-
Compteur de contenus
7245 -
Inscription
-
Dernière visite
-
Jours gagnés
54
Type de contenu
Profils
Forums
Calendrier
Tout ce qui a été posté par Best_07
-
En regardant ce calendrier, pour moi, c'est clair, notre groupe est le plus relevé après le groupe F (et peut-être H).
-
Cinéma
Best_07 a répondu à un(e) sujet de Miss Becks dans SÉRIES TV / FILMS / JEUX VIDEO / MUSIQUE / LIVRES
Oui mais Skynet veut toujours montrer qu'il est le plus malin. Ça aussi il ne faut pas l'oublier. Inception c'est simple, les gens doutent du fait qu'il soit encore dans un rêve ou non. Ils prennent en référence les items (la toupie étant celui de sa femme et pas le sien blablabla), les acteurs qui jouent les enfants (ce ne sont pas les mêmes à deux moments du film blablabla) et d'autres détails de ce style-là. Ce n'est pas moi qui l'invente et un doute subsiste, aussi inintéressant soit-il. Enfin tu as peut-être collaboré à l'écriture du scénario pour nous éclairer ? -
Tu es difficile. La double-confrontation contre Porto était assez épique en soi. D'ailleurs toute notre campagne européenne de 2008/2009 était épique, je trouve. Entre l'Inter de Mourinho-Ibra qu'on tait, Porto qui nous met le feu à OT et qu'on sort sur un exploit magistral de CR7 au retour (avec pas mal de tension en fin de match), et la gifle infligée au onze enfants (avec un match retour jouissif), c'était franchement pas mal. Je crois avoir bien plus kiffé notre campagne 2008/2009 que 2007/2008 (même si Lyon, Rome et le Barca c'était de bonnes confrontations). En 2009/2010 le match aller au Milan était loin d'être aisé, avec un Ronaldinho on fire si mes souvenirs sont bons. Après le retour c'est une humiliation, mais rien que pour la qualité de jeu produite ce soir-là, dans un OT déchaîné, et le retour de Beckham au bercail, j'avais des étoiles plein les yeux. Quant au 1/4 contre le Bayern, il avait tout pour devenir un classique. Et même si on est éliminés à cause de cette p***** d'exclusion de Rafael, le match retour était quand même de très haut niveau (avec une première demi-heure de feu). 2010/2011 et 2011/2012 c'était un peu des années mortes, c'est vrai. Même si la double-confrontation contre Chelsea a livré quelques moments épiques (je me rappelle de certains sauvetages incroyables de VDS). Par contre l'an dernier, les deux matchs contre le Real puait le parfum européen à plein nez. Y a certes cette exclusion qui gâche tout, mais le match à Bernabeu, sous tension, capable de pencher d'un côté ou de l'autre sur un détail, était extra, je trouve.
-
Cinéma
Best_07 a répondu à un(e) sujet de Miss Becks dans SÉRIES TV / FILMS / JEUX VIDEO / MUSIQUE / LIVRES
Oui mais Christopher Nolan veut toujours montrer qu'il est le plus malin. Ça aussi il ne faut pas l'oublier. -
Cinéma
Best_07 a répondu à un(e) sujet de Miss Becks dans SÉRIES TV / FILMS / JEUX VIDEO / MUSIQUE / LIVRES
Pour la fin de Batman 3, Nolan a fait du Nolan et laisse le doute : -
En groupe tu veux dire ? C'était déjà pas fameux avant. C'est rare qu'on ait une grosse affiche à ce stade-là de la compétition. Ce qui est un peu normal, y en a pas des masses non plus des équipes de haut standing dans les pots 2 et 3. Par contre si tu fais référence à l'ensemble de la Ligue des Champions, je ne comprends pas trop. Depuis 2008 on a rencontré l'Inter, Porto, Arsenal, Milan, Bayern, Chelsea et le Real. tout ça en cinq saisons. Et sans compter les finales contre le Barca. C'est pas mal. ^^
-
Le groupe est loin, très loin, d'être merdique.
