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Tout ce qui a été posté par Red Eye
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Cela fait un bout de temps que le derby fratricide entre United et City n'avait pas été aussi indécis. Combien de fois City s'est déplacé à Old Trafford en étant leader ? Pas souvent. En tout cas, les Skyblues sont clairement en confiance, malgré une victoire heureuse face au Sous Marin Jaune de Villareal en Ligue des Champions, il n'en demeure pas moins que l'autre club de Manchester réalise une bonne saison. Mais voilà sans doute leur plus gros test de la saison, avec leur déplacement chez le voisin qui domine le football anglais et mondial depuis quelques années déjà. Avec le match face à l'irresistible Bayern Munich, il s'agit sans aucun doute de leur plus grande rencontre. Bizarrement, à l'Allianz Arena, City a été dépassé par l'évènement. Dépasser par quoi ? Le fait de retrouver la C1 ? En partie, sans doute. Mais l'écart de niveau entre le Grand Bayern, et le futur qu'est City a été criant. J'aimerais qu'on s'inspire du Bayern, pour faire déjouer les Skyblues. Les allemands avaient réussis à déstabiliser complètement la défense Citizen...grâce aux ailes, bizarrement. Ribéry et Müller ont été virevoltants, et ont utilisés leur vitesse pour mettre à mal l'arrière garde de l'équipe entraînée par Roberto Mancini. Nous en sommes capables, Nani et Young ont la technique et la vitesse nécessairep our leur causer des soucis. Au milieu, nos transmissions vont devoir également être rapides, la vitesse de notre jeu, je suis presque sûr que ce sera la clé de notre succès (avec une assise défensive c**séquente et obligatoire) on ne peut pas faire sans. Lors du Community Shield, on avait tous vu quelque chose de différent entre le United et la première période et celui de la seconde. Notre capacité à perforer tout en combinaison rapide la robuste arrière garde de City. Malheureusement, l'acteur principal de cette folle remontée Tom Cleverley (avec Nani, aussi) sera probablement exclu des débats Dimanche. Il va falloir réussir à jouer vite, à jouer juste. United est à Old Trafford, et n'a pas le droit à l'erreur. Mine de rien, la pression sera assez grande sur les deux équipes, mais on devra faire confiance aux choix de Sir Alex, et simplement jouer notre rôle de supporter (bien qu'en fait, derrière notre écran Sopcast ou Veetle, ça n'agit pas forcément sur les joueurs ) On y croit !
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Je ne crois pas que Gibson puisse faire long feu maintenant. Carrick a de l'avance sur lui, indéniablement. Fletcher doit retrouver son niveau, et grapille du temps de jeu. Anderson veut être le patron du milieu, et Cleverley semble représenter l'avenir du club. Sans oublier que Giggs et Park Ji Sung peuvent jouer dans une position axiale. Gibson a subi une blessure, et n'a plus joué depuis un bon bout de temps déjà. Il faudrait lui faire retrouver un temps de jeu pour ses sensations, et je ne pense pas que dans l'état actuel des choses, cela soit possible.
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La grande incertitude pour moi, ce sera notre défense. Qui va jouer, et comment va t-elle se comporter face aux petits gabarits offensifs que sont Agüero et David Silva ? Phil Jones, Chris Smalling et Jonny Evans ont déjà prouvés cette année qu'ils étaient des titulaires crédibles (par ailleurs, Smalling sera sûrement aligné à droite) mais qui en défense centrale ? Vidic et Ferdinand ont l'expérience des très grands matchs, pas Jones et Evans. Mais ces deux-là, si on prend leur forme actuelle, sont sans doute un peu au-dessus (bien que Ferdinand fut excellent à Anfield, je vous l'accorde)...on a vu qu'une paire Ferdinand/Jones ne donnait pas toutes les garanties nécessaires...Vidic est-il prêt quand on voit son match compliqué face à Oteful ? Tant de questions... Le milieu de terrain va bien entendu être important, mais je me fais moins de soucis à propos de lui. Quant à l'attaque, on a l'embarras du choix, avec bien entendu la titularisation de Wayne Rooney qui s'impose. Moi, je crois à la victoire. Mais il va falloir pouvoir répondre autant physiquement que techniquement, le City du Community Shield n'est qu'un vague souvenir, il va falloir que les joueurs donnent tout ce qu'ils ont (ce dont je ne doute pas) et restent concentrés jusqu'à la fin du match, les individualités des Skyblues seront très dangereuses.
