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Doraibu

Fergie Babes
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Tout ce qui a été posté par Doraibu

  1. Hey! On pourrait carrément en faire un topic. Manchester Devils Facts
  2. Suite et fin de cette confrontation ! L'équipe de France, par le biais de Platini, recolla au score, grâce à un superbe coup-franc, plein de maîtrise. Les italiens blessés dans leur orgueil, décidaient alors de passer la seconde vitesse. Del Piero ballon au pied, passa le cuir à Totti, le romain décala côté droit vers Baggio, ce dernier fixa Lizarazu, garda le ballon à l'aide de la semelle, puis spontanément... trouva Cannavaro, à l'aide d'une ingénieuse talonnade, qui dédoublait sur son couloir droit ! Centre en premier intention, et qui se trouva à la réception? Pirlo ! Tête parfaitement cadrée, qui se dirigea vers la lucarne de Barthez, mais celui-ci grâce une très belle claquette, envoya la balle en corner. C'était moins une ! Ce même Pirlo se précipita pour aller tirer le corner, il attendait que ses partenaires, se pointaient tous dans la surface, et il tenta le corner rentrant !... La balle toucha l'équerre ! Toute l'équipe du Portugal, dans les tribunes se leva tel un seul homme, croyant au but italien ! Énième frayeur dans le camp français ! Il ne fallait pas encaisser le second but ! Message reçu, car la France arrivait de plus en plus à monopoliser le ballon, grâce à un Platini retrouvé, et à un Zidane toujours aussi précis. C'est alors que nous étions proche de la quarantième minute, quand Zizou vers les quarante mètres, osa une sublime passe en reprise de volée, vers Thuram, et parfaitement exécutée ! Thuram contrôla le ballon de la poitrine, et intelligemment il décala vers le centre, d'une passe en retrait. Platosh' à la réception fit mine de tenter la frappe instantané, mais au fait laissa passer le ballon entre ces jambes, et Giresse qui se retrouva à la réception, tenta la frappe direct ! Le poteau !... Dino Zoff était absolument battu, mais heureusement pour lui, le montant venait le sauver. La chance des grands gardiens sûrement ! Nesta dégagea en cloche. Duel physique entre Baggio et Blanc pour se retrouver à la retombée, d'un coup d'épaule ce dernier envoya au tapis le chevelu, et gagna le duel. Ce dernier, vexé, se releva et fusilla du regard Laurent Blanc, puis se contenta de essuyer, mais à travers ce regard, on pouvait lire une pointe de rancœur, qu'allait-il lui réserver ? En tous les cas, nous étions à l'approche de la mi-temps, Barthez effectua un ultime dégagement, Zidane se retrouva à la réception, contrôla en porte manteau, or Pirlo réussit à lui chiper le ballon, mais Deschamps, grâce à un contre favorable, récupéra le ballon, et passa directement le ballon à Titi Henry... En bonne position, sur son couloir gauche, l'attaquant tenta spontanément sa spéciale, sa frappe enroulée du pied droit, mais la balle n’atteignait pas le cadre, et passa à gauche des buts italiens... Et monsieur Frisk, siffla la fin de la première mi-temps. Toujours les mêmes acteurs, pour la seconde période... à l'exception de Vieiri, qui remplaça Rossi, malgré l’ouverture du score de ce dernier. Lorsqu'on interrogea Lippi sur ce choix, il déclara qu'il avait besoin de puissance en attaque, de plus de profondeur, mais qu'il fût quand même content de la performance de Rossi. Coup d’envoi de la seconde mi-temps ! Cette fois-ci c'était clair, pour l'Italie, il ne fallait plus encaisser le moindre but, et crucifier la France ! Vieiri, mâchant son chewing-gum, cheveux court, torse bombé, ne se gêna pas pour regarder toute la défense française, d'un air confiant, puis passa le ballon à R.Baggio. Qui passa à Totti, le romain se contenta de reculer avec la semelle, et fit signe avec une pointe d'arrogance, à ses adversaires de venir chercher le ballon... Avec une once d'agressivité, Tigana vint pour le tacler brutalement ! Carton jaune pour ce dernier ! Les joueurs français mécontent, venaient se plaindre auprès de l'arbitre, faisant comprendre que Totti, n'avait pas à être aussi provoquant. Geste révélateur, cela dit, de l'intensité qui allait montrer d'un cran ! Nous étions vers la cinquantième minute... Totti encore, recevait une passe de Di Biagio, puis vit l'appel de Roberto, dans le dos la défense tricolore... C'est alors, qu'il réalisa une merveilleuse passe dans la course, tout en allure, et en classe, puis l'attaquant italien effectua une véritable feinte de corps, avant même de recevoir le ballon, acte qui fit complètement perdre l'équilibre de blanc, qui s'écroula... Il contrôla la balle, d'un amorti féerique, en porte manteau, puis élimina Desailly d'un coup du sombrero... enfin il profita de la sortie de Barthez, pour conclure d'un lob raffiné... … et marqua le seconde but italien... But absolument hors du commun, de Roberto Baggio, qui demanda à le tout le stade entier de se taire, alors que ses supporters célébraient le but comme il se doit ! Il se fit entendre ! Plus personne ne fit un seul bruit. Il se mit alors à genou, et faisait mine de réciter une partition de violon... Quel classe ce Baggio... … Puis, il n'oublia pas de bousculer Laurent Blanc, de l'épaule sans même le regarder. Ce dernier, ne revenait pas encore du but de l'italien. Et il n'était pas le seul, l'équipe entière était bouche bée, par