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Best_07

Fergie Babes
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Tout ce qui a été posté par Best_07

  1. Best_07

    Présentez-vous

    Les changements de pseudo, c'est rémunéré. Voir modalités avec Ryan.
  2. Je pense qu'il veut dire que dans l'entre-jeu on avait un défenseur (Jones) et quatre ailiers (Young, Nani, Giggs, Park). Mais bon, Giggs ça fait un petit moment qu'on ne le considère plus vraiment comme un ailier.
  3. Best_07

    Présentez-vous

    Je crois qu'il essaie de communiquer.
  4. Oui, enfin, tu conviens qu'il est difficile de parler de saison de transition quand tu te retrouves avec des Owen ou Diouf en Carling Cup, tandis que des Pogba et Morrison sirotent un café sur le banc de touche. La transition, c'est pas un mot, ce sont des actes... Et je n'en ai pas vraiment vu l'ébauche. La preuve, on continue de reposer tout sur Ryan Giggs.
  5. La remarque désobligeante envers Ferguson est tout autant hors-propos qu'évoquer l'histoire de United. Si on parle foot, actualité, qui doit-on remettre en cause pour cette élimination ? Les joueurs oui, c'est évident, mais aussi le coach. Certains de nos joueurs ont toujours bénéficié d'une certaine protection, et d'autres, ont subi les foudres de quelques erreurs, vraiment trop peu importantes (cf Tomasz). Si l'on est exigeant avec soi-même et ses joueurs, on doit se remettre en question et pas se contenter des discours vains d'après-match, qui inquiètent plus qu'autre chose. Une réaction doit intervenir, et elle doit intervenir de Ferguson. Alors qu'il réagisse !
  6. Oui enfin, c'est pas parce que quelqu'un a un avis différent qu'il ne connait rien au football. Pourquoi toujours remettre ça sur le tapis et ne pas accepter que certains ne prennent pas des évènements de la même manière que d'autres... Non Ferguson n'est pas un vieillard sénile mais il est en grande partie responsable de notre période creuse du moment. Et le pointer du doigt ne fait pas de quelqu'un un fake ou un inconscient.
  7. Best_07

