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Charlie

Fergie Babes
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Tout ce qui a été posté par Charlie

  1. Charlie

    Paul Pogba

    Pour le moment c'est pas mal, il s'intègre lentement et surement au collectif et se garde d'effectuer trop d’incursions. Le match contre City sera un premier indicateur de l'impact potentiel de Pogba sur notre football.
  2. Charlie

    Serie A 2016/2017

    Bienvenue sur le forum, et c'est avec plaisir que nous accueillerons tes prochains commentaires sur ce championnat rigoureux et passionnant. La Juventus semble bien parti pour asseoir sa domination, reste à savoir quelles seront les équipes qui pourront lui tenir tête sur la durée.
  3. https://www.youtube.com/watch?v=MrbjjcATSSY Intéressant mais on le paiera trop cher, et l'affaire Pogba m'a suffit comme cela. Cependant dans le genre transmission milieu - attaque, il se pose. Et pour gérer l'après Rooney il ne sera pas le plus mauvais pour moi.
  4. COACHING, RELATIVITÉ ET INELUCTABILITÉ C’est un match que Luis Fernandez traîne comme un boulet. 7 mars 2001, La Corogne – Paris Saint-Germain, cinquième journée de la deuxième phase de la Ligue des champions. Les Parisiens partaient “à la pêche au miracle”, comme l’avait titré Pierre Ménès, envoyé spécial de L’Équipe pour ce match. Ils avaient besoin d’une victoire en terre galicienne pour continuer à croire en une improbable qualification pour le tour suivant. Le plan de jeu mis en place semblait parfait. Après cinquante-cinq minutes, grâce à des contres éclairs, le PSG mène 3-0. Un doublé de Laurent Leroy, dont un but sublime, et une réalisation de Jay-Jay Okocha. “Hier soir à La Corogne, l’entraîneur parisien a cru avoir tout bon, écrivit d’ailleurs Pierre Ménès le lendemain. Parce que même si le PSG devait impérativement l’emporter à Riazor pour continuer à entretenir ce fol espoir de qualification en Ligue des Champions, il ne fallait pas se jeter stupidement à l’assaut du but espagnol pour se faire ramasser en contre.”“Alors qu’on menait 3 à 0, le docteur Hakim Chalabi, à côté de moi, m’avait donné un coup de coude: ‘Allez, à 3-0, c’est fait!’, raconte Luis Fernandez dans son autobiographie Luis. J’avais un mauvais pressentiment. ‘Ah tu crois ça, toi ?’ Je connaissais suffisamment la Galice pour savoir qu’avec leur état d’esprit, les joueurs ne s’avouaient jamais vaincus. ‘Si on encaisse un but dans les cinq minutes, on risque fort d’exploser.’” L’entraîneur parisien est ici un peu comme Pleasure, le personnage joué par Brendan Fraser, dans The Air I Breathe: il voit ce qu’il va se passer dans le futur proche mais est incapable d’en changer l’issue. Luis Fernandez a imaginé le renversement de situation complètement fou. Il a vu La Corogne enfiler les buts. Il a tout fait pour l’empêcher, mais il n’y est pas parvenu. Il a fait entrer Peter Luccin, Éric Rabesandratana puis Igor Yanovski, trois joueurs censés solidifier son équipe. En vain. “J’étais dépité, comme impuissant”, résume-t-il dans Luis. Comme si la défaite était inéluctable. EFFET PAPILLON ET ORDRE “NORMAL” DES CHOSESQuand on regarde le match aujourd’hui, en en connaissant l’issue, on comprend pourquoi. Malgré un 5-4-1 ultra défensif, Paris a concédé une multitude d’occasions pendant cinquante-cinq minutes, sans être puni. À l’inverse, tout a réussi aux attaquants parisiens. L’ouverture du score d’Okocha est déviée par un défenseur alors que José Molina était sur la trajectoire, Laurent Leroy a marqué le but de sa vie… On sous-estime souvent le rôle de la chance dans le football. Un faux rebond peut faire basculer un match, voire une saison. Le fameux “effet papillon”, objet de tant de fantasmes. En l’occurrence, en dépit de son avance au tableau d’affichage, le