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Outre ses buts, il n'a pas fait un match grandiose, mais les statistiques devraient le mettre en confiance lors du derby. En tout cas, on aura besoin d'un grand Rooney pour reprendre la première place au classement ! Et bravo pour ses pénaltys, parfaits l'un et l'autre, sous la pression du public (la première frappe, notamment). Cela faisait un petit bout de temps qu'il n'avait plus marqué, je garderais donc du positif de sa prestation, bien qu'en dent de scie, une fois encore. Mais j'ai également apprécié ses retours en défense.
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Comme vous tous, je suis très heureux d'avoir Carrick à ce niveau là. Malheuresement, l'équipe entière n'a pas forcément bien suivi, mais son jeu long, ses passes courtes, ses replis défensifs ont fait du bien à l'équipe ! Reste désormais à retrouver de la constance dans ses prestations, mais ce type de match ne peut que le mettre en confiance. Je le voudrais même titulaire face à Manchester City...mais les cartes sont dans les mains de Sir Alex !
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Le Banni de la Maison Blanche contre celui qui l’a rejoint, Wesley Sneijder face à Ricardo Kakà. Commençons par le Batave. Faisant ses premières classes à l’Ajax d’Amsterdam, Wesley Sneijder ne découvre le haut niveau que durant la saison 2007-2008, date à laquelle il rejoint le Real Madrid de Shuster, champion d’Espagne en titre. On connaissait alors déjà sa qualité de frappe, ses buts d’anthologie faisait déjà le tour du monde sur Youtube. On a découvert, lors de sa première saison en Espagne, un excellent footballeur. Bon dans les transmissions, autant les passes courtes que les passes longues bien dosées (idéal pour le jeu de contre merengue), Sneijder se montre bien entendu redoutable sur ses coups de pieds arrêtés, où chaque gardien tremblait avant de voir le ballon entrer au fond des filets. Malheureusement, après un départ canon (doublé face à Villareal notamment) les blessures vont venir compliquer la vie de Sneijder dans la capitale espagnole, à tel point qu’il assistera impuissant à l’élimination des siens en Ligue des Champions, face à l’AS Roma. La Seconde saison sera encore pire. Pourtant, le neerlandais avait réalisé, entre temps, un superbe Euro 2008, où il participa grandement au fabuleux premier tour des Oranjes, qui corrigèrent France et Italie, avec en prime, deux superbes réalisations face à chacune de ces équipes. Il fut également à l’origine de la prolongation arrachée face aux Russes, après un superbe coup franc pour son compère madrilène, Ruud Van Nistelrooy. Donc, revenons à son épopée Madrilène, le batave commence, une fois de plus, de fort belle manière, comme son club, qui enchaîne les succès. Mais les graves blessures de Van Nistelrooy et de Mahamadou Diarra vont sérieusement mettre à mal les joueurs de la Casa Blanca, deux joueurs qui aidaient en plus grandement notre Oranje. Le malien était excellent à la récupération, et permettait à Sneijder de se concentrer sur les tâches offensives, tandis que l’ancienne gloire de Manchester United était bien entendu là, à la finition. D’autant plus que les blessures vont une nouvelle fois rattrapper Sneijder, qui assistera, une nouvelle fois impuissant à la terrible montée en puissance du FC Barcelone, contre qui il jouera une demi heure au Camp Nou (le temps de lâcher un beau tir, claqué par Valdès en corner) avant d’être remplacé, tout juste remit de sa blessure. Mais le Real se fait battre, comme face à Liverpool en Ligue des Champions (contre qui Sneijder joua à Anfield, et se distingua par son envie de toujours frapper...). Mais encore une blessure, et Wesley disparaît de la fin de saison où la Remontada Madrilène fut incroyable, avant que le Barça ne fasse règner la loi à Santiago Bernabeù. Ce fut la dernière saison du numéro 10 dans la capitale espagnole. En effet, avec la reprise en main du Real Madrid par Florentino Pérez, il n’y avait plus de place pour lui, Cristiano Ronaldo, Xabi Alonso, Karim Benzema, Arbeloa, Albiol et bien entendu Kakà débarquèrent dans l’effectif galactique des joueurs désormais entraînés par Pellegrini. Sneijder, et son ami, un certain Arjen Robben, payèrent les frais de ces achats, et s’envolèrent, l’un vers l’Inter Milan, l’autre vers le Bayern Munich. Mourinho ne comprendra d’ailleurs pas pourquoi le Real a décidé de vendre un tel joueur à si bas prix. Ce qui allait se passer, dans la saison à venir, hante encore Monsieur Pérez. Dès son premier match, après à peine un entraînement, Sneijder crève l’écran face à l’ennemi de toujours, l’ancien club de Kakà, l’AC Milan, pour une éclatante victoire 4-0 des Nerazzuris. Et ce fut ainsi pendant toute la saison, Sneijder se mua en maestro du club Italien, emmenant l’Inter Milan au sommet, remportant le Calcio, la Coupe d’Italie et bien entendu, la Ligue des Champions...