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Tout ce qui a été posté par Red Eye
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Ma phrase était ironique, hein. x)
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Bah, ce n'était pas forcément méprisant, après tout, l'équipe Féminine d'Arsenal est exellente, on peut tout à fait envisager que les Gunners aspirent à produire un tel jeu.
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Raah, la rage =/ Cet illustre inconnu, va m'obliger à troquer mon super avatar de Tevez contre le sien u_u Sinon, oui pour moi les Da Silva doivent être la priorité du club.
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Fabio est le successeur attitré et naturel de Patrice Evra. Honnêtement, il n'y a personne dans l'effectif pour lui contester ce poste, et ne me parlez surtout pas de Jonny Evans qui n'est pas un titulaire en puissance ici, mais qui peut simplement dépanner. Même chose un peu pour Rafael, même si coté concurrence avec Smalling et Jones, cela pourrait être plus hardu. Mais ces deux-là sont prédestinés à former la future charnière centrale mancunienne. Donc, si nos deux jumeaux ont un temps soit peu de bon sens, ils sauront qu'avec du travail, de la patience, ils seront titulaires. Et Sir Alex Ferguson sait comment s'y prendre avec les jeunes, d'autant plus que les jumeaux semblent aimer Manchester (bon, ça ce n'est pas forcément très parlant) et donc, je ne me fais pas beaucoup de soucis quant à l'avenir des Brazilians Twins du coté de Manchester.
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Fabio n'était pas censé être blessé ? Bonne nouvelle pour lui, en tout cas ! Par contre, je le vois quand même mal se faire une place avec les latéraux brésiliens, Marcelo, Maicon, Dani Alves, voire même André Santos...ça risque d'être encore pire qu'à United, la concurrence.
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Actualités des clubs européens
Red Eye a répondu à un(e) sujet de ericantona dans AUTRES CLUBS ET SÉLECTIONS NATIONALES
Mais, même. Je veux dire, on est obligé d'admettre que des joueurs simulent de manière bien trop récurrente. Je pense surtout à Busquets, Alves, Di Maria ou encore Pedro. Et puis, personnellement; il y a quand même un degré de simulation, je veux dire. Contrairement aux hors jeu, là on peut dire que y'a de grosses simulations et des petites. Les grosses simulations, qui visent à obtenir des pénaltys, à faire exclure l'adversaire, bref, y'en a qui en rajoutent des tonnes. -
Bon, un léger bug m'a forcé à tout recommencer, mais il faut faire avec. Donc puisque c'est moi qui ai demandé ce duel, je vais commencer. Bien que cela me frustre de devoir tout recommencer. xD « On t'a recruté pourquoi, déjà ? -Beh...pour mes qualités, monsieur. -Et c'est quoi, tes qualités ? -Beh...attaquer. -Et bah, qu'est-ce que t'attends ? » Une petite discussion entre Sir Alex Ferguson et Patrice Evra, peu après son arrivée à Manchester United, en provenance de l'AS Monaco, où il avait tapé aux yeux de l'Europe en 2005, avec l'épopée monégasque jusqu'en finale de la Ligue des Champions. Cette phrase lança la carrière mancunienne d'Evra (j'exagère un peu) qui, après six premiers mois houleux à Old Trafford, question d'adaptation, devint, en 2006-2007, un autre joueur. Exit Heinze, exit Silvestre, le nouvel arrière gauche de Sir Alex, c'est Patrice Evra. Développant une entente très prometteuse avec Cristiano Ronaldo, le français enchaîne les matchs, débordant, montrant toute sa hargne, et faisant preuve d'une belle régularité. Tout n’était pas parti comme dans un rêve, avec la débâcle des Red Devils à Manchester City en guise de premier match pour le français, blessé, et qui a été remplacé à la mi-temps par Sir Alex Ferguson. Mais passons, le Français réalise un grand exercice 2006-2007, et n’est pas étranger à la belle saison de Manchester United, qui redevient Champion en Angleterre, un titre qu’Old Trafford commençait à attendre de manière pressante, et échoua malheuresement en demie finale de la Ligue des Champions, avec une défaite humiliante à San Siro, à laquelle Evra, suspendu, n’a pas participé. La défaite en Finale de la Cup ne fut pas non plus un souvenir très beau, pour United. C’est donc avec une soif de titres accrue que Patrice Evra entame les autres saisons, confirmant son excellente