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Red Eye

Fergie Babes
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Tout ce qui a été posté par Red Eye

  1. Red Eye

    David De Gea

    HE'S BACK ! HE'S BACK ! HE'S BACK ! HE'S BACK ! HE'S BACK ! HE'S BACK ! HE'S BACK ! WELCOME BACK DAVID !
  2. Red Eye

    Marouane Fellaini

    Je pense aussi. C'est là qu'on voit que le placement de Valencia est loin d'être dégueu par rapport à certains.
  3. Red Eye

    Marouane Fellaini

    Dingue comme à chaque fois qu'il rentre, le milieu se liquéfie.
  4. J'suis d'accord avec ceux qui en attendent pas mal de Valencia. D'ailleurs, il pourrait bien couvrir Rafael dans ses montées, comme à la bonne vieille époque. À voir franchement. S'il est aligné dans l'axe, impossible pour lui de nous faire ses faux centres, il va lui falloir se diversifier. C'mon Antonio !
  5. Red Eye

    Nani

    https://www.youtube.com/channel/UCOBM8W0qAJGMDFLsV2m4yeQ/videos Ce mec devrait sous peu poster régulièrement les performances de Nani sous forme compilée. Pour l'heure, il n'y a que les matchs face à Porto et Chelsea.
  6. Red Eye

    Wayne Rooney

    L'irrégularité technique du Rooney d'aujourd'hui me dérange infiniment plus que l'irrégularité au niveau de la finition de l'ancien. Le Rooney que nous voyons depuis trois ans ne s'est, à mon sens, pas aussi bien adapté que cela à sa perte physique. S'il perd physiquement, il faut qu'il compense ailleurs, dans un domaine où il aurait nettement progressé. Sauf que je n'en vois aucun précisément. Au niveau des passes, il a déjà fait mieux. Au niveau des frappes, il a chuté. Même s'il a paradoxalement progressé au niveau de la finition. Au niveau technique, ce n'est même plus une chute. Il n'y a vraiment que dans la finition pure et dure que je vois du progrès, c'est à dire placement dans la surface (et j'insiste sur ce fait-là, désormais, car même ses déplacements ailleurs sont désormais plus irréguliers) et technique de frappe où il demeure efficace. (Je différencie toutefois sa qualité de frappe générale et sa finition, puisque le Rooney d'antan pouvait frapper avec plus de diversité que celui-là, et dans des positions plus difficiles). Au final, je te rejoins juste sur l'efficacité. J'ai jamais vu le Rooney depuis trois ans vraiment complet. Le Rooney 2010/2011 deuxième partie de saison l'était vraiment par contre. Il n'avait quasiment aucune faiblesse notable, il demeurait relativement vif, très propre techniquement, habile devant les buts, intelligent dans ses déplacements, dans ses transmissions ... moi, je veux revoir ce type de Rooney-là. Mais même, je pourrais très bien me contenter d'un Rooney en 9 réel, comme celui du début de saison dernière et ça m'irait parfaitement. Pour l'heure, on n'y est pas encore, mais j'ai un petit espoir quand même.
  7. Red Eye

    Wayne Rooney

    Le nombre de ">" est bien entendu hyperbolique pour souligner mon point de vue, sur le fait que le jeune Rooney était très en avance dans tous les compartiments de jeu que le jeune Ronaldo. Je ne vois pas ce que viennent faire Best ou Maradona dans le propos, sachant que cette comparaison se fait uniquement à l'échelle des deux joueurs que j'avais cité au début ? Pour ce qui est du potentiel de base, pour moi, Ronaldo l'a trèèèèès largement dépassé. À la base, Ronaldo était un jeune ailier virevoltant. Pas beaucoup plus. Il a atteint un niveau complètement différent par la suite. Si on fait l'hypothèse absurde que tu puisses communiquer avec quelqu'un du passé, et que tu lui donnes le profil, la carrière, l'évolution de Ronaldo dix ans après, jamais il ne va te croire.
  8. Red Eye