contre les supporters transalpins, acclamaient la légende de : « Roberto ! Roberto ! Roberto ! » Mais comme si ça ne suffisait pas, l'équipe d'Italie continuait d'attaquer, et préféra s'appuyer sur son potentiel offensif, plutôt que sur sa rigueur défensive. Vieiri, vers la soixantième minute, en position de pivot, faisait parler sa puissance, dos à Desailly, puis décala directement côté gauche vers Del Piero. Un peu plus en vue, la légende turinoise, travaillait encore une fois Thuram, avec des crochets et feinte de frappe continues, comme il aimait le faire... Alors que Deschamps venait épauler l'arrière droit, l'attaquant italien, en profita pour effectuer un subtil petit-pont... Puis centra de suite, dans la surface, et pour trouver qui ?... Le bison Vieri ! Il contrôla de la poitrine, et arma une terrible reprise de volée !... L'équerre, une nouvelle fois ! Fabien Barthez était une nouvelle fois, aidé par l’équerre ! On peut dire, qu'à défaut de lui avoir servi dans les cours de maths, ça l'a bien sauvé aujourd'hui ! Aimé Jacquet, plus qu’agacé par la domination italienne, décidait de faire rentrer David Trezeguet, à la place d'Henry, bien bloqué par les transalpins. Alors que le renard des surfaces, rentrait, Cannavaro se dirigea directement vers lui, et venait lui souffler dans l'oreille, qu'il n'arriverait pas à marquer le moindre but, car même Henry n'a rien pu faire aujourd'hui. Trezeguet, se contenta de se placer en attaque, et fit pas le moindre signe. Nous étions maintenant proche de la 85ème minute, alors que l'Italie dominait outrageusement, et que la France n'arrivait plus à rien faire, Lippi décida de sortir Di Baggio à la place de Gattuso, et Pirlo à la place d'Albertini. Choix surprenant, et qui pourrait coûter cher... Alors que Gattuso, interceptait un de ses premiers ballons, il fit une mauvaise passe, récupéré par Giresse, celui passa directement à Zidane. Le ballon d'Or 98, alors balança le ballon dans la boite, pour trouver Trezeguet, mais Nesta envoya la balle en corner. C'est alors, que Jacquet décidait de faire rentrer Pires, à la place de Giresse. Robert, se précipita pour tirer le corner... et trouva la tête de Baresi, qui réussi à dégager loin de surface... mais, un défenseur, grand et costaud, courra de toute vitesse, pour venir catapulter le ballon dans la lucarne adverse, et c'était Desailly ! Il sprinta, puis envoya un terrible missile !... ET C'ETAIIIIIT LE BUUUUUUUUUUUUUUUT ! 2-2 ! Absolument fou de joie, il enleva son maillot, son short même, et se jeta sur le sol, tel un dingue ! Toute l'équipe de France, même Barthez, se jeta à ses côtés ! Whow ! Quel incroyable hold-up des tricolores, qui faisaient payer là, le manque de finition des italiens, qui auraient pu mener au score, par au moins deux buts d'écarts ! Ils étaient tous dépités, mis à part Baresi, qui les encourageaient, et leur faisaient comprendre que la partie n'était pas terminé ! En bon capitaine ! Mais même le courageux et hargneux Maldini, n'avait plus vraiment le moral. C'est alors, qu'après des minutes de folies, qui suivaient l'égalisation de Desailly, et une dernière action, de la part de Trezeguet, contré au dernier moment par Nesta, que l'arbitra siffla non pas les prolongations, mais le but en Or !... Le fameux but en Or ! L'équipe qui marquait, concluait définitivement le match... Inzaghi côté italien, remplaçait Del Piero, Vieira côté français, remplaçait Tigana. Dépité, mais quand même désireux de gagner ce match, les italiens se réveillaient progressivement, et avaient le monopole du cuir. Ils faisaient tourner le ballon, dans le but de fatiguer les français, mais gonflé à bloc, ces derniers restaient sur leur garde. Nous étions vers la cent-septième minute, quand Vieri recevait une belle passe d'Albertini, à l'approche des trente mètres, contrôla et tenta la frappe direct ! Juste à côté ! Le ballon passa pas loin des cages de Barthez, sur sa droite, mais ne trouva pas le cadre. Le bison rageait ! Il levait les mains vers le ciel par dépit. Alors que nous étions proche de la fin, et vers la célèbre séance des tirs au but, Barthez effectua l'un de ses derniers dégagements, Platini au duel avec Albertini, gagna et effectua une tête vers Zizou, celui-ci contrôla en aile de pigeon, à l'aide du pied gauche, puis effectua une renversante passe en talonnade, à l'aide du pied droit, dans la course vers Lizarazu... Le basque, seul sur son aile gauche, réceptionna cela, puis effectua un centre travaillé. Cannavaro, tenta de dégager de la tête, mais réussi seulement à effleurer le ballon, grave erreur... puisque, qu'David Trezeguet, se retrouva pile-poil à ce moment là, et exécuta un parfait ciseau-retourné-acrobatique... et trouva la lucarne de Dino Zoooofffff ! 3-2 ! Pour l'équipe de France ! But en Or de David Trezeguet ! La foule était en plein délire, tout le monde, se jeta sur l'attaquant français, alors sur le sol, tout ému, larme aux yeux... Les italiens étaient abattus, mais avec classe, ils se permirent d'applaudir David Trezeguet, et demandèrent à tout le stade d'en faire de même. C'est alors, que tout le Millenium Cardiff applaudissait tel un seul homme, pour applaudir un seul homme. Et Trezeguet, touché par l'émotion, les yeux humides, leva les bras, et se retrouva au centre du stade, seul, au milieu de deux équipes de légendes...
  3. Doraibu

