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Best_07

Fergie Babes
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Tout ce qui a été posté par Best_07

  1. Best_07

    Tiziano Crudeli

    C'est de la mise en scène, hein.
  2. Une bien bonne surprise que la découverte de Funny Games U.S. Un film qui rompt avec les codes habituels du cinéma pour jouer délibérément avec le spectateur. Car si le film se base principalement sur le thème du jeu, ce thème intervient à trois dimensions. D'abord le jeu classique, entre les personnages, ensuite le jeu de l'utilisation de la caméra, qui n'a rien d'habituel, et qui est donc à mettre en relation avec le jeu auquel prend part le spectateur. Tout est orchestré de manière à inclure le public dans l'histoire, comme si devant l'écran, nous étions un personnage à part entière, le réalisateur étant même prêt à casser le quatrième mur pour accroître cette idée. La mise en scène en devient très théâtrale, avec un huit-clos qui dispose toujours d'une action proche et durable (les plans larges sont inexistants et les cuts très rares), impliquant donc pleinement l'audience dans l'ambiance psychologique du film. Haneke va manier avec plein de talent son sujet pour plonger le spectateur dans une profonde intensité, dont il pourra très difficilement se sortir. Il use et abuse de longs plans fixes, qui vont avoir plusieurs utilités. La première va être de se concentrer sur des objets du décor, apparemment insignifiants, et de laisser toute l'action se produire en hors-champ (durant le film il doit y avoir autant de dialogues dans le champ qu'en dehors), c'est le cas lors de l'arrivée de la famille dans leur maison, c'est aussi le cas lorsque Naomi Watts se trouve dans la serre, par exemple. Ce procédé sert vraisemblablement à montrer que quoique ces gens fassent, ils sont condamnés. Il joue volontairement sur l'ignorance totale de leurs faits et gestes pour montrer cela. Cette sensation de fatalité que l'on retrouve tout au long du film est d'ailleurs reproduite dès les premières secondes, avec ce cheminement de leur voiture, vu de haut, comme si nous observions la scène à travers l'oeil d'un diable, qui s'amuse du destin tragique de ces petites vies insignifiantes. Et l'intérêt vraiment essentiel de ces longs plans fixes va se retrouver sublimé vers la moitié du film, quand nous aurons un seul plan d'une dizaine de minutes, qui alternera entre la souffrance de la mère et du père, dans une scène marquante qui dérange forcément. Le réalisateur insiste bien sur le fait de montrer d'abord la femme, puis l'homme, et non les deux en même temps, alors que selon une logique réaliste, cela aurait du être le cas. Mais il veut faire durer ce passage très troublant, et c'est là que le spectateur va clairement être embarqué dans une sorte de voyeurisme malsain. Devant le pathétique de cette scène, c'est comme si l'on insistait pour nous montrer que c'est nous qui voulons voir cette souffrance à l'écran, que ça nous fait plaisir. Ici il pousse le spectateur à se sentir aussi sadique et détraqué que les criminels. J'ai par ailleurs une forme de fascination pour ces deux jeunes hommes antipathiques, et surtout pour Paul, le personnage principal du film. La politesse, l'humour, le désintérêt, le pouvoir, il dispose de tout. S'adressant de temps en temps à la caméra, on devient son plus fidèle complice, lui n'est là que pour satisfaire nos désirs les plus sombres. En réalité, Paul n'est autre qu'un personnage-dieu qui symbolise le réalisateur. Il va agir dans l'intérêt du spectateur, il va se demander : "Qu'est-ce que je suis censé