saison passée en 2007-2008, Evra fait parti des cadres des Mancuniens, et les emmènent sur le toit d’Angleterre, et d’Europe. Qui ne se souvient pas de sa brillante prestation face au FC Barcelone, où il avait su contrer le génial Messi ? Il aurait en plus pu offrir le but de la victoire à Ryan Giggs en Finale de cette même compétition, si John Terry n’avait pas retardé l’échéance. Excellent de bout en bout, autant défensivement (bon, sauf face à Lennon) qu’offensivement, malgré des statistiques peu flatteuses, Patrice Evra entame donc la saison 2008-2009 avec confiance. Il nous refit pratiquement la même saison, avec son désormais légendaire « Onze Hommes contre Onze Enfants », mais chuta finalement face au FC Barcelone de Messi en finale, une finale où nous n’avons jamais pu voir le véritable Manchester United. Evra lui, n’avait pas grand chose à se reprocher, en étant bien présent lors de ce rendez-vous, n’étant pas prit à défaut de nombreuses fois par Samuel Eto’o ou Lionel Messi (et encore moins par Carles Puyol bon, je continue). Ainsi, l’été du mancunien ne fut pas le plus relaxant, et le plus beau. Encore plus lorsque ses amis Cristiano Ronaldo et Carlos Tevez quittèrent Carrington, pour rejoindre respectivement le grand Real Madrid et Manchester City. C’est avec un United affaibli dans le secteur offensif que Patrice Evra décide de prendre encore plus de responsabilités offensivement. Enchaînant encore plus de matchs, jouant tantôt avec Carrick et Fletcher à ses cotés, Evra réalise une énorme saison à Manchester United, où il apporta beaucoup par ses appels, ses centres, et défensivement, où il répondit présent, quelque soit ses coéquipiers à ses cotés. Robben, Pato, Lennon, tous ont dû faire face à ce joueur français, qui ne lâcha rien. Malheuresement, ses rêves de gloire se résumèrent à une Carling Cup, qu’il brandit fièrement, brassard autour du bras, la Ligue des Champions s’étant envoléee à cause du Bayern Munich, d’un certain Philipp Lahm (où nos deux adversaires du jour étaient réellement faces à faces) et Chelsea a ravit le titre d’Angleterre, de manière litigieuse, mais finalement méritée vu la saison des blues. La Coupe du Monde vira quant à elle, au cauchemar., avec l’affaire Knysna, et la saison suivante n’en est qu’un prolongement, l’ombre d’Evra, seulement son ombre, malgré un titre de Champion d’Angleterre, et une Finale où son ombre n’a pas été irréprochable sur les buts concédés. Cette année, il y a encore du défaut dans son jeu, mais j’ai eu certains flashs du Grand Patrice Evra d’il y a deux ou trois ans, sur certains matchs, comme face à Chelsea. Philipp Lahm, lui, n’a pas encore connu tous les déboires de Patrice Evra. D’abord barré par Willy Sagnol à droite, et par Lizarazu à gauche, le petit allemand fut prêté à Stuttgart où il pu commencer son épanouissement. Sans faire de bruit, Lahm revint en 2006 au Bayern, où sa médiatisation était quasi inexistante...jusqu’à la Coupe du Monde 2006, où il marqua le premier but du tournoi, et quel but ! Une frappe dans la lucarne du pauvre gardien Costa Ricain. Lahm réalisa un tournoi tout à fait honorable à gauche, où fut solide et apporta offensivement par ses inépuisables montées, mais l’Allemagne s’inclina face aux Italiens, en Demi Finale. Suite à cette belle performance, Lahm s’installa sur le flanc gauche de la défense du Bayern, et avec réussite. Ses constantes montées apportèrent beaucoup à un Bayern 2006-2007 orphelin de Ballack, et dont les forces sur les ailes n’étaient pas vraiment au top: Schweinsteiger, à gauche, et Hasan Salihamidzic à droite. Pas la paire d’aillier la plus efficace d’Europe, mais avec Sagnol et Lahm pour les épauler, l’attaque Munichoise devint plus menaçante, bien que les champions sortants finirent à une décevante, voire humiliante, quatrième place en Bundesliga, et se firent éliminés par l’AC Milan de Kakà en Quarts de Finale de la Ligue des Champions. A titre personnelle, la saison de Lahm fut satisfaisante, il n’a pas souvent été mauvais à son poste, et on peut difficilement lui reprocher la mauvaise saison de son équipe. Un déclic survint lors de la saison 2007-2008, avec l’arrivée de Franck Ribéry et de Luca Toni. Avec le français, Lahm trouva rapidement ses marques, et sur le flanc gauche de l’attaque, il forma avec le français (et Ze Roberto) la force de frappe