Best_07

Et tu as sûrement raison, il faut que je le vois, mais la scène d'ouverture c'est de l'art. Ou comme les cinéphiles parlent aujourd'hui de Citizen Kane, même si le rapport est maigre, tant ça ne correspond pas à la même influence. Sinon, j'ai vu Taxi Driver, déçu...

De toute façon, nous sommes presque tous d'accord là-dessus, le Barcelone, en grande forme, bat n'importe qui. Mais cette grande forme sera de moins en moins régulière au fil des ans, l'heure viendra où cette équipe sera détrônée, soit par une baisse de qualité/quantité de leur effectif, soit par l'ascension d'une autre. Et si l'on prend en compte l'évolution des barcelonais depuis 2008, et celle des madrilènes depuis 2011, cette heure est peut-être plus proche qu'on ne le pense. J'ai l'impression que cette saison marquera un tournant, une passation de pouvoirs, d'un club espagnol à l'autre. Je me trompe peut-être, mais c'est un ressenti que j'ai déjà depuis août dernier. Et n'oublions pas que si les blaugranas semblent effectivement imprenables sur 90 minutes, dans un match de 180 minutes, ils ont souvent eu des difficultés.

Le miraculeux est probablement exagéré, mais disons que les probabilités que Ronaldo rate deux occasions aussi franches dans un même match sont très très faibles. Alors oui, ça fait partie des erreurs, mais ce genre de détails, d'"erreurs", décident de l'issue d'un match. Car 2-2 ou 1-3 au niveau de la confiance ce n'est pas du tout la même chose. Et si Barcelone a eu tant d'opportunités en seconde période c'est aussi et surtout grâce à la baisse de moral des madrilènes, qui misaient tous leurs espoirs sue ce match, satisfaits dès la première minute, et qui ont du s'effondrer au troisième but. (Un peu comme nous d'ailleurs, même si on l'était déjà avant...). Honnêtement, à l'heure actuelle, quelle équipe penses-tu la plus capable de battre Barcelone ? Pour moi c'est Madrid, sans une hésitation. Et pourtant je préférerai que ce soit une équipe anglaise, italienne ou allemande (je ne crois pas en Munich), mais le groupe de Jose Mourinho me semble taillé pour offrir cette opposition. Taillé psychologiquement, mais aussi tactiquement. La réponse on l'aura certainement en Champion's League, nul doute que ces deux équipes devraient se retrouver dans le dernier carré...

Non mais Ronaldo, à 1-0, a une opportunité en or, qu'il ne convertit pas. C'est un fait de match, miraculeux pour Barcelone tant la probabilité qu'il marque était élevée. C'est la même à 2-1, Ronaldo rate une énorme occasion, et quelques secondes plus tard les blaugranas creusent l'écart. Alors oui le Real s'est éteint au fil du match, mais il y a eu beaucoup de vents favorables pour les barcelonais. Et si ces vents se provoquent, ils restent des vents... Le carton rouge c'est au match retour. Ce match où il n'y a pas eu match, tant Barcelone écrasait les gunners, c'était une domination totale... Pour le match aller, Messi se voit refuser un but pour une position de hors-jeu inexistante, et les balles de 2-0 ont été inombrables. Arsenal se réveille dans le dernier quart d'heure et remporte la victoire, mais dans l'ensemble du match, il n'y avait pas photo. Et puis, le Barca de Février était largement inférieur au Barca des mois suivants (qui a atteint son apogée contre nous). Entre les oppositions offertes par Arsenal ou nous autres mancuniens, et celle offerte par Madrid, c'est un gouffre. Je ne parle pas de résultat, mais de contenu.

