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Best_07

Fergie Babes
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Tout ce qui a été posté par Best_07

  1. Pas étonnant ce limogeage, ça sentait la saison compliquée depuis la défaite dans le derby contre les Magpies... Pourtant les recrutements cet été avaient été plutôt intelligents pour permettre au groupe de franchir un pallier. Je suis surpris et déçu.
  2. J'ai pas vu L'illusionniste mais Le Prestige oui, c'est un très bon film mais j'avoue que je comprends ce que certains lui reprochent. D'une part il y a pas mal de longueurs, d'autre part il y a peut-être une exagération au niveau de l'histoire, qui garde une certaine cohérence mais qui peut faire bizarre... Enfin là c'est pas vraiment de la faute du scénariste, puisque le film est adapté d'un roman... Sinon, j'ai revu 99 Francs récemment, je l'ai encore plus apprécié, mon avis détaillé : Rarement un spectateur ne s'est retrouvé aussi complice avec un réalisateur comme c'est le cas dans 99 Francs. À travers une mise en scène experte Jan Kounen livre une claque cinématographique, qui se reflète comme une tâche brillante et unique dans le paysage du Cinéma français, que nous ne sommes pas prêt d'oublier. Son long-métrage n'est autre qu'une plongée en apnée dans l'ébauche de notre société moderne, qui se veut à la fois tragique et drôle, fidèle et cliché, réaliste et illusoire. Cette description satyrique du French Dream et de ce qui en découle tient dans un bijou d'organisation visuelle et sonore, que le montage et la distribution viennent sublimer avec brio. Avant d'aborder les thèmes inévitables de la publicité et du fonctionnement de la société, il convient de s'attarder en premier lieu sur l'aspect purement filmique de l'oeuvre, qui n'en fera que ressortir ces thèmes avec une puissance décuplée. Tout en ironie, malgré la cacophonie des deux heures de pellicule et l'impression de désordre ambiant, il apparaît que le film est structuré de manière méticuleuse et très schématique. Divisé en séquences fixes, le côté psychédélique contraste avec cette organisation on ne peut plus carré, mais à force de visionnages, on se rend aisément compte de la ligne directrice empruntée par Jan Kounen. Auréolé d'un sens de l'originalité proche de la perfection, le film s'orchestre comme un ensemble de clips vidéos, qui baignent tous dans une inventivité constante, se détachant les uns par rapport aux autres tout en étant étroitement liés. Les surprises sont donc légion tout au long de l'histoire, conférant à 99 Francs l'aura rare du film qui se redécouvre encore et encore avec toujours la même fraîcheur, tant il fourmille de détails et d'éléments interprétables de diverses manières. Car l'essentiel du long-métrage, grâce à cette ambiance dynamique, édulcorée et emprise d'humour tragique, est celle d'offrir non seulement à chaque visionnage une expérience différente, mais aussi à chaque spectateur. Malgré la singularité qui s'en dégage, chaque personne parvient à la mettre en corrélation avec sa propre expérience de spectateur et de citoyen, pour entretenir une relation particulière vis-à-vis de la forme et du fond présent dans le film. Le décor se veut plus essentiel que jamais, dans lequel voguent les acteurs, à la fois crédibles tout en dégageant une fausseté évidente. Car l'univers du faux-semblant se retrouve omniprésent. On nous parle de faux à travers la publicité, on se met à ancrer sans cesse les personnages et les spectateurs dans cette impression d'illusions continues. Pour les personnages ce sera à travers leur rapport avec le monde extérieur, comme s'ils étaient coincés entre de faux murs, coincés entre de faux sentiments, coincés dans une fausse vie. Pour nous, ce sera à travers des procédés brutaux, tel que le jeu direct avec le rapport film/spectateur, qui nous donnera aussi l'impression de baigner dans ces illusions incompréhensibles et pourtant si évidentes. Avec beaucoup d'humour, ce que l'on nous dit, c'est que notre monde n'est qu'un assemblage de faux, et que nous le sommes encore plus. Un message qui se veut d'un pessimisme et d'un mépris sans précédent et qui pourtant arrive à nous afficher un sourire pendant toute la durée du visionnage. Est-ce là contradictoire ? Oui. Mais le film en lui-même est contradictoire, il le sait, et il en joue. La preuve, notre place, nous la payons, nos pubs avant le film, nous les avons vu, notre yaourt après le film, nous l'achèterons. C'est donc au coeur d'un portrait détaillé de la conscience sociale que nous nous retrouvons, perdus et à la fois pleinement retrouvés, entre des images d'un dynamisme et d'une puissance inégalée, ainsi que des acteurs aux intentions plus que louables, celle de nous transmettre leur même malêtre, qui n'est pas difficile à aller chercher, tant nous en sommes proches tous les jours. Outre le fait de se révéler comme une comédie réussie et unique, le film s'appuie sur une profondeur certaine qui ne devrait pas laisser indifférent et qui doit beaucoup de mérite à Jan Kounen. Plus que d'être vu, ce film se doit d'être vécu, tant il apporte ce que peu d'autres films sont capables d'apporter.
  3. Best_07

