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Je suis allé voir Percy jackson au cinéma et.... soit tu n'as pas lu le livre et tu peux aimer à la rigueur, soit tu l'as lu et ta déception est ............ IMMENSE!!!

D'après l'acteur jouant Percy, le film n°2 devait énormément se rapprocher du livre! On n'a pas du lire le même livre --"

Enfin bref, c'est la pagaye dans ce film et je suis trèès déçu car j'ai adoré les livres!

 

 

Demain c'est conjuring, j'espère que ça sera mieux...

"-T'a une sacrée paire de couille"

"-C'est surprenant que j'arrive à marcher" Safe

"-Vu ton attitude je comprend pourquoi personne ne peut te blairer!"

"-Détrompez vous, tout le monde m'adore, demandez à votre femme." Lockout

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Ah parce que Percy Jackson à la base c'est un livre ? Et c'est censé être bien ? :mellow:

Jobs : c'est surjoué, ridiculement épique, inondé de musiques, trop ambitieux (20 ans passés en revue) et ça tient pas la comparaison une seule seconde avec The Social Network. Mais bon le côté informatif, dynamique, et l'affection que j'ai pour Ashton Kutcher me permettent de voir le verre à moitié plein. Dans l'absolu c'est tout à fait anecdotique mais je me suis plus ou moins intéressé à toutes ces étapes de l'évolution d'Apple, donc à partir de là...

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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J'ai maté Iron Man 3 et Insaisissables. Alors le premier je l'ai trouvé plutôt sympathique avec de la bonne action et le second je l'ai trouvé nul et ridicule !!!

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Tu avais vu/aimé les deux premiers Iron Man ? Je les préfère (largement) au 3ème volet.

Pour Insaisissables on est d'accord, d'une nullité et d'une stupidité abyssales.

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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Tu avais vu/aimé les deux premiers Iron Man ? Je les préfère (largement) au 3ème volet.

 

Pour Insaisissables on est d'accord, d'une nullité et d'une stupidité abyssales.

Je vais être honnête avec toi, je ne m'en rappelle par trop des 2 premiers mais globalement la trilogie est plutôt sympathique et ce dernier volet ne m'a pas du tout déçu même si il est probablement un ton en dessous !!!

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Insaisissables mauvais et Lone Ranger, vu aujourd'hui, mauvais aussi pour ma part. Je vais voir prochainement kick-ass 2.

On peut dire que vous avez une vision socialiste du football ?

 

Arrigo Sacchi : J'ai une vision correcte d'un sport d'équipe dont l'âme est le jeu. Voilà d'ou je pars.

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Et ce sera donc un combo mauvais + mauvais + mauvais.

(J'ai bien aimé, moi, Lone Ranger).

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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Non Ballax, Kick-Ass 2 est vraiment bien, un peu moins bon que le premier, mais il tient la route.

Insaisissables c'est vraiment de la daube, trop irréaliste, je m'attendais à une meilleure histoire parce que la bande annonce m'avait impressionné. Mais bon après le bon casting sauve un peu le jeu.

Sinon pour Lone Ranger les avis sont vraiment mitigés à ce que je vois, j l'ai pas vu et j pense que j'attendrais qu'il soit dispo en téléchargement pour le matter.

Modifié par yactiano7
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Conjuring, aller j'ai pas peur, je spolie: Noir - Bruit - Flash - vision d'horreur - peur - noir - bruit - pas de flash - on est rassuré - bruit - vision d'horreur - peur - Noir - Bruit - Flash - vision d'horreur - peur - noir - bruit - pas de flash - on est rassuré - bruit - vision d'horreur - peur - Noir - Bruit - Flash - vision d'horreur - peur - noir - bruit - pas de flash - on est rassuré - bruit - vision d'horreur - peur - Noir - Bruit - Flash - vision d'horreur - peur - noir - bruit - pas de flash - on est rassuré - bruit - vision d'horreur - peur...

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Il est vraiment nul.

Et Oui, Conjuring est juste inondé de jump scares, pas plus. Quant au message pro-catholique...

