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Film qui traite l'enquête de journalistes d'investigation sur le décès de la maîtresse d'un député. C'est bien orchestré, il y a du rebondissement, les acteurs sont bons.. Agréable moment. Dommage la relation Crowe-Affleck, pas assez approfondie à mes yeux, on y croit moyen. A voir tout de même.

YES SIR!

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Face de c** :D

U-N-I-T-E-D, United are the team for me

 

 

"Het is niet echt de vraag OF we het WK 2014 winnen, de vraag is eerder: met hoeveel doelpunten verschil winnen we de finale?" De Motivees/Les Motivées

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  • 2 semaines après...

"The Artist" avec une Bérénice Béjo absolument magnifique et dont la prestation vaut (ou même dépasse) celle de Jean.

Je vous le conseille si vous voulez passer un moment émouvant. Moi, il m'a donné envie de revoir tous les films du cinéma muet.

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Oui, je vais me le faire celui-là, il m'intéresse !

 

Sinon récemment j'ai vu quelques bons films, pas des chefs-d'oeuvre, mais de bons films tout de même: il s'agit de The Insider de Mann (avec un très grand Russel Crow), Man on Fire de Tony Scott (le meilleur Denzel Washington ?) et Layer Cake de Matthew Vaugh (Kick-ass)

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Ouais je l'ai matté hier ! Man on Fire, je l'ai vu aujourd'hui... car je l'avais enregistré hier, ça passait sur Rtl :D

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Vol Spécial.

 

Un film de Fernand Melgar. Documentaire qui se passe dans la prison pour sans-papiers de Frambois à Genève qui expose la vie de plusieurs détenus qui attendent d'être expulsé sans rien pouvoir faire. Certains sont là depuis plusieurs dizaines d'années, payent des taxes et impôts et se font contrôler un jour dans la rue, et se font envoyer dans une prison comme Frambois en attendant d’être renvoyé dans leur pays d'origine. Ils sont renvoyé dans des conditions inhumaines (yeux bandés, masque sur le visage, attachés à une chaise et tout ça jusqu'à 40heures d’affilées au maximum). En gros ça parle de ça. Sachez aussi qu'un détenu est mort durant un de ces vol spécial, mais rien n'a pu être filmé durant ce vol car il était interdit pour les caméras de filmer "des individus dans des conditions gênantes ou humiliantes" (extrait du code suisse), mais par contre eux ils ont droit de les mettre dans des conditions gênantes, bizarre, surtout pour un pays qui a signé les Conventions de Genève. Il y a aussi une polémique en Suisse qui dit qu'un type qui est filmé durant le film (alors qu'il ne parle jamais et est en arrière-plan quelques fois seulement) est un criminel qui a changé 8 fois d'identité et a purgé des peines pour blanchiment d'argent, etc... Mais de 1) Il n'a jamais été question de dire qu'ils sont tous blanc comme neige dans le film, mais ce film a été fait pour montrer ce qui se passe dans ces endroits. et de 2) seul 40% des détenus de ses prisons pour sans-papiers ont un casier judiciaire, donc 60% vont être renvoyer pour ne pas avoir de papier. Saloperie de pays.

 

Bref je vous mets quelques extraits, si vous arrivez à le télécharger (chose difficile à mon avis), c'est très enrichissant et dégoutant à la fois.

 

 

Modifié par AndeersOn
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Je viens de regarder "Karaté Kid", je le trouve pas mal ^^.

Vous croyez que le p'tit Smith va avoir une aussi grande carrière que son père ?

Manchester United, à la vie à la mort !

"Plusieurs fois, grâce à un Rooney qui comptait pour deux, on a eu l’impression que Manchester jouait à douze. Erreur : avec Jones, ça fait treize." Sofoot

 

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:lol:

 

Et puis bon, il doit avoir des dizaines de mecs plus doués que lui mais qui n'auront pas sa chance...

We're going Wild Wild Wild ! We're going Wild Wild Wild ! So come on David Moyes, play like Fergie's Boys !