à Santiago Bernabeù. Durant toute la saison, le batave a affiché un fabuleux niveau, distillant caviar sur caviar, orientant le jeu de son équipe, et marquant bien entendu des buts importants. Vint ensuite, la Coupe du Monde, où Sneijder arrive en Finale, après avoir marqué 5 bons buts dans la compétition, et non sans avoir frôler la victoire, après un ballon parfait de sa part, pour Robben, qui butait sur Ikker Casillas. C’est donc amer que le neerlandais rentra en Lombardie. Il le sera encore plus, lorsqu’il apprit qu’il ne serait même pas dans les trois premiers au Ballon d’Or FIFA, malgré sa fabuleuse saison, lui, le grand favori. D’autant plus que José Mourinho, autre homme essentiel à l’Inter, quitta la maison, pour rejoindre le Real Madrid (que de symboles ici) et c’est ainsi que l’ancien Madrilène vécu une saison difficile, voyant les ennemis de l’AC Milan reprendre le trône Italien, et surtout, la difficile élimination face à Schalke 04 en Ligue des Champions. Durant cette année, il alterna le bon, le moyen, le mauvais et les blessures bien sûr. Pendant l’été, la presse fait de lui le successeur de Paul Scholes, à Manchester United, mais bien que proche d’un départ, il décida de rester au moins une saison supplémentaire en Italie, où l’Inter connaît un catastrophique début de saison. Serait-ce la dernière saison de Wesley Sneijder en Lombardie ? Probable. Mais nul ne doute qu’un joueur de son talent saura retrouver tout ce qui a fait de lui le véritable Ballon d’Or 2010. De l’autre coté, un homme suit le chemin inverse, et met en place sa résurrection, après deux-trois ans de galère. Cet homme, c’est Ricardo Kakà, auteur d’un excellent début de saison avec le Real Madrid de José Mourinho. Mais, remontons un peu le temps, pour pouvoir voir ce qu’a subi le Madrilène, lors de ses belles années et de ses moins belles années. Pour moi, ce joueur avait réellement atteint son apogée lors de saison 2005-2006, où son niveau était simplement stratosphérique, et il aurait été ballon d’Or si son club avait remporté la C1, cela ne fait aucun doute pour moi. Seul Ronaldinho (et peut être Gerrard) le surpassait lors de cette année là. On parle souvent de la saison 2006-2007, mais j’ai envie de dire qu’il a fait une saison en dent de scie en championnat (bon, pas mal quand même, hein) et c’est en Europe qu’il a redoré son blason. Mais durant la saison 2005-2006, Kaka était excellent PARTOUT, en championnat, où les défenses se faisaient martyrisés par son terrible pouvoir d’accélération, ses frappes, ses passes...et en Europe, j’ai toujours en mémoire ce but magnifique face à Fenerbache (je crois) où il dribbla tout le monde avant d’ajuster le gardien. La Vitesse de Kakà faisait trembler plus d’une défense, c’est une certitude. Même le grand Barça de Riijkard eu du mal face à lui. Le meneur de jeu du Milan est par ailleurs l’une des satisfactions du Mondial de la séléction brésilienne, un mondial qu’il a disputé en étant blessé. Seule ombre au tableau: une élimination précoce, dans un match où le Rossonero a été inexistant. Durant la saison 2006-2007, Kaka se montre relativement irrégulier, alternant le magique (contre le Manchester United de Cristiano Ronaldo), l’excellent, le bon, le médiocre, le mauvais...mais il restait imprévisible, sa capacité d’accélération faisait toujours des ravages, tout comme sa qualité de frappe et de passe. Elu meilleur joueur et buteur de la Ligue des Champions cette année là, Kakà fit néanmoins une saison relativement anonyme en Série A, où ses exploits européens masquaient un peu les lacunes qu’ils traînaient en Italie. C’est néanmoins fort logiquement qu’il est attendu comme le grand favori du Ballon d’Or, récompense qu’il remporta (bien que je trouvais Ronaldo meilleur) en 2008. Une année assez décevante, également, où il n’a pas su emmener l’AC Milan vers les sommets, malgré des belles performances, mais cette année là que la galère allait réellement commencer pour le meneur de jeu de la Seleçao: les blessures. Il termina quasiment la saison à l’infirmerie, voyant l’Inter Milan s’emparer du titre nationale, son équipe éliminée par Arsenal...une saison galère, oui. Mais pas autant que la saison 2008-2009. Là encore, les blessures tronquent sa saison, et il découvre par ailleurs sa pubalgie qu’on dit chronique, et sur le terrain, c’est mi figue mi raisain, son entente avec Ronaldinho et Pato fut relativement éphémère, et les blessures eurent une fois de plus raison de sa fin de saison. De plus, des rumeurs l’envoyaient déjà à Manchester City pendant