    Opposition

    I'm nice... Michael Carrick, ou l'homme le plus agaçant de la planète. Tu sens que derrière sa démarche de velours et ses hésitations de pucelle se cache un joueur unique. Créatif, intelligent, un artiste en crise de confiance, un artiste en crise existentielle. Pourquoi en crise ? Depuis deux ou trois ans désormais son niveau de jeu est d'une inconstance à faire pâlir un CR7-9-100, ou jouir un Louis Saha... Malheureusement, ce longiligne milieu n'arrive plus à se montrer si décisif, si déterminant, si incisif, comme il l'était durant ses premières touches chez nous. Un or rouillé, mais un or tout de même. C'est pour ça que parfois il provoque l'illusion d'être de RETOUR. Comme c'était le cas en fin de saison dernière, quand il formait avec Giggs une paire qui, contre toute attentes, fonctionnait à merveille. Intuitions défensives et offensives, telles sont les bases d'un joueur qui parvient dans ses meilleures heures (minutes, plutôt, vu que c'est un éjac' précoce) à transcender l'équipe et à projeter le groupe dans les espaces qu'il faut. Qualité de passe, vision du jeu quasi-irréprochable, et un calme-calmos... Malheureusement, défaut mental, hésitant, peureux.. Tout cela transforme l'artiste en abruti... Qui ne produit que très peu de choses sous nos couleurs depuis trop longtemps... Owen Hargreaves, ou l'homme le plus agaçant de la planète. Tu sens que dans ses jambes détruites et ses blessures de pucelle se cache un joueur unique. Hargneux, intelligent, un Bulldog avec une muselière. Pourquoi ? Depuis deux ou trois ans désormais son niveau de jeu n'est plus... Blessé pour ce qui semble être une éternité, il n'a pu faire parler sa classe que très, trop rarement. Pourtant, quand il était sur le terrain c'était l'assurance d'un milieu présent. Un Anderson du riche, doué dans toutes les tâches propre à un milieu de terrain, une envergure qui donne tout un dynamise au groupe. On ne le remerciera jamais assez pour son coup-franc contre Arsenal, ou pour son penalty de génie contre Chelsea, preuve de sa polyvalence et de son mental de battant. Un bulldog désormais à City, qui voudrait bien mordre et écorcher vif le caniche qu'est Carrick... Un joueur au profil indispensable, qui le devient malencontreusement (dispensable) à cause de ses pépins physiques... Quitte à choisir, je me tourne vers Michael, dont j'espère un réveil un jour ou l'autre. Alors que pour le chevelu, j'en ai rien à battre. Deux bons footballeurs, deux hommes en doute...
  4. Best_07