Que le Real ne cesse de gagner de la place dans cette confrontation. Et, à mon avis, la défaite 3-1 n'est pas significative d'une réelle infériorité. Quand je repense au match, aux divers temps forts, je me rends compte que la balance a tourné en faveur du Barca de manière quasi-miraculeuse. Je ne dénigre pas leur capacité à s'être imposé à l'extérieur, mais il y a eu beaucoup de faits de match décisifs et opportuns pour les catalans... Beaucoup trop pour penser qu'on puisse désigner ce Barca comme "définitivement" (bien sûr, rien ne l'est, on est tous d'accord dessus, je parle ici de cette saison) supérieur. On ne peut pas comparer l'opposition proposée par Arsenal à celle du Real. D'une part, le Barca a toujours un coup de moins bien vers le mois de Février, et les gunners, eux par contre, ont eu BEAUCOUP de faits favorables. Sans erreurs d'arbitrage et avec une efficacité 20% supérieure le Barca mène 3-0 à l'Emirates, no doubt. Pour le match retour... Il n'y a même pas eu de "match" retour. Le Real réussit à ouvrir le score au Camp Nou, et gagne la Copa. Leurs performances sont bien au-dessus en terme d'opposition que celle qu'a offert sur quinze minutes un Arsenal revigoré. Pour le reste de ton post, je te rejoins, même si je suis moins sûr que toi des capacités de VB. Wait and see.

Oui, et le problème de VB est peut-être là, tu ne crois pas ? D'avoir voulu griller les étapes trop tôt, en se laissant embobiner par le russe. Même Mourinho, qui est versatile et glory hunter, a pris son temps et a geré son évolution de carrière pour arriver à faire toujours les bons choix et à tirer le maximum d'une équipe avant de la quitter. C'est aussi une preuve que Jose est un entraîneur probablement plus intelligent, il le prouve dans la gestion de sa carrière, et aussi sur le terrain. Si on se rappelle de ce que fait l'Inter en CL lors de sa première saison au club, et de la façon dont on les a battu en 1/8ème, on réalise à quel point ils étaient loin, très loin, d'avoir la capacité de tenir tête et de battre United ou Barcelone sur des rencontres de 180 minutes. Chose qu'ils étaient à-même de faire seulement douze mois plus tard. Alors, le travail psychologique fut énorme, c'est vrai, et je pense aussi que c'était la force principale de l'Inter de Mourinho. Mais tout de même, il a mis en place un jeu intelligent, capable de s'imposer sur toutes les scènes, nationale, européenne et mondiale. Le "rien" reconstruit est de trop à mon sens. Il est vrai qu'un gros recrutement avait déjà été effectué, mais ce sont ses apports et sa manière de renouveller la façon de jouer de ses groupes qui est étonnante. Tout ça pour dire qu'il n'est pas non plus arrivé dans des formations parfaitement huilées, et finalement, qu'il ait fait 6 changements ou 3, ce n'est pas important. C'est comment il a réussi à transformer ces équipes, en tout points de vue, qui est impressionnant. Et si ces équipes ne sont pas forcément les plus intéressantes tactiquement, elles ne sont pas loin d'être les plus efficaces... Malgré le 0-5, depuis cette date, dans toutes ses confrontations face à Barcelone, j'ai vu une équipe capable de contrecarrer les plans des blaugranas, de faire une forte opposition, d'avoir la capacité d'inverser la vapeur : Chose qu'on avait jamais vu de manière régulière chez une autre équipe. Et des matchs depuis, ils en ont fait... Je ne m'arrêterai pas aux résultats à proprement parlé, qui ne sont pas "bons", mais au contenu des matchs, et là il y avait beaucoup à tirer comme enseignement et les perspectives pour l'avenir sont plus troubles que jamais. Personnellement je ne trouve pas que ce que fait VB avec Chelsea soit cohérent ni encourageant, je n'ai pas vu autant de matchs des blues que les autres années, mais leurs faiblesses ne sont pas à mettre uniquement à l'actif d'un effectif vieillissant et désorganisé (la faute à qui ?), mais aussi à des systèmes de jeu insuffisants, dont VB s'est par ailleurs déjà désavoué en changeant de méthode en plein mois de Novembre... Enfin, on aura déjà un aperçu plus clair en fin de saison, mais d'un point de vue personnel, à l'heure actuelle, je considère VB dix marches en dessous de Jose...