PSG ne paraissait pas intouchable, loin de là. Avec le recul, ce basculement du scénario ressemble fort au rééquilibrage d’une anomalie du destin. La seule incertitude concernait le délai de retour à la “normale”. Après tout, le processus aurait pu être interrompu par le coup de sifflet final… Les détracteurs de Luis Fernandez affirment qu’il l’a accéléré en sortant les seuls joueurs (Arteta, Benarbia et Okocha) capables de tenir le ballon et soulager leur arrière-garde. D’autres retiendront plutôt le coaching gagnant de Javier Irureta, qui fait entrer Diego Tristan (un but) et Walter Pandiani (triplé), deux joueurs de surface bons dans les airs, pour enfin concrétiser les innombrables centres délivrés depuis le début du match par Victor, Fran, Pablo et Romero. On notera d’ailleurs qu’Éric Rabesandratana devait éteindre cette menace aérienne, que Luis Fernandez avait parfaitement identifiée. Irureta et Fernandez n’ont pas changé de système. Le premier a simplement rendu son 4-4-2 plus offensif, avec un Djalminha plus influent en créateur reculé qu’en soutien de Roy Makaay en première période; le second a blindé son 5-4-1 en sortant ses créateurs. De toute façon, Paris ne tenait déjà plus le ballon depuis le début de la seconde période, même avec Benarbia et Okocha sur le terrain. “Lorsque je décide de faire ces changements, nous sommes déjà en train de reculer, déclarait Fernandez dans L’Équipe, à l’époque. Si je peux avoir un regret, c’est de ne pas avoir fait entrer Luccin et Rabesandratana en même temps, juste après notre troisième but. J’ai voulu renforcer le secteur défensif pour réduire les espaces.” FATALISME ET IMPUISSANCECe débat pose la question du poids réel des entraîneurs pour infléchir le destin de leur équipe sur un match. Le mesurer précisément est impossible. Tout au plus peut-on affirmer qu’il est très relatif. Certes, les coachs ont à leur disposition trois changements pour modifier leur équipe, ils peuvent faire évoluer leur système de jeu, intervertir le positionnement de certains joueurs, ce qui exclut l’hypothèse d’un fatalisme général dans lequel la volonté humaine s’effacerait face au cours inévitable des choses. Dans certains cas, les entraîneurs font basculer un match du bon côté. Dans d’autres, c’est l’inverse: la déstabilisation espérée chez l’adversaire peut se retourner contre sa propre équipe. D’où certaines approches très conservatrices envers les changements. Mais il faut appréhender cette influence d’un coach sur l’issue d’une rencontre de manière plus globale. Chaque jour de la saison, son travail consiste à faire intégrer ses principes par les joueurs, pour que leur prise de décision soit automatique une fois le match commencé. Car dans le feu de l’action, on peut difficilement corriger les lacunes. “Le temps que je m’aperçoive que le joueur est en retard, que je le lui dise et qu’il réagisse, c’est déjà trop tard, nous a expliqué Raynald Denoueix, rencontré pour l’ouvrage Comment regarder un match de foot ? (sortie le 11 février).Et parfois, si tu joues à Madrid, à Valence, les joueurs ne vont pas t’entendre. Donc l’un des maîtres mots, c’est ‘anticipation’. Mais pour certains, il n’y a rien à faire, ils ne comprennent que quand l’action s’est déjà déroulée.” L’interventionnisme est souvent un moyen pour l’entraîneur de se rassurer, ou de rassurer les joueurs. Lundi soir, on a ainsi vu Jean-Luc Vasseur, l’entraîneur du Paris FC, parler énormément au jeune Roli Pereira de Sa, prêté par le PSG, pour l’aider à se placer dans un entrejeu qu’il découvre encore. D’autres, comme Laurent Blanc, sont plus dans une posture d’observateurs, se limitant à quelques ajustements mineurs. Il n’y a pas besoin de plus quand la mécanique est bien réglée. Il ne faut pas négliger pour autant tous