    Opposition

    Et Blackburn, c'est quoi ?
  5. Pardon. Apprends-moi les bonnes manières, stp.
  6. À croire que c'est un film de c** avec moi et ta soeur. Collini OUT.
  7. ZeUp, un petit com' sur Pastore ? canto_ronaldo7, un petit commentaire sur ô combien la province et la terre entière vous en veut ? Non au foot-business ! Oui au qatar ! Hein ? Quoi ? Qui est leader ?
  8. Tu n'es pas familier avec l'humour belge ? Moi, depuis que je me tape la soeur de t0m4, je maîtrise. C'est pas très compliqué en fait. Assez beauf en soi.
  9. C'est clair que ce film est assez mauvais... Le truc c'est que le sujet ne méritait tout simplement pas un long-métrage, un barge qui enchaîne les prisons ça n'a rien de sensationnel. Après, Tom Hardy est au top et Nicolas apporte sa touche mais bon, l'aspect théâtral du truc (dont la scène finale en est l'apothéose) dévoile toutes les faiblesses du film... Drive aussi est décevant (bande-son hors sujet, fin bâclée...). Un conseil, si tu veux voir un bon film de ce réal', essaie de voir Inside Job (Fear X de son nom original), ça c'est un bon thriller. Quelques avis condensés sur des films de 2011 vus récemment : También la lluvia, long-métrage espagnol d'Iciar Bollain, raconte l'histoire d'une équipe de tournage qui se retrouve en Bolivie, pour réaliser un film sur l'esclavage des aborigènes par les troupes de Christophe Colomb. Eux-mêmes sont au coeur d'une révolte du peuple local, qui se soulève contre la privatisation de l'eau. Ils vont alors devoir faire au mieux pour mener à bien leur projet, dans un climat de tension qui semble pouvoir exploser à tout moment. Empreint d'humanisme, También la lluvia s'appuie sur un procédé intelligent et exploité au meilleur de ses capacités, à savoir le film dans le film. [...] Il est donc, grâce à ses personnages, ses dialogues, et sa justesse filmique, l'une des très bonnes surprises de cette année, qui confirme le talent d'une réalisatrice passionnée, aux idées claires et à un humanisme certain. Parmi ces films qui traitent de problèmes politiques tout en livrant une histoire solide, il fait très certainement partie des tout meilleurs. Fortapàsc raconte l'histoire d'un jeune journaliste italien, qui a été assassiné par la camorra. Giancarlo Siani, figure emblématique de la liberté de l'information, reste à ce jour le seul journaliste a avoir été tué par cette organisation mafieuse. Un signe ? Certainement. [...] Le film est autant puissant et vide qu'il est beau et moche. Et pour tout cela, il se révèle comme une petite merveille perdue dans un océan sanglant. Subjugué. C'est le premier mot qui me vient à l'esprit à la fin du générique. Subjugué par une actrice qui réalise une prestation inégalable, ainsi que par une patte artistique qui se fond parfaitement dans l'idée du film pour rendre l'immersion interminable. Another Earth représente typiquement le film qui n'a pas besoin d'expliquer les choses. Un spectateur peut comprendre sans explications. Pas de logique physique, pas de dialogues denses, juste des images, brèves, des gestes, furtifs, des regards, profonds. Une expérience qui prend tout son sens de la première à la dernière minute, en nous laissant