-
Cinéma
Best_07 a répondu à un(e) sujet de Miss Becks dans SÉRIES TV / FILMS / JEUX VIDEO / MUSIQUE / LIVRES
Si. Dans Jeune & Jolie une phrase revient souvent : « tu fais la p***. » Cette phrase, lorsqu'elle est prononcée, illustre toujours l'incapacité des personnages à poser le regard juste sur leur interlocutrice, Isabelle. Leur réaction emplie de dégoût est primaire, et liée davantage au « je » (eux) qu'au « tu » (elle). Ils jugent avant de comprendre, ou tout du moins d'essayer de comprendre. Ce qui met tout de suite une barrière entre eux et elle. Il s'agit généralement de la sphère parentale, mais c'est en fin de compte à la sphère sociétale toute entière que cette barrière s'étend. Une société où les individus ne cessent de juger les autres, faisant de leur subjectivité une objectivité à laquelle personne ne peut échapper. Les spectateurs qui, de toute évidence, ont jugé hâtivement ce film, se comportent exactement de la même manière. Enlisés dans leur attitude préjugeante, dans le jaillissement du « je » qui ne laisse aucune place au « tu » (ici, François Ozon), ils semblent incapables de vouloir comprendre le personnage qu'ils ont sous les yeux, préférant la condamnation à la réflexion. Pourtant, pas de doute possible, Jeune & Jolie n'est ni vide, ni vain, ni misogyne. Le film ne nous parle pas d'une p***, il nous parle d'une personne. Il n'expose pas son corps, il expose sa mélancolie. Les scènes de sexe, dont je redoutais la teneur, échappent totalement à une notion de sensualité, de sexualité, ou de plaisir complaisant de la part du cinéaste et du spectateur. Le voyeurisme suggéré par le premier plan, les jumelles étant une extension de la caméra, ne sera pas du tout le crédo du film. De voyeurisme il n'y a pas. Les scènes de sexe sont toujours très brèves, coupées étrangement, comme précipitamment. Nous n'y voyons pas un espèce de fantasme masculin, qui se réjouirait de soumettre la femme, de posséder son corps. François Ozon n'est pas dans cette optique-là et cela se voit. Ces plans sont frigides, glaciaux, et le corps de la femme n'y est certainement pas dégusté. Ces plans, où la nudité est présente sans être vicieuse, sont en plus de ça toujours suivis de contre-points étonnants, qui tranchent tout de suite avec l'acte sexuel en le dénaturant de son essence érotique. Empêchant au spectateur – aussi obsédé soit-il – de ressentir le moindre plaisir oculaire, tant la contemplation n'est pas permise par cette réalisation qui n'est pas nécessairement pudique, mais qui montre tout simplement autre chose. En somme, dans les scènes de sexe, ce n'est pas du sexe que nous voyons. C'est une intimité qui met en lumière, de manière plutôt brutale, le côté insaisissable, mélancolique, d'une adolescente. C'est cela qui intéresse François Ozon : qui est Isabelle ? Pourquoi est-elle parfois si froide, si distante, si mystérieuse ? Pourquoi semble-t-elle si sensible et en même temps si insensible ? Le réalisateur, en pénétrant l'inimité de cette jeune femme, n'essaie pas d'assouvir un fantasme et ne s'intéresse pas à la sexualité. Il s'intéresse à ce qui se cache derrière. Il essaie, en définitive, de comprendre une femme. De façon, à mon sens, pure, généreuse, empathique. En tant que spectateur, je me suis mis dans cette position-là. Je n'ai pas pris l'air affecté de vigueur quand Isabelle se prostituait. Je n'ai pas eu l'intention de sortir de ma salle pour que mes préjugés et mon côté faussement outré soient renforcés. Non. J'ai eu envie de chercher aux côtés de François Ozon, à mettre la main sur ce mystère qui enrobe cette silhouette fine et vulnérable, comme un secret invisible qui plane au sein de chaque plan, et qui contribue à rendre la moindre scène immersive. Nous sommes comme confinés, dans cet univers bourgeois raffiné, habité par une sorte de malaise atmosphérique, qui flotte constamment autour des personnages. Le même genre de malaise qui irriguait la maison du précédent film du cinéaste français. Il met le doigt, aussi, comme dans son œuvre précédente, sur l'instabilité des individus. De ces individus ancrés dans le monde, respectables, distingués, qui ne sont jamais très loin de franchir la limite de ce qu'il est bon de considérer, en société, « correct ». Comme attirés sans cesse par une part de désir en eux, qui prévaut sur leur raison. De