    Europa League 2011/2012

    Je préfère être éliminé en 1/8ème de finale de la CL que gagner l'Europa League... Tout comme je préfère finir 10ème de PL que gagner la Championship... J'espère donc que Ferguson va tirer profit de cette compétition pour faire jouer les jeunes, mais les vrais, pas Diouf & co. On peut toujours rêver.
  8. À l'heure des branlettes collectives relatives aux élections des forumeurs de l'année, tu postes sans aucun doute LE post de l'année. On peut passer 5 minutes sur ce site une fois par semaine, si c'est pour tomber sur ce genre de tacle digne de Nemanja Vidic, l'expérience perdure. Chapeau Chaplow !
  9. Tu fais ton coming out ? Kuranyi style ?
  10. Il a quand même créé plusieurs fois le danger. Dont un poteau. Il s'approche, lentement mais sûrement.
  11. En même temps, s'il faut attendre d'avoir 20 pts de retard pour s'inquiéter...
  12. Villa c'est l'équipe capable de tenir un nul à domicile par excellence... Alors, ouais, un tournant... 7 pts ça ferait beaucoup, surtout qu'on se déplace à City durant les matchs retours (même si lors de ce match on sera déjà à peu près fixés). Victoire impérative, avec la manière si possible, au moins, la compo nourrit quelques espoirs...
  13. La semaine dernière on était en position de force avec City qui se déplaçait à Anfield. Aujourd'hui nous sommes en position délicate, va-t-on enfin voir nos joueurs poser leurs boules sur la table ? J'ai des doutes.
  14. Ok. Merci pour ton avis. Pour la phrase de Jeff, j'y réfléchirai effectivement à la laisser ou non, peut-être que c'est en trop. "pas ou plus", j'hésite. Le "plus" signifiait surtout la perte, pour continuer dans la lignée du avant -> après. Est-ce que c'est plus esthétique ou pas, t'façon, on s'en fout, puisque à l'écran il n'y aura qu'un verre sans eau. ^^ Sinon, pour la mère, du classique, dépression de 10 ans, accompagnée de folie, de perte d'identité, pour en arriver à une femme qui ne se situe plus dans le monde réel et qui n'a plus conscience des choses. (exemple : "Ton fils", alors que c'est le sien aussi, ou encore le fait qu'elle lave une assiette propre etc.). Bref, thanks.
  15. Bonsoir à vous. Je ne savais pas trop où poster cela, mais je pense encore que la section cinéma est la plus appropriée. Pour mon examen en module de scénario je dois remettre lundi une scène d'ouverture de trois minutes sur un thème imposé. J'ai donc inventé et écris le passage en une trentaine de minutes - puisque je m'y prends toujours à la dernière seconde, pour plus de volupté dans le style -, et j'aimerais avoir votre avis. Enfin, surtout savoir si vous arrivez à mettre des images sur les trois séquences, qui coïncident avec l'ambiance que je veux retranscrire. Je vous précise que les mots soulignés sont tous les "sons" audibles et qui signifient quelque chose en lien direct avec l'histoire. Merci d'avance à ceux qui auront lu et qui me feront part de leurs remarques. Thème imposé : Jeff rentre dans son village natal après 10 ans d'absence. Ma scène d'ouverture : Séquence 1 : Route et village, EXT. Jour : Les roues crissent sur le goudron desséché spécifique à la fin de l'été. Seul accompagne le son des pneus glissant sur l'asphalte le chant mélodieux des oiseaux, annonçant joyeusement le soleil levant. Le bus passe le panneau indiquant les cinq petits kilomètres qui le séparent désormais de Montpezat. La route nationale est dépourvue de circulation et bordée par des centaines d'hectomètres d'une nature vierge de toute habitation. Le ciel est d'un clair presque éblouissant, donnant l'impression que le paysage est perdu au beau milieu d'un blanc infini. Le chauffeur épuisé tourne le guidon d'un air nonchalant tandis que le bus apparait presque entièrement vide. Quelques vieilles dames somnolent dans les coins et un homme d'âge mûr détonne en plein centre. Debout, il attend patiemment, le dos à moitié courbé, des bagages l'entourant de toute part. Ses yeux sont ornés de cernes profondes, marquant son visage et semblant le recouvrir entièrement. Des cheveux gras retombent aux extrémités de chacune de ses joues, concordant avec les deux traits imposants qui entourent sa bouche, faisant ressortir son air épuisé et dépressif. Le bus s'arrête, l'homme se hâte donc de ramasser ses affaires, passant devant le chauffeur, lui adressant un bref signe de tête en guise d'au revoir auquel l'homme derrière le volant ne daigne répondre. Il pose un pied, puis l'autre, sur ce sol brûlant, et s'écarte de quelques mètres avant de reposer ses bagages et de relever la tête. Le bus repart, laissant l'homme immobile, comme apathique, les yeux rivés vers le petit village qui se dresse fièrement en face de lui, quelques dizaines de mètres plus loin. Disparaissant petit à petit à l'horizon, le car laisse l'homme absolument seul au milieu de la route. Il reste statique et