muet devant l'écran. [...] Another Earth glisse des notions d'espoir et d'abandon, de bien et de mal, d'égoïsme et de partage, le tout magnifié par cette idée de double destin. Rythmé par des images au teint psychédélique, une lenteur ambiante propre à l'histoire, ainsi qu'un travail sonore de tous les instants, Cahill et Marling confirment qu'ils viennent très probablement d'une autre planète pour être à même de livrer un tel chef-d'oeuvre. Scream, la série qui me scotchait à mon siège quand j'avais sept ans, effrayé par ce masque ridicule et ce costume trois fois trop grand. Aujourd'hui, ce phénomène de société est devenu un incontournable du paysage cinématographique. Désormais légende auprès de toute une génération, peut-on refaire surface avec un nouvel opus sans casser cette légende, ce mythe ? Oui, si on procède avec une certaine fraîcheur, en surfant sur la modernité. [...] Le film prend donc une direction différente de ses aînés, en renforçant encore plus le côté burlesque, et en se préoccupant d'entretenir une relation des plus complices avec le public (qu'on est vu les trois premiers volets ou non). Grâce à cette intention, il se veut léger et agréable, mais il perd aussi une certaine part de ce qui le définissait, une tension propre qui n'est pas pleinement retrouvée. On adhère ou pas, mais la réussite de ce nouveau Scream, après onze ans d'absence, est évidente. La passion de Craven est plus que louable et ce volet semble conclure de la meilleure des manières qui soit cette série... Avant un cinquième épisode, bien entendu. Derek Cianfrance livre avec son Blue Valentine une étude personnelle et intimiste des relations amoureuses. On sent le vécu derrière la caméra, ainsi que le désir de rendre l'oeuvre touchante, qui donne un aspect réaliste au film. L'idée de suivre l'évolution d'un couple en entrecoupant le passé et le présent est la méthode idéale pour aborder chaque étape avec justesse. Ce duo d'acteurs, composé de Michelle Williams et Ryan Gosling, incarnant des personnages à la dérive, est d'une complicité remarquable et renforce encore un peu plus l'impact du long-métrage. [...] Blue Valentine est donc une véritable représentation de la vie à deux, et de toutes les difficultés émotives qui en découlent. Emotions qui en deviennent parfois incontrôlables et frustrantes, pour le meilleur comme pour le pire. Porté par deux acteurs au sommet de leur art, ainsi que par une réalisation à la forme intimiste et aux contours pesants, l'oeuvre en devient précieuse. Certes sombre et pessimiste, mais authentique, et c'est ce qui en fait son charme. Le thème du mariage n'a jamais été abordé avec autant de justesse, aussi incertain et poétique qu'un feux d'artifice.
  10. Virgin Suicides a posé les bases de son style de toute façon, très poétique, très contemplatif. Même Somewhere je lui ai trouvé beaucoup de charme, ce tableau de l'ennui et cette idée de faire de la voiture une symbolique du cercle vicieux, pas mal du tout. Et puis, la petite Elle Fanning, resplendissante (la scène du patinage est artistiquement épurée à la perfection).
  11. La même, j'ai raté le but pour être en train d'écrire des messages de boloss.
  12. Best_07