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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Conjuring, aller j'ai pas peur, je spolie: Noir - Bruit - Flash - vision d'horreur - peur - noir - bruit - pas de flash - on est rassuré - bruit - vision d'horreur - peur - Noir - Bruit - Flash - vision d'horreur - peur - noir - bruit - pas de flash - on est rassuré - bruit - vision d'horreur - peur - Noir - Bruit - Flash - vision d'horreur - peur - noir - bruit - pas de flash - on est rassuré - bruit - vision d'horreur - peur - Noir - Bruit - Flash - vision d'horreur - peur - noir - bruit - pas de flash - on est rassuré - bruit - vision d'horreur - peur...

 

 

Je vais aller le voir demain :)

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J'ai vu, we need to talk about Kevin. Je vous le conseille Excellent !

Modifié par Kobe.Rooney

But sometimes the shit just seems, everybody only wants to discuss me

So this must mean I'm disgusting, but its just me I'm just obscene

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Si.

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Dans Jeune & Jolie une phrase revient souvent : « tu fais la p***. » Cette phrase, lorsqu'elle est prononcée, illustre toujours l'incapacité des personnages à poser le regard juste sur leur interlocutrice, Isabelle. Leur réaction emplie de dégoût est primaire, et liée davantage au « je » (eux) qu'au « tu » (elle). Ils jugent avant de comprendre, ou tout du moins d'essayer de comprendre. Ce qui met tout de suite une barrière entre eux et elle. Il s'agit généralement de la sphère parentale, mais c'est en fin de compte à la sphère sociétale toute entière que cette barrière s'étend. Une société où les individus ne cessent de juger les autres, faisant de leur subjectivité une objectivité à laquelle personne ne peut échapper. Les spectateurs qui, de toute évidence, ont jugé hâtivement ce film, se comportent exactement de la même manière. Enlisés dans leur attitude préjugeante, dans le jaillissement du « je » qui ne laisse aucune place au « tu » (ici, François Ozon), ils semblent incapables de vouloir comprendre le personnage qu'ils ont sous les yeux, préférant la condamnation à la réflexion.

Pourtant, pas de doute possible, Jeune & Jolie n'est ni vide, ni vain, ni misogyne. Le film ne nous parle pas d'une p***, il nous parle d'une personne. Il n'expose pas son corps, il expose sa mélancolie. Les scènes de sexe, dont je redoutais la teneur, échappent totalement à une notion de sensualité, de sexualité, ou de plaisir complaisant de la part du cinéaste et du spectateur. Le voyeurisme suggéré par le premier plan, les jumelles étant une extension de la caméra, ne sera pas du tout le crédo du film. De voyeurisme il n'y a pas. Les scènes de sexe sont toujours très brèves, coupées étrangement, comme précipitamment. Nous n'y voyons pas un espèce de fantasme masculin, qui se réjouirait de soumettre la femme, de posséder son corps. François Ozon n'est pas dans cette optique-là et cela se voit. Ces plans sont frigides, glaciaux, et le corps de la femme n'y est certainement pas dégusté. Ces plans, où la nudité est présente sans être vicieuse, sont en plus de ça toujours suivis de contre-points étonnants, qui tranchent tout de suite avec l'acte sexuel en le dénaturant de son essence érotique. Empêchant au spectateur – aussi obsédé soit-il – de ressentir le moindre plaisir oculaire, tant la contemplation n'est pas permise par cette réalisation qui n'est pas nécessairement pudique, mais qui montre tout simplement autre chose. En somme, dans les scènes de sexe, ce n'est pas du sexe que nous voyons. C'est une intimité qui met en lumière, de manière plutôt brutale, le côté insaisissable, mélancolique, d'une adolescente.