les parasites qui pourraient l’enrayer. La tactique n’est pas le seul déterminant, et elle est directement impactée par les facteurs physiques, psychologiques et autres (météo, situation au score etc.). Pendant un match, un entraîneur doit décider rapidement en fonction de la situation d’une petite vingtaine d’hommes aux sentiments, conditions et volontés potentiellement disparates voire contradictoires. C’est même peut-être d’abord là, dans la création d’une cohésion collective, que s’est joué La Corogne – PSG. Les trois mois vécus depuis le retour de Luis Fernandez sur le banc ont été rythmés par les polémiques. Stéphane Dalmat est parti, Peter Luccin s’est accroché avec son entraîneur, Éric Rabesandratana, Jimmy Algérino et le Brésilien Christian ont été plus ou moins écartés. Quelques jours avant le déplacement en Galice, Paris a battu Toulouse 3-0 en fin de match, au Parc des Princes. Mais Ali Benarbia a annoncé son départ en fin de saison, et Laurent Robert, sorti à la mi-temps, est allé au clash, critiquant Luis Fernandez dans deux entretiens successifs dans L’Équipe : “Entre nous, il y a un manque de dialogue depuis le début, affirme-t-il le 5 mars, deux jours avant le match au Riazor. Moi, j’en ai marre, il me parle mal, il me prend pour un gamin. Il me balance des vannes, ce qui n’est pas bien venant d’un entraîneur, avec tout le respect que je lui dois. Lui ne me respecte pas.” “Il m’a conseillé de prendre un peu de repos, mais c’est lui qui en aurait bien besoin”, renchérit-il le lendemain. QUAND LA TACTIQUE S’EFFACEQui sait, une meilleure unité au sein du groupe parisien aurait peut-être entraîné une plus grande implication défensive sur les corners (deux buts en sont issus), phases où la moindre absence individuelle se paye directement au tableau d’affichage. Elle aurait aussi permis de mieux tenir tête à la déferlante offensive du Depor. “Cela se passe dans tête, on a reculé, jugea Fernandez le soir du match. L’équipe est jeune et elle doit encore mûrir. Le premier but de La Corogne est venu beaucoup trop vite(deux minutes après le 0-3). Ensuite, les Galiciens ont joué leur va-tout. Des fois, ça marche. Ils avaient déjà fait le coup au Barça (victoire 3-2 à la dernière minute après avoir été menés 1-2) et au Real (de 0-2 à 2-2) en championnat. Ils savent qu’ils sont toujours capables de revenir dans un match.” Ou quand la tactique s’efface derrière la psychologie. Au bord du terrain, l’entraîneur perd ses leviers majeurs d’action et devient impuissant. Pourtant, Marca était très sévère avec l’entraîneur parisien : “De toute façon, Luis Fernandez devrait démissionner. Perdre après avoir mené 3-0 signifie soit que le PSG est très faible, soit que l’entraîneur est devenu fou.” Sous-entendu, un entraîneur raisonnable aurait su prendre les “bonnes” décisions pour que Paris gagne. En étant battu, Luis Fernandez s’est forcément trompé, et dans les grandes largeurs vue l’ampleur du renversement. Mais un entraîneur peut avoir raison, et perdre malgré tout. Pendant les cinquante-cinq premières minutes de La Corogne – PSG, Luis Fernandez était un génie. Une demi-heure plus tard, il était un incapable. “Vous ne pouvez pas vous imaginer le nombre de fois où, après une victoire, je me demande quelle est ma part de responsabilité dans le résultat, confiait Rolland Courbis dans L’Équipe en mai 2014.Mais vous ne pouvez pas vous imaginer le nombre de fois, où, après une défaite, j’estimais que, personnellement, je n’avais pas perdu.” Mais c’est pourtant bien le résultat, aujourd’hui, qui fait office de juge suprême du travail d’un entraîneur. Et tant pis s’il est loin d’être le seul à pouvoir l’influencer. http://cahiersdufootball.net/blogs/les-de-managers/2016/02/05/coaching-relativite-et-ineluctabilite/
  5. Charlie

