne, sa greffière, Roban parle d'égale à égale. Pour la simple raison, qu'elle n'est pas son employée. Comme lui, elle dépend de l'administration judiciaire. Mais, au fil du temps, une complicité s'est créée et cette complicité se substitue à celle qui aurait dû exister entre Roban et sa mère. Marianne a pour le magistrat des yeux protecteurs, elle est cette femme qui le comprend, qui lui pardonne ses erreurs et ses égarements et qui le soutient dans son combat et même dans son opposition à l'autorité. Elle l'assiste dans son travail et elle participe à la joie qui le remplit lorsque le chasseur parvient à coincer sa proie. Elle partage ses sentiments, et surtout elle garde par devers elle la réprobation qu'elle pourrait éprouver à ses infractions. Il y a là un comportement maternel évident et Roban laisse faire, admettant implicitement le déficit d'amour dont il souffre.

Materné symboliquement et n'ayant pas d'enfant, Roban n'en est pas moins paternel. Avec la capitaine Berthaud, il incarne l'autorité et la complicité. L'autorité car c'est lui qui détermine et autorise les actes de procédure. La complicité, parce que dans les faits, les flics et les magistrats instructeurs sont des personnages proches, sinon similaires. Ils obéissent aux mêmes instincts et sont souvent poussés par les mêmes motivations. Roban, comme Laure Berthaud, est un caractère solitaire (sinistré ?), qui n'a pas vraiment de vie en dehors de son travail, qui est en proie aux obsessions. Il comprend ce qui pousse la capitaine à poursuivre sans relâche le Boucher de la Villette, et d'une certaine manière il l'encourage dans cette voie. Mais l'expérience aidant, il la met en garde contre des erreurs qu'elle pourrait commettre. Exactement à la manière d'un père.

Quand on demande à Philippe Duclos s'il se sent proche de ce personnage, il acquiesce et admet que c'est l'un des plus beaux rôles qu'il ait eu à jouer. "Forcément, je m'en sens proche. Les acteurs ne croient pas à l'idée de s'identifier à un personnage. Il n'y a pas un Roban, extérieur à moi. C'est plutôt le contraire. On va chercher dans sa propre intimité quelque chose qui ressemblerait à Roban et c'est à partir de là que je vais construire le personnage de Roban. Là dessus, ce sont des choses de moi qui servent à construire le personnage. Si j'avais été juge d'instruction dans une autre vie, j'aurais été ça".

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Je trouve plus facilement les persos que je deteste le plus plutot que ceux que je prefere.

 

 

Mes préférés sans trop réfléchir :

 

tous les persos de TWW mais surtout Sam et le président

 

Pareil ou presque. Tous les persos principaux sont attachants, même ceux qu'on voit un peu moins comme Abbey Bartlet. Mon préféré reste quand même Leo, juste devant le Président.

Modifié par Glory-Sir-Alex

Manchester, à jamais United

INVERNESS CT VAINQUEUR DE LA COUPE D'ECOSSE 2015

Inverness en Europa League / John Hughes manager de l'année

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A T2S : Spencer Reid fait partie de Esprits Criminels pas de NCIS.

 

Ma liste :

 

-Leroy Jethro Gibbs, Ducky Mallard (NCIS)

-Jane, Cho (Mentalist)

-Adam (CSY Manhattan)

-Charlie, Bertha (Mon oncle Charlie)

-Dan (Gossip Girl)

-Merlin (Merlin)

Ohh la liste de fille de base mdrr

 

 

 

...

 

Dans TWW mon préféré c'est largement Toby Ziegler.

 

D'ailleurs je le mets dans ma liste de perso préférés en n'ayant vu que la saison 1 et la moitié de la saison 2.

 

Sinon je mets aussi Hank Moody, les 3 de Workaholics, Thad de BMS trop epic aussi lol

Et bien entendu Tony Soprano, gigantesque.

Karadoc et Perceval c'est clair skynet, j'ajouterai les cousins Govin aussi lol

Nathan de Misfits

The office c'est obligé il y a au moins Dwight, Creed et Mickael

Vick de The Shield

Stan Smith et Roger d'american dad aussi

Cartman obligé


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C'est loin ça ! :ph34r::D:D Cela a énormément changé depuis sauf Bertha et Alan qui me font bien rire dans Mon oncle Charlie ! Je ne connaissais pas The West Wing à l'époque et donc, pas John Spencer et Martin Sheen ( :wub: ). Ma culture télévisuelle et cinématographique a beaucoup évolué, dans le bon sens. N'empêche, je me dis qu'il y a de l'espoir pour tout le monde...

Modifié par Glory-Sir-Alex

Manchester, à jamais United

INVERNESS CT VAINQUEUR DE LA COUPE D'ECOSSE 2015

Inverness en Europa League / John Hughes manager de l'année

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J'avoue en vous lisant y'en a pleins que j'ai oublié comme Nathan, Hank Moody, Abed, Chang etc.
Nathan le mec qui a porté à lui tout seul Misfits quand même.

 

Sam je lui trouve un charisme sans égal, et c'est un perso non fini je trouve. On peut pas le classer, et je trouve que c'est ce qui fait la force de ce perso, c'est littéralement le génie qu'on ne classe pas, qui fait qqch par conviction et qui ne fait pas longtemps la même chose.Alors que Toby, Josh tu les classes assez facilement.

Mais tous les persos sont énormes, même si je trouve que le president joue extrêmement bien.

Et même les persos secondaires sont attachants, l'avocat du service juridique par ex, la blonde républicaine... mais en fait les dialogues sont trop bien écrits c'est pour ça :D.
Mais j'aime bcp toby aussi, cet air blasé et ce faux "je m'en foutisme", je m'y retrouve un peu en lui. mais pas ses convictions.

 

 

C'est en vous lisant et en regardant mes persos préférés que je vois que Walter White est loin d'être le meilleur perso toute série confondue.

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Sky pas de personnages de Twin Peaks ni de Numéro 6, tu me déçois :P

"Oh, Monsieur et maître, la misère est grande. Les fantômes que j'ai conjurés, je ne vais plus pouvoir m'en dépêtrer"

 

Goethe.

 

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