contemplatif, s'enivrant de la douceur du cadre. Après quelques secondes qui semble durer une éternité, il reprend sa route, remontant un petit chemin vers la droite qui lui permettra d'entrer au sein du village. La pente, d'une raideur étonnante, est jonchée de végétations ayant gagné du terrain sur le goudron au fil des années. Un jeune homme s'affaire à déblayer la route avec un râteau, le raclant sur le sol frénétiquement et venant alors perturber le silence ambiant. Voilà à présent que l'homme s'engage vers le coeur du village, débouchant sur une place circulaire au milieu de laquelle est disposé un manège pour enfants, des bancs entourant la place étant occupés par de vieilles dames qui tricotent et chuchotent entre elles. L'état dégradé du manège lui donne l'impression de ne pas avoir été utilisé depuis des décennies. L'homme s'en approche, un sourire béat affiché sur le visage. Il s'assoie sur l'une des montures, qui donne la sensation de pouvoir se dérober sous son poids à tout moment. Il se revoit alors, lui, lors de sa plus tendre enfance, jouant avec son frère aîné sur ce même manège. À l'époque, il tournait et tournait encore, profitant de ses jeunes années, tandis que tous les enfants du village s'y réunissaient, riants en choeur. Lui, ce jour-là, vingt ans plus tôt, tenait une glace à la main, encore insouciant à l'approche d'un futur qui s'avérerait plus sombre que prévu. L'homme se relève brusquement, comme secoué d'un malaise, comme si ce manège insignifiant devenait soudain une menace pesante. Il ne sourit plus mais regarde le manège avec dépit, ce dernier représentant métaphoriquement le symbole de sa jeunesse oubliée. Il repart ainsi, sans un regard en arrière, et après quelques mètres, il jette un coup d'oeil à sa montre, et s'arrête à nouveau. Il se met à compter les secondes avec ses doigts. Au bout de quelques instants les cloches de l'église se mettent à retentir, contraignant quelques oiseaux aux alentours à s'envoler précipitamment. L'homme a un léger rictus détendu, avant de s'adresser à lui-même : Jeff : Deux secondes de décalage, comme toujours... Il marche à présent à travers une allée plus aérée, bordée de chaque côté par des maisons individuelles disposant chacune d'un petit jardin, la plupart du temps en très mauvais état. Peu d'entre elles semblent encore habitées aujourd'hui, aux couleurs grisâtres et aux volets égratignées, elles n'inspirent que déchéance et rejet. Une dame âgée arrose ses fleurs, avec un regard d'un vide qui en devient presque effrayant, pourtant, ces dernières apparaissent fanées et mortes depuis bien des mois. L'homme finit par s'arrêter devant le portail en métal de la dernière maison sur la gauche. Rouillé et d'un blanc devenu beige au fil du temps, il s'amuse pendant de brèves secondes à le faire aller et venir, comme pour s'assurer que c'est toujours le même. Jeff : Il n'y a pas de doutes, je suis bien chez moi... Il s'approche du paillasson avec beaucoup d'hésitation, semblant intimidé par cette porte d'un noir à l'effet massif. Avant qu'il n'ait pu s'en rendre compte il a déjà pressé la sonnette, dont le bruit strident résonne désagréablement dans ses oreilles. La femme qui ouvre, qui doit avoir tout juste dépassé la soixantaine, a une mine usée et des cheveux gris en broussaille, elle ne ressemble en rien à la mère qu'il pensait avoir connu. Elle le regarde quelques instants, semblant se questionner elle-même, l'air interrogative, puis se décide à prendre la parole : Mère de Jeff : Oui ? Un silence gênant s'instaure entre les deux, après quelques instants de latence, il rétorque enfin, d'une voix embarrassée. Jeff : C'est moi... C'est ton fils. La femme n'esquisse pas la moindre réaction de surprise. Elle se met à sourire bêtement et l'invite à entrer, accompagnant ses gestes avec les mains de quelques paroles désorganisées. Mère de Jeff : Entre, entre donc, ton père ne devrait pas tarder. Il est allé acheter le pain. Séquence 2 : Maison, INT. Jour : Il franchit alors le seuil de la porte sans un mot, jetant de bref regards autour de lui, redécouvrant un environnement si familier et si étranger à la fois. Mère de Jeff : Comment tu vas ? À nouveau sans répondre, l'homme se dirige vers l'escalier conduisant à l'étage supérieur, sa mère le suivant de près, l'air toujours aussi hagard, sans ne savoir quoi dire. Perturbé devant la réaction de sa mère, qu'il n'imaginait pas si fade, il s'immobilise et se chuchote à lui-même : Jeff : Dix ans d'absence et c'est comme si je n'étais jamais parti. Dépité, il commence à grimper le long des escaliers, d'une démarche lente, semblant représenter une faiblesse qui est à la fois physique et émotionnelle. Arrivé au bout des marches, il s'arrête à nouveau, laissant l'impression que le simple fait de poser un pied devant l'autre est une épreuve des plus ardues. La porte