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Je me suis maté une nouvelle fois 'Le nombre23", il est vraiment excellent avec notamment un Jim Carrey complétement bluffant dans un rôle dans lequel on aurait jamais pensé le voir !!!

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Vu le nombre de daubes qu'a fait son père, je lui souhaite pas

Il a quand même fait de bons films.

:lol:

 

Et puis bon, il doit avoir des dizaines de mecs plus doués que lui mais qui n'auront pas sa chance...

Ah ça c'est sûr, mais bon c'est comme dans tout les domaines ça, musiques etc...

Manchester United, à la vie à la mort !

"Plusieurs fois, grâce à un Rooney qui comptait pour deux, on a eu l’impression que Manchester jouait à douze. Erreur : avec Jones, ça fait treize." Sofoot

 

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Cette trilogie est ... :wub: :wub: :wub:

Manchester United, à la vie à la mort !

"Plusieurs fois, grâce à un Rooney qui comptait pour deux, on a eu l’impression que Manchester jouait à douze. Erreur : avec Jones, ça fait treize." Sofoot

 

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Lord Of The Rings ? Connais pas, et puis rien ne vaut mieux qu'un bon Harry Crotteur ! ^_^

U-N-I-T-E-D, United are the team for me

 

 

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Lord of the rings, le seul blockbuster avec lequel je suis en parfaite symbiose tant il est magique. :)

  • J'aime 1

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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Animal Kingdom entre d'emblée dans ma catégorie de film inclassables. Film touchant et film distant, film d'actions et film philosophique, film de faits et film d'idées. Il regroupe tout cela avec aisance, et David Michôd organise son long-métrage pour faire ressentir aux spectateurs ce qu'il veut leur faire ressentir, au moment propice. Il s'intéresse tout autant à la perception que peut avoir une personne devant son écran qu'à l'histoire en elle-même, le rendu est particulièrement réussi. C'est le cas avec cette première scène étonnante, de la mort de la mère d'un jeune homme. Si celle-ci contribue à servir d'élément déclencheur à l'histoire, elle a aussi un autre rôle, encore plus important : Mettre en évidence l'apathie de Josh, le personnage principal, qui regarde un jeu télévisé pendant que les médecins découvrent le corps inerte de sa mère.

 

Sa psychologie, très terne en fin de compte, sera encore plus développé lorsqu'il rejoindra le reste de sa famille, qui n'a pas grand chose avoir avec sa propre personnalité. Peu bavard, inexpressif, c'est à ses côtés que l'on va être balloté dans tous les sens, au fil des minutes. Tout comme lui, bien que les informations et les faits nous soient livrés sans faux semblants, nous ne sommes pas pleinement inclus. Et c'est avec ce procédé que Michôd atteint son but, il ne juge pas, il ne place pas le spectateur dans une position faible, le faisant soutenir certains personnage et en haïr d'autres. Non, il apporte une vision de la vie, transmise à travers la succession d'évènements qui vont toucher cette famille.

 

Nous sommes baignés dans la contemplation des évènements, avec ce réalisme frappant du cadre australien, et cette lenteur ambiante, qui s'orchestre à la fois autour du travail visuel et sonore, que du caractère de Josh. Les émotions ne sont pas nécessairement transmises par les personnages, mais bel et bien par le message qui se situe derrière. Les quelques acteurs ne sont pas spécialement attachants, bien qu'excellents dans leurs rôles, ils ne sont pas là pour ça, ils sont là pour relater d'une étude précise et personnelle de ce qu'est la société.

