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Best_07

Fergie Babes
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Tout ce qui a été posté par Best_07

  1. Non je ne sais pas. Comme tu es barcelonais tu pourrais très bien avoir des origines espagnoles. Ou alors tu es un traître et Evra va te régler ton compte.
  2. Plus que ça. Être mauvais encore c'est une chose, faire preuve de stupidité balle au pied, c'est pire.
  3. Je pensais que vous exagériez avec Ribéry (ça faisait longtemps que je l'avais pas vu jouer) mais il a, effectivement, l'intelligence de jeu d'un débutant.
  4. Je vous conseille d'aller voir La Religieuse : un film à l'esthétique austère et bluffante, qui vaut le coup ne serait-ce que pour la prestation de son actrice principale (Pauline Etienne) et sa photographie sublime, dans la lignée des films français les plus réussis de ce point de vue là ces dernières années (Les Adieux à la Reine...).
  5. Best_07

    Paul Pogba

    Vraiment ? J'aime beaucoup Giuseppe Rossi mais un joueur du profil de Pogba c'est tellement plus rare et précieux qu'un simple attaquant.
  6. Best_07

    Paul Pogba

    À part quelques types nostalgiques de l'esclavagisme, je ne vois pas comment on peut ne pas être sous le charme de ce joueur.
  7. Best_07

    Javier Hernández

    Ouais, ils mangent la viande de chien mieux que les chinois, y parait !
  8. Best_07

    Paul Pogba

    Où tu vois ça ?
  9. Best_07

    Javier Hernández

    En même temps le Mexique ils ont eu deux choses dans leur histoire : le sombrero et Chicharito.
  10. Best_07

    Javier Hernández

    Sur ManchesterDevils ils aiment pas les mexicains.
  11. Deux films pour deux fois plus de plaisir. Cloud Atlas était LE point d'interrogation de ce premier semestre 2013. Pour cause, il avait été quelque peu difficile de passer à côté de cette bande-annonce de cinq minutes, grandiose, qui nous promettait une aventure exceptionnelle sur du Outro (forcément). Le problème c'est que le film n'a rien de grandiose ou d'exceptionnel, alors toute cette attente ressemble beaucoup à un pétard mouillé. Mouillé mais pas noyé, car le film arrive tout de même à séduire, en dépit de la déception qu'il pourra causer chez bon nombres d'entre nous. Son véritable soucis, c'est qu'en choisissant de proposer six histoires entremêlées, ce qui est très (trop ?) ambitieux, il ne parvient pas à se détourner du risque premier d'une telle entreprise : ne générer aucune émotion. Tout est trop concis, condensé, pour que ce ne soit pas le cas. S'il y a bien quelques moments épiques, on atteint rarement (jamais ?) un stade capable de nous émouvoir, de nous transporter. D'ailleurs, il n'y a peut-être même QUE des moments « épiques » (dans l'idée), ou bien décisifs, qui marquent toujours un évènement majeur et qui ne laissent donc pas le temps aux spectateurs de faire connaissance avec les personnages, d'entrevoir des scènes de transition, de « construction ». Nous rejoignons ainsi le type de narration « échelonnée » à la manière des Misérables. Les deux films ont d'ailleurs la même durée : 2h45. Difficile de ne pas sentir le véritable casse-tête que ce film a pu être au montage, lui qui devait bien, dans sa première version, faire près de quatre heures. Impératifs commerciaux obligent, nous nous retrouvons certainement avec une version réduite au maximum. À nos risques et périls. [...] Difficile à l'heure actuelle, avec un jour de recul, de deviner ce que deviendra ce film dans le futur. Néanmoins, en l'état, si l'on veut bien lui concéder de sérieuses qualités et reconnaître son ambition, on ne peut pas en faire davantage et porter en triomphe un film qui n'en a pas l'envergure. Les frères et sœurs Wachowski avaient déjà réussi à nous faire passer la trilogie Matrix – moyenne dans l'ensemble – pour ce qu'elle n'était pas, pas sûr qu'ils nous aient une deuxième fois. On peut quand même se poser des questions quant au snobisme qu'il a subi de la part des principales académies puisque de nombreuses de ses composantes auraient sans doute mérité un minimum de reconnaissance (la musique surtout, mais aussi les coiffures & maquillages, les costumes, les décors etc.). Expérience unique ou fausse expérience ? Ni l'une ni l'autre. Néanmoins, allez voir ce film au cinéma et soutenez cette prise d'initiative, peut-être trop ambitieuse et trop prématurée (sommes-nous prêt ?) mais ô combien enrichissante : nous amenant à nous poser des questions aussi bien sur l'humanité que sur le cinéma. C'est peut-être pas exceptionnel, mais c'est essentiel. Faire un film en trois segments bien distincts est toujours très délicat : ne s'appelle pas Wong Kar-Wai qui veut (Chungking Express). Parvenir à rendre le résultat homogène est un véritable défi (que ce soit dans l'écriture ou dans le montage) que The Place Beyond the Pines n'arrive pas entièrement à relever. Il ne parvient pas à déjouer tous les risques d'une telle entreprise, puisque sa première partie se révèle être nettement supérieure aux deux autres, signe d'une hétérogénéité qui peut en devenir frustrante. En effet, les deux dernières parties possèdent trop de défauts pour tenir la distance, pour s'avérer aussi captivantes que la première. Néanmoins, dans l'ensemble, malgré quelques trous d'air et une baisse de niveau certain, le film ne perd pas tout son effet, et la puissance générée lors du premier acte, issue de cette humanité brute et irréfléchie que Derek Cianfrance met en scène brillamment, reste intacte. [...] En dépit de ses faiblesses, notamment dues à son ambition démesurée (qui pourrait faire un roman extraordinaire), The Place Beyond the Pines fait partie de ces œuvres qui vous donnent envie de rester immobile sur votre siège, bluffé et travaillé par ce que vous avez vu. Auteur d'une véritable « aventure » intimiste, transversale et intense, calibrée comme il se doit, Derek Cianfrance prouve qu'il devient une référence (après avoir été absent des plateaux de tournage pendant plus de dix ans). Il se met, pour notre plus grand plaisir, à enchaîner des films qui marquent leur année cinématographique. Et c'est aussi, de loin, celui qui donne les rôles les plus fascinants aux acteurs qu'il dirige. Peut-être, qui sait, que dans Chef, Omar Sy sera complètement dingue. The Place Beyond the Pines est inégal, oui, est trop ambitieux, aussi, mais il est surtout jouissif et intelligent, badass et touchant, doux et percutant. Bref, il fait merveilleusement état de l'essence même du cinéma de Cianfrance, un cinéma humain, loin d'être « facile », toujours marquant.
  12. Best_07