entrouverte qui lui fait face, il la connaît par coeur, c'est celle de son ancienne chambre. Il la pousse non sans une hésitation et s'engouffre à l'intérieur. Les murs sont vierges et tachetés par endroit. Des grains de poussière flottent dans l'atmosphère, l'obligeant à déblayer l'air avec ses mains. La pièce possède un aspect morne qui en devient troublant, les rideaux sont fermés, empêchant les rayons du soleil de pénétrer à travers les vitres et de donner vie à ce lieu. L'atmosphère est alors sombre, malgré cette heure si matinale, et les seuls éléments qui viennent laisser penser que cette pièce ait été un jour occupé est ce lit collé contre le mur du fond et la petite commode qui l'accompagne. Les draps sont sales et usés, donnant l'impression de ne pas avoir été changés depuis une éternité. L'homme s'approche alors de la commode. Il y prend le cadre d'une photo qu'il repose aussitôt. Celle-ci le représente lui, à un âge adolescent, entouré par son frère et ses deux parents, tous les quatre affichant des sourires impérissables. Toute sorte d'objet sont présent sur le petit meuble, tous aussi insignifiants les uns que les autres. Un stylo qui n'a plus d'encre, une agrafeuses qui n'a plus d'agrafes, un verre qui n'a plus d'eau. Tout est vide, jusque dans les objets. L'homme tire le tiroir supérieur, il n'y a rien d'autre à l'intérieur qu'un vieux pistolet. Il le prend, l'observe en le tournant et le retournant, puis il se dirige vers le long miroir disposé de l'autre côté du lit. Il se fixe devant et se regarde lui-même, découvrant son visage dont les traits sont profondément marqués et dont le désespoir semble ressortir de toute part. Sa mère, dans la cuisine, continue de marmonner des paroles incompréhensibles, s'occupant de petites tâches ménagères, nettoyant la table avec un chiffon, lavant désormais une assiette pourtant déjà propre. Elle entend la porte d'entrée qui s'ouvre et cesse alors toute activité. Mère de Jeff : Chéri, c'est toi ? Devine qui est là ? Ton fils. Elle dit cela sur un ton monotone, sans aucune intonation, comme si elle était elle-même détachée de cette situation. Son mari pénètre dans la cuisine, de dos, et répond sur un ton qui mêle surprise et précipitation. Père de Jeff : Quoi ?! Avant que la femme n'est pu prononcer la moindre parole un bruit sourd se fait entendre. Un coup de feu, provenant de l'étage supérieur. Un autre bruit sourd, celui d'un corps qui s'affale contre le sol. Le mari se retourne, paniqué, et sort de la cuisine d'un pas vif. La femme garde toujours son air détachée, le chiffon dans une main et l'assiette dans l'autre. Le son des pas de l'homme montant les escaliers sont brusques, reflétant sa hâte. On l'entend désormais hurler, un hurlement sinistre, empli tristesse. La femme sort de son insouciance, alertée par les cris, elle s'exclame alors : Mère de Jeff : Quoi ?! La boulangerie était fermée ?! Des larmes se mettent à rouler sur ses joues, elle sanglote sans émettre le moindre bruit, puis reprend la parole, avec un léger gémissement et une voix à peine audible. Mère de Jeff : Il n'y a plus de pain, il n'y a pas de pain. Séquence 3 : Village et route, EXT. Jour : La devanture d'une boulangerie à l'intérieur de laquelle un jeune garçon paie et attrape deux baguettes de pain. Une place de village, au coeur de laquelle un manège entre en action, pourtant dépourvu d'enfants. Un oiseau qui s'envole du haut d'une église, surplombant ce petit village, qui semble perdu au milieu de l'univers, oublié de tous et où la mort parait plus présente que la vie. Au travers de tous ces lieux ressort une impression de tranquillité et d'insouciance qui, au contraire de donner une sensation paisible, apporte malaise et incertitude. Comme cette maison, avec son portail rouillé et son jardin qui n'en est plus vraiment un, à l'intérieur de laquelle les cris d'un homme résonnent avec force, provoquant des échos s'échappant à travers le ciel. La longue route nationale qui mène à ce petit village est vide, seul un oiseau noir y est étendu en plein centre, une aile manquante, mort. Informations sur la suite de l'histoire : Par la suite, le père, profondément touché par le suicide de son fils, va essayer de comprendre ce qui a conduit ce dernier a revenir pour se tirer une balle en pleine tête. Il va donc marcher sur les pas de son fils, qui avait quitté pour des raisons encore inconnues le cocon familial dix ans plus tôt. Il découvrira ce qu'il a vécu, et comprendra progressivement les raisons de son départ, de son retour, et de son suicide. Il sera aidé et épaulé dans ce voyage physique et mental dans le passé par son autre fils, qui sera tout aussi surpris et choqué d'apprendre la mort de son jeune frère. PS : Je précise que tout ce qui est insistance sur des objets, ou des parties du corps, signifie des gros plans.
  16. Best_07