 

Un film n'aura jamais aussi bien illustré son titre, l'histoire nous dit qu'il n'y a pas de bien et de mal, juste des personnes avec des objectifs différents. Et c'est à travers cette vision que les personnages gagnent en puissance, en impact. Ils font tous des choix, qu'ils veuillent les faire ou non, et sont donc obligés de prendre des décisions, aux effets parfois dramatiques. Cela peut paraître ironique, mais tous autant qu'ils sont, ils n'ont pas le choix de faire des choix. Ils font ce qu'ils jugent le meilleur, non pas le plus juste, mais le mieux, pour eux, avant tout. On pourrait parler d'égoïsme, mais ce n'est pas vraiment cela, c'est plutôt une lutte entre le fort et le faible, en fonction des situations, où chacun essaie de se retrouver en position de force. Tout est justifiable dans ce film, rien n'est strictement barbare et sans fond, tout est parfaitement dosé pour apparaître logique, et quelque part, inévitable. C'est pourquoi, malgré la tristesse qui atteint son paroxysme avec la mort d'un des personnages, nous ne sommes pas émus. Ce personnage, très peu développé, est peut-être le plus important du film, qui reflète l'intention du réalisateur. Nous ne pouvons rien en penser d'autre que : C'est comme ça et pas autrement.

 

Il est d'ailleurs intéressant de noter que jusqu'aux toutes dernières secondes l'on joue sur ce travail sur les personnages. La mère de famille, Janine, magnifiquement interprétée, représente tout ce désir de trouver le bonheur et la paix, en s'accommodant de situations chaotiques, pour en tirer ce qu'elle peut en tirer. Une constante lutte pour sauver sa propre condition, tout en gardant à l'esprit l'une des faiblesses de l'homme, le désir de vengeance.

 

Animal Kingdom n'est pas violent, il est puissant, il n'est pas triste, il est réaliste, il n'est pas actif, il est passif. Le spectateur lui devient actif devant ce film intelligent, qui traite de nombreux sujets avec clarté et objectivité. Et si son genre est inclassable, on peut sans hésitations le classer dans les très bons films !

Modifié par Best_07

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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Qui a dit film à oscars spotted ? Moi.

 

Mérité pour Leo, bravo.

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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Léo est définitivement le meilleur acteur de sa génération, après ça reste que mon humble avis :).

 

Sinon un autre trailer, où on peut voir un casting de "folie", ça pourrait être pas mal, ou pas.

 

Modifié par Skynet
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Bon film. Parfait dosage entre action et réflexion. Cruise se ballade dans un monde futuriste où le travail sur le visuel est assez impressionnant. Les jeux de lumière sont splendides, amusant quand on voit à quel point le film est sombre. Dommage que c'est trop long et que ça baisse en intensité par moment, heureusement rattrapé par 20 grosses dernières minutes.

 

 

Par contre j'ai quelques interrogations, on a piégé Cruise en le manipulant sur la disparation de son fils.. Mais qu'est-il arrivé finalement à son fils, mort ou enlevé ? Et si j'ai bien compris, Lamar s'est servi de cette histoire d'il y a 6 ans pour la faire ressurgir, attirer Cruise et le faire arrêter de sorte à ce qu'il ne révèle pas le meurtre de la femme par Lamar ? Donc la disparation à la base était pure hasard

 

YES SIR!

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Vanilla Sky est film américain, remake d'Abre los ojos d'Alejandro Amenabar. J'insiste tout de même sur le fait qu'il n'en reste pas moins un film unique et un chef d'oeuvre à part entière, se distinguant de l'original à travers bien des procédés, qui le rende encore plus puissant. L'intérêt de tout remake n'est pas de reproduire avec exactitude l'oeuvre originale, mais d'apporter une touche personnelle, qui peut changer la vision qu'on en a, pas fondamentalement, mais par l'intermédiaire de subtilités, qui au final, deviennent fondamentales justement, qu'on le veuille ou non. Cameron Crowe réussi ici à nous plonger dans l'univers retranscrit par cette histoire avec plus de magie que son prédécesseur, en jouant sur tout ce que le cinéma se permet d'offrir aux spectateurs.