du Bayern, avec donc l’Italien là pour terminer les actions. Lahm fut pour beaucoup dans la victoire du Bayern en Bundesliga, mais également fautif sur le piètre match face au Zenit Saint Petersbourg en Russie, où sont équipe se prit un monumental 4-0. Mais, à sa décharge, Lahm a été quasiment titulaire à chaque match de son équipe, un peu comme Evra, il n’y avait pas de réelle concurrence face à lui. Christian Lell était bien frêle, pour exemple Ze Roberto pouvait dépanner, mais pas beaucoup plus. En 2008-2009, Lahm réalise une bonne saison, mais son équipe termine derrière Wolfsburg (qui a étrillé Munich 5-1) et est éliminé par le FC Barcelone (4-0, 1-1). Lahm ne participe pas au match aller, blessé. Au retour, il a offert une belle opposition face aux lutins catalans, en dominant, oui je dis bien cela, Messi à l’Allianz Arena. En revanche, certains diront que l’argentin, vu l’ampleur du score aller, ne s’est pas donné à fond au retour. Lahm ne remporte pas de titres durant cette saison là, mais il a surnagé dans une équipe irrégulière, avec Franck Ribéry. L’année d’après, sous Louis Van Gaal, Lahm bascule à droite, et réalise une énorme saison, bloquant les adversaires sur son couloir, et remontant le terrain jusqu’à l’autre coté, pour offrir à ses attaquants des caviars. Son entente avec Robben est la même qu’avec Ribéry: exellente. Les deux hommes se trouvent bien, malgré, on se souvient, une dispute à l’entraînement, relativement bruyante, entre le batave et l’allemand. En tout cas, Lahm et le Bayern sont champions, gagnent la Coupe mais perde en Finale de la Ligue des Champions face à l’Inter Milan Au passage, Lahm a offert une belle prestation face à Manchester United en Quart, et une énorme face à Lyon en Demis. Durant la finale, Lahm fut très bon, mais la solidité adverse aura eu raison de ses tentatives avec Robben. Contrairement à Evra, Lahm a réalisé une superbe Coupe du Monde 2010, du premier au dernier match, solide derrière, bon devant, il fut l’un des grands artisants du beau mondial Allemand, sans toutefois se montrer devant la caméra. Non, sous les feux des projecteurs, ce fut Özil, ce fut Thomas Müller, ce fut Miroslav Klose...Lahm est dans l’ombre. Et c’est mieux ainsi. L’année dernière, Lahm a encore fait une bonne saison, malgré quelques pénaltys ratés (en même temps, ce n’est pas un spécialiste, et il a plus tiré par défaut) il a porté fièrement son brassard de capitaine, mais son équipe a fait une saison chaotique, terminant troisième, et éliminé une nouvelle fois par l’Inter de Milan. Mais Lahm, lui, n’avait pas grand chose à se reprocher, il a toujours apporté offensivement, il a toujours apporté défensivement, une saison correcte, sans être brillant. En cette nouvelle saison, Lahm est repassé à gauche. Repiquant dans l’axe, il continue de faire parler sa technique, sa solidité, ses centres, ses tacles...et on verra bien où cela mènera le Bayern Munich. Alors, dans ces profils, lequel est le meilleur ? Evra a toujours utilisé sa vitesse, son agressivité, son endurance. Lahm lui, était plus élégant, plus fin techniquement (bien qu’Evra ne soit pas mauvais sur ce domaine là) et surtout, plus propre derrière. Je crois bien que Lahm n’a jamais prit de carton rouge dans sa carrière, pour Evra, il faudra vérifier, mais il me semble qu’il n’a jamais été exclu en portant le maillot mancunien. Tous deux possèdent une belle frappe de balle (je ne sais pas pourquoi, mais j’ai toujours en tête la belle frappe d’Evra face à Wigan en 2006-2007, que Kirkland a repoussé), et sont des arrières de poche. Le Français semble néanmoins avoir une meilleure détente, mais Lahm ne se laisse pas faire. A voir quand il essaie de prendre le ballon aérien à Jan Koller, c’est énorme. Mais pour qui vais-je voter ? Au jour d’aujourd’hui, il ne fait aucun doute que Lahm est devant Evra. Cela pourrait changer, mais vu la régularité de l’allemand, je ne sais pas quand il commencera à régresser. J’aime toujours Evra malgré tout, son tempérament, sa hargne... Lahm me semble tout de même supérieur dans tous les points, difficile à passer, bon dribbleur, bon tacleur, bon centreur...je donne mon vote à Philipp Lahm, et en espérant que Patrice Evra retrouve ses jambes.
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Victoire méritée des Spurs. Arsenal n'a quasiment pas joué aujourd'hui.