    Wayne Rooney

    C'est clair qu'au niveau du potentiel de base de ces deux joueurs : Rooney >>>>>>>>>>>>> Ronaldo. Sauf qu'aujourd'hui, les flèches ont changées de direction ... Dire qu'à l'époque, pas mal de personnes disaient : "S'il arrivait à se canaliser davantage ..." Et que là, on signerait tous pour qu'il recommence à s'exciter dans tous les sens en courant partout. Mais bon, je rejoins Incredible. Là, on parle même pas de réveiller ce joueur, faudrait une résurrection ou une ablation de cheveux pour le faire revenir comme avant.
  9. Red Eye

    Wayne Rooney

    L'écart de niveau est impressionnant. Tout autant que celui entre le Cristiano Ronaldo de 2003/2004 et celui de 2006/2007.
  10. 4-0 vs Hanovre, Lewandowski & Robben deux fois chacun. Ils montent en puissance les fourbes.
  11. Red Eye

    Opposition

    Il existe de nombreux types de joueurs. Beaucoup de jeunes gens tentent d'imiter ces héros qu'ils voient à la télévision. Ces jeunes gens peuvent s'inspirer de grands footballeurs, de toute sorte et de toute nature. Mais certains de ces joueurs, apparaissent plus facilement devant leurs yeux et se figent plus longtemps dans la mémoire. Parfois, des noms ne sont même pas utiles. Un style, une façon, suffit à ancrer profondément un fait dans une âme. Mais parmi tous ces types des joueurs, un style se démarque des autres. Peut-être n'est-ce pas forcément le plus utile des styles. Peut-être n'est-ce pas forcément le plus intelligent. Peut-être n'est-ce pas forcément le plus difficile. Peut-être n'est-ce pas forcément le plus original. Nous ici, préférions peut-être l'assurance d'Edwin van der Sar, la hargne de Vidic, la sérénité de Ferdinand, la loyauté de Gary Neville, l'intelligence de Paul Scholes, le leadership de Roy Keane ou le génie intermittent de Dimitar Berbatov. Mais peut-on leur en vouloir ? Tout le monde dans sa jeunesse a sûrement déjà essayé, de prendre ce style : celui du dribbleur. De toute sorte. Des fantaisies de Ronaldinho, à la grâce de Zidane, le panel de joueurs qualifiés de dribbleurs demeure large. Et c'est sur deux d'entre eux que porte l'Opposition aujourd'hui. Deux joueurs oscillant à la fois entre l'ombre et la lumière dans leur carrière. Arjen Robben et Angel di Maria. Commençons par le joueur du Bayern Munich. Et louons sa progression, tout d'abord. La progression de son esprit, au service du collectif. Car, qui ne se souvient pas de cet agaçant joueur du Real Madrid qui attrapait le ballon dans ses pieds et qui ne le rendait jamais à ses partenaires, en se perdant dans des débordements improbables ou des tentatives de dribbles face à 4 adversaires dans un espace restreint ? Qui ne se souvient pas de ses frappes à 25 mètres, à répétition, alors qu'un décalage favorable s'offrait sur le côté ? Oh, bien entendu, lorsque cela rentrait, la vidéo circulait longuement sur Youtube et récoltait un grand nombre de Like, mais au fond, cette répétition de phase de jeu ne nuisait-elle pas à l'équipe ? Ajouté ça au fait que le néerlandais ne défendait qu'avec parcimonie, achevait de dresser le portrait le visage d'un joueur antipathique pour les équipes adversaires, si l'on n'oublie pas de compter sa tendance à tomber facilement et à se relever difficilement. Et en plus, ce joueur se blessait facilement, très facilement. Et ce joueur avait toutes les qualités pour être brillant pourtant. Il dribblait bien, malgré des actions prévisibles mais qui fonctionnaient grâce à une vitesse d'exécution et à une technique irréprochable. Il avait une bonne qualité de frappe, se déplaçait rapidement, n'était pas maladroit face au gardien adverse. Et lorsqu'il daignait passer le ballon, sa qualité de passe se révélait étonnamment bonne, que ce soit au niveau des courts décalages à effectuer, ou des longues passes. Pendant une longue période de sa carrière, Arjen Robben énervait tout le monde. Parce que tout le monde pouvait sentir son potentiel ballon aux pieds, mais jamais il ne franchissait le pas décisif, retenu par cet égocentrisme inhérent à son jeu. Personne ne semblait pouvoir le sortir de cet état d'esprit, pas même Louis van Gaal alors entraîneur d'un Bayern Munich irrégulier dans ses performances. Et puis vint Jupp Heynckes et la saison 2011/2012. Cette longue période durant laquelle jamais Robben ne partait titulaire, jusqu'à une blessure de Toni Kroos en Ligue des Champions. Et Robben se voit alors l'opportunité de revenir sur le devant de la scène. Chose qu'il fait de façon mitigée : son sens collectif semble se développer doucement, il se déplace et offre davantage de solutions à ses partenaires, combine davantage, mais ne parvient pas toujours à sortir de ses travers, qui le force à jouer notamment trop le soliste face à la finale perdue contre Chelsea, à l'Allianz Arena, alors que le tour précédent, il fut très bon face au Real Madrid. Le déclic avec la saison 2012/2013 semble durable. Robben est aujourd’hui un joueur qui possède à peu près toutes les caractéristiques pour briller. Il a enfin décidé de mettre son talent au service du collectif. Bien sûr, ça ne l’empêche pas de partir dans des raides solitaires. Mais dorénavant, ses carences psychologiques à ce niveau-là où son égo semble avoir disparu en partie, ne le désavantage plus. Aujourd’hui, lorsque le batave s’envole ballon aux pieds en partant depuis son aile droite pour repartir vers l’axe, l’Allianz-Arena se lève d’un seul homme. Et cela ne s’achève plus souvent par une forme de