    David De Gea

    Grave, j'ai l'impression de le croiser chaque jour à la fac de lettres.
  17. Elle apparait et elle disparait, sous les feux des projecteurs, aussi vite qu'un claquement de doigt. Edie Sedgwick, sublime, puissante, mais aussi terriblement fragile. La plongée dans une vie d'ascensions et de chutes, de chaos continuel, c'est ce que représente le Factory Girl de George Hickenlooper. Fidèle à l'ambiance des sixties, les images s'enchaînent de manière dynamique, en alternant les styles et en gardant toujours à l'esprit cette ambiance d'apogée prématurée et de descente vers les enfers constante, que ce soit dans les dialogues ou dans les effets visuels. Unique, ce film l'est tout autant que la muse qu'il dévoile, justement incarnée par Sienna Miller, qui arrive à faire ressortir ces mêmes sourires et ces mêmes regards spécifique à l'ange déchu de la Factory. Une jeune fille dans un corps d'adulte, aimante, douce, et naïve, telle est représentée l'une des figures les plus mystérieuses et les plus tragiques du XXème siècle. Entourée par un excellentissime Guy Pearce, le duo ambigu entre la superstar et Andy Warhol, l'artiste au caractère incompréhensible, transcende l'écran. Deux êtres perdus au coeur de ce monde dans lequel ils ne semblent pas pouvoir trouver une place. L'idée de mort se retrouve présente tout au long du film. L'argent devient source de mort, le succès aussi, finalement, c'est Edie en elle-même qui semble respirer la mort, comme si elle était condamnée avant même d'avoir effectué ses premiers pas. On s'attache de façon démesurée à cette femme que l'on veut protéger, que l'on comprend, que l'on adore, et qui nous évoque l'image de la tragédie dans son essence propre. L'histoire est marquante, elle l'est d'autant plus lorsqu'on est déjà attaché à ce personnage pourtant si mystérieux et inconnu, mais qui semble faire parti de nous. Comme une soeur que l'on aurait jamais connu. Son évolution, sa relation avec Andy, Bob Dylan, ses parents, et autres, tout est bien dévoilé pour montrer que malgré ses va-et-vient incessants, la femme n'a aucune épaule sur laquelle se reposer. La chute arrive brutalement, ce qui concorde avec perfection à l'idée du film, et on ne peut que se retrouver bouleversé devant un évènement connu, attendu, mais pourtant si marquant. Une oeuvre d'art qui tient particulièrement grâce à la réussite à retranscrire toute la singularité d'Edie Sedgwick et de l'univers dans lequel elle a évolué. Une femme à découvrir, et un film à voir. Edie, I love you.
  18. Best_07