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Un traquenard à Old Trafford, ça n'existe pas. Mais aujourd'hui, ça s'en est sacrément rapproché, durant 85 minutes, en tout cas. Merci à Anderson, auteur d'une rencontre timorée, et également à Welbeck, qui confirme son retour. Mais bon, dieu, ce ne fut pas une mince affaire. Si on résume à peu près, voilà ce qu'on peut dire. Première Période La chose qui fut la plus frappante dès le début du match, ce fut bien évidemment l'organisation tactique de Norwich, qui était bien décidé à ne pas laisser United développer son jeu. Ainsi, très rapidement, après la première semi occasion de Rooney, une frappe sans grande conviction droit sur le gardien, un faux rythme s'installa rapidement. MU avait le monopole du ballon, le faisait circuler, mais c'est tout, j'ai envie de dire. Quelques offensives trèèèèès timides, des accélérations de Nani, des montées d'Evra, mais qui se sont toutes mal terminées. Il faut noter l'excellent travail défensif de Norwich, qui a bouché tous les espaces possibles, le surnombre n'arrivait quasiment jamais, et systématiquement, ils tentaient de lancer loin en profondeur vers Morrisson, dans le dos de Phil Jones ou de Jonny Evans, mais les deux, surtout le premier, étaient parfait dans leurs duels. Mais devant, que de passivité, Rooney et Chicharito marchent, l'anglais décroche un peu, lance quelques ballons en profondeurs, et le mexicain court à contre-temps, ah, ces fichus blessures...Park et Nani tentent pas mal, mais en vain. Valencia n'apporta malheureusement pas grand chose offensivement. Bref, notre meilleure occasion se résuma à...une tête de Rooney sur corner ? Un centre de Nani repoussé devant les buts ? Pas grand chose, quoi. Deuxième Période United est revenu plus ambitieux, pressant plus haut l'équipe visiteuse, le ballon a gagné 10 bons mètres par rapport à la première période, Nani a permuté avec Park, et cela va déjà un peu mieux. Quelques ballons intéressants devant les buts, Rooney se montre plus, Evra tente quelques centres, plus de frappes, mais énorme non plus. Pire encore, c'est Norwich qui se créer la plus grosse occasion, suite à une erreur terrible de Valencia, Lindegaard (avec sa casquette sympa) ou encore le tir dévié sur le poteau quand United venait d'ouvrir le score. Car, aujourd'hui, on a de nouveau vu le Manchester United 2010-2011, une équipe plus réaliste que flamboyante, sur deux de ses, 3-4 belles occasions, United a marqué, et gagné. Sur le corner de Giggs d'abord, avec la déviation de Rooney pour Andy, puis sur la superbe combinaison entre Welbeck et Park Ji Sung, pour le 2-0. Mais un match pauvre, il faut le rappeller, une victoire sans briller, une victoire qui n'est donc pas sans rappeller Manchester la saison passée, mais peut-être que dans certains cas, il faut être plus réaliste que flamboyant ? Un clean-sheet, cela fait toujours plaisir, et ça ne s'était plus vu depuis quelques temps. Mais les lacunes défensives existent encore, Jones, Evans et Lindegaard ont fait le boulot, mais y'en a encore. Il faut tout de même dire que sans le but de Danny Welbeck, la fin du match aurait pu être assez houleuse, MU n'avait plus la maîtrise du ballon suite à l'ouverture du score. Tactique ? Je n'en suis même pas sûr. Au niveau des joueurs... Lindegaard: Bon match, sobre, sans réellement d'arrêts à faire, mais était battu plusieurs fois. Sur les sorties aériennes, il est toujours présent. Valencia: Déception, il ne trouve plus ses repères, se montre moins bien offensivement, et n'est plus du tout sûr défensivement, je pense notamment à sa perte de balle terrible à l'entrée de la surface de réparation. Phil Jones: Homme du match, il a remporté quasiment tous ses duels, autant à terre que dans les airs, a tenté quelques montées (dont une où il dribble deux joueurs avant d'être contrés, sympa quand même) et je pense à un contre de Norwich où il revient comme une bombe dans la surface pour empêcher le pire. Jonny Evans: De retour de blessure, Evans a fait un match sobre, concentré et appliqué, il n'a pas prit de risques, même si, parfois, il fut dépassé sur certaines actions. Evra: A joué quasiment aillier gauche, mais n'a pas réussi à prendre à défaut ses adversaires directs, ses centres furent tous repoussés ou captés par le gardien. Derrière, il ne fut pas rassurant non plus, avec des espaces non couverts, il faut le dire, par le reste de l'équipe, et ce, malgré la présence de Park. Nani: A tenté, a provoqué, mais n'a jamais eu de réussite. Que ce soit sur ses centres, ses frappes, ses dribbles, ses accélérations, ce fut approximatif dans le dernier geste. Anderson: Compte tenu d'un manque de mouvement général devant, Anderson a eu du mal à trouver des solutions, a tenté quelques transversales, a fait de nombreux mauvais choix, mais a marqué ce but si important pour nous. Fletcher: A participé à la construction, récupéré les ballons, mais n'a jamais prit finalement assez de risques offensifs. Ce n'est pas forcément ce qu'on lui demande, c'est vrai. Park: Tente de joué à une touche de balle aux abords de la surface, court beaucoup, accélère, et centre, mais, bien entendu, je ne trouve pas que Park, face à ce genre d'équipe bien regroupée, puisse donner la pleine mesure de son efficacité. Rooney: De retour de blessure, l'anglais a fait un match correct, avec de beaux ballons, quelques frappes, mais il a un peu manqué de jus. Des mauvais choix après le deuxième but, avec surtout ce lob en fin de match alors qu'il avait plus ou moins le temps de bien placer son ballon, seul face au gardien. Hernandez: Plus de hors-jeu que de possibilités de marquer...des passes ratées, mais une certaine volonté de pouvoir améliorer son rendement dans les combinaisons. Giggs: A délivré de supers ballons en contre attaque, permet indirectement le premier but avec son corner, et n'a pas perdu beaucoup de ballons. A essayé quelques tacles, sympas. Welbeck: N'a pas eu tellement de ballons. Mais a montré ses qualités physique, techniques sur ses quelques ballons, et, a bien entendu soulagé tout Old Trafford, avec son but en fin de match. Ferdinand: RAS.