C'est cela qui intéresse François Ozon : qui est Isabelle ? Pourquoi est-elle parfois si froide, si distante, si mystérieuse ? Pourquoi semble-t-elle si sensible et en même temps si insensible ? Le réalisateur, en pénétrant l'inimité de cette jeune femme, n'essaie pas d'assouvir un fantasme et ne s'intéresse pas à la sexualité. Il s'intéresse à ce qui se cache derrière. Il essaie, en définitive, de comprendre une femme. De façon, à mon sens, pure, généreuse, empathique. En tant que spectateur, je me suis mis dans cette position-là. Je n'ai pas pris l'air affecté de vigueur quand Isabelle se prostituait. Je n'ai pas eu l'intention de sortir de ma salle pour que mes préjugés et mon côté faussement outré soient renforcés. Non. J'ai eu envie de chercher aux côtés de François Ozon, à mettre la main sur ce mystère qui enrobe cette silhouette fine et vulnérable, comme un secret invisible qui plane au sein de chaque plan, et qui contribue à rendre la moindre scène immersive. Nous sommes comme confinés, dans cet univers bourgeois raffiné, habité par une sorte de malaise atmosphérique, qui flotte constamment autour des personnages. Le même genre de malaise qui irriguait la maison du précédent film du cinéaste français.

Il met le doigt, aussi, comme dans son œuvre précédente, sur l'instabilité des individus. De ces individus ancrés dans le monde, respectables, distingués, qui ne sont jamais très loin de franchir la limite de ce qu'il est bon de considérer, en société, « correct ». Comme attirés sans cesse par une part de désir en eux, qui prévaut sur leur raison. De partir de ce postulat lui permet d'écrire des personnages ambigus, qui ne sont pas cadenassés, s'avérant plutôt imprévisibles. Ça passe bien souvent par des scènes à l'issue incertaine, à l'ambiance malaisante. Qui permettent d'accentuer, encore, cette force immersive, quasi-attractive, qui se dégage du film. Dont le référent est évidemment Marine Vacth, qui attire l'œil de la caméra non pas pour sa beauté mais pour sa dimension mystérieuse. Son visage s'ancre en nous, il sort de l'écran pour jaillir dans nos esprits et y rester. En sortant on se souvient d'un regard fuyant, d'une mèche de cheveux, d'une bouche hésitante. Sans désir, sans plaisir, mais la tête pleine de questions.

On en revient au « qui est Isabelle ? ». Une jeune femme qui détonne avec son environnement social. Perdue, embrumée, dans le temps comme dans l'espace (les chansons de Françoise Hardy le mettent en évidence, dont un contre-point sublime). C'est pour cela que je ne comprends pas ceux qui sortent de ce film en contestant un soi-disant propos du cinéaste qui s'apparenterait à un infâme « toutes des p***s ». Je n'ai pas regardé Isabelle comme une « toutes ». Elle est singulière, exceptionnelle, elle existe en tant que personnage unique et non pas en tant que généralité. C'est d'ailleurs cette singularité qui fait la force du film. Ne pas l'avoir vu, ne pas l'accepter, c'est n'avoir rien compris à ce que François Ozon nous montre. Pour ma part j'y ai vu une adolescente indépendante affectivement, incapable d'aimer, qui vend son corps pour, d'une manière ou d'une autre, ne pas se sentir crouler sous le poids du détachement auquel elle semble condamnée. C'est d'ailleurs dès lors qu'elle est aimée qu'elle décide de retomber dans la prostitution. Parce qu'elle a peur de cette insensibilité et ne parvient, visiblement, à l'oublier que lorsqu'elle entretient ces rapports jugés indécents. Son plaisir n'est pas d'ordre physique, il est d'ordre émotionnel.

Pas d'explication balourde sur l'absence du père et la recherche d'amour paternel. Pas non plus de morale sur ce qui est bien ou ce qui ne l'est pas. Juste un regard sur une adolescente mélancolique, insensible et incapable de s'intégrer dans le « nous » (la société) ou dans l'instant présent (la modernité). Une adolescente dont il y a tant à dire, tant à creuser, mais dont les gens ne trouveront qu'à dire que c'est une p***. Pensant, comble de l'ironie, que c'est le film qui est misogyne. Je ne sais pas trop jusqu'où Jeune & Jolie est puissant, profond, pertinent, ce que je sais, c'est que je ne me suis jamais senti aussi proche d'un personnage.

