Marvin

http://www.youtube.com/watch?v=MXoyeAkh6Vc Il y a aussi le match preview sur cette chaîne YT, avec analyse de Gary notamment.

Ca serait une excellente recrue effectivement.

Manchester United 0-0 Chelsea, l’analyse tactique Alors que la Ligue 1 attend toujours son premier choc de la saison (Marseille-Monaco, dimanche prochain), la Premier League a dégainé dès ce lundi soir avec un Manchester United-Chelsea qui était supposé lancer les hostilités tout en clôturant la 2eme journée… Mais la rencontre n’a pas été à la hauteur des attentes et des talents présents sur la pelouse. Insipide et sans intensité, le spectacle proposé laisse penser que les mastodontes du football anglais attendent le mois de septembre pour se dévoiler. Pourtant au coup d’envoi, tout le monde est là (ou presque). Côté Red Devils, Rooney est titulaire, positionné en soutien de Van Persie. Titulaire lors de la victoire à Swansea la semaine dernière, Giggs fait les frais de ce retour et débute sur le banc (De Gea – Jones, Ferdinand, Vidic, Evra – Valencia, Cleverley, Carrick, Welbeck – Rooney, Van Persie). De son côté, José Mourinho procède à deux changements par rapport au onze de départ qui a difficilement battu Aston Villa en milieu de semaine dernière : Mata et Ba sortent de l’équipe au profit de De Bruyne et Schürrle, qui connaît du coup sa première titularisation dans le championnat anglais. Une première qui s’annonce difficile, seul en pointe face à la meilleure charnière centrale du Royaume (Cech – Ivanovic, Cahill, Terry, Cole – Ramires, Lampard – De Bruyne, Oscar, Hazard – Schürrle). Neutralisation totale : Tactiquement, les premières minutes de la rencontre permettent de découvrir deux organisations défensives similaires pour bloquer la relance adverse. D’un côté comme de l’autre, les deux attaquants axiaux (Rooney-Van Persie et Oscar-Schürrle) se replacent au niveau du rond central et s’oppose aux rampes de lancement adverses (Ramires-Lampard et Carrick-Cleverley). Derrière eux, deux lignes de quatre quadrillent leur moitié de terrain. Sur les côtés, ailiers et latéraux s’affrontent. Dans l’axe, défenseurs centraux et milieux composent avec les déplacements des attaquants adverses (décrochages, mouvements dans l’axe etc…). Avec le ballon, seuls les défenseurs centraux sont épargnés : de chaque côté du terrain, ce sont donc Vidic, Ferdinand, Cahill et Terry qui se chargent de la relance en début de partie. Evidemment, les solutions courtes manquent en raison de la position des deux blocs en phase défensive. L’axe étant bloqué, seuls les latéraux peuvent récupérer les ballons… mais les adversaires profitent de ces transmissions latérales pour mettre en place leur pressing dans le couloir, et forcer l’équipe adverse à reculer pour ne pas se retrouver en difficulté. Car d’un côté comme de l’autre là encore, les contres peuvent partir très vite… Manchester relance. Carrick et Cleverley sont pris par Oscar et Schürrle. Vidic peut toutefois s’avancer avec le ballon. Chelsea relance. Lampard profite de l’espace laissé par Van Persie pour garder le ballon, mais les solutions ne se bousculent pas. Manchester United : la largeur à défaut de profondeur Pour les deux équipes, il s’agit donc de trouver des solutions pour envoyer le jeu dans le camp adverse et développer leurs attaques. Pour Manchester United, cela passe d’abord par le jeu long : l’équipe s’appuie en effet sur l’avantage physique de Valencia sur Cole. A plusieurs reprises, l’Equatorien est directement ciblé par Carrick, Ferdinand ou même Vidic. Qu’il gagne ou non ses duels, l’important pour Manchester United est d’être présent sur les seconds ballons. Rooney ou Van Persie mettent la pression sur Terry et Cahill ; Jones s’impose aisément à l’impact face à Hazard et la paire Cleverley-Carrick suit les attaquants afin de presser Ramires et Lampard. C’est d’ailleurs un pressing gagnant des deux milieux mancuniens qui permet à Van Persie de toucher enfin le ballon dans la surface adverse (23e). Au fil des minutes, Manchester United adapte aussi sa relance. Carrick et Cleverley décrochent à tour de rôle entre Ferdinand et Vidic. La ligne de relance s’écarte de l’axe Oscar-Schürrle et se crée des possibilités de