    Cristiano Ronaldo

    Jamais été un grand fan du joueur, mais ça: C'est juste magique
  4. Ah oui le style de Beckham, on a tous dû essayer, de le recopier au moins une fois Dites moi, c'est que c'est un mirage?
  5. France 11 de légende: 4-4-1-1: Barthez Thuram-Desailly-Blanc-Lizarazu Deschamps-Tigana Giresse-Zidane Platini Henry Remplaçant : Joel Bats, Tresor, Luis Fernandez, Vieira, Djorkaeff, Pires, Trezeguet, Papin. Entraîneur: Aimé Jacquet Italie 11 de Légende: 4-3-3 Zoff Cannavaro-Nesta-Baresi-Maldini Pirlo-Di Biagio Totti R.Baggio-Rossi-Del Piero Remplaçant : Buffon, Zambrotta, Materrazzi, Gattuso, Albertini, Zola Vieri, Inzaghi. Entraîneur: Lippi Stade: Millenium Cardiff Arbitre: Anders Frisk Confrontation de légende, entre deux nations rivales, et surtout parmi les plus grandes, de l'histoire de ce sport. D'un côté, l'équipe de France, présente avec un effectif de haut rang, tout comme l'équipe transalpine, bien décidée à montrer, qu'elle fait parti des tous meilleurs, avec ses quatre coupe du monde, déjà remportées. L'arbitre, de cette rencontre sera Mr.Frisk, qui dirigera cette partie, en lieu et place de Colina... Car connaissant la nationalité de ce dernier, il aurait pu consciemment ou inconsciemment, avoir des choix plutôt partiaux. Il sera néanmoins présent dans les tribunes, aujourd'hui, pour assister à cette confrontation de gala ! Comme on peut le voir, l'équipe d'Italie présente là, une défense intraitable, qu'on surnomme d'ailleurs le mur de l'Europe. Une défense terrible, composée de quatre monstres défensifs. Ils sont d'ailleurs pris en photo, par les photographes, les quatre côte à côte, main sur les épaules. Fabio Cannavarro, tout sourire, tandis que les trois autres, étaient plus sérieux. En face, c'était le milieu de terrain, qui était impressionnant. Les 5 fantastiques, les surnommait-on. Idem que pour leur adversaire, ils étaient pris en photo, et on se demandait d'ailleurs, qui allait renverser qui ? La muraille italienne allait-elle avoir raison, du milieu de top niveau ? Ou alors l'inverse ? C'était sans plus attendre, que Mr Frisk, sifflet à la bouche, donna le coup d’envoi de cette rencontre ! La France tout de blanc vêtu, avec le maillot de l'année 1998, tandis que l'Italie, tout en bleu, portait le maillot de l'année 2006. Ce ne fut guère un hasard, et c'était dans le but, d’honorer les dernières équipes championnes du monde. Les blancs à l'engagement ! Henry, donna directement le ballon au capitaine Platini, ce dernier fit mine de tenter un lob, de sa propre surface, pour simplement effectuer une talonnade en la direction de Zidane. Le français, temporisait et attendait que son équipe, montait d'un cran, sur le terrain. Puis il fila le ballon sur Giresse, côté droit. Celui-ci, donna à Deschamps, qui redonna à Zidane, d'une passe appuyée. L'ancien madrilène, alors un peu plus haut sur le terrain, et ayant seulement Henry, comme partenaire bien placé, transmis le ballon à ce dernier... Le hic, était que l'équipe d'en face était remarquablement bien en place, et on pouvait voir son incroyable organisation tactique... Alors qu'Henry, toucha seulement le cuir, Baresi, fit signe à ses partenaires, de quadriller toute la largueur du terrain... Après tout, c'est bien eux qui inventèrent la tactique, n'est-ce pas ? L'attaquant, ne savait plus quoi faire, et tenta un rush digne de lui-même. Et hop ! magistral tacle de Pirlo, qui récupéra le ballon, se releva, et décala directement côté gauche, vers Del Piero. Ce dernier se retrouva face à Thuram, effectua un renversant râteau, élimina le défenseur, puis il accéléra, fit mine de centrer du pied gauche... pour effectuer une feinte de centre, et glissa subtilement le ballon en retrait à R.Baggio. Celui-ci effleura le ballon, tout en lobant la défense, pour trouver Rossi, qui en parfaite position, arma une reprise de volée... et marqua un superbe but ! 1-0 pour l'Italie, Paulo Rossi ! Alors seul à cinq mètres des cages environ, il fusilla littéralement Fabien Barthez, qui ne pouvait absolument rien. Il fit presque tout le tour du stade en courant, tellement joyeux à l'idée d'avoir marqué, face à une défense, presqu'aussi bonne, que celle de son équipe. Aie, aie, aie... Déjà un but encaissé pour les bleus, aujourd'hui en blanc. Qui plus est, face à un adversaire, qui savait parfaitement cadenasser une rencontre. Ça n'allait vraiment pas être une simple formalité... Mais étrangement, Jacquet restait confiant, et encouragea son équipe, en applaudissant fortement. On pouvait lire de la détermination dans ses yeux, sachant que ses hommes, avaient de quoi faire. Deschamps reçu quelques consignes tactiques, et faisait comprendre à ses partenaires, qu'il fallait jouer plus latéralement. Car le rideau défensif italien, était bien trop hermétique. Zidane alors ballon au pied, combinait avec Platini, qui lui repassa directement le cuir... Il en profita pour effectuer une feinte de corps sur Di Biagio, ainsi qu'une merveilleuse roulette, dont il était le spécialiste, geste qui élimina Pirlo. Un peu plus libre, et aux alentours des 30 mètres, il attendit, un appel côté gauche, d'un coup, il effectua une puissante passe en profondeur, et trouva Lizarazu ! Le basque, plutôt esseulé, centra en premier attention, et trouva la tête d'Henry ! Au dessus ! C'était bien joué, Titi tenta une