Di Maria, Ozil et Kehdira furent quand même des recrues qui ont bouleversé le jeu du Real, pour permettre au club d'atteindre un niveau de jeu si fluide. Alors oui, il n'a pas fait d'énormes modifications d'effectif, mais du renouvellement, il y en a eu. Sans parler de la pression qui pesait sur ses épaules à son arrivée, plus de qualifications au top niveau européen depuis des années, avec l'argent investi et le succès acquis au printemps précédent, il était plus qu'attendu au tournant. Il a su s'intégrer, il a su prendre en main l'équipe, et il y a apporté sa touche pour en faire une équipe du top 3 mondial... Et on peut pas dire que tactiquement son rôle n'a pas été primordial. Ce rôle là, il l'avait déjà occupé à l'Inter, à Chelsea et à Porto. Il y a un juste milieu entre ses diverses qualités, et s'il est évident que sa principale reste le coaching pure, il ne faut pas sous-estimer les autres points : Surtout quand on le compare à VB.

Au niveau des équipes de Porto, elles étaient toutes deux de très bon niveau, sauf que Mourinho a gagné la Champion's League avec, pas la Ligue Europa. Dire que Jose est surcoté pour ses qualités tactiques, c'est assez osé. Ce qu'il a réussi à tirer de l'Inter Milan, ce n'est pas uniquement grâce au mental, il a réussi à organiser ce groupe, dans sa vie quotidienne et dans ses prestations, pour en faire un club champion d'Europe, alors que lors de sa première année, ils étaient à des années lumières d'en avoir le niveau. N'a t-il jamais du renouveller un effectif ? C'était en partie vrai, avant sa venue à Madrid... Il faut souligner son travail exemplaire dans la capitale ibérique, malgré ses coups d'éclats et sa mauvaise publicité, la façon dont il a fait évoluer le groupe, par l'intermédiaire des recrutements ou par la gestion tactique, lui permet aujourd'hui de tenir tête au Barcelone de Pep Guardiola. Nul doute que sans ce Barca là, il aurait probablement remporté sa première CL en quelques mois d'activités, et son premier championnat. Trophées qu'il ne serait pas étonnant de le voir remporter dès cette saison. Alors oui, attendons de voir ce que donnera VB dans quelques saisons, mais entre les deux, pour le moment c'est un gouffre, à tous les points de vue, tactique inclue.

Well done. Well done.

Voilà le problème que peuvent rencontrer certains entraîneurs latins en Angleterre, celui de ne pas s'inclure dans la tradition. Déconsidérer Lampard à ce point, choquant. Pour ce qui est de ses "exploits" avec Porto, on ne peut les lui enlever, bien sûr qu'il avait un effectif hors-norme, mais il faisait du très bon boulot tout de même... Après, que ce soit en terme de tactique pure ou de qualité de "leader", il est effectivement bien loin de Jose Mourinho, mais ce n'est pas surprenant.

Doraibu all the way. En temps normal j'aurais dit que vous avez des goûts de chiottes, mais là je ne peux que m'incliner...

Ringo Starr ne compte pas... Le Onze du forum : GK : Alruud (solide, imperturbable, sauf quand il renifle l'odeur d'un plat toulousain... On s'en prend plein des piquettes, du coup) DD : yactiano7 (comme Gary Neville, fidèle et dévoué, un exemple pour tous) DC :OGS (avant-gardiste, le Rio du fofo, caractériel et fou, mais on l'aime bien quand même) DC : Ballax (Les tacles, il en est coutumier, Vida n'a qu'a bien se tenir) DG : t0m4 (Quand il est partit, on ne l'arrête plus, il enfile les bières à la vitesse que R.Carlos enfilait les mètres ; et on ose se demander pourquoi on a toujours l'impression de jouer à 10...) MDF : Captain Britain (Il faut bien un capitaine au milieu, pour rétablir l'équilibre...) MD : Marvin (La provocation il connait, sur son aile droite aucune défense ne lui résiste) MG : PJ Harvey (Ancien comme Ryan Giggs, les cheveux en moins, il n'a pas perdu de sa superbe et il forme un duo très intéressant avec le Belge situé derrière lui...) MO : Ryan (Parce qu'il faut bien quelqu'un capable d'organiser le jeu, un minimum...) AT : Filnic (Chacun de ses messages fait mouche, un serial posteur...) AT : Doraibu (Discret mais efficace, un joker de luxe, un Ole réincarné) Entraîneuse : Anti-Glazer (Elle est leur fantasme, pour elle, ils seraient prêt à braver des univers...)