l’Hiver, mais il décida de rester en Lombardie (fort heureusement, sinon, son nom ne serait pas marqué dans « Joueurs préférés » dans mon profil ) mais, dès l’été, après une excellente Coupe des Confédérations (élu meilleur joueur du tournoi) Kakà s’engage avec le Real Madrid, pour la nouvelle ère des Galactiques... Ou plutôt, l’illusion d’une nouvelle ère. Si le brésilien réussit une très bonne pré saison et un début de saison tout à fait correct, cela ne dura pas. Les blessures refont leur apparition, et surtout quand le brésilien semble retrouver la forme (cf: Son match face au FC Barcelone au Camp Nou fut excellent, avec ce petit pont sur Messi en plus ! xD) mais donc, je disais que la Pubalgie le rattrapa, et il finit la saison sur une jambe. Il ne fut par ailleurs jamais autant contesté à Madrid que lors de cette première saison, surtout après l’élimination subie par le Real en Ligue des Champions face à l’Olympique Lyonnais. C’est donc sur une jambe que Kakà rejoint le Brésil en Afrique du Sud, où il réalisa, pour moi, une campagne tout à fait honorable. Il fut inexistant face à la Corée du Nord, moyen face à la Côte d’Ivoire (et la fameuse altercation face à Kader Keita) bon face aux Pays Bas et au Chili. Mais l’opération s’impose ensuite, et Mourinho a de plus été engagé, et recruté dans le même temps Mesut Özil, Sergio Canales et Angel Di Maria. Autant dire qu’en début de saison, on ne donne pas chère de la peau du brésilien dans la capitale espagnole. Il revint en Février, disputant quelques matchs, se montrant parfois bon, parfois correct, parfois mauvais, parfois inexistant. Son meilleur match fut à Valence, où on a eu l’illusion de retrouver le Kakà des grands jours, avec un superbe but à la clé. Il réussit néanmoins une belle saison statistique, où il était devant des joueurs tels que Canales, Pedro Leon, voire même Adebayor (à vérifier). La nouvelle saison qui débute est en tout cas de bonne augure pour lui, sa vitesse, sa frappe de balle semblent être retrouvées, mais est-ce vrai, ou serait-ce une simple illusion ? Le temps seul nous le dira, mais j’espère de tout coeur que ce joueur prouvera à tous qu’il n’est pas fini. Mourinho vient par ailleurs de le décrire comme un « jeune homme » et qu’il bossait beaucoup. Alors, maintenant l’heure du vote. Sneijder, c’est la vision du jeu, les passes courtes, longues, les frappes à distance, l’intelligence, les coups francs... Kakà, c’est la vitesse de ses dribbles, ses accélérations, ses passes (absolument voir la passe qu’il fit face à Liverpool en 2005, le Miracle d’Istanbul) et également sa frappe de balle. Deux joueurs expérimentés, talentueux, à la carrière tronquée par les blessures, mais qui, pourtant, sont assez différents. Pour la mentalité qu’il a affiché depuis son départ de Milan, pour son talent et son comportement exemplaire, ce sera Ricardo Kakà pour moi. Qu’il brille, autant sur la scène nationale que continentale, mais qu’il s’incline en finale de la Ligue des Champions, face à Manchester United.
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De Gea 8 Smalling 5,5 Ferdinand 6,5 Evans 6 Evra 7 Fletcher 5 Jones 5 Giggs 4,5 Park 5 Young 4,5 Welbeck 5,5 Hernandez 6,5 Rooney 6 Nani ---
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Bon bah, notre fameuse tenue away nous cause donc trois matchs nuls 1-1, mais comme on dit jamais deux sans trois, je m'attendais à ce résultat Plus sérieusement, ce match, on ne l'a jamais réellement jouer. On s'est accroché, on s'est battu, mais on était clairement limité, et le fait que Gerrard ait marqué avant les rentrées de Rooney et de Nani nous a plus sérieusement compliqué la tâche: la victoire ne pouvait plus être un objectif, il fallait sauver les meubles, et ce fut ce que Chicharito a fait. Pour ma part, je ne tirerais pas de grandes conclusions de ce match, sachant que cette composition d'équipe, ce n'est certainement pas demain la veille qu'on la reverra. Une équipe assez expérimentale, qui a finalement tenu bon, grâce notamment à un Grand De Gea, que je félicite pour son match, malgré quelques hésitations sur les fameuses balles aériennes, notre gardien monte en puissance. Evra, dont je salue le match dans son intégralité, a aussi fait parti des meilleurs. Mais, bref, la plupart des choses a déjà été dites, et les répéter ne servirait pas à grand chose. Quoi qu'il en soit, un bon résultat des Red Devils, mais j'ai toujours cette petite conviction tout à fait personnelle, qui me dit que si Sir Alex avait réellement joué le coup à fond, nous ne serions peut-être pas repartis qu'avec un point d'Anfield. Mais bon, on ne peut pas refaire le match...il est vrai qu'on a un retard en Ligue des Champions, un retard que l'on soit doit de vite combler.