tête lobée, mais qui n'inquiéta pas Dino Zoff. Rapide réaction des français, qui montraient, qu'ils n'allaient pas se laisser faire. Mais L'italie dominait globalement la rencontre. Dans les tribunes, on pouvait voir les espagnols, qui d'ailleurs parlaient beaucoup. Sûr de leur force, ils étaient persuadés, que leur football de domination territoriale, aurait eu raison du mur italien, ou de la complétude de la France. Xavi avec une teinte d'humour, disait qu'il aurait été le roi de la rencontre, tandis que Raul, tout jovial, plaisantait, en disant qu'il aurait pu marquer deux-trois buts. Il y'avait également le 11 de légende portugais, mais eux étaient bien plus concentrés, et n'en plaçaient pas une. Cristiano Ronaldo, Figo et Eusébio, étaient tous les trois, assis côte à côte, visage fermés, et totalement dans le match. Les français essayant tant bien que mal de recoller au score. Seul Zidane, qui était dans un très bon jour, était dangereux. Même Platini, qui connaissait pourtant bien les italiens, peinait dans cette partie... … lorsque, sur un énième rush d'Henry, Di Biagio commit un acte d'anti-jeu, en brutalisant le tibia du français... Faute ! Commise d'ailleurs aux alentours des 25 mètres, un coup-franc parfait pour l'attaquant, mais également pour deux autres joueurs, qui étaient Zidane et Platini. Après une courte discussion, ils décidèrent que le coup-franc allait se jouer, entre les deux meneurs de jeu. Platini se plaçait à gauche du ballon, tandis que Zidane sa place à droite, dans le but de tirer du gauche ! L'arbitre siffla... les deux s'élançaient, pour qu'au dernier moment, il n'y ait qu'un seul tireur... ce tireur qui était Platini, car Zidane se retira aux derniers instants. La frappe !... Et le but ! 1-1 partout ! Une merveille de coup-franc platinien ! Pleine Lucarnneeeeuuuhhh ! Match relancé !
  6. Respect les gars, tout ça est très plaisant à lire, et permet d'identifier le style de chacun. Pour ma part, j'attends Velcio
  7. Manchester United 99: Schmeichel Neville-Stam-R.Johnsen-Irwin Beckham-Scholes-Keane-Giggs Yorke-Cole VS Manchester 2008 Van Der Sar Brown-Rio-Vidic-Evra Hargreaves-Carrick-Fletcher-C.Ronaldo Rooney-Tevez Entraineur: Sir Alex (oui, mais de quelle équipe? ) Stade: Theatre of Dreams Arbitre: Graham Poll Match de légende, entre deux des plus grandes équipes, qu'ait pu diriger Sir Alex, avec à la clé, une champions league, pour chacune d'entre elle. L'équipe de 99, courageuse, fière, entreprenante, ardente, audacieuse. Et l'équipe de 2008 terriblement compacte, talentueuse, équilibrée, multi-tâches, et souveraine. Keane capitaine de la première équipe, Rio Ferdinand capitaine de la seconde équipe. Les deux se serrant la main, durement, se regardant bien dans le yeux, avec le léger sourire en coin: " Prêt pour le massacre, Rio ?! " disait Keane, d'un air sarcastique. " Prêt! " disait l'autre, d'un air serein. Puis ils se quittèrent du regard. Les joueurs se placèrent sur le terrain, et ne pouvaient pas s'empêcher de contempler l'autre équipe. Beckham tout en s'étirant, fixait Ronaldo, ce dernier qui regardait la foule entière, les mains sur les hanches. Du style "aujourd'hui, je vais vous vendre du rêve!" C'était parti! L'équipe de 99 à l'engagement, Yorke et Cole. Ce dernier passa directement le ballon à Scholes, qui passa à Keane, ballon au pied, il criait "Aujourd'hui, on gagne !" Puis d'une passe appuyée, il passa le ballon sur le côté droit à Beckham. Mais il lui fallut une seconde d’inattention, pour ce que celui-ci, se fasse chipper le ballon par Evra sur le côté. Evra tout en vitesse déboulla sur son couloir, et se retrouva face à Gary Neville. Pour éviter de se faire prendre, il passa directement le ballon en retrait à C.Ronaldo. Culotté comme il est, le joueur portugais, alors au moins à 40 mètres des buts, décocha une frappe soudaine mais terrible, et parfaitement cadré dans les cages de Peter. Le danois volant plongea latéralement, et n'eut aucun mal à capter le ballon, d'un parfait arrêt. Il se releva, et regarda Ronaldo d'un sourire narquois, bougeant son index du genre "Ne tentes pas l'impossible". Puis il envoya d'une force terrible, à la main, la balle vers le milieu de terrain, Scholes se retrouva à la réception; et contrôla la balle de la poitrine. Il se retourna, et à l'approche des trentes derniers mètres, il tenta une passe osée en la direction de Yorke, celui-ci laissa passer le ballon entre ces jambes, et atterrit finalement dans les pieds de Cole, celui-ci redonna le ballon à son compère, qui lui redonna encore. Cole en bonne position, arma une belle frappe croisée... et trouva le chemin des filets! 1-0! 