mécontentement. Non, aujourd’hui, Robben a conquis le cœur de tous les observateurs du football, comme si le temps n’avait été qu’une bonification pour lui. Paradoxalement, aujourd’hui, il n’a jamais été aussi en forme, affûté, et bon dans tous les domaines qu’aujourd’hui. C’est clair aujourd’hui : Arjen Robben a tout le panel d’un grand joueur : vivacité ballon aux pieds, technique impeccable dans ses prises de balle, dans ses dribbles. Son jeu court est très bon, et depuis qu’il sait jouer en peu de touche de balle, ces passes sont efficaces. Son jeu long est tout à fait honorable. Ses déplacements se font plus intelligents. Sa qualité de frappe fait frissonner les portiers même les plus aguerris. Définitivement, Robben a atteint son apogée, qui le classe parmi les tous meilleurs joueurs du monde. Oui mais voilà, face à celui, un autre joueur prétend à faire partie de ce gratin mondial. Et ce joueur, c’est Angel di Maria. L’ancien du joueur du Real Madrid, a aussi connu une progression sinueuse, ponctuée par blessures, irrégularités, performances en demi-teinte, saignement d’yeux des fans et envies de meurtres de ces mêmes fans. Sans oublier que lui aussi est un grand acteur, capable de simuler des coups de hachoir sur les côtes. Tout ça à cause d’une chose : communément appelé cerveau, ou plus rarement encéphale, il faut noter que l’Argentin n’en disposait pas toujours. Ce qui explique notamment le fait que son déchet fut si conséquent. S’il jouait pour United contre Fulham lors de la « Nuit des 81 » soyez sûrs que ce nombre aurait doublé. Lors de son arrivée à Madrid, le joueur venait avec l’étiquette du moche aux oreilles étranges, mais également comme un talent certain qui avait fait les beaux jours de Benfica. Talent à polir néanmoins. Et sa première saison fut prometteuse : sa hargne et son gros abattage, ponctué par de nombreuses actions très intéressantes à l’avant, via sa qualité de dribble, son agilité et sa percussion. Il termine la saison avec de nombreuses promesses, et commence même la saison 2011/2012 comme une véritable furie inarrêtable humainement. Car les blessures se chargeront de le faucher en plein vol. Résultat : une deuxième partie de saison horrible, mais moins que celle qui a ensuite suivie. L’arrivée de Carlo Ancelotti à la place de José Mourinho changera son destin. Cet oiseau qui n’avait jamais réussi à voler durablement changea avec un replacement décisif au milieu de terrain, où toutes ses qualités sont exploitées au maximum, aussi bien défensivement qu’offensivement. (On peut limite remercier l’achat de Gareth Bale pour ça au final). Et c’est de son niveau exceptionnel dont on parle, lorsque l’on évoque l’un des meilleurs joueurs du monde. Il conserve ses qualités intrinsèques de percussion, de passe. Car comme Robben, l’Argentin avait une bonne qualité de passe naturelle, freinée par son cerveau. Comme Robben, même si ce dernier avait un autre problème mental. Son énorme activité ne chute pas non plus, bien au contraire. Il a maintenant une relative liberté pour faire parler un volume de jeu extrêmement conséquent. Ce nouveau rôle lui permet de briser de nombreuses lignes avec une aisance naturelle, créant de nombreux espaces pour ses partenaires qu’il sert désormais. Si Santiago Bernabeù a acclamé son ancien prodige d’une façon si chaleureuse lors de son entrée en jeu face à l’Atletico Madrid en Supercoupe d’Espagne, ce n’est pas anodin. Lui aussi, a réussi à conquérir le cœur des fans et de tous les autres. Comme Arjen Robben, Angel di Maria a franchi un palier mental plus que toute autre chose. Ces deux joueurs ont réussi à faire diminuer au maximum leur nombre de mauvais choix. Le côté soliste écervelé pour Robben, et le côté écervelé tout court pour di Maria. À tel point qu’aujourd’hui, difficile de les départager. Comment faire donc ? Au niveau technique ? Pas possible. Quoi que Robben a probablement moins de déchet que l’Argentin, mais ce dernier possède une agilité avec laquelle le néerlandais ne peut pas rivaliser. Au niveau physique ? Robben est sûrement plus puissant et sûrement plus rapide que son adversaire. Mais tous deux peuvent réaliser des efforts longtemps (cette vitesse de pointe de Robben contre le Chili sous une chaleur étouffante lors de la Coupe du Monde, pour offrir une assist à Depay ou cette course de l’Argentin en finale de la Ligue des Champions pour permettre à Gareth Bale d’inscrire le deuxième but Merengue. ) Impossible de réellement départager ici pour moi. Au niveau de l’intelligence de jeu ? Robben victorieux ici. Car Angel di Maria, s’il a réussi à franchir ce palier décisif, est encore capable de retomber dans ses travers à tout moment. Et il a toujours moins de déchet que l’Argentin dans ses prises de décision. Néanmoins, le profil de ce dernier est peut-être plus intéressant. Il fournit des efforts défensifs que Robben n’a jamais été capable d’approcher. Et son rôle en lui-même, que le néerlandais ne pourra assurément pas assurer, est un plus monumental pour son équipe. Robben est aussi de cet acabit-là. Mais des ailiers de grands talents, nous en avons beaucoup sur la planète. Di Maria est devenu quelque chose d’autre qu’un ailier, et tant mieux. C’est en devenant ce milieu de terrain se projetant vers l’avant et créant d’immenses brèches, quitte à perdre le ballon, quitte à avoir plus de déchets, que l’ancien joueur du Benfica a su obtenir la reconnaissance du monde du football … ainsi que mon vote. Et ce ne fut pas facile.
  12. Red Eye