montrer ? Comment dois-je divertir l'audience ?". Et donc, pour cela, il va enchaîner les actes cruels. Il dira presque mot pour mot au bout d'1h20 : "Oh non, ça ne peut pas finir maintenant, c'est bien trop court pour un long-métrage, les spectateurs doivent en avoir pour leur argent !". Hilarant et dérangeant, ce personnage est le plus important et le seul véritable orateur. Je disais que Haneke rompait avec les codes du cinéma, c'est bien le cas, il ne montre quasiment aucune action directement devant la caméra. Ces actions, qui gagnent en cruauté au fil des minutes, nous sont uniquement suggérées à travers tout le travail réalisé en hors-champ. L'ensemble du film est organisé pour que l'on n'aperçoive aucune forme (ou presque) de violence. On la ressent, on la palpe, mais on ne la voit pas, la seule chose que l'on voit, c'est le travail psychologique, qui en devient bien plus dérangeant de que simples images sanglantes. C'est vraiment avec ce genre de méthodes que le film trouve toute son originalité, car l'on pourrait penser que dans un film qui critique la violence, voir de la violence dans son état le plus brut est impératif. Ici, Haneke prouve le contraire. Si l'on est tant marqués, abasourdis, choqués, ce n'est pas par l'acte violent, mais par les causes et les c**séquences psychologiques de ces actes, car ce sont les éléments qui en deviennent les plus troublants. Le défi est réussi, le tout est pesant, et s'imprègne en nous pour nous faire ressentir la douleur, la vraie. S'il fait effectivement une critique de la violence, le réalisateur s'amuse aussi des thrillers habituels, et à travers cela, se moque du spectateur, qui est généralement manipulé par le cinéma. Il exagère tous les procédés que l'on peut retrouver régulièrement dans ce genre de film, pour montrer à quel point ils sont futiles et prétextes à un divertissement malsain. Rien ne démontre mieux cela que la recherche d'une origine, d'un terrible passé, chez les agresseurs pour expliquer leurs comportements inhumains. Recherche qu'essaie d'accomplir le père de famille tandis que le réalisateur, par l'intermédiaire de Paul, se moque de ces explications habituellement énoncées, à travers une ironie plus que perceptible. "La fiction, c'est la réalité, donc le film est réel". Idée majeure du film, transmise à nouveau grâce à ces personnages, qui sont bien plus que de simples personnages. Tout est mené d'une main de maître dans ce long-métrage, que ce soit la réalisation, l'utilisation du hors-champ, le choix des musiques, les couleurs, ou encore le thème du jeu et du vice. Et surtout, en point d'orgue, la complicité entre le réalisateur et le spectateur, qui arrivera à faire passer son message grâce à des acteurs géniaux et à une exagération de certains procédés cinématographiques qui vont finir par rendre mal à l'aise. Mal à l'aise mais dans le bon sens du terme, c'est à dire que le film est marquant, mais pas seulement, il est génial, car il respire d'intelligence et d'humour, ce qui permet de rendre la critique plus sincère, plus humaniste. On pourrait presque croire en un film expérimental, tant le travail artistique est de tous les instants, la créativité et la technique se rejoignant habilement. Rien n'est laissé au hasard, tout est important et parfaitement maîtrisé, et le jeu est en place du début à la fin, même quand nous n'avons pas encore connaissance du but précis de l'histoire. La tension est constante, et c'est l'oeuvre toute entière qui est alors maîtrisé à la perfection, rendant l'expérience cinématographique tout simplement unique. Tout ça pour quatre oeufs.
  3. Best_07