    Theater of Dreams

    https://www.youtube.com/watch?v=IFdcdj4uJ6s&index=261&list=WL
  6. Il y'aura encore des retours cette saison, reste à savoir lesquels. On a eu Tangoo, Gua2loup1, surement Velcio, peut-être Bobby Charlton...
  7. Charlie

    José Mourinho

    Justement non. Je soulignais qu'il y'a que Chelsea qui a gardé une empreinte, le reste non. D'ailleurs oui, c'était un champ libre pour lui, Ranieri n'étant pas totalement à la hauteur de ce défi imposé par Abramovich. Mais la base des succès du club londonien, c'est le Mou qui l'aura instauré. Mais pour moi ses vrais faits d’armes sont ses victoires avec Porto, et son parcours avec l'Inter, j’éprouve plus de respect pour ça que ses passages à Chelsea ou au Real Madrid.
  8. Charlie

    José Mourinho

    Pour ce qui est l’emprunte laissée au club, il me semble quand même que Chelsea est teinté José Mourinho. D'ailleurs une base de l'équipe championne en 2012 et finaliste face à nous en 2008 est influencé par le portugais. Mais tout le reste des équipes ont finalement perdu la trace de José, à part peut-être le Real Madrid vainqueur de la LDC en 2014 qui là encore avait une bonne partie de l’effectif de José. Pour laisser en place une philosophie de jeu, est instaurer des résultats à long-terme (+ de 3-4 ans) il faut opter pour une certaine continuité, laisser la place aux jeunes joueurs également et compter sur leur apport pour insuffler un vent de fraîcheur et viser l'avenir du club, un collectif et une identité très forte, tellement visible que les joueurs nouveaux seront dans l'obligation de s'y adapter, puis je pense qu'il faut également une certaine humilité et avoir conscience qu'un club est fait de cycle et qu'on ne pourra durer éternellement dans le top 3 européen. José Mourinho est un challenger mais également un globe-trotteur, l'objectif c'est que ce côté challenger soit en même temps mélangé à un certaine stabilité. Au lieu de viser le court-terme, il devra viser la durée et dans le football d'aujourd'hui c'est devenu encore plus difficile, que ça pouvait être déjà le cas auparavant, c'est en ce sens que je te rejoints Kakim, ça sera son plus grand défi. Mais je dois bien le reconnaître, ça faisait longtemps que je m'étais pas senti aussi confiant pour l'avenir du club, on verra par la suite.
  9. Charlie

    José Mourinho

    Mais qu'est-ce que la sagesse au juste ? Tu as quatre heures Kakim ! Je ne sais pas, je pense qu'il a retenu des leçons du passé, mais le réel jugement on pourra se le faire lors des matches à enjeu, ça tombe bien il y'en a qui arrive prochainement, car c'est à ces moments là qu'il est le plus chaud bouillant ... S'il se réveille alors on pourra considérer qu'il en gardait sous la semelle, si par contre il reste tel qu'il est pour le moment, même dans les instants où d'habitude il faisait du Special One, alors là on pourra considérer qu'il a vraiment changé. Cet homme est capable de tout, ne l'oublions pas.
  10. Charlie

    José Mourinho

    José qui atteinds la sagesse à Manchester United, ça serait énorme !
  11. Charlie

    Les plus beaux stades

    Un ancien sujet... Je prendrais celui-ci pour débuter. Un des seuls stades, que j'aimerai me faire en dehors de O.T aussi bien pour l'ambiance, le pays; que le design du stade et le décor. Tout y est.
  12. Charlie

    Marcus Rashford [10]

    Je pense qu'on détient un profil à part entière, mais dans l'idée je souhaite toujours secrètement qu'il forme un duo de choc avec Martial dans les années à venir. Ces deux joueurs seront assurément complémentaires, et vu leur façon de se déplacer sur le terrain, ils feront des merveilles dans le front de l'attaque... c'est fort envisageable. Il m'a l'air d’être en avance sur certains aspects, il y'a toujours cette volonté de provoquer et d’aller vers le but, l’insouciance du jeune talent, et en même temps le mental pour rester fort sous la pression... Ce joueur bien géré, peut vraiment faire de sacrés dégâts...
  13. Ça sera difficile effectivement mais ils m'ont impressionné en première mi-temps, Phelan a une carte à jouer.
  14. Gros gros match de Hull City, quel impact physique. On sent l'influence de Phelan, ils peuvent faire de belles choses cette saison je l'espère pour eux.
  15. Charlie