1-0 pour l'équipe de 99! L'anglais se jeta sur le sol, tel un môme, et son ami Yorke en fit de même. Les autres finirent par les rejoindre. Tout sourire, l'équipe de Keane se replaçait, et comptait bien ne pas en arrêter là. Et Fergie dans tout ça? Il mâchait délicatement son chewing-gum, bras croisés, mais serra légèrement son poing lors du premier but. Avait-il choisi son camp? En tous les cas, ça ne devait pas décourager l'équipe de 2008, qui avait bien des ressources pour revenir au score. Nous étions proche de la première demi-heure, lorsque Ryan Giggs, qui réceptionnait une passe d'Irwin, sur son côté gauche, renversa le jeu couloir droit vers Beckham, tout en continuant à courir, après cela. Beckham, qui vit cela, après avoir contrôlé le ballon, effectua lui aussi un renversement de jeu, puis sprinta. Giggs alors bien plus haut sur le terrain, intercepta le ballon, puis encore effectua une passe transversale vers l'anglais. C'était la combinaison ultime des deux ailiers, qu'ils affectionnaient tant. L'anglais, alors en belle position pour centrer directement, vers les cages, ne se fit pas prier, et effectua un magistral centre, ses cheveux mi-long blond, qui gesticulaient, lui rajoutaient une classe supplémentaire. Mais alors que Scholes s'apprêtait à recevoir ce superbe centre, Vidic sauta plus haut que tout le monde, et de la tête, dégagea le ballon. La partie était très rude. La bataille du milieu très disputé, entre Keane/Scholes et Carrick/Fletcher. Chacune des deux paires, souhaitait asseoir sa suprématie. Rooney venait souvent filer un coup de main, à ses partenaires, tandis que Beckham côté team 99, redescendait régulièrement lui aussi, pour soutenir son équipe. A l'approche de la quarante-cinquième minutes, Brown fila le ballon à Owen Hargreaves, celui-ci, et avec la manière réussit à déborder Ryan Giggs, d'un grand pont, il accéléra, accompagné du soutien du public, il se retrouva face à Irwin, et deuxième grand pont!... La foule était encore plus déchaînée! Absolument libre pour centrer, il piqua son ballon vers le centre, pour trouver... Rooney, qui seul, vraiment seul, à la réception tenta une superbe reprise de volée, foudroyante! BAM! Elle venait de taper la barre transversale! Quelques secondes encore après, la barre tremblait encore, tellement la frappe de l'anglais fût terrible... Et monsieur Poll, siffla la fin de la première mi-temps. Cette dernière action, était révélatrice des intentions de l'équipe de 2008, elle était loin de baisser les bras. Cette reprise de Rooney, allait certainement sonner la révolte... Deuxième mi-temps, toujours les mêmes acteurs sur le pré, coup d'envoie de la seconde période! A l'engagement, Rooney-Tevez, le taureau argentin, bizarrement ne donna pas le ballon et se contenta d'attendre, que quelqu'un vienne lui chiper. Ses adversaires, ne se firent pas prier, pour venir lui subtiliser le ballon, mais il le protégeait remarquablement bien, pus soudainement, lorsqu'il vit Ronaldo, courir sur son aile gauche, il effectua un renversant petit pont, sur Cole, qui le pressait, puis réussit à trouver Ronaldo, d'un beau renversement de jeu, le portugais contrôla le ballon dans la course, de la poitrine. Se retrouva face à Beckham, puis exécuta ses passement des jambes éclairs... Jambe droite, passant devant le ballon, puis jambe gauche, et ainsi de suite... L'anglais ne savait plus où se donner de la tête, et perdit son équilibre... Puis voyant, Scholes tentant de l'arrêter, il accéléra, laissant celui aussi sur place, puis au tour de Neville de tenter de l'arrêter, il repiqua alors au centre, pour... en fait, réaliser son tricks spécial, son crochet avec la jambe d'appuie, chose qui ridiculisa Neville, et Ronaldo se retrouva alors sur son côté gauche. Le portugais, dans sa lancée, tenta un coup du foulard bien osé, et... trouva la tête de Carlos Tevez... La balle allait-t-elle rentrer? Non, ou...oui! Oui! C'était le but, 1-1 partout! Tête parfaitement croisé de Carlos Tevez! L'argentin exultait, il se retrouva devant le public, bougeait ses deux bras, d'un air extrêmement rageur. Le match était relancé. C'est alors, que l'équipe de 99 décidait de prendre les choses en main. Nous étions vers la 70ème minutes. Alors que les assauts, des vainqueurs de 99, devenaient de plus en plus répété. Keane, au centre du jeu, donna un ballon appuyée à Yorke. Celui-ci lui redonna, puis Keane élimina d'un joli crochet, Carrick, pour redonner à Yorke. L'attaquant, lui refila exprès pour qu'il tentait sa chance. Chose que l'irlandais effectua de suite, et décocha une frappe bien puissante... qui trompa parfaitement Edwin Van Der Sar! La foule était en délire. 2-1! Keane courra, le poing en avant, tout sourire, puis s'arrêta spontanément. Comme il avait l'habitude de le faire, lorsqu'il marquait un but. Alors que ses coéquipiers se jetaient sur lui, il se retourna, et n’oublia pas de regarder Ferdinand, avec un clin d'oeil, lourd de sens. Il ne restait plus que 20 min de jeu. Et au vu de la physionomie de la rencontre, l'équipe de 99 méritait plutôt la victoire. Cela-dit, celle de 2008 n'allait pas baisser les bras, et c'est alors qu'Olé Gunnar rentrait sur le terrain, à la place de Rooney. Toute l'équipe adverse fût outrée, et regarda le norvegien, d'un air bien surpris... Lui faisant comprendre, qu'il n'avait rien à faire là-bas. Oui mais... C'était un choix du Boss, voyant que l'équipe de 2008, avait plus besoin du super-sub, que leur adversaire. Il ne restait plus que quelques minutes... L'équipe de Rio essayant de recoler au score, l'autre essayant de tuer le match, ou du moins, de garder l'avantage. C'est alors, que sur l'un des derniers contres, Ronaldo qui avait tourné à droite, réussit encore à se débarrasser de ses adversaires, pris son couloir, et effectua un puissant centre... Contré par Stam, Carrick se retrouva à la reception... Le public cria "Shoooooooot"! Mais plutôt que d'armer, il passa un remarquable ballon, en la direction du super-sub, ce dernier sur un contrôle, réussit à se défaire, de Johnsen prés de la surface, et sur le champ enroula son ballon... et trompa, magnifiquement Schmeichel!... 