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Moi, au contraire je l'ai trouvé un peu en deça, il a bien tenté, mais a eu pas mal de difficultés quand il s'agissait de terminer ses actions, un peu comme l'équipe. Meilleur joueur, ce fut bien évidemment Phil Jones, mais Nani est bien entendu un constant danger, il a offert quelques occasions de marquer.
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Ah, quelle opposition entre Giggsy et Becks' Deux légendes du club, deux membres de la classe 92, deux grands ailliers... Commençons par le recordman gallois, marié à Manchester United depuis plus de vingt ans (soit avant ma naissance), et qui a écumé les défenses de Premier League, de part son aile gauche, ou désormais depuis quelques saisons, dans l'axe du terrain. Dès sa jeunesse, il a montré une vivacité, des dribbles déroutants, des tacles pour récupérer le ballon, une énergie débordante, et une qualité de passe et de centre largement au-dessus de la moyenne. Mais, ce ne furent pas vraiment ses années les plus glorieuses, passées comme étant l'un des sujets du King Cantona, et ce, malgré des performances déjà reconnues à l'époque, avec notamment, une fabuleuse percée qui fut décrit comme l'un des buts du siècle, face à Arsenal. Non, ce qu'il y a d'incroyable chez Ryan Giggs, c'est bien évidemment sa longévitié, sa capacité à s'adapter avec l'âge, pour devenir encore meilleur qu'avant, dans un autre registre, certes. Une mutation dans son jeu, qui a vu le jour lors de la saison 2008-2009...sur les ailes, Cristiano Ronaldo, Nani, Park Ji Sung voire même Wayne Rooney se disputaient les places. Giggs lui, était déjà dans un rôle plus centré, après une année 2007-2008 mitigée sur sa bonne vieille aile gauche. C'est là, que le Gallois avait fait étalage, encore une fois, de sa classe. Tout le monde se souvient sans doute de sa performance ahurissante face à l'Inter Milan du Special One, tant à Old Trafford qu'à San Siro, où il avait été le maestro des Red Devils...une année où il avait malheureusement échouée en Finale, englué dans le milieu de terrain catalan. L'année suivante, Giggsy retrouve son aile gauche, terrorise à nouveau les défenseurs, enchaînant des crochets, des petits ponts à la pelle, et bien entendu des passes décisives. Ce fut une saison qu'il avait commencée de manière tonitruante, à voir sa rencontre face à Manchester City lors du mémorable 4-3, offert par un certain scouser. Malheureusement, l'aillier ne parvint pas à reitérer ses peformances lors des matchs les plus cruciaux de la saison, vers la fin de la saison... ...Chose qu'il a su corriger, lors de la saison 2010-2011, relativement dans l'anonymat (relativement, relativement...) durant une bonne partie de la saison, le légendaire aillier de Manchester refit surface à partir des 8èmes de finale de la Ligue des Champions, pour distiller une pléthore de passes décisives, Marseille, Chelsea, Schalke 04, Barcelone, tous peuvent en témoigner. Son association avec Michael Carrick fait des étincelles, tant en Angleterre qu'en Europe. Cependant, encore une fois, le Welsh Wizard sombra face aux nains catalans, à Wembley qui plus est. Mais, quelle grandiose année, il nous avait fait. Revenons désormais sur son évolution et sa longevité, point que je voulais aborder plus tôt avant de sombrer dans la description des dernières saisons de Ryan Giggs. Oui, à 37 ans, les longues chevauchées, c'est terminé pour le soldat Ryan. Place désormais, à une science parfaite du jeu, à une qualité de passe encore meilleure, mais, ses petits ponts ravageurs ne sont pas à enterrer, Giggs aura soin de le rappeller à quelques occasions, mais sans prévenir, cela va de soi. Désormais, Giggs avec son expérience, donne le tempo d'un match, alors qu'il "ne faisait que porter le ballon" autrefois, sa nouvelle dimension lui permet désormais d'être plus lucide, plus intelligent dans son jeu, il sait quand il faut temporiser, avant de placer un ballon parfait à ses avants centres, que ce soit Chicharito, Rooney ou plus récemment, le jeune Danny Welbeck. Accessoirement, Giggs, c'est aussi le joueur le plus titré de l'histoire, et a marqué à toutes les saisons de Premier League depuis qu'il y joue (sauf celle-ci...et ça ne saurait tarder) mais, établir une liste des records de Giggs, ce serait bien trop long. Face au magicien gallois, se trouve le Space Boy, David Beckham. Quand on pense à l'anglais, il nous vient immédiatement à l'esprit ses coups-francs fabuleux (ou