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Moi, j'ai trouvé que lorsqu'il était repassé à gauche, il a été meilleur. Dans l'axe, il n'a fait que perdre des ballons.
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Moi je trouve qu'Higuain et Chicharito sont relativement proches dans leurs styles de jeu, toutes proportions gardées, je veux dire que la zone d'influence de ces deux joueurs, c'est surtout la surface de réparation. Et puis effectivement, avec Di Maria qui pense souvent à trop dribbler, et Ronaldo qui frappe autant que l'équipe adverse, Chicharito sera sans doute moins recherché. Mais il pourrait ainsi bien se placer, dans les ballons cafouillés par exemple. Enfin bon, je ne veux pas me préoccuper de ça, puisque Chicharito vient de prolonger x) Je me demande d'ailleurs lequel, entre lui et Welbeck, devrait jouer à Anfield, en tant que titulaire. Mais bon, nous n'y sommes pas encore...
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J'ai entendu que Vidic a raté un pénalty avec la Serbie (enfin, j'ai vu ça sur Sofoot) et moi, je croyais qu'il était blessé. Erreur de Sofoot ou retour de Vidic ? Edit: Sorry, je n'avais pas vu la dernière page...
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Oui oui, tout cela est vrai. Mais ça m'énerve un peu de voir le manque de connaissance de ces joueurs sous côtés étrangers (pas qu'à United) qu'en France on a. Et je dis que les médias ne sont pas étrangers à cela. Par exemple, après la finale 2009 perdue face à Barcelone, j'ai entendu plein de monde dire "Ouais, Alex Ferguson est c** pourquoi il fait jouer Giggs ? Le mec avait oublié sa cane chez lui..." ou "Giggs a quel âge déjà ? 50 ans ?" Après oui, je m'irritais un peu pour rien peut-être. Mais avec le goût de la défaite encore, c'était amplifié.
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Je suis d'accord sur les médias en général, mais il faut néanmoins admettre qu'il existe une nuance entre les médias sportifs et les autres. Mais là, je m'éloigne trop du sujet, je ne vais donc pas en dire plus.
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Relax, je ne t'ai pas attaqué personnellement, et je n'ai jamais fait de "crises", comme tu dis. Je n'ai également jamais eu la prétention de t'apprendre quoi que ce soit. Et, ensuite, par médiatisation, est-ce qu'il faut forcément aller raconter sa vie dans les médias ? Est-ce que les médias ne pourraient pas simplement s'axer sur l'aspect footballistique ? Tout ce que je dis, et ce que d'autres ont dit avant moi (ce que je ne réfute pas) c'est que Giggs a dû attendre la fin de sa carrière pour que les gens, en général, commence à le voir, et que Scholes lui n'aura probablement jamais une reconnaissance à la hauteur de son talent.
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Oui, je parlais des médias, et donc, de la vue des gens en général sur Giggs. Car il y a pas mal de gens qui ne sont pas des experts en la matière, et qui ont tendance à suivre un peu le mouvement (certains appellent cela des "footix"). Le grand mouvement, lui, est nourri par les médias. Giggs n'est quasiment pas apparu dans les médias, ce qui donc, logiquement, fait que le gallois n'a jamais été très reconnu, si ce n'est donc dans la fin de sa carrière (et il n'est pas apparu que pour des bonnes choses, d'ailleurs). Du moins, il a toujours été dans l'ombre, derrière les Beckham, Ronaldo, Rooney...
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Dommage quand même que ce grand joueur doit attendre la fin de sa carrière pour attendre d'être reconnu comme un vrai grand...toujours dans l'ombre Sir Ryan Giggs, mais toujours là.
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En même temps, il dit qu'il faut qu'il prépare l'équipe qui débutera l'Euro 2012, et sur ce point, difficile de lui donner tord puisque Rooney n'y débutera pas. Mais, le match contre le Montenegro était le dernier des qualifications ?
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Ma phrase était ironique, hein. x)
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Bah, ce n'était pas forcément méprisant, après tout, l'équipe Féminine d'Arsenal est exellente, on peut tout à fait envisager que les Gunners aspirent à produire un tel jeu.