    Ander Herrera

    Une des énigmes de la saison pour moi, il a les caractéristiques qu'aime Mourinho comme la discipline et le repli défensif, mais je ne sais pas s'il a le coffre et le volume de jeu qu'attends un entraîneur comme José de ses milieux de terrains. Si on joue dans un système à deux au cours de la saison ses chances seront bien plus réduites que dans un milieu à trois, où là il pourrait trouver sa place et offrir une alternative au jeu de Pogba, Fellaini, ou Carrick. J'espère le voir évoluer au cours de la saison, mais je crois déjà moins au soit-disant futur crack qui devait briller dans l'entre-jeu, mais à lui de saisir sa chance et de monter quel milieu de terrain intéressant il est.
  16. Dans ce cas là on peut fermer le topic, vu que Sir Alex Ferguson himself le dit ! Mon dieu, si on raisonnait tous comme ça il n’aurait plus de forum. L’objectif c'est de savoir l'avis des membres, qui peut être toujours intéressant malgré tout. D'ailleurs dans le premier article on a l'air de se rejoindre, pourtant je partage pas totalement son avis sur Ronaldo...
  17. Beckham devait gagner le Ballon D'or en 1999 et de loin, pourtant ce n'est pour autant le meilleur joueur sous Alex à mes yeux. Ce n'est pas l’argument le plus valable, c'est comme Scholes qui n'a jamais gagné le titre de meilleur joueur de PL, pourtant pour beaucoup il est le meilleur sous Sir Alex. Je pense que ça joue entre Cantona, Scholes et Giggs. Les trois ayant quelque chose de très particulier, Cristiano peut par contre se rajouter à ce trio plus par rapport à son énorme talent naturel. Cantona n'est pas le plus talentueux intrinsèquement pour moi, mais c'était l'un des meilleurs joueurs de son époque et son impact à M.U est indescriptible. Scholes est je pense le plus grand talent, un talent égal aux plus grands joueurs de l'histoire du football. Giggs est le plus constant, celui qui a réussi à maintenir un haut niveau de performance sur deux décennies ce qui est un immense exploit. Cristiano Ronaldo est un peu comme Scholes, un joueur avec un talent digne des plus grands de ce sport, mais il a mis du temps à dérouler et nous a quitté au sommet de son art. Beckham et Rooney s'en sortent très bien, deux très très bons joueurs de football, pouvant par moment côtoyer le gratin mondial, mais ils leur manquent un petit quelque chose aux deux pour être considérés comme les tous meilleurs. Beckham sa fin délicate... Rooney sa grande baisse de régime, et son niveau inquiétant depuis quelques saisons maintenant. Rio est le meilleur défenseur qu'on n'ait jamais eu. Schmeichel est l'un des plus grands du poste, tout comme Van Der Sar.
  18. Charlie

    Roy Keane

    Pour être sur la continuité...
  19. Charlie

    Phil Jones

    One Sheazy: C'est la preuve qu'on peut se tromper et on se trompera encore, et j'aime pas vraiment le terme de connaisseur, déjà que mêmes les plus grands spécialistes font des erreurs et heureusement. Jones avait des similitudes avec Rooney dans la maturité physique, le côté explosif qui lui permettait de compenser son inexpérience par rapport aux joueurs qui l'entouraient. C'était un BIG PLAYER en puissance, le genre à défrayer la chronique et marquer l’histoire de son club. L'euphorie était justifiée à l’époque, maintenant il a subi le contre-coup de son jeu trop engagé, et au contraire de Rooney qui lors de ses premières saisons était monstrueux et en avance par rapport à son âge, Jones n'a jamais su utiliser ses caractéristiques qui en faisait un défenseur de qualité. En gros on a vu le revers de la médaille du jeu de Jones, sans en avoir vu pour le moment les avantages. Les blessures, l'irrégularité, la perte de confiance tout ça freine la progression d'un jeune joueur. Mais tout n'est pas encore perdu, et je ne sais si c'est déjà le moment de tirer des conclusions sur l'évolution et la perte de vitesse de Jones. Mais ce qui est sûr, c'est qu'en étant un peu prés au même stade que Smalling au départ, celui-ci est maintenant bien en avance et a su mieux gérer ses baisses de régime.
  20. Charlie

    Serie A 2016/2017

    Intéressant. Des membres permettant d’analyser les autres championnats sont évidement les bienvenus et vont apporter de la qualité aux débats.
  21. Charlie

    Chroniques des membres

    Belle chronique ohman, et j'attends les deux autres parties.
  22. Charlie

    Ashley Young

    Et là encore tu n'as pas compris. Je n'ai pas dit qu'avec des joueurs de ce type on serait au sommet, mais qu'ils y contribuaient. Ça serait aussi malhonnête d'avoir cette vision, que de dire que Manchester United a été si performant uniquement grâce à de grandes stars. C'est le melting pot qui ne marchait plus, les joueurs moyens - bons cités, puis les autres qui se nomment Van Persie, Ferdinand, Vidic, Evra, Rooney, qui eux sont des grands noms du football moderne. Les joueurs moyens achetés représentent autant un recrutement Manchester que les grands noms - Légendes. Le mélange qui faisait notre force autre fois, ne fonctionnait plus. Evidemment qu'on ne va pas remporter une PL ou une LDC sans au minimum 3-4 grands joueurs. Cette époque que tu vises, il y'avait également Falcao acheté qui était l'un des meilleurs attaquants, Di Maria l'un des meilleurs joueurs au monde. Des joueurs pour permettre de contrebalancer par rapport aux joueurs pas suffisamment bons d'après toi, on connait la suite.
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