    Liga 2011/2012

    De toute façon, ZeUp, tu te caches derrière quelques stats prises par ci par là qui pourraient aller dans ton sens. J'ai par exemple déjà démonté dix mille fois l'argument des équipes espagnoles en Europa League, je peux le refaire, si tu le désires ? ... La PL est le championnat non seulement dans lequel il est plus difficile d'évoluer (tu ne verras jamais une équipe tourner sans difficultés avec 15 joueurs sur toute une saison, comme c'était le cas du Barca l'an dernier...). Et c'est aussi le championnat qui recèle le plus de bonnes équipes en Europe. Fait complètement validé par la présence de quatre divisions professionnelles en Angleterre, qui montre bien que le berceau du football est encore celui qui a le plus grand nombre de bonnes institutions. Dois-je te rappeler que l'an dernier le Barca B finit 3ème de D2 espagnole ? Ca en dit long sur le niveau global de ce pays...
  4. Vu: Funny Games U.S , la grosse claque, un chef d'oeuvre en bonne et due forme.
  5. Best_07

    Liga 2011/2012

    Arrête de fumer tes cheveux mon pote. Un point c'est rien. Et la PL est une référence, un point c'est tout. No arguments, enough said.
  6. Finalement, il est très bien ce système Ryan. ( )
  7. Collateral, j'avais déjà visionné ce film il y a quelques années, mais c'était en espagnol, donc l'intensité était moindre, évidemment. J'en gardais cependant un excellent souvenir, je me suis donc décidé à le revoir pour m'en faire un avis définitif, et je dois dire que ce second visionnage a été encore plus marquant. Ce film, grâce aux personnages, fait énormément réfléchir, et il ne laisse pas indifférent quiconque s'intéresse de près aux messages transmis à travers ce long-métrage. Tout commence par la présentation de la journée type d'un chauffeur de Taxi, musiques douces, routine ennuyeuse, personnage peu charismatique, qui se laisse aller à son petit bonheur quotidien, sans chercher plus loin. Mais cette journée ne va s'avérer pas si singulière, puisqu'il va faire deux rencontres qui vont changer sa vie. La première, celle d'une femme, avec qui on va entrevoir le personnage plus en profondeur, lui et sa joie de vivre, lui et ses rêves, mais surtout lui et ses doutes. Et tous ces visages présentés lors de cette rencontre seront décuplés et approfondis lors de la deuxième rencontre de la soirée. Celle d'un homme aux cheveux blancs, mystérieux, le regard déterminé et une confiance infinie en lui. Une autorité immédiate qui se dégage lors du premier échange entre les deux hommes. Echange durant lequel Max insistera finalement pour le prendre à bord, premier coup du destin. Ce personnage se dévoilera en réalité comme étant un tueur à gages, et pour réaliser ses missions, il n'aura besoin que de son arme, et bien sur, de son chauffeur. C'est ainsi que Max va être entraîné malgré lui dans une course folle à travers les rues de Los Angeles. C'est au moment où il voit un corps s'écraser sur sa voiture, et Vincent, le tueur, ressortir de l'immeuble en souriant, qu'il va se rendre compte de la situation dans laquelle il est embarqué. C'est à cet instant précis que le personnage de Tom Cruise va énoncer une phrase qui donnera tout un sens à son caractère des plus complexe : "Je ne l'ai pas tué, les balles et la chute oui". Cet homme au sang froid irréprochable ne voit pas la vie comme le commun des mortels, et il ne la voit certainement pas comme Max, puisque ce dernier croit profondément au sens de la vie à l'état pur, du partage innocent. D'abord coopératif sous la menace, il va essayer de raisonner continuellement son passager. Il parlera de morale, de conscience, de justice. Vincent l'écoutera comme on écoute un enfant naïf, interprétant les éléments de son discours d'une toute autre manière. S'ensuivront alors diverses situations où les deux hommes seront parfois très proches, et pourtant aux antipodes l'un de l'autre dans leur manière d'être. Non, à aucun moment ils ressentent une forme d'empathie l'un envers l'autre, bien au contraire (encore que, cela peut être contesté), mais il y a quand même un lien qui s'instaure entre eux. Un lien qui va s'afficher clairement sous nos yeux, entrecoupé de scènes d'actions parfaitement réalisées et d'images toutes