partir de ce postulat lui permet d'écrire des personnages ambigus, qui ne sont pas cadenassés, s'avérant plutôt imprévisibles. Ça passe bien souvent par des scènes à l'issue incertaine, à l'ambiance malaisante. Qui permettent d'accentuer, encore, cette force immersive, quasi-attractive, qui se dégage du film. Dont le référent est évidemment Marine Vacth, qui attire l'œil de la caméra non pas pour sa beauté mais pour sa dimension mystérieuse. Son visage s'ancre en nous, il sort de l'écran pour jaillir dans nos esprits et y rester. En sortant on se souvient d'un regard fuyant, d'une mèche de cheveux, d'une bouche hésitante. Sans désir, sans plaisir, mais la tête pleine de questions. On en revient au « qui est Isabelle ? ». Une jeune femme qui détonne avec son environnement social. Perdue, embrumée, dans le temps comme dans l'espace (les chansons de Françoise Hardy le mettent en évidence, dont un contre-point sublime). C'est pour cela que je ne comprends pas ceux qui sortent de ce film en contestant un soi-disant propos du cinéaste qui s'apparenterait à un infâme « toutes des p***s ». Je n'ai pas regardé Isabelle comme une « toutes ». Elle est singulière, exceptionnelle, elle existe en tant que personnage unique et non pas en tant que généralité. C'est d'ailleurs cette singularité qui fait la force du film. Ne pas l'avoir vu, ne pas l'accepter, c'est n'avoir rien compris à ce que François Ozon nous montre. Pour ma part j'y ai vu une adolescente indépendante affectivement, incapable d'aimer, qui vend son corps pour, d'une manière ou d'une autre, ne pas se sentir crouler sous le poids du détachement auquel elle semble condamnée. C'est d'ailleurs dès lors qu'elle est aimée qu'elle décide de retomber dans la prostitution. Parce qu'elle a peur de cette insensibilité et ne parvient, visiblement, à l'oublier que lorsqu'elle entretient ces rapports jugés indécents. Son plaisir n'est pas d'ordre physique, il est d'ordre émotionnel. Pas d'explication balourde sur l'absence du père et la recherche d'amour paternel. Pas non plus de morale sur ce qui est bien ou ce qui ne l'est pas. Juste un regard sur une adolescente mélancolique, insensible et incapable de s'intégrer dans le « nous » (la société) ou dans l'instant présent (la modernité). Une adolescente dont il y a tant à dire, tant à creuser, mais dont les gens ne trouveront qu'à dire que c'est une p***. Pensant, comble de l'ironie, que c'est le film qui est misogyne. Je ne sais pas trop jusqu'où Jeune & Jolie est puissant, profond, pertinent, ce que je sais, c'est que je ne me suis jamais senti aussi proche d'un personnage. http://www.youtube.com/watch?v=DHobdfeMJn0 -
J'ai quand même trouvé le comportement des madrilènes particulièrement exécrable. Messi avait raison de se plaindre à la pause, c'était injouable pour lui, on aurait dit une petite victime dans la cour de récré. Ou un "petit pont baston" sans petit pont, au choix.
-
J'espère vraiment que l'on va tomber dans le même groupe que la Juventus ou Dortmund. Pourquoi ? Pour que Moyes puisse se faire la main contre des équipes-références en Europe ces deux dernières saisons. Pour ne pas arriver en huitièmes (si nous y arrivons) totalement vierge de tout défi européen. Ou bien, accessoirement, le PSG, pour la diffusion Canal. Ce n'est peut-être qu'une impression mais je trouve les chapeaux 3 et 4 plus relevés que ces dernières années. C'est de bonne augure pour le suspens et la qualité des rencontres.
-
Pourquoi tu m'agresses comme ça ? J'ai jamais été fan du brésilien... Je dis juste qu'il aurait pu apporter, plus que Ryan Giggs, en entrant en cours de match.
-
Actualités des clubs européens
Best_07 a répondu à un(e) sujet de ericantona dans AUTRES CLUBS ET SÉLECTIONS NATIONALES
Tiens, toi aussi tu écorches les pseudos de ceux que tu veux troller ? Ou t'as juste TroOOwwW Buuh DalCohOoooL CommEE lAAA deRNIEEEre foiIIIs Lol ? Il y en a qui ne comprennent pas l'humour. C'est une plaie. T'as jamais dit un truc pour déconner, en te retrouvant après au milieu d'une discussion dont t'avais strictement rien à b****** ? Ça arrive trop souvent c'est insupportable. -
Luiz Gustavo doit se marrer, aussi.
-
Si l'on excepte la note de Valencia, qui devrait avoir un point de moins, c'est déjà un ensemble de notes plus pertinent. Cleverley mériterait aussi d'avoir une note plus élevée.