passes à destination de Rooney ou Welbeck qui décrochent au milieu de terrain. Bien suivis par Lampard et Ramires, ces mouvements ne permettent toutefois pas à Manchester United d’accélérer le jeu vers les buts adverses. Tout au plus, ils offrent aux Red Devils la possibilité de bien faire circuler le ballon sur la largeur. Très souvent, ils vont donc développer leurs offensives d’une aile à l’autre, démarrant par exemple de la zone de Valencia pour finir de l’autre côté par une montée de Evra (la réciproque étant vraie avec Jones ou Valencia en fin de mouvement à droite). Sur ce point, le repli défaillant des deux attaquants de Chelsea (Oscar et Schürrle) est une aubaine pour les Mancuniens puisqu’il libère Carrick et Cleverley, qui se retrouvent libres de renverser le jeu depuis le rond central. Très mobile, Rooney offre un relais à ses milieux de terrain. Focalisant l’attention des milieux adverses, il permet à Cleverley et Carrick d’organiser tranquillement le jeu depuis le rond central. Ici, celui-ci part côté gauche vers Evra et Van Persie. Chelsea : décrocher pour ressortir le ballon De leur côté, les Blues n’ont pas la solution du jeu long pour faire reculer le bloc adverse et s’ouvrir ensuite le terrain. Ils doivent donc compter sur la capacité de leurs attaquants à se rendre disponibles. A ce jeu-là, c’est Oscar qui sort du lot (et de loin). Lampard et Ramires étant bloqués par Van Persie et Rooney, le milieu brésilien redescend à leur hauteur afin de prendre en charge les lancements de jeu. Avec Hazard en principale menace pour la défense mancunienne, Oscar trouve des espaces sur le côté gauche, où Valencia évolue assez bas afin de couper les transmissions vers l’ancien leader technique du LOSC. Côté opposé, l’apport limité de Ivanovic en phase offensive permet à Welbeck de revenir participer à la récupération de balle dans l’axe, limitant de fait les espaces pour les décrochages du meneur de jeu adverse. Afin de compenser l’absence de son meneur de jeu aux avants-postes, De Bruyne quitte l’aile droite pour se rapprocher de Schürrle et Hazard. Oscar se retrouve au niveau de la ligne médiane, avec trois solutions à atteindre au coeur du bloc mancunien, dans la zone normalement gardée par Carrick et Cleverley. Si les transmissions sont possibles, les Blues ne sont toutefois pas forcément les premiers à la réception. Le repli de Rooney et Van Persie compense les montées de Ramires, Lampard et Oscar dans l’axe, limitant les possibilités d’enchaîner dans les 25 derniers mètres. Qui plus est, Manchester profite de ces lancements de jeu excentrés pour mettre en place son pressing et bloquer son adversaire sur un demi-terrain. Un lancement de jeu d’Oscar à gauche. Cleverley sort au pressing afin de l’empêcher de progresser. Dans son dos, Valencia, Carrick et les défenseurs encerclent les trois attaquants des Blues. Au cas où le ballon ressort dans l’axe, Rooney, Van Persie et Welbeck sont prêts à revenir défendre sur Lampard ou Ramires. Les Red Devils procèdent ensuite très rapidement en contre-attaque, exploitant notamment les espaces dans le dos de Cole qui occupe le couloir gauche en phase offensive. Rooney se charge de prendre la profondeur, alors que Van Persie sert de point d’appui dans le rond central pour le lancer. Côté opposé, Welbeck repique dans l’axe afin d’accompagner l’attaque. Malheureusement pour les Mancuniens, et pour le spectacle, la défense de Chelsea prend à chaque fois le dessus sur les attaques. Conclusion : Et ses histoires se répètent quasiment à l’identique après la pause. Chelsea met tout de même un peu plus d’intensité défensive, et subit moins le rythme (déjà peu élevé) dicté par les Mancuniens. Les changements opérés par les deux entraîneurs n’ont pas de réelles conséquences sur l’affrontement. Pour Moyes comme pour Mourinho, l’essentiel est d’abord de conserver la rigueur défensive qui permet à leurs équipes de ne pas concéder de réelles occasions. La formule dit que « les points pris ne sont plus à prendre » : sur ce match, pour les deux équipes, il s’agissait surtout de ne pas en perdre. Et tant pis pour le rendez-vous manqué. http://www.chroniquestactiques.fr/manchester-united-0-0-chelsea-analyse-tactique/