plus justes, profondes, sombres, et somptueuses les unes que les autres. Les quartiers de la ville de Los Angeles dévoilés dans leurs formes nocturnes sont de véritables bijoux esthétiques. Je ne parle pas ici de paysages magnifiques, mais d'une atmosphère propre à cette histoire, qui va accompagner les personnages et qui va donner au cadre un aspect bien particulier. Aux portes d'être indescriptible, cette sensation d'être perdu dans l'espace et dans le temps avec ses personnages sera démultiplié à travers le choix des décors, des couleurs, des musiques... Le travail artistique qui se trouve derrière ce film, pour coïncider avec la philosophie ambiante, est effectué à la perfection, et rend le tout très uniforme. A mesure que le film avance, nous nous rendons compte que Max va finir par tirer quelque chose de Vincent, il va puiser en son dégout de la cruauté de cet homme une forme de détermination, comme si en voyant la mort d'aussi près, il se rendait compte que l'instant présent n'est pas fait pour attendre le suivant, mais pour être vécu. Que ce soit en allant visiter sa mère à l'hôpital, ou en repensant à la femme qu'il a conduit quelques heures plus tôt, il va réaliser que les projets qu'il envisage de mettre en place, sans ne jamais le faire, ne l'attendront pas. C'est ce pragmatisme et cette confiance qu'il va faire naître (ou renaître) chez lui au contact du meurtrier. Le point clé du film, d'un point de vue philosophique, reste ce discours entre les deux hommes, juste avant d'entrer dans le dernier tiers de l'histoire. Tous les deux dans le taxi, ils vont se mettre à parler de la vie, à confronter leurs points de vue. Vincent aura une vision très pessimiste, presque inhumaine, considérant les êtres humains comme des êtres insignifiants, dépendants d'un espace infini dans lequel ils n'ont finalement aucune importance. La psychologie de cet homme atteint son paroxysme avec la définition qu'il émet de l'espèce humaine : "Nous ne sommes que des tâches inutiles dans l'univers". Cela fait longtemps qu'il ne croit plus en rien, qu'il n'a plus aucune éthique. Et pourtant, dans son regard, je ne sais pas si c'est volontaire, mais j'ai l'impression qu'on arrive à décerner une part de regret, d'humanité qui ressort de temps à autres. Le passage où la voiture s'arrête et où des loups traversent alors la rue est par ailleurs un véritable symbole. A ce moment là, accompagné par la musique qui donne le rythme à la séquence, nous sommes coupé du film, nous voyons successivement les yeux de Max et de Vincent, et on perçoit la vie à l'état pur, tout comme eux : La vie animale, belle et innocente, qui nous aère quelques instants, de la noirceur et du pessimisme omniprésents. Le comportement arrogant de Vincent finira en fin de compte par créer un rejet total de Max, qui en perdra la tête, au point de provoquer un accident, sans graves c**séquences, mais qui lui permettra de se détacher de son emprisonnement. D'abord soulagé de s'être enfin débarrassé de Vincent, il va changer radicalement de comportement dès qu'il s'apercevra des intentions du tueur. Devenu soudain animé d'un certain courage, il va agir avec cran et audace, cherchant par tous les moyens possibles à contrecarrer le destin qui semble se mettre en place de manière inéluctable. Conclusion logique d'un destin croisé entre ces deux personnes, possédant des objectifs et des philosophies différentes, qui vont les opposer jusqu'à la dernière minute. Et donc, dans ce film, ce que je préfère retenir avant tout, c'est qu'il n'y a pas de bien et de mal, mais juste des êtres avec des buts et des modes de pensées qui diverges. Vincent aura éduqué Max, plus que quiconque, lors de ce court moment de vie partagé. Et lors de ce court moment de cinéma, nous aussi, nous aurons appris des choses. Ceci est à interpréter comme on le veut, de manière très personnel, mais le message artistique me parait clair. La fin s'engage quant à elle sur le thème de l'ignorance créé tout au long du film par Tom Cruise, et qui en connaîtra sa propre définition, dans une scène qui jouit encore d'une bande-son intelligente pour y puiser une dimension supérieure, qui conclu cette expérience cinématographique de bien belle manière.
  8. Best_07