2-2! 2-2! Le public, plus que jamais, était en feu, acclamait la légende scandinave. Et chantait sa chanson fétiche: You are my Solskjaer, My Ole Solskjaer, You make me happy, When skies are grey, Oh Alan Shearer, Was f*****g dearer, So please don't take, My Solskjaer away... Il pouvait lever les bras... Il venait de sauver, une nouvelle fois son équipe, mais l'ironie du sort, voudra que ça soit, face à sa propre équipe. L'arbitre, ne se fit pas attendre, pour siffler les prolongations, pour départager le match, lorsque... Un homme, grand, imposant, sorti des vestiaires, avec le maillot de l'année 1994. C'était Eric Cantona! Il entra sur la pelouse, avec sa magnifique prestance, et ne manqua pas de regarder tout le monde de haut... Il pris le ballon, et il déclara: "Ma foi, c'était un beau match de football... Mais moi, je dis, qu'à présent il doit se conclure, et n'allait pas espérer qu'il continuera, car si c'est le cas, je fouterais un Mawashigeri à l’arbitre, et je lui pisserais au c**!" Puis il releva son col, pris le ballon, et d'un pas décidé, il reparti vers les vestiaires...
  8. J'avais bien remarqué ça Sinon merci à tous, ça me fait plaisir, et ce même plaisir est partagé Faites vous plaisir!
  9. Avec cet escroc d'Andeerson, je savais bien que l'équipe, dans laquelle je figurais allait perdre Et en plus dans les derniers instants...
  10. Eh bien, on s'est lâché messieurs Content de voir ça
  11. XI All Star numéro 1 Schmeichel Thuram-Baresi-Nesta-Maldini Beckham-Keane-Davids-Giggs Zidane R9 Entraîneur: Capello XI All star numéro 2 Buffon Sagnol-Ferdinand-Cannavaro-R.Carlos Figo-Pirlo-Makelele-Nedved Riquelme Shevchenko Entraîneur: Lippi Stade: San Siro Arbitre: Markus Merk ... C'est dans une ambiance enflammée, dans ce grand théâtre, située à Milan, que les 22 acteurs rentrèrent sur le pré, bien déterminés à remporter cette confrontation de choc... Keane en tête de fil, de la première équipe, tandis que, Luis Figo accompagnait la seconde équipe, les deux hommes portant fièrement le brassard de capitaine. Lippi et Capello, deux des plus grands entraîneurs du football transalpin, n’oubliaient pas de se serrer la main, avec un large sourire aux lèvres, les deux conscient, qu'ils avaient en main, de bien beaux joueurs. C'est alors, que Markus Merk fit débuter la rencontre, c'était parti! Riquelme et Shevchenko, à l'engagement, ce dernier écarta directement sur le côté, à son compère Luis Figo. Le portugais ne se fit pas prier, pour aller directement provoquer le grand Paulo Maldini, mais c'est alors, que tel un chien fougueux, Davids accéléra, puis tacla directement la balle en touche. Suivi de l'ovation spontanée du public milanais. La parti était très engagée, Les 22 joueurs très investis dans cette confrontation de gala, les gestes techniques étaient bien entendu au rendez-vous. C'est alors, qu'à l'approche de la première demi-heure, Riquelme nous gratifia d'une fantastique roulette face à Roy Keane, suivi de "Olééé !" de la part du public. Puis en position favorable, il lança directement en profondeur Andrey Shevchenko. Ce dernier, qui effectua un fantastique appel, dans la course, entre Nesta et Baresi, échappa de justesse au hors-jeu, et se retrouva en confrontation direct face à Peter. Shevchenko, fit de nouveau parler son adresse face aux buts, puisqu'il arma comme il se doit, une merveille de frappe enroulée, qui trompa Schemeichel, qui ne pouvait rien. 1-0! L'ukrainien, pouvait fêter le but, face à un public, qu'il connaissait bien. Le poing droit en avant, la rage du buteur, qui se lisait sur ses yeux. Ses coéquipiers, venaient le féliciter dignement. L'équipe d'en face devait rapidement réagir, sous peine de voir le match leur échapper. Cappello, appela Keane pour lui donner quelques consignes tactiques. Le capitaine, alors rappela à l'ordre ses partenaires, et leur faisait comprendre, qu'ils n'étaient pas ici, qu'en simple spectateurs. Cette soufflante, fit son effet, puisque Beckham, qui venait de recevoir un de ses rares ballons, profita de la position bien avancée de Buffon, et tenta un majestueux lob de plusieurs dizaines de mètres. Sa tentative faillit aboutir, mais le gardien italien se rattrapa au dernier moment, en claquant la balle en corner. Tout le stade, le temps de quelques instants, retenu son souffle... L'anglais, se précipita pour aller tirer le corner. Avec sa gestuelle et sa classe habituelle, il mit toute sa précision, avec un effet d'une beauté rare, et trouva la tête de Paulo Maldini, qui d'une tête bien boxée, trouva le chemin des filets, et permit à son équipe d'égaliser. Le génial Maldini, pouvait lâcher toute sa joie, à genou, il se présenta face aux tifosis milanais, et ces derniers le lui rendaient bien. "Paulo, Paulo, Paulo!" On pouvait entendre. 