    Javier Hernández

    Au contraire je pense que c'est un joueur qui s'épanouit énormément dans un cadre où il n'y a pas trop d'attentes placées en lui. À United il arrive à jouer un rôle important (plus qu'il n'y parait) dans l'effectif tout en n'étant pas sous le feu des projecteurs. Il représente un espèce de second couteau on ne peut plus bénéfique. Et je pense que lui-même s'en accommode. Bien sûr, comme tout joueur de qualité il aimerait être titulaire : mais vaut mieux être utilisé avec parcimonie et s'épanouir qu'être utilisé n'importe comment et déchanter. Combien de (bons) attaquants signeraient pour être à sa place ? Beaucoup, je pense. Enfin, ceux qui sont un minimum intelligents, quoi.
  13. Exactement !!! Nulle doute qu'il aurait paré cette balle sans difficulté. Le tir n'était pas puissant et loin d'être hors de portée. Un gardien avec des vrais balloches ça te fout ça en corner !!!
  14. Un gardien doit avoir une main ferme, pas celle d'un enfant de dix ans !!!
  15. Best_07

    Paul Pogba

    Sa science du placement, si jeune, est impressionnante.
  16. Tout à fait monsieur Marvin. Mais non je ne me contredis pas. Ce que je souligne avec la victoire de Chelsea, c'est que c'était justement un cas isolé (seule équipe anglaise en 1/4) possédant en plus un système de jeu hideux. Rien à voir avec la domination anglaise des trois glorieuses (2006-2009).
  17. Best_07

    Anders Lindegaard

    Surtout que Lindegaard il n'a pas vingt piges non plus.
  18. Après on peut malgré tout sonder le niveau des équipes de tête d'un championnat à travers leurs performances en Europe. Quand on plaçait régulièrement 2 ou 3 équipes en 1/2 ça suggérait évidemment que nos équipes de tête avaient dans l'ensemble un degré de compétitivité (national et européen) inégalable. Mais il faut aussi regarder le contenu et pas juste les résultats. Les clubs offraient aussi de bonnes prestations. On ne peut décemment pas citer l'exemple de Chelsea pour défendre le niveau de la PL. En fait, l'exemple de Chelsea est même le symbole parfait de ce qu'est devenu la Premier League (ou tout du moins les équipes de tête) : des bons joueurs dans des systèmes de jeu horribles.
  19. Best_07

    Anders Lindegaard

    En même temps il a de quoi être titulaire dans un club de PL, pourquoi s'en priver ? Il a l'air d'être honnête dans sa démarche et franc avec le coach/les supporters.
  20. MARVIN TEARING YOU APPART SINCE 2006. J'espère que tu vises juste. J'espère.
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