    Anders Lindegaard

    J'comprends plus rien avec lui moi. Je croyais qu'il était parti ? Si quelqu'un pouvait m'éclaircir sa situation, gracias !
  13. Red Eye

    Danny Welbeck

    Frustrant dans le sens où ça (le football) ne se passe pas souvent comme on le voudrait. ^^ Aucun rapport avec le titre réellement.
  14. Red Eye

    Danny Welbeck

    J'avoue, moi qui l'ait beaucoup défendu, on peut certainement pas dire qu'il a une bonne finition. Ceci dit, il a juste des circonstances atténuantes, qui ne suffisent toutefois pas. J'aurai vraiment aimé qu'on garde Rooney - Welbeck - Chicharito pendant quelques saisons encore, quitte à ne pas acheter RvP, juste pour voir comment nos deux joueurs auraient évolué. Frustrant le football.
  15. Tu ne connais pas notre infirmerie ou quoi ?
  16. Et dès que le contrat sera signé, blessure pour 6 mois. Attendons la fin de la saison !
  17. Red Eye

    Ji-Sung Park

    "Nous sommes désolés, nous avons oublié."
  18. C'est entièrement de ta faute si tu as coupé ton stream ! Mais au moins ce message a fait une victime ce soir. Merci.
  19. Égalisation de Neymar. C'était obligé.
  20. Red Eye

    Adnan Januzaj

    Il est trop fort pour eux. Mais ça on le savait déjà depuis un bail.
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