Jones-Carrick-Park dans l'axe, c'est ce qu'on aura de plus potable à offrir je pense. J'aurai bien vu Anderson et/ou Cleverley, mais leurs retours sont trop précipités à mon goût. Comme toi je pense qu'on devrait jouer avec un seul attaquant. Avec Welbeck sur l'aile gauche et Nani sur l'aile droite, l'anglais pouvant permuter avec Park dans les phases offensives. Ca reste risqué défensivement, mais je compte sur le travail de nos trois milieux de terrain. Enfin bon, je suis dans de la fantaisie là, mais...

BEST : 1 - La victoire contre Chelsea : Sans contestations possible LE moment de cette année 2011. Outre l'ouverture du score super sonique d'Hernandez et la tête rageuse de Vidic, deux joueurs symboles de cette saison riches en émotions, la qualité du jeu produite ce jour là (avec un Park hors-horme) fût grandiose. Si le titre n'était pas encore tout à fait acquis au coup de sifflet final, ça ne faisait aucun doute que la 19ème couronne ne pouvait plus nous échapper... Prendre une revanche sur ce Chelsea d'Ancelotti qui était venu nous voler notre titre l'année passée à la même époque, voir Ferguson s'abaisser devant la foule, et dépasser Liverpool au nombre de titres nationaux, on ne pouvait pas faire mieux comme après-midi. Le 8 Mai 2011 est une date historique du club. 2 - L'humiliation infligée aux gunners : Un match qui signifiait l'apogée de notre bon début de saison et qui coulait un peu plus les gunners dans leur crise passagère (électrochoc pour Wenger et sa politique de non-recrutements). Un sourire scotché sur le visage pendant toute la semaine qui suivit en repensant à ce tableau d'affichage. Et on en rêve encore parfois, de ce chiffre 8. 3 - Le jubilé de Paul Scholes : Comment ne pas évoquer cette soirée où régnait une atmosphère de pure magie à Old Trafford. Si son départ a été l'un des plus tristes moments de la saison, son jubilé, intemporel, le récompensant de toute son oeuvre au sein du club, était grandiose, à la hauteur de l'homme. Un speech qui laisse sans voix, des souvenirs éternels, un remerciement infini. The Ginger Prince se doit d'être retenu en cette année 2011 comme ayant marqué chaque supporter mancunien, ce n'est que logique. 4 - Blackpool 2-3 Manchester United : À l'époque où l'on était toujours invaincu, ce déplacement à Blackpool sonnait comme une formalité. Deux buts sur corner, un retour aux vestiaires sur le score de 0-2 et une inquiétude grandissante. Allait-on lâcher notre record d'invincibilité dans cet away devenu périlleux. Dans une ambiance électrique, un soir d'hiver, glacial et pluvieux, on finit par scorer à trois reprises, the United way tout simplement. On sauvait notre place au classement et on laissait perdurer notre invincibilité (perdue dix jours plus tard). Les matchs à l'extérieur furent rudes et difficiles l'an dernier, mais ils nous ont aussi apporté des moments de jouissance indescriptibles... 5 - Manchester United 2-1 Manchester City : La rédemption de Wayne Rooney. No arguments, enough said. BAD : 1 - La finale de la Ligue des champions : Le pire soir de ma vie en tant que supporter. Ce 28 Mai nous avions l'occasion de prouver notre valeur à l'Europe entière, de déjouer tout pronostic, de triompher sur le sol anglais. À la place de cela nous nous sommes fait balader pendant 90 minutes, dans ce qui paraissait être une copie-conforme de 2009, en pire. Je ne m'en suis toujours pas remis et les nuits sont encore cauchemardesques ce souvenir en tête. 2 - L'élimination contre Bâle : Déplacement en terre suisse, où un nul, un tout petit nul nous suffisait pour être qualifié. Et non, dès le début du match les choses ne tournent pas rond, un De Gea fébrile, un Rooney maladroit, un Nani médiocre, un Vidic blessé, un rêve de finale qui s'envole. Triste soirée... 3 - La raclée subie contre City : Invaincus depuis le début de saison, on reçoit notre rival et notre concurrent au titre et on ne trouve rien de mieux que de s'en prendre six. Faute professionnelle, on ne s'en remettra que des semaines plus tard. Quand on repense aux circonstances du match et à ce qui s'en est suivi, c'était un tournant qui nous a coûté cher. 4 - La défaite contre Wolverhampton : Après l'ouverture du score de Nani nous pensions que le plus dur était fait... Et finalement on se fait surprendre et on perd notre invincibilité sous les cris de la foules en délire et les sauts de joie des wolves, damn... 5 - Le 1-3 à Anfield : Ridiculisé par Suarez, haché par Carragher, je crois que c'est la rencontre qui m'a le plus enragé de toute la saison, tant la pression et les évènements du match s'y prêtaient. J'avais envie d'aller casser des jambes après le coup de sifflet final...