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Raah, la rage =/ Cet illustre inconnu, va m'obliger à troquer mon super avatar de Tevez contre le sien u_u Sinon, oui pour moi les Da Silva doivent être la priorité du club.
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Fabio est le successeur attitré et naturel de Patrice Evra. Honnêtement, il n'y a personne dans l'effectif pour lui contester ce poste, et ne me parlez surtout pas de Jonny Evans qui n'est pas un titulaire en puissance ici, mais qui peut simplement dépanner. Même chose un peu pour Rafael, même si coté concurrence avec Smalling et Jones, cela pourrait être plus hardu. Mais ces deux-là sont prédestinés à former la future charnière centrale mancunienne. Donc, si nos deux jumeaux ont un temps soit peu de bon sens, ils sauront qu'avec du travail, de la patience, ils seront titulaires. Et Sir Alex Ferguson sait comment s'y prendre avec les jeunes, d'autant plus que les jumeaux semblent aimer Manchester (bon, ça ce n'est pas forcément très parlant) et donc, je ne me fais pas beaucoup de soucis quant à l'avenir des Brazilians Twins du coté de Manchester.
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Il n'y a pas de meilleur joueur du monde actuellement, il y en a juste qui sont les meilleurs à leurs postes, rien d'autre.
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De toute façon je ne vois aucune similitude entre O'Shea et Rafael à part le fait qu'ils jouent au même poste lol O'Shea est plus costaud et rigoureux défensivement (un vrai défenseur de PL) mais Rafael est plus agressif , plus technique et même plus doudé tout simplement! C'est ce que tu veux dire ?
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Oui voilà, très souvent à part le poste, on voit surtout les différences entre les joueurs, et pas leurs ressemblances. Mais bien entendu, cela existe. Je me souviens que quand Messi jouait à droite, je le trouvais très proche de Robben.
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Fabio n'était pas censé être blessé ? Bonne nouvelle pour lui, en tout cas ! Par contre, je le vois quand même mal se faire une place avec les latéraux brésiliens, Marcelo, Maicon, Dani Alves, voire même André Santos...ça risque d'être encore pire qu'à United, la concurrence.
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Actualités des clubs européens
Red Eye a répondu à un(e) sujet de ericantona dans AUTRES CLUBS ET SÉLECTIONS NATIONALES
Mais, même. Je veux dire, on est obligé d'admettre que des joueurs simulent de manière bien trop récurrente. Je pense surtout à Busquets, Alves, Di Maria ou encore Pedro. Et puis, personnellement; il y a quand même un degré de simulation, je veux dire. Contrairement aux hors jeu, là on peut dire que y'a de grosses simulations et des petites. Les grosses simulations, qui visent à obtenir des pénaltys, à faire exclure l'adversaire, bref, y'en a qui en rajoutent des tonnes. -
Bon, un léger bug m'a forcé à tout recommencer, mais il faut faire avec. Donc puisque c'est moi qui ai demandé ce duel, je vais commencer. Bien que cela me frustre de devoir tout recommencer. xD « On t'a recruté pourquoi, déjà ? -Beh...pour mes qualités, monsieur. -Et c'est quoi, tes qualités ? -Beh...attaquer. -Et bah, qu'est-ce que t'attends ? » Une petite discussion entre Sir Alex Ferguson et Patrice Evra, peu après son arrivée à Manchester United, en provenance de l'AS Monaco, où il avait tapé aux yeux de l'Europe en 2005, avec l'épopée monégasque jusqu'en finale de la Ligue des Champions. Cette phrase lança la carrière mancunienne d'Evra (j'exagère un peu) qui, après six premiers mois houleux à Old Trafford, question d'adaptation, devint, en 2006-2007, un autre joueur. Exit Heinze, exit Silvestre, le nouvel arrière gauche de Sir Alex, c'est Patrice Evra. Développant une entente très prometteuse avec Cristiano Ronaldo, le français enchaîne les matchs, débordant, montrant toute sa hargne, et faisant preuve d'une belle régularité. Tout n’était pas parti comme dans un rêve, avec la débâcle des Red Devils à Manchester City en guise de premier match pour le français, blessé, et qui a été remplacé à la mi-temps par Sir Alex Ferguson. Mais passons, le Français réalise un grand exercice 2006-2007, et n’est pas étranger à la belle saison de Manchester United, qui redevient Champion en Angleterre, un titre qu’Old Trafford commençait à attendre de manière pressante, et échoua malheuresement en