    Carling Cup 2011/2012

    Manchester City va remporter son premier titre de la saison, avant nous, évidence même. J'ai toujours pensé qu'une équipe qui fait de bons parcours en coupes dispose d'une stabilité et d'une qualité supérieures. Quand on était les plus impressionnants on arrivait à aller loin tant en CC qu'en FA Cup... C'est un signe.
  19. Quelques stats sur certains de nos joueurs en CC : Mame Biram Diouf : 260 minutes disputées Paul Pogba : 125 minutes disputées Ravel Morrison : 95 minutes disputées Well done. Well done.
  20. - Amos : 6 - Rafael : 4 - Smalling : 6 - Evans : 4 - Fabio : 3 - Valencia : 3 - Gibson : 6 - Park : 3 - Diouf : 2 - Berbatov : 2 - Macheda : 3 - Fryers: 5 - Pogba : 6 - Morrison : 7
  21. Best_07

    Mame Biram Diouf

    De toute façon, il fallait pas être un génie pour se douter qu'il allait se planter royalement. Je me rappelle de son match contre Hull City en début 2009, il montrait déjà toutes ses carences techniques et ses mauvaises appréciations du jeu... C'est pas une déception, mais une confirmation... Quand je pense qu'il a été aligné titulaire à chacune de nos rencontres de CC cette saison, je rigole...
  22. Best_07

    Paul Pogba

    Je connaissais déjà toutes ses qualités techniques, mais il m'a bluffé dans la présence qu'il impose, notamment sur les ballons aériens. Après, il est encore un peu frêle et "caractériel" dans son jeu. Ce ne sont heureusement que des défauts de jeunesse. Il a clairement apporté un peu de vigueur à notre jeu suite à son entrée (tout comme Morrison)... J'espère qu'on aura l'occasion de le revoir en FA Cup, même si j'en doute...
  23. Je rejoins plutôt Sk-2peer. Si on se focalise sur ce qu'a réalisé Cleverley sous nos couleurs cette saison, on se rend bien compte que tout notre jeu devenait plus fluide et plus dynamique grâce à sa présence. Quand il est revenu avant de se blesser à nouveau, on a directement vu un changement radical du tempo imposé et une variété offensive retrouvée. La seule interrogation reste le rôle d'Anderson, dont la blessure est terrible tant pour sa propre progression personnelle que pour notre entre-jeu cette saison. Rooney peut être aussi utile qu'il le veut, il n'a pas cette même fougue et capacité de percussion que peut avoir un Cleverley (voir un Welbeck), c'est un fait. Wayne devient de plus en plus préventif dans son jeu, un style "aéré" qui fait souffrir les défenses et libère des espaces mais qui n'impose pas un rythme c.onséquent à notre jeu. Et puis, si l'on parle de méforme de l'anglais, on peut aussi parler de méforme de Nani, dont la baisse de niveau concorde elle-aussi avec le début de nos prestations en dents de scie. Plus que de remettre un manque de créativité et d'inventivité sur tel ou tel joueur, il faut le remettre sur le groupe en lui-même, chaque joueur dépendant des uns et des autres pour être efficace. Il est donc évident que les pertes temporaires des joueurs sur qui l'on peut le plus compter pour franchir un pallier (Clev', Ando, Welbeck) sont à pointer du doigt et à mettre en corrélation avec nos performances. Ces trois joueurs (+ Rooney et Nani, voir Young) sont les clés de la régularité. Tant qu'ils n'auront pas tous leurs chaussures à la bonne place, on manquera de ce petit "plus" qui peut faire la différence. Mais il va vite falloir retrouver notre statut et notre régularité, car la période la plus compliquée de l'année approche à grand pas et que ce n'est pas en l'abordant avec 5 pts de retard sur City et une qualité encore approximative que l'on va se mettre en confiance... Vous remarquerez que je n'ai volontairement pas évoqué notre élimination en CC, on ne peut décemment pas la mettre en relation avec ce topic... Mais plutôt avec celui de Ferguson...
  24. Un 10, c'est un électron libre en soi, enfin surtout dans le football moderne, ou la notion a considérablement évolué. Il est tout de même moins passe-partout sur le terrain qu'un Silva, mais plus percutant.
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