-
Zaha a fait un très mauvais match contre Wigan, c'est très risqué de le faire jouer à Anfield. Surtout que, défensivement, Young est bien meilleur que lui.
-
at Liverpool : De Gea Fabio Ferdinand Vidic Evra Young Carrick Cleverley Welbeck Kagawa Van Persie
-
Il s'est même excusé auprès des fans pendant le match, le Mou. Quel gentil flatteur.
-
Je l'ai vu faire ça la saison dernière, moi. Je le vois faire ça depuis qu'il est au club.
-
Allez avoue Moha, t'as pris quelques bières de trop. Moi aussi je sentais qu'on pouvait (devait ?) gagner ce match, et j'étais très frustré de ce résultat nul. Mais il y avait clairement un problème d'animation offensive, raison pour laquelle on s'est jamais mis en bonne position dans la surface de réparation. Pas une seule fois, c'est assez symptomatique. Je pense que notre maîtrise en terme de possession de balle provenait surtout du non-match des Blues, qui étaient clairement venus pour jouer le nul. Je rappelle au passage que c'était leur 3ème match en une semaine et qu'ils rejouent vendredi. Eux étaient venus chercher 1 pt, on aurait dû les en priver. Pour moi c'est une contre-perf', sur le terrain comme comptablement. Je suis peut-être trop exigeant, mais si on perd à Anfield ça fait 4 pts en 3 matchs. Après je ne vais pas tirer la sonnette d'alarme, loin de là, mais j'aurais aimé en voir plus dans le jeu. Beaucoup plus. @mamadou10 : oh, tu sais, Atkinson n'a pas attendu que Ferguson prenne sa retraite pour nous niquer. Ce qui me fait marrer, moi, c'est le comportement des supporters de Chelsea. Après le match de l'année dernière (où les deux cartons rouges étaient justifiés) on n'a cessé de les entendre. Comme quoi les matchs United v Chelsea étaient toujours défavorables aux Blues à cause de décisions arbitrales litigieuses. Quand on voit comme on s'est fait arnaquer (et je dis bien arnaquer) par les arbitres contre eux ces dernières années (+ le match de ce soir), je ris jaune, vraiment. Pour un petit retour en arrière : - Community Shield 2009 : Ballack qui violente Evra sur l'action d'un but des Blues, l'arbitre ne bronche pas. - Premier League 2009/2010 : Au match aller les Blues gagne le match sur un coup-franc inexistant en toute fin de match (arbitre : Atkinson), avec une faute flagrante d'un joueur des Blues sur ce même coup-franc. Au match retour, un title decider à Old Trafford, Drogba double la mise pour les londoniens à dix minutes de la fin. Sur un hors-jeu de 1 mètre 50 (littéralement) : l'arbitre ne bronche pas. - Premier League 2011/2012 : Le 3-3, en tout début de match Welbeck est fauché dans la surface, l'arbitre ne bronche pas. Ça fait beaucoup, je trouve. Et j'en oublie. La seule fois où l'on a réellement été avantagés contre eux c'était en Champion's League, avec un penalty flagrant sur Ramires en toute fin de match. Aujourd'hui Ashley Cole doit prendre deux cartons jaunes (une grosse faute + deux mains + une simulation) et être exclu. Et y a clairement penalty sur la main de Lampard, juste devant la gueule du ref'. Mais bon, c'est presque anecdotique au regard du match, tant il y a d'autre choses à critiquer (nous).
-
On était à domicile et on s'est créé aucune véritable occasion. Face à un Chelsea, je le rappelle, complètement minable. Pour moi y avait pas de rythme dans ce match, la possession était on ne peut plus stérile. Je ne me suis pas ennuyé parce que c'est mon équipe, mais objectivement, c'était un match sacrément bidon.
-
Malheureusement son retour est prévu pour début septembre. Faut attendre la réception de Crystal Palace pour espérer le voir, en gros.
-
Busbybabe, toi qui suis la Liga, Villareal ont-ils une chance d'accrocher la 4ème place ?
-
Comptablement, ok. La manière par contre... La bonne chose c'est qu'il a osé sortir Valencia très tôt : ouf.
-
Je pense qu'il veut mettre un pont entre lui et l'Espagne. Sérieusement je crois que c'est ça, parce qu'il n'y a pas de raison valable pour laisser un joueur comme lui croupir sur le banc.
-
Que Mondoudou est un homme. Il est allé au charbon pour le vérifier.