Donc tu défends Drogba, mais souhaite que les simulateurs se blessent, ou ne puissent pas rentrer dans un match professionnel. C'est extrêmement contradictoire, sachant que je ne connais pas de joueur qui simule plus que Drogba. Il prend des coups, mais Busquets en prend aussi, ce n'est pas un argument valable selon moi pour la défense d'un simulateur.
Ensuite ta solution me semble désuète. Puisque comme je l'expliquais, désormais ça fait parti de la formation d'un footballeur professionnel que d'apprendre à duper l'arbitre. Les enjeux sont trop grands, et les décisions arbitrales trop importante pour pouvoir se permettre de passer à côté. C'est pareil pour les fautes tactiques, c'est également quelque chose qu'un joueur pro acquiert au cours de sa formation. Tant qu'on laissera les arbitres se faire duper par des simulations, les joueurs continueront à le faire et donc l'apprendront, et leur entraîneur leur demandera d'exploiter cela en match.
C'est pourquoi, pour en sortir réellement, il est inutile de se battre sur des joueurs précis qui simuleraient plus que d'autres, puisque tous ou presque simulent et cherchent à duper l'arbitre. L'arbitre subit trop de pression à chaque coup de sifflet, et ça peu altérer son jugement. Je suggère par exemple que la décision prise par l'arbitre ne doit pas être discutée, à part par le capitaine, qui aura seul le droit de parler à l'arbitre. Un carton jaune par mot utilisé par le joueur envers l'arbitre. Ils ne parleront plus parce que rien qu'un "fùck off" de Rooney représente deux mots et donc deux cartons jaunes et donc un carton rouge.
S'il y a une vague punitives de chaque simulation pendant un seul mois, je pense que ça pourrait éradiquer très très vite les simulations. Si un joueur se prend 5 matchs pour être tombé tout seul, comme Ashley Cole contre nous lundi, il ne le refera plus. Il apprendra très vite de ses erreurs, puisqu'elles coûtent cher à son employeur et à sa carrière personnelle.
Mais comme je l'ai déjà dit, il est bien entendu hors de question de faire cela. De quoi parleraient les beaufs du CFC ?