alors son pénalty raté face aux bleus non, je plaisante). Mais réduire Beckham à ses coups de pattes magiques sur coups de pieds arrêtés, que ce soit un corner ou un coup-franc, ce ne serait sans doute pas la meilleure des choses. Beckham est l'un des ailliers les plus atypiques qu'ait connu Old Trafford. « Son pied gauche ne lui sert à rien, il est mauvais de la tête, il ne sait pas tacler et il ne marque pas souvent. A part ça, il est pas mal. » Inutile de vous dire de qui est la citation. Et pourtant, malgré tout ça, Beckham s'est fait un nom à Manchester, endossant fièrement le légendaire numéro 7 des Red Devils, et en terrorisant toutes les défenses par ses centres millimétrés. Et oui, pour l'anglais, tout est quasiment dans la qualité de passe, quand on est quasiment parfait dans ce domaine, inutile d'être complet. Comme Giggs, Beckham, lors de son passage à Madrid notamment, fut utilisé dans un rôle plus central, et ainsi, il fit part de sa qualité de passe hors-norme au public de Santiago Bernabeu. Et oui, car, contrairement à Giggs, Beckham n'est pas l'homme d'un seul club, sa légendaire altercation avec Sir Alex Ferguson n'en finit plus d'être racontée, son émouvante fin de carrière au Real Madrid, avec son seul titre remporté au bout, après avoir joué un rôle majeur dans la Remontada du Real, fit dire à Fabio Capello himself: "J'avoue avoir commis deux erreurs. La première, c'est de n'avoir pas prolongé Beckham, la seconde, c'est de l'avoir écarté." Le bateau était déjà parti vers Los Angeles. Et puis, quelques passages à Milan, où sa qualité de centre et ses coups francs n'avaient rien perdus. Bien entendu, tout le monde se souvient du jubilé de Gary Neville, où nos deux légendes ont régalés Old Trafford, avec un certain Paul Scholes, à coup de transversales parfaites. Le jeu long, le jeu court, aucun souci pour Giggs et Beckham, c'est une chose à souligner. Alors, à qui vais-je donner ma voix ? Un choix difficile, on peut encore entendre, à chacun de ses passages à Old Trafford... Fergie, sign him ! ou Welcome Home, David Beckham ! Car, à défaut d'avoir été l'homme d'un seul club, l'anglais a toujours été fou de Manchester United, et cet amour fut réciproque. Mais tout ne fut pas parfait, bien entendu, et cela rajoute encore un peu de charme à cette histoire. J'aurais offert volontier mon vote à l'anglais, si dans le même temps il n'y avait pas... Giggs tears you apart since 1992. Bien qu'il s'agisse d'un choix difficile, entre deux joueurs qui m'ont fait aimé United, j'octroie mon vote à Ryan Giggs, alors, il peut tromper sa femme, il restera notre légende ! Ryan Giggs !
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Ce n'est pas exactement ma pensée. Mais, un joueur en pleine confiance et un autre en panne de confiance n'aurait pas géré cette action de la même façon, je ne pense pas que l'on puisse contredire ce point. Concernant la deuxième phrase en gras, j'ai tout de même fait remarquer (il me semble) que cette possibilité n'était pas à exclure. Mais, j'ai simplement l'impression qu'on s'acharne un peu sur Berbatov, après, cela ne peut qu'être une impression. Enfin, encore une fois, je t'ai dit que je m'étais mal exprimé à propos du "fustigier", ne le prends pas comme si je te visais sur ça. x)
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Non non, je me suis mal exprimé ^^' Je veux simplement dire que Berbatov traverse une mauvaise période, et que tout le monde en est conscient. Ce post ne t'était d'ailleurs pas destiné en particulier, mais j'ai remarqué une certaine "haine" (appelez ça comme vous le voulez) envers le bulgare, depuis le début de la saison. Alors, problème de style de jeu, ou de performances tout court, je ne sais pas. Ensuite, concernant l'action en elle-même, je t'ai répondu dans mon post précédent, en affirmant (avec néanmoins une part de doute) qu'elle n'était peut-être pas facile à mettre. Mais, je n'ai pas dit que tu l'avais dit, hein. x)
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Oui, mais bon, en même temps, ça ne sert à rien de le fustigier, Berbatov a fait ce qu'il a pu, il n'est pas dans une situation facile, et cette occasion, s'il l'aurait marqué, il serait devenu un héros, on ne peut pas lui reprocher d'avoir frappé, d'autant plus, corrigez moi si je me trompe, mais le défenseur arrive très vite sur lui, ce qui ne lui laisse pas beaucoup d'options. Avec un si faible temps de jeu, il n'est pas affuté, et c'est logique; j'ai envie de dire.