Mais non... Toi qui défends bec et ongle Vidic, comment tu peux dire ça. Rooney a été meilleur qu'on ne l'imaginais, en tout cas moi, oui, mais n'a pas été excellent, encore moins man of the match, pourquoi pas man of the century. D'ailleurs s'il avait été excellent, j'ose espérer qu'on aurait gagner le match. Parce que si tu te contentes de ce niveau, c'est toi qui le sous-cote drôlement.

Exactement. Il a été imposant, un gros match pour lui, clairement, il doit continuer à jouer s'il monte en puissance comme ça! Par contre, dès que Torres est entré, on l'a senti plus "prudent" quand il devait défendre et relancer. Sûrement des mauvais souvenirs.

Ah si. Non là j'suis pas d'accord, mais pas d'accord du tout. Si Chelsea ne peut pas jouer avec les mains dans leur surface, on va encore prendre 15 points d'avance, et plier le championnat en mars. Non, non et non. Un peu de challenge, d'audace, SVP. Parce que sinon on se fait ch***. Non Chelsea, City ne peuvent pas avoir de pénalties contre nous, sinon c'est trop simple et ces deux immondices de club, mais je parle là de club qui sont rongés par la pourriture moisie de leur âme qu'ils ont vendus à Satan, qui transforme automatiquement leur mère en professionnelle du sexe, vont être trop ridicule devant tout le monde, et la PL doit rester "the best championnat"! Laissons les y croire à ces gerbures. Ils n'ont aucune chance sinon. Faut pas plier ça en août quoi...

J'ai vu Scholes faire ça aussi, Busquets, Rijkaard, Xabi, De Rossi et même Schweinsteiger. Bref.

On ne pourra pas, par contre, juger son jeu sans ballon, ou peu. Mais dans ce domaine il est très bon, et il l'a encore été hier soir. Il a d'ailleurs été très bon, je ne comprends pas qu'on puisse penser qu'il a été mauvais hier. Très disponible, bonne technique, bonne lucidité, il a fluidifié notre jeu et a bien fait le relais entre le milieu et l'attaque, et même parfois entre la défense, le milieu et l'attaque. Ce qui lui manque, finalement, outre les prises d'initiatives ou ce n'est pas du à son niveau mais à sa confiance, c'est surtout la gestion du tempo. Mais pour ça, il faut énormément travailler et surtout jouer des matchs et acquérir une expérience certaine. 98% de notre verticalité est dictée par Carrick. Il est loin d'être notre point faible actuellement, même dans la verticalité, il a presque pas besoin d'en avoir, Carrick est à la baguette, lui joue simple, propose une solution entre les lignes. Si on avait des ailiers plus performants, ses décalages, combinaisons, et proposition d'appel seraient plus visibles car plus décisifs.

Je pense quand même qu'il ne faut pas tirer de conclusions générales quant à sa non utilisation. Il a eu une préparation tronquée (comme Rooney, certes) mais il a eu beaucoup moins de vacances que les autres et est même resté un peu au Japon en plein milieu de la tournée. Comme Chicharito, on le verra bientôt à n'en pas douter, on a un effectif large, et beaucoup de match. Moi aussi je suis tres déçu de ne pas l'avoir vu rentrer, mais c'est en partie de l'impatience et il est inconcevable que Moyes ne voit pas les capacités de Shinji, je suis encore certain qu'il finira titulaire indiscutable, mais il faut qu'il soit fort physiquement et pour ça il faut qu'il soit bien préparer, et je préfère attendre 3-4 matchs, que de le revoir se blesser et totalement se freiner dans sa montée en puissance personnelle et collective. Faisons confiance à Moyes pour le moment, montrons nous patient, on adore tous Shinji, et il y a de quoi...

Je n'ai pas vu l'match, il a été bon Rooney ?