1-1 partout. Plus que jamais, le match était indécis. C'est alors, que Zidane et R9, nous gratifiaient de magnifiques gestes. Les deux monstres enchaînaient des petites combinaisons, sur les petits espaces. A l'approche des 30 derniers mètres, Zidane effectua un passement de jambes, qui élimina Makelele, puis donna le cuir à R9, ce dernier lança une terrible accélération, qui laissa Rio Ferdinand sur place, lorsque... Cannavaro, en position de dernier défenseur, tacla parfaitement le brésilien, envoya la balle en touche, proche du poteau de corner... Et c'est alors, que l’arbitre siffla la première mi-temps. ... Qu'allait-t-il advenir de cette seconde mi-temps? Ce qui était sûr, c'est que les 22 hommes allaient rester, sur le terrain pendant toute la durée du match. Tel était le choix, des entraîneurs respectifs. En cette seconde période, c'était la première team All Star, qui était à l'engagement. La partie était toujours aussi engagée, les joueurs, les supporters, les coachs, tout le monde était à vif! C'est alors que dans une période de domination, de l'équipe de Figo, Pirlo, qui était indéniablement présent à la création, changea d'aile, d'une joli passe transversale, sur Figo côté droit, qui fixa Maldini, puis misa en retrait sur Pavel Nedved, qui était absolument libre de tout marquage... Le Ballon d'Or 2003, ne contrôla pas le cuir, et fouetta directement le ballon, d'une frappe surpuissante. Le danois géant, qui garda les cages, vit ce missile se diriger vers lui, et ne pouvait rien faire, une nouvelle fois. Il plongea, aligna toute sa détente, mais la balle venait tuer la lucarne! 2-1! L'équipe de Figo pris l'avantage, et on atteignait l'heure de jeu! Lippi applaudissait ses joueurs, et les encouragea. Le plus dur était pratiquement fait. A présent, ils pouvaient laisser le match, et défendre dans les derniers mètres. Il demanda à R.Carlos, et Sagnol d'arrêter, de monter sur les couloirs. A Nedved, et Figo d'effectuer le travail de couverture, et à Riquelme d'aider ses partenaires, dans les tâches défensives. Oui mais... On peut se le permettre face à bien des équipes, mais pas face à celles composées, de champions! Un sursaut d'orgueil frappaient ces derniers, qui avaient l'air bien déterminés à renverser le score. Keane, contenait les rares assauts adverses, Giggs se jouait souvent de Sagnol, Beckham devenait de plus influent. C'est alors que... Sur une faute provoquée dans les 28 dernières mètres, sur le sorcier gallois, que l'arbitre siffla un coup-franc. Le stade retenait son souffle... Qui allait le tirer? David Beckham bien évidement! Il respirait bien profondément, pris le cuir, et le frotta bien sur la terre ferme. Il recula bien légèrement, pris son élan, plia le corps, bougea le bras gauche, enroula parfaitement le ballon... La balle, d'un remarquable effet, enroulé, se dirigea en plein dans les cages de Buffon, et frappa la barre transversale. La barre transversale rentrante... et c'était le but! 2-2! L'anglais était fou de joie! Il se jeta dans les bras de Giggs, puis toute l'équipe, finit par les rejoindre. Le public était ébullition! Lippi n'en revenait guère... Nous étions à la 80ème minute, alors qu'on pensait le match plié, les hommes de Cappelo, finirent par égaliser, dans les derniers instants du match! Et ce n'était pas fini... Vers les toutes dernières minutes, Keane tacla parfaitement Riquelme à l'entre jeu, se releva de suite, donna le ballon à Beckham. Ce dernier sur son côté droit, et sans contrôler, effectua une sublime passe transversale à Giggsy. Le gallois, contrôla le cuir, provoqua Sagnol, l’élimina d'un grand pond, puis sans regarder il centa de suite... Et qui se retrouva à la finition? Zinedine Zidane! Le français, presque seul sur le point de penalty, effectua une tête piquée, et réussit à trouver la lucarne adverse, gardé par Buffon! Qui se fit tromper une troisième fois dans la soirée. Et une deuxième fois de la tête. Zidane pouvait exulter, il enleva son maillot, le jeta dans la foule, et toute l'équipe se précipita sur le français. Roy Keane en premier lieu. Ils étaient tout bonnement aux anges. Après avoir été menés 1-2, ils sont finalement parvenus à renverser la vapeur, et la tournure du match! 3-2 C'est alors, que sous une foule en délire, Markus Merk, siffla le coup de sifflet de finale, et clôtura cette confrontation!
  12. PJ m'a devancé Bah ouais Kobe.Rooney, et encore heureux, ça ne sera que plus marrant!
  13. Alors, alors! Pour répondre aux questions posées. Je dirais, que comme l'ont dit certains, c'est l'imagination ici qui est demandée, et non un résumé de match classique. Chacun fera comme il entendra, du moment que des grands joueurs soient évoqués et sélectionnés. La présentation, sera comme celle-ci: La compo: x xxxx xxxx xx Entraineur: VS x xxxx xxx xxx Entraîneur: Stade: Arbitre: Puis, vient le récit du match. La créativité, et l'ingéniosité, ne seront pas de luxe Le plus important, ça sera de faire vibrer le lecteur...
  14. Yep! Il m'est venu l'idée de crée ce sujet, qui pourrait nous donner des récits de matches, bien sympathiques Le principe? C'est d'inventer un résumé de match, sur n'importe quel confrontation de légendes possibles, et imaginables. Cela peut-être le XI européen vs le XI sud-américain, cela peut-être le XI de légende du Real Madrid, face à celui du FC Barcelone. Ou tout simplement, une confrontation All-Star, entre deux équipes, parmi lesquelles, figureront de grands noms. Avant d'entamer le résumé, il sera important de mettre les compositions respectives, le nom de l’entraîneur de chaque équipe, ainsi que le stade! Puis ensuite viendra la description du match. L'idéal étant, que ça ne soit ni trop long, ni trop court J'espère que j'ai été clair. Si vous avez d'autres questions, n'hésitez-pas!
  15. Doraibu