    Phil Jones

    Et il réalise pour le moment un match plein d'intelligence. J'avais été dubitatif devant sa prestation en tant que milieu contre Liverpool, là il se montre à son avantage. Mais il ne fait pas tout le travail, puisque Parker l'accompagne, et Lampard aussi, de temps à autres. En tout cas en terme d'impact défensif et de percussion à la récupération du ballon, il est présent, vraiment bluffant. Si Capello réussi à le perfectionner dans ce rôle là, ce n'est que bénéfique pour nous.
  13. Best_07

    Javier Hernández

    Ca fait un petit moment qu'il tire les penaltys avec la sélection. D'ailleurs, il serait intéressant de faire le parallèle entre son jeu avec en équipe nationale et son jeu chez nous, il y a quelques différences. Il a l'air plus libéré quand il joue avec le Mexique, il s'autorise plus de libertés, décroche beaucoup plus et se montre plus habile techniquement. Dans un sens il me fait penser à Park, qui était beaucoup plus influent/confiant en sélection.
  14. Le problème de Johnson c'est qu'il ne sait pas se placer... Encore une fois il couvre trois fois Silva... Heureusement que pour l'arbitre de touche il est l'homme invisible, sinon...
  15. Silva pourrait bien devenir le Messi de l'Espagne, il en a le potentiel. En tout cas l'Angleterre gère bien son match pour le moment. Ferry pète des câbles à cause de leur manque d'agressivité, mais il est inutile de jeter toutes ses forces dans la bataille sur dix minutes et devenir inexistants le reste du match. Là avec le trio Parker-Jones-Lampard, ça fonctionne plutôt bien. Après faudra mieux exploiter les rares occasions c'est sûr... Par contre, que ce soit Johnson-Walcott ou Cole-Milner, que c'est mauvais...
  16. Au contraire, je trouve que les anglais ont largement de quoi rivaliser avec cette équipe d'Espagne. J'ai jamais été impressionné outre mesure par la formation ibérique. C'est l'occasion de la remettre à sa place.
  17. Très bon choix RVN. Tu aimes le travail de Sofia Coppola ? Faut dire qu'on est rarement déçu avec elle.
  18. Best_07

    Présentez-vous

    Bienvenue. Butterflies & hurricanes.
  19. Best_07

    Javier Hernández

    Yép. Ivanovic en mode rageux.
  20. Best_07

    Tomasz Kuszczak

    Il faut aussi remettre un minimum de clarté dans cette histoire. Ce qu'on lui reproche c'est sa manière de s'exprimer à travers la presse comme cela. Il se dit ignoré par Ferguson, comme il se disait ignoré par Van der Sar. Peut-être que SAF ne lui prête aucune attention, peut-être pas, je ne suis pas en interne pour le savoir. Mais du fait que pour la deuxième fois il se plaint d'un manque de communication peut aussi révéler que lui-même a du mal à s'intégrer à la politique de gestion imposé par l'écossais, ou encore à la manière de fonctionner d'un grand club. À ce que je sache il s'entraîne avec le groupe pro, il a un entraîneur de gardien, des coach assistants. Bref, il fait partie du groupe et s'il avait montré des qualités supérieures à celles de De Gea ou Lindegaard durant les sessions d'entraînement, il aurait eu sa chance. J'ai peut-être une confiance aveugle en Ferguson mais je ne pense pas que son intention soit d'ignorer ou de relayer Kusczcak au rang des oubliés. Il faut aussi comprendre qu'il a toute une institution à gérer... Beaucoup disent qu'il peut se montrer rude envers les joueurs qu'il n'aligne pas, je pense que c'est une illusion d'un point de vue extérieur. À une époque on pensait qu'il voulait vendre Nani, en décembre 2009 plus exactement, qu'il le "détestait". C'était la même chose pour Anderson. Maintenant ils jouent un rôle important pour le club. Kuszczak n'a sûrement pas les épaules pour évoluer dans un top club, que ce soit mentalement ou sportivement. Il veut partir, bien. S'est-il manifesté cet été ? A-t-il eu des offres ? J'en doute. Il profite d'un potentiel prêt de deux mois à Leeds pour s'exaspérer, mais : Est-ce que ces deux mois auraient été vraiment bénéfiques ? Il devrait être vendu en Janvier, c'est là que ce sera important pour lui, il aura cinq mois pour prouver quelque chose à son sélectionneur. En attendant, il s'entraîne avec nous, ce n'est pas si terrible. Ces problèmes de communications sont récurrents chez lui, et je ne pense pas que ce soit dans l'intérêt de VDS ou de SAF d'ignorer comme ça un joueur du groupe... Il partira et cette histoire sera oubliée, mais s'exprimer de la sorte dans la presse, c'est mauvais, pour lui et pour nous. Donc ouais, deux-trois p'tites blagues pour prendre cette affaire comme elle doit être prise : À la rigolade. Inutile de faire le rabat-joie, c'est devenu une marque de fabrique on dirait.
  21. Best_07

    David De Gea

    Petite question pour ceux qui savent : Est-ce que De Gea est le premier gardien espagnol de l'histoire du club ?
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