demie finale de la Ligue des Champions, avec une défaite humiliante à San Siro, à laquelle Evra, suspendu, n’a pas participé. La défaite en Finale de la Cup ne fut pas non plus un souvenir très beau, pour United. C’est donc avec une soif de titres accrue que Patrice Evra entame les autres saisons, confirmant son excellente saison passée en 2007-2008, Evra fait parti des cadres des Mancuniens, et les emmènent sur le toit d’Angleterre, et d’Europe. Qui ne se souvient pas de sa brillante prestation face au FC Barcelone, où il avait su contrer le génial Messi ? Il aurait en plus pu offrir le but de la victoire à Ryan Giggs en Finale de cette même compétition, si John Terry n’avait pas retardé l’échéance. Excellent de bout en bout, autant défensivement (bon, sauf face à Lennon) qu’offensivement, malgré des statistiques peu flatteuses, Patrice Evra entame donc la saison 2008-2009 avec confiance. Il nous refit pratiquement la même saison, avec son désormais légendaire « Onze Hommes contre Onze Enfants », mais chuta finalement face au FC Barcelone de Messi en finale, une finale où nous n’avons jamais pu voir le véritable Manchester United. Evra lui, n’avait pas grand chose à se reprocher, en étant bien présent lors de ce rendez-vous, n’étant pas prit à défaut de nombreuses fois par Samuel Eto’o ou Lionel Messi (et encore moins par Carles Puyol bon, je continue). Ainsi, l’été du mancunien ne fut pas le plus relaxant, et le plus beau. Encore plus lorsque ses amis Cristiano Ronaldo et Carlos Tevez quittèrent Carrington, pour rejoindre respectivement le grand Real Madrid et Manchester City. C’est avec un United affaibli dans le secteur offensif que Patrice Evra décide de prendre encore plus de responsabilités offensivement. Enchaînant encore plus de matchs, jouant tantôt avec Carrick et Fletcher à ses cotés, Evra réalise une énorme saison à Manchester United, où il apporta beaucoup par ses appels, ses centres, et défensivement, où il répondit présent, quelque soit ses coéquipiers à ses cotés. Robben, Pato, Lennon, tous ont dû faire face à ce joueur français, qui ne lâcha rien. Malheuresement, ses rêves de gloire se résumèrent à une Carling Cup, qu’il brandit fièrement, brassard autour du bras, la Ligue des Champions s’étant envoléee à cause du Bayern Munich, d’un certain Philipp Lahm (où nos deux adversaires du jour étaient réellement faces à faces) et Chelsea a ravit le titre d’Angleterre, de manière litigieuse, mais finalement méritée vu la saison des blues. La Coupe du Monde vira quant à elle, au cauchemar., avec l’affaire Knysna, et la saison suivante n’en est qu’un prolongement, l’ombre d’Evra, seulement son ombre, malgré un titre de Champion d’Angleterre, et une Finale où son ombre n’a pas été irréprochable sur les buts concédés. Cette année, il y a encore du défaut dans son jeu, mais j’ai eu certains flashs du Grand Patrice Evra d’il y a deux ou trois ans, sur certains matchs, comme face à Chelsea. Philipp Lahm, lui, n’a pas encore connu tous les déboires de Patrice Evra. D’abord barré par Willy Sagnol à droite, et par Lizarazu à gauche, le petit allemand fut prêté à Stuttgart où il pu commencer son épanouissement. Sans faire de bruit, Lahm revint en 2006 au Bayern, où sa médiatisation était quasi inexistante...jusqu’à la Coupe du Monde 2006, où il marqua le premier but du tournoi, et quel but ! Une frappe dans la lucarne du pauvre gardien Costa Ricain. Lahm réalisa un tournoi tout à fait honorable à gauche, où fut solide et apporta offensivement par ses inépuisables montées, mais l’Allemagne s’inclina face aux Italiens, en Demi Finale. Suite à cette belle performance, Lahm s’installa sur le flanc gauche de la défense du Bayern, et avec réussite. Ses constantes montées apportèrent beaucoup à un Bayern 2006-2007 orphelin de Ballack, et dont les forces sur les ailes n’étaient pas vraiment au top: Schweinsteiger, à gauche, et Hasan Salihamidzic à droite. Pas la paire d’aillier la plus efficace d’Europe, mais avec Sagnol et Lahm pour les épauler, l’attaque Munichoise devint plus menaçante, bien que les champions sortants finirent à une décevante, voire humiliante, quatrième place en Bundesliga, et se firent éliminés par l’AC Milan de Kakà en Quarts de Finale de la Ligue des Champions. A titre personnelle, la saison de Lahm fut satisfaisante, il n’a pas souvent été mauvais à son poste, et on peut difficilement lui reprocher la mauvaise saison de son équipe. Un déclic survint lors de