    Opposition

    Que diriez-vous, d'oppositions entre les légendes d'United?
  16. Doraibu

    Le 11 Archétype

    Coup de coeur, sud-américain. --------------- Chilavert --------------------- Arce ---- Júnior Baiano - Ayala---- R.Carlos ---------------- Dunga------------------------- ------------ Riquelme - Ortega ---------------- Valencia --------------------------------------------- ------------------------------------------- Ronaldinho --------------------- R9 -----------------------------
  17. Doraibu

    Wayne Rooney

    Le topic Rooney est encore plus imprévisible, que le joueur lui même. Dans la saison, il va se faire incendier comme pas possible, et se faire glorifier, plus qu'il ne mériterait. Et le juste milieu dans tout ça?
  18. Doraibu

    Opposition

    Quelle coïncidence Je te remercie Once_Gone, ça me va droit au coeur. Les premières pages ne sont pas d'un niveau très relevé, mais vient un moment, où il y'a une réelle prise de conscience, et là c'est déjà autre chose!
  19. Doraibu

    Opposition

    Hum... Je dirais que ça commencerait plutôt à l'époque où Velcio y postait régulièrement ^^. On voit une évolution logique sur le topic, plus ça avance mieux c'est. Certains duels sont épiques.
  20. Doraibu

    Opposition

    J'ai eu le courage de me refaire tout le sujet. Un mot, c'est: Topic de ouf, on s'est lâché ...
  21. Doraibu

    Robin Van Persie

    En parlant de similitude avec l'époque RVN, eh bien si Rooney venait à jouer plus prés du hollandais, cela ressemblerait pas mal à la relation qu'entretenait Ruud, avec Scholesy. Mais mis à part cela, je vois moi aussi, pas vraiment de ressemblance entre les deux compatriotes. Ruud était l'archétype du renard des surfaces, car en plus de ses qualités de finisseur, il pouvait se targuer d'être plus complet, que les meilleurs finisseurs de son époque, qui ne pouvaient être autre que Trezeguet, Crespo, Inzaghi, et certains que j'oublie certainement. Ruud avait cette capacité, à se retourner d'une telle vitesse, que s'ouvrir le chemin des filets lui était d'une grande formalité, en plus de son excellent jeu en premier intention, qui destabilitait les défenseurs. De plus quand autour, tu avais du Beckham, du Giggs, du Veron, ou encore du Scholes, je ne parle pas des multiples possibilités, qui s'offraient à lui... Van Persie, je le vois d'un autre oeil. Il a déjà plus la faculté, de bonifier un collectif, surtout si celui là, est centré autour de lui. Je le vois plus dans le profil, de pouvoir faire briller ses partenaires indirectement. Et puis... Je ne peux pas m’imaginer, qu'un joueur, qui a joué ailier, deuxième attaquant, peut se contenter aujourd'hui, de finir les actions... Il a développé sa finition, est plus efficace, mais je pense qu'il est là avant tout, pour former un duo de choc avec Rooney, et offrir encore plus de variété à la pointe de l'attaque. Il marque pas mal, c'est bien, mais ça ne sera pas son seul fait d'arme.
  22. Doraibu

    Paul Scholes

    Ce joueur... ... Tout dans le silence, tout dans la discrétion, il laisse parler son talent, il laisse parler ses pieds. Tout est acquis, rien ne lui est difficile, il sait absolument TOUT FAIRE. Dans le terrain, vous pouvez voir ce personnage, petit par la taille, immense par la lueur qu'il dégage. On voit 21 bonhommes sur le pré, plus un autre, princier dans son attitude, génial par ses actes... Le seul joueur, qui obtient constamment l’approbation du public, pour tuer la lucarne adverse: "Shooooooot!!!" Un de ceux, qui fascine, et obtient le respect unanime, et un de ceux, qui contrôle la totalité du match, à sa guise... Hier soir, il pouvait rentrer dans les vestiaires, déçu certes, mais en même temps fier, d'avoir accompli: Respect.
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