Rooney n'a pas été assez disponible, non. => Là je ne suis pas d'accord, il s'est montré disponible entre les lignes, et a montré des bonnes premières touches. il n'a pas réussi à en faire ce qu'on attend d'un joueur de son standing, dans ce rôle. Il a fait preuve d'une imprécision agaçante, beaucoup de passes mal ajustées, en plus d'un certain individualisme fréquent. => Totalement d'accord sur ce point. Mais ça ne remets pas en question sa disponibilité, qui a été bonne. Je ne comprends pas qu'on puisse l'avoir trouvé ne serait-ce que bon. => Par rapport à ce qu'on a vu précédemment, il y a eu du mieux, dans l'envie et la disponibilités. Le reste des secteurs étaient moyens effectivement. Il faut être clair, si tu attendais Wayne Rooney au top, c'est très loin d'être le cas. Son physique lui fait trop défaut et provoque des erreurs techniques coupable, et aussi la vitesse d'enchaînement, qui en prend forcément un coup.

Best_07 t'es dur avec Rooney ce soir. Il a été bon dans les déplacements, et il a fait quelques enchaînements plutôt bons, mais c'est vrai que dans l'ensemble, il n'est pas encore là physiquement, et ça handicape sa technique.

Un bon Rooney, un très bon Vidic, un bon Valencia. Par contre ne pas faire rentrer Kagawa, c'est grotesque. C'est une insulte au football que de faire rentrer Young, même s'il a fait une entrée très correcte, et de ne pas mettre Kagawa. Il aurait fait sauter la défense de Chelsea sur un contrôle, un une/deux avec RvP ou Rooney, c'est typiquement le joueur dont on avait besoin, et Chelsea pareil avec Mata. Le De Bruyne là il est mauvais. Et merci encore l'arbitre pour la joyeuse enculade.

Ah mais je suis d'accord. Ils ont un tres bon potentiel et ils ont de quoi largement se maintenir en PL, surtout quand tu vois l'évolution progressive par rapport à leur 1er match. Mais les "top player" de City ont été nuls. Yaya, Aguero, Hart... Et cette défense pourrie...

Mouais enfin ceux qui ont fait le plus gros match, c'est Caulker et Turner et Gunarsson absolument énorme, mais non je ne les ai pas trouvés tres créatifs, en 1ere ils défendaient tres bas, et le pressing n'était pas exemplaire, d'où le but de Dzeko. Kim a été bon aussi. Campbell a plus été dans la profondeur qu'en pivot, et il a été tres bon largement plus dans ses appels que dans son jeu en pivot, même s'il a fait quelques remises interessantes. Cardiff a fait un plutot bon match, mais honnêtement City dois sa défaite à lui-même, surtout prendre des buts de mongoles sur corner comme ça. Et une équipe comme Cardiff ne gagne pas contre City sans faire un bon match, mais pour le coup, le plus notable reste la défaite de City, dans le jeu. Dans les émotions c'est sûr que Cardiff ont fait kiffer , surtout Fraizer qui la met à City, c'est du lourd pour nous autres.

Gervinho l'a fait plusieurs fois aussi. Moins classe, logiquement. Ce n'est pas un salut Nazi, pas comme le coach de Sunderland.

Skysports...

C'est juste parfait. Je me mets souvent les matchs par Bloodzeed alors que j'ai Bein et C+ ! C'est pour dire !

Wa chelouuuuuuuuuuuuu

La dernière partie était trollante ^^ mais sinon pour l'analyse du match, vous avez été calamiteux, plus que Cardiff bon. Franchement tous les secteurs de jeu étaient très médiocres.

Mais ton équipe a été calamiteuse, c'est tout. La défense a été nulle (bon excusable, vu à quel point elle a du être remanier), mais le milieu a été très mauvais, les ailiers n'ont pas su faire de différences, et les attaquants non plus, vous n'avez eu que très peu d'occasion, et ce n'est pas du à la défense correcte mais pas exceptionnelle loin de là de Cardiff, mais surtout du aux manquements de City, que les médias ont vu comme un favori pour le titre, alors que c'est juste un favori pour se qualifier pour la prochaine LDC et qui va en sortir dès le 1er tour cette année ou dès qu'ils rencontreront une bonne équipe.

Il a une amertume au fond de lui. Il se voyait déjà en place pour succéder à Ferguson.

Je l'ai vu ^^ contre l'Atletico