 

Si ce long-métrage est divisé en deux parties distinctes, elles ne sont pas pour autant opposées de manière barbare, bien au contraire, mais entrecoupées avec finesse, se rejoignant l'une et l'autre pour ne former qu'un tout, qui mêle rêve et réalité, fiction et réalité, filmique et philosophique. Le travail effectué sur ces deux parties reste le même, celui de jouer sur l'image et le son, pour intégrer un élément isolé dans un tout, qui ne trouve un sens que lors du dénouement final. Dénouement qui surprend, mais qui n'est en réalité que logique pure au vu de tous les indices glissés au long de l'histoire. Ce qui est essentiel, ce n'est pas ce que nous voyons, en temps qu'histoire à proprement parlé, mais les images qui se cachent derrière cette histoire. Plus que jamais Cameron Crowe joue sur le non-dit, le suggéré, l'illusion, l'effet sonore, pour transmettre sans cesse des messages au spectateur, messages qu'il n'interprétera peut-être qu'après plusieurs visionnages, tant ils sont riches, subtils, et nombreux.

 

La scène d'introduction évoque d'emblée l'aspect étrange qui plane sur ce film, nous faisant survoler l'histoire avec toujours ce même gêne, cette même impression de ne pas savoir, de douter. Et quand j'évoque la scène d'introduction, je devrais en réalité dire les deux scènes d'introduction. Que ce soit avant le premier réveil ou avant le second réveil, elles intègrent toutes deux des effets de style qui les rendent particulièrement intéressantes, et qui aspirent avec une facilité déconcertante le spectateur dans l'ambiance du film.

Car, outre son scénario intelligent, si ce long-métrage se distingue tellement, c'est aussi et surtout grâce à l'atmosphère qui s'en dégage. Tantôt édulcorée, tantôt sombre, nous passons du rêve au cauchemar, de la réalité à la fiction, en ayant pour portrait ces couleurs qui accompagnent les situations, avec toujours cette justesse étonnante, et ce désir de perfection plus que visible, symbole même du choix du titre : Le ciel vanille, qui joue un rôle important, plus qu'il n'y parait en tout cas.

 

Perfection visible, et perfection audible, aussi. Les bruits de fond qui accompagnent de nombreuses séquences, à la limite d'être imperceptibles, donnent une dimension au film que je n'ai pu pleinement apprécier, ou du moins comprendre, qu'après plusieurs visionnages. Plus que des effets de style (qu'ils sont aussi), ce sont des bruitages qui accompagnent l'histoire hors de l'histoire. Cela reste vague, mais en prêtant grande attention à ce fameux travail sonore, tout en connaissant l'issue du film, il apparait comme sublimé, et il y trouve toute sa logique. Accompagnant ce travail de mise en place d'une ambiance unique, en plus des couleurs et des sons, il y a cette bande originale, si particulière, qui se colle aux images avec une élégance rare. C'est comme si l'on avait imaginé les actions à partir des musiques, qui ne peuvent pas mieux correspondre à ce qu'elles représentent.

 

Un désir de perfection si poussé ne donne pas toujours un film parfait. Mais ici, le film tire bénéfice de cette intention, et n'en devient rien d'autre qu'une oeuvre magistrale, que je juge inépuisable, tant elle permet à chaque fois d'offrir une nouvelle expérience. Oser ouvrir les yeux et plonger son regard dans ce film, c'est oser être embarqué dans un état qui frise la folie, qui ne laisse aucune seconde de répit, tant il s'empare de nous et nous transforme en David Aames, subissant les mêmes interrogations, les mêmes joies, les mêmes peurs ; le même rêve, le même cauchemar. Quand en plus de cela nous nous retrouvons devant un casting qui se surpasse, renvoyant tous les sentiments évoqués à travers les deux heures de film, avec tant d'impact, on ne peut qu'être sous le charme.

 

Avant d'être une histoire d'amour, de manipulation, de folie, ou que sais-je, Vanilla Sky n'est autre qu'un hymne au romantisme, aux rêveurs, pantois d'admiration devant tous ces sentiments sur lesquels ils n'arrivaient jamais à mettre des sons, des images, avant la visualisation de ce film. Je n'ai qu'un conseil à ceux qui hésiteraient encore à le découvrir : Open your eyes.

Modifié par Best_07

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

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