la saison 2007-2008, avec l’arrivée de Franck Ribéry et de Luca Toni. Avec le français, Lahm trouva rapidement ses marques, et sur le flanc gauche de l’attaque, il forma avec le français (et Ze Roberto) la force de frappe du Bayern, avec donc l’Italien là pour terminer les actions. Lahm fut pour beaucoup dans la victoire du Bayern en Bundesliga, mais également fautif sur le piètre match face au Zenit Saint Petersbourg en Russie, où sont équipe se prit un monumental 4-0. Mais, à sa décharge, Lahm a été quasiment titulaire à chaque match de son équipe, un peu comme Evra, il n’y avait pas de réelle concurrence face à lui. Christian Lell était bien frêle, pour exemple Ze Roberto pouvait dépanner, mais pas beaucoup plus. En 2008-2009, Lahm réalise une bonne saison, mais son équipe termine derrière Wolfsburg (qui a étrillé Munich 5-1) et est éliminé par le FC Barcelone (4-0, 1-1). Lahm ne participe pas au match aller, blessé. Au retour, il a offert une belle opposition face aux lutins catalans, en dominant, oui je dis bien cela, Messi à l’Allianz Arena. En revanche, certains diront que l’argentin, vu l’ampleur du score aller, ne s’est pas donné à fond au retour. Lahm ne remporte pas de titres durant cette saison là, mais il a surnagé dans une équipe irrégulière, avec Franck Ribéry. L’année d’après, sous Louis Van Gaal, Lahm bascule à droite, et réalise une énorme saison, bloquant les adversaires sur son couloir, et remontant le terrain jusqu’à l’autre coté, pour offrir à ses attaquants des caviars. Son entente avec Robben est la même qu’avec Ribéry: exellente. Les deux hommes se trouvent bien, malgré, on se souvient, une dispute à l’entraînement, relativement bruyante, entre le batave et l’allemand. En tout cas, Lahm et le Bayern sont champions, gagnent la Coupe mais perde en Finale de la Ligue des Champions face à l’Inter Milan Au passage, Lahm a offert une belle prestation face à Manchester United en Quart, et une énorme face à Lyon en Demis. Durant la finale, Lahm fut très bon, mais la solidité adverse aura eu raison de ses tentatives avec Robben. Contrairement à Evra, Lahm a réalisé une superbe Coupe du Monde 2010, du premier au dernier match, solide derrière, bon devant, il fut l’un des grands artisants du beau mondial Allemand, sans toutefois se montrer devant la caméra. Non, sous les feux des projecteurs, ce fut Özil, ce fut Thomas Müller, ce fut Miroslav Klose...Lahm est dans l’ombre. Et c’est mieux ainsi. L’année dernière, Lahm a encore fait une bonne saison, malgré quelques pénaltys ratés (en même temps, ce n’est pas un spécialiste, et il a plus tiré par défaut) il a porté fièrement son brassard de capitaine, mais son équipe a fait une saison chaotique, terminant troisième, et éliminé une nouvelle fois par l’Inter de Milan. Mais Lahm, lui, n’avait pas grand chose à se reprocher, il a toujours apporté offensivement, il a toujours apporté défensivement, une saison correcte, sans être brillant. En cette nouvelle saison, Lahm est repassé à gauche. Repiquant dans l’axe, il continue de faire parler sa technique, sa solidité, ses centres, ses tacles...et on verra bien où cela mènera le Bayern Munich. Alors, dans ces profils, lequel est le meilleur ? Evra a toujours utilisé sa vitesse, son agressivité, son endurance. Lahm lui, était plus élégant, plus fin techniquement (bien qu’Evra ne soit pas mauvais sur ce domaine là) et surtout, plus propre derrière. Je crois bien que Lahm n’a jamais prit de carton rouge dans sa carrière, pour Evra, il faudra vérifier, mais il me semble qu’il n’a jamais été exclu en portant le maillot mancunien. Tous deux possèdent une belle frappe de balle (je ne sais pas pourquoi, mais j’ai toujours en tête la belle frappe d’Evra face à Wigan en 2006-2007, que Kirkland a repoussé), et sont des arrières de poche. Le Français semble néanmoins avoir une meilleure détente, mais Lahm ne se laisse pas faire. A voir quand il essaie de prendre le ballon aérien à Jan Koller, c’est énorme. Mais pour qui vais-je voter ? Au jour d’aujourd’hui, il ne fait aucun doute que Lahm est devant Evra. Cela pourrait changer, mais vu la régularité de l’allemand, je ne sais pas quand il commencera à régresser. J’aime toujours Evra malgré tout, son tempérament, sa hargne... Lahm me semble tout de même supérieur dans tous les points, difficile à passer, bon dribbleur, bon tacleur, bon centreur...je donne mon vote à Philipp Lahm, et en espérant que Patrice Evra retrouve ses jambes.