http://www.youtube.com/watch?v=DHobdfeMJn0

Modifié par Best_07

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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j'ai perdu 2h de ma vie en regardant "now you see me" hier. C'est un navet avec les effets spéciaux en mieux. encore heureux que je l'ai pas vu en ciné.

http://www.hostingpics.net/viewer.php?id=977977Capture.png' class='bbc_url' title='Lien externe' rel='nofollow external'>977977Capture.png
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20158098.jpg
Enfin vu !
Pas déçu même si je place son prédécesseur devant.
Long mais jamais ennuyeux, là c'est quasi plus un gros film d'action que de super héros, j'ai pas eu l'impression de voir beaucoup Batman. D'ailleurs il est pas au top le Batman, j'ai bien aimé ce côté là. Surtout que Bane est excellent comme bad guy, dans un registre différent du Joker.
J'aurais aimé qu'on développe plus certains persos mais le film aurait duré une plombe..

La fin j'ai pas capté tout de suite je faisais plus attention je croyais qu'il était mort, j'avoue elle est classe même si un côté dramatique pour finir la trilogie m'aurait pas déplu. Déçu aussi de la mort de Bane.



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Bien aimé aussi.
L'idée tue. Mais comme souvent avec ce genre de film on a l'impression que y'avait moyen de plus développer, enfin ici le réal s'est fait plaiz a mettre des séquences d'action et scène bien "sanglantes" (la fin dans le couloir, hommage à Old Boy?)
Jude Law et Whitaker, ça fonctionne. La BO est excellente, la scène avec la meuf à la fin ça tue, c'est ça l'amour!
Bon le twist final est bien pensé mais j'sais pas, il tombe comme ça c'est pas très bien amené, ça fait à moitié son effet quoi.
Bonne surprise quand même.

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Fan de Statham, j'aime encore bien ce genre de film.
Il avait été encensé par "Ecran Large", pas trop vu une réelle différence par rapport à ses films récents.
Enfin on est loin des scènes d'action ridicules d'un "Transporteur" ou ralenti foireux, c'est des scènes d'actions pure et bien filmées, Statham se contentant comme d'hab de dégommer tout sur son passage et de lacher une ou deux punchlines avec son accent british.

Modifié par Loïc

YES SIR!

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Enfin vu !

Pas déçu même si je place son prédécesseur devant.

Long mais jamais ennuyeux, là c'est quasi plus un gros film d'action que de super héros, j'ai pas eu l'impression de voir beaucoup Batman. D'ailleurs il est pas au top le Batman, j'ai bien aimé ce côté là. Surtout que Bane est excellent comme bad guy, dans un registre différent du Joker.

J'aurais aimé qu'on développe plus certains persos mais le film aurait duré une plombe..

 

La fin j'ai pas capté tout de suite je faisais plus attention je croyais qu'il était mort, j'avoue elle est classe même si un côté dramatique pour finir la trilogie m'aurait pas déplu. Déçu aussi de la mort de Bane.

 

 

 

 

Tu devrais plutôt être déçu de sa fin de m**** haha.

Pour la fin du film, tu te souviens quand Fox a mentionné le pilotage auto enlevé sur la batwing ? (Il était défectueux selon Lucius Fox) Bah Bruce l'a réparé, puis remis avant la fin du film. Donc pas mort.

Modifié par Neosquall

Si vous avez un doute sur une ou plusieurs sources liées à un transfert de ManUtd : Allez sur ce lien !


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Tu devrais plutôt être déçu de sa fin de m**** haha.

Pour la fin du film, tu te souviens quand Fox a mentionné le pilotage auto enlevé sur la batwing ? Bah Bruce l'a remis avant la fin du film. Donc pas mort.

 

 

Ouais ouais t'inquiète j'ai bien capté, c'était pcq dans ma tête il était mort je faisais limite plus attention à ce qui se disait puis je vois Alfred qui le voit à la terrasse.. du coup ouais ^^

Puis le signal Batman est réparée, Robin a les coordonnées de la batcave...

Oui oui j'ai dit que j'étais déçu de la mort de Bane... Il méritait mieux mon gars Tom Hardy

 

YES SIR!

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