Facepalm.

Oui mais ça ne reste qu'une impression, et en aucun cas une vérité absolue. La seule chose de sûre et qui n'est pas basée sur une simple impression, c'est que sans un Nani aussi régulier qu'il l'est depuis 2010, nous aurions connu deux saisons avec des totaux de points inférieurs à la réalité. Je préfère des joueurs qui font gagner des points plutôt que des pions. Et le portugais en fait gagner un paquet, de points... Il fait partie de ceux qui ont réussi à faire oublier la perte de Ronaldo. Il est l'un des cadres de l'équipe, sur qui on a dû se reposer maintes fois et sur qui on devra se reposer encore pas mal de temps, si l'on en croit les dires du joueur concerné et du coach. Faux joueur individualiste et vrai joueur d'équipe, perdu parfois entre les deux, mais primordial pour notre groupe. No arguments, enough said.

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Pour moi c'est une évidence, on sera champions. A egalité de points avec City en ce 1er Janvier, malgré toutes les blessures, malgré les pertes de confiance (1-6, Bâle), c'est une aubaine. Ca n'augure que du bon pour la suite, et je nous vois mal perdre le sprint final avec les citizens, quand on voit la différence d'expérience entre les deux groupes. Leur effectif n'est pas encore capable de réaliser une saison pleine, une saison de champions. Et même si on a un calendrier supposé plus difficile, ce ne sera pas un véritable problème à mon avis, ça va le faire. Ca va le faire.

Jinialissime.

Moi c'est surtout la première moitié du film qui m'a bien fait marrer. La seconde est lassante ; et que dire de la fin (...). Sinon, puisqu'on approche de la fin de l'année, mon top 10 de 2011 : 1. Black Swan 2. Fortapàsc 3. La piel que habito 4. Another Earth 5. The Lincoln Lawyer 6. Animal Kingdom 7. Tambièn la lluvia 8. Blue Valentine 9. The Fighter 10. The Tree of Life

L'attaquant mexicain à la longue crinière blonde, qui égalise à la dernière seconde contre les Pays-Bas et qui ouvre le score contre l'Allemagne. Sinon petite mention à Bebeto, le style de ce joueur.

Je n'arrive pas à départager entre les plus belles citations de Vanilla Sky... Sofia : I'll tell you in another life, when we are both cats. [...] David : "Even in my dreams, I'm an idiot who knows he's about to wake up to reality." [...] David : "Look at us. I'm frozen and you're dead, and I love you." Pourquoi ? Toute la magie et l'étrangeté du film y est capturée, c'est epic tout simplement.

Et Gazza alors ?! Mon 11 coup de coeur 1998 : GK : Taffarel DF : Cafu - Blanc - Desailly - R.Carlos ML : Beckham - Davids - Dunga - Okocha AT : Hernandez - Kluivert

Dans un an on l'aura entendu dans des centaines de vidéos et on aura envie de déféquer à chaque fois qu'elle passera, mais ouais.

Et pourquoi pas en défense ? Il est déjà coutumier du fait.