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Ce n'est pas moi qu'il faut citer ! x) Moi, par rapport à la seconde période que tu as raison concernant Ferdinand, il doit montrer qu'il est le patron de la défense, mais le souci, c'est que nos deux joueurs d'expérience (Evra & Ferdinand) étaient franchement mauvais, et du coup, c'est toute la défense qui en patissait. Par ailleurs, j'ai trouvé que Phil Jones était bien trop dispersé, il a manqué de rigueur, indispensable en Coupe d'Europe. Pour en revenir à Rooney, je ne crois pas que son absence se soit faîte ressentir, devant, il y a quand même eu de beaux mouvements. Sans lui, Nani, Young, Welbeck et Giggs se sont quand même relativement bien débrouillés.
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La blessure de Rooney est-elle confirmée pour trois semaines, ou ce ne sont que des rumeurs ?
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C'est vrai que ces évènements ont eu lieu, mais je trouve que l'équipe a changée depuis. Par rapport à 2009-2010, Nani et Valencia sont devenus meilleurs, Anderson a haussé son niveau de jeu, Ashley Young est venu, Chicharito également, et l'éclosion de Welbeck ne devrait pas tarder. Par rapport à fin 2011, on retrouve encore une fois la hausse du niveau de jeu d'Anderson (bon, certains me diront qu'il est dans la continuité de l'an dernier), Nani a retrouvé ses jambes, Valencia se montre toujours, Ashley Young a pointé le bout de son nez, et donc, toujours Welbeck... On ne peut pas oublier Cleverley qui reviendra dans quelques semaines non plus. Bien sûr, on pourra aussi dire qu'entretemps, on a perdu la superbe de Carrick et le talent de Scholes... Edit: En fait, par rapport à 2009è-2010, Anderson n'est simplement plus blessé. xD
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Quelque soit l'équipe qu'on aligne, on ne peut pas nier qu'elle est plus faible sans Rooney, quand même. Sa faculté à pouvoir créer des espaces, à en profiter, à distiller des bons ballons... Après oui, notre calendrier est favorable, mais j'ai peur que l'anglais manque un peu de rythme après deux semaines d'absence face à Liverpool ou Man City, cela aurait été bien qu'il soit au top de sa forme. Après, si la blessure est vraiment très légère, cela ne devrait guère l'affecter outre mesure, espérons-le en tout cas.
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Ce n'est pas vraiment un joueur sur côté, mais plutôt méconnu des français...Javier Hernandez. J'ai vu pas mal de personnes qui s'imaginaient que ce mec, présenté comme une véritable perle, allait dribbler des joueurs, faire des exploits personnels etc...Et après, ils osaient me dire que ce joueur avait été mauvais (parce qu'il n'avait pas marqué) et que par c**séquent, c'était un joueur sur côté. C'est un peu hors sujet, oui X) Sinon, je trouve que le joueur surcôté par exellence reste bien entendu notre cher ami Gareth Bale. Je ne dis pas qu'il est mauvais, hein, il faut nuancer.
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Je n'ai pas pu suivre la deuxième période malheureusement, mais au vu de la première, le match nul serait assez logique. Par contre, les 5 premières minutes de Stoke, ils auraient pu finir à neuf, j'ai vraiment eu peur pour Evra, et cela fait une deuxième injustice pour Chicharito...
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Je suis d'accord, il ne faut pas prendre Stoke City à la légère, ils ont une équipe très physique qui pourrait nous poser problème, leurs longues touches seront toujours à prendre au sérieux, surtout que De Gea ne rassure toujours pas sur les sorties aériennes, la défense va devoir le rassurer et se montrer présente. La saison dernière, notre salut était venu d'un presque coup de chance, d'un tir raté d'Evra et d'un but de raccroc de Chicharito, et sinon, ils nous avaient bien bougés, méfiance donc...
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Je pense que le vendre dès cette saison serait une erreur. Certes, si on le vend durant cette année, son prix n'en sera que plus haut. Mais cela va encore diminuer l'expérience de notre équipe, et au bout d'un moment, cela se ressentira. Devant, seul Rooney aura de l'expérience, Chicharito n'en sera qu'à sa deuxième année, et Owen ne joue jamais...et puis, Berbaotv apporte un profil différent devant, il diffère de tous nos autres attaquants, et une bonne diversité offensive ne sera que meilleure pour nous. Derrière Rooney, il est l'attaquant ayant la meilleure qualité de passe; et je trouve qu'on néglige un peu cela.
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Outre ses six bons mois, Berbatov avait déjà lâché quelques bonnes prestations auparavant. Pour l'adaptation, c'est quelque chose que je lui accorderais lors de sa première saison. Lors de la seconde, il fut décevant, malgré quelques éclairs de son talent, mais Ferguson ne l'a peut-être passez bien utilisé, étant donné qu'en 09-10, Rooney était placé souvent seul en pointe lors des gros matchs. Mais c'est clair qu'il devait faire plus, qu'il doit faire plus. Pour autant, la saison passée, s'il avait perdu sa place, était-ce réellement sa faute, à lui ? C'est plus la complémentarité Rooney-Chicharito qui surfait sur l'Angleterre et l'Europe qui est la cause de sa disparition. D'ailleurs, quand il jouait, il fut rarement mauvais, je pense à son match face à Schalke 04, où il fut très bon, malgré un manque d'efficacité, tout comme face à Blackpool. Et je le dis, cette saison, sur le peu qu'on a vu de lui, il a été assez performant, mis à part contre West Bromwich. Après, quels critères utilises-tu pour juger les prestations de Berbatov ? On ne peut pas lui demander de jouer contre nature, par exemple.
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C'est clair qu'au niveau de l'investissement, on fut loin d'être gagnant avec Berbatov, mais à te lire, j'ai l'impression qu'il est un fardeau pour l"équipe, ce qui, à mon sens, n'est pas le cas. Il apporte quelque chose de plus comme je l'ai déjà dit dans mon autre post, mais après, c'est vrai que son style atypique peut déplaire à certains, moi-même, je ne suis pas fan du joueur, mais je n'irais pas dire qu'il est si mauvais pour notre jeu. Actuellement, c'est sûr qu'il n'est pas exactement dans la même configuration que nous. Quant au fait que l'on cite ses "six mois" (qui auraient pu devenir une bonne année sans cette fin de saison sur le banc) je trouve ça normal d'évoquer la meilleure période du joueur dans le club, de la même façon que tu devrais citer la première année de Tevez à MU plutôt que la seconde. La saison que j'ai trouvé la plus mauvaise de Berbatov, ce fut d'ailleurs sa seconde, où il aurait dû prendre ses responsabilités et nous servir à quelque chose (je ne dis pas non plus qu'il fut inutile en 09-10). Je trouve que tes critiques sont un peu dures avec lui, encore une fois. Qu'as-tu pensé justement, lorsque c'était lui qui était notre fer de lance ? Ne l'aimais-tu pas ?
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Ta dernière phrase est un peu exagérée, non ? J'ai l'impression que tu ne portes pas le bulgare dans ton coeur, et dans ce cas là, on pourrait se demander qui serait réellement "aveuglé" (pour utiliser tes mots). Moi aussi, je préférais largement Carlos Tevez à Berbatov, et j'ai été un peu dégoûté par le traîtement qu'avait subi l'argentin à l'époque. Mais force est de reconnaître que l'an dernier, Berbatov fut un joueur extrèmement important. Il n'a certes plus beaucoup joué à partir de 2011, mais avant, il tirait United à bout de bras avec Nani, car devant, c'était très pauvre. Des buts importants, il en a mit pas mal ! Contre Liverpool, Everton, Birmingham, Blackburn, et surtout face à Blackpool; où il permet une remontée importante avec un doublé. Mais bref, inutile de parler de ce fameux passé. Tu critiques donc l'actuel Berbatov, celui de 2011-2012. Soit, cela peut se défendre. Moi je trouve cela un peu sévère. Le bulgare est un fantastique joueur, il a une excellente qualité de passe -je trouve qu'on ne le souligne pas assez- et devant les buts, est assez adroit. Techniquement parlant, il est nettement au-dessus de la moyenne, et de plus, il permet de conserver d'avantage le ballon qu'un Hernandez, un Owen ou un Welbeck (bien que celui-ci est dôté d'une bonne technique individuelle.) Dans notre actuelle équipe, qui fonce néanmoins beaucoup vers les buts adverse, et il est important de pouvoir calmer le jeu, bien faire tourner le cuir. A ce petit jeu là, Berba est juste inférieur à Rooney dans les attaquants. Après oui, il a peut-être fait son temps, et devra laisser sa place aux jeunes. Cela, personne n'en doute. Mais c'est bien inutile de le descendre de la sorte. ^^