    Serie A 2011/2012

    C'est un personnage d'Harry Potter ?
  9. Avec sa quatrième victoire con.sécutive à domicile et son succès 4-2 contre l'Atlas, Pachuca se replace dans la course aux playoffs, à six journées de la fin de la saison régulière, nous sommes 9ème, soit à une place de la qualif'. Sachant que nous enchaînons avec une nouvelle réception ce week end, de San Luis, je suis plutôt optimiste.
  10. Best_07

    Infirmerie

    Quelqu'un a des infos concernant les retours de nos joueurs blessés ? Je pense à nos quatre défenseurs (Rio, Da Silva's et Vida) dont je n'ai aucune idée des durées des indisponibilités... Sinon, Cleverley ça devrait être bon pour Stoke, et Welbeck pour Norwich... Quant à Chicha, il me semble que ça sera un mois...
  11. Against Leeds: GK: Lindegaard DF: Smalling, Ferdinand, Evans, Evra ML: Valencia, Anderson, Giggs, Park AT: Berbatov, Macheda Avec des rentrées de Pogba (Giggs), Fletcher (Anderson) et Owen (Macheda).
  12. Best_07

    Paul Pogba

    Bien sûr que Pogba doit être intégré à l'équipe une, et ce dès cette année. Il nous manque un joueur au milieu de terrain, il est capable de s'y imposer, sachant que Carrick et Fletcher c'est pas la grande forme, et qu'Anderson et Cleverley ce ne sont pas encore des valeurs sûres (même si ça semble bien parti). Le faire débuter en Carling Cup et en FA Cup, c'est la base pour ses 18 ans. Welbeck on l'a bien lancé en PL à 17 piges, et le fait d'avoir découvert le haut niveau si jeune ça lui a apporté une certaine éthique de travail. Pogba a besoin, en tant que joueur, de disputer des matchs de très haut niveau, durant l'année 2011/2012. Personnellement, sans exagéré, le titre en Carling Cup, je m'en balance un peu, je préfère qu'on perde en finale mais qu'on est fait engranger un max de temps de jeu et d'expérience à nos jeunes talents, plutôt que l'on gagne avec une équipe type... Une première année où il goute au haut niveau de manière périodique, en coupes et pourquoi pas dans le dernier match de CL si notre première place est assurée, et l'année prochaine il s'intègre définitivement au groupe pro. C'est la ligne directrice qui a toujours été tracée pour lui. Quand on est assez bon, on est assez âgé.
  13. Best_07

    Javier Hernández

    Je ne crois pas que le fait qu'on joue en déplacement ou à la maison change grand chose, on est capable de produire le même type de jeu sur les deux terrains, et un Chicharito pourra toujours bénéficier de ses appels et des services de ses partenaires pour marquer. De toute manière, les carences techniques de Chicharito, on les a tous accepté et on fait avec, on sait très bien qu'il n'est pas un joueur qui va animer la construction, mais qui va perturber la défense par ses mouvements et qui va très souvent se retrouver à la finition. C'est son profil, on ne le changera pas, mais une chose est sûre, ce genre de profil là, dans n'importe quelle configuration, c'est bénéfique... Et avec des joueurs comme Nani, Young et Rooney, des ballons en profondeur, il en aura, à la pelle. Il y aura toujours un éternel débat de savoir qui est le plus utile, Welbeck ou Hernandez, ça avait d'ailleurs fait l'objet d'un duel, les deux sont différents mais je pense que leur apport au groupe est similaire. Beaucoup de monde remet en doute le mexicain depuis le début de saison, mais il ne faut pas oublier qu'il a eu un retour très tardif et qu'il n'a que deux matchs de titulaires dans les jambes. Quand on voit le match qu'il fait contre Bolton, il y a de quoi être positif. Et même s'il était clairement invisible hier, je ne me fais aucun soucis, quand il sera aligné régulièrement, il continuera à scorer, à faire souffrir les défenseurs, et à nous donner des points décisifs. A Old Trafford comme à l'extérieur, car c'est un mec qui ne s'arrête jamais de planter, peu importe la façon de jouer de ses coéquipiers, peu importe l'adversaire... Et je m'appuie sur ses performances avec le Mexique pour justifier cela, le jeu offensif du tri est extrêmement rapide, à base de jeu court et de combinaisons en une touche de balle (entre les Gio, Barrera etc.), et Chicha s'y montre serial buteur... Seul gros problème, c'est que sa blessure semble assez sérieuse...
  14. Best_07

    Liga 2011/2012

    Tu vas pas te mettre à faire comme toutes les tarlouze qui dès qu'ils voient un joueur brutal se mettent à se demander ce qu'il fait sur un terrain... Mets-toi au ping pong si tu veux pas voir ça, mon pote.
  15. Barcelone, Marseille, Arsenal. Ici, on ne voit que ça... M'enfin bref...
  16. Si une descente de l'OM peut réduire la quantité des maillots bleu ciel que l'on voit dans ma chère ville de tantouz, je signe de suite...
  17. Best_07

    Football Américain

    Nouvelle défaite des Vikes à l'instant, à domicile, 17-24 contre Tampa Bay... Et dire qu'on menait 17-0 à la pause, comme la semaine dernière, on se laisse rejoindre, inquiétant et déjà très problématique au classement... Les résultats complets de la deuxième journée: Dimanche 18 Septembre: Bills 38-35 Raiders Lions 43-3 Chiefs Titans 26-13 Ravens Colts 19-27 Browns Vikings 20-24 Buccaneers Saints 30-13 Bears Jets 32-3 Jaguars Steelers 24-0 Seahawks Redskins 22-21 Cardinals Panthers 23-30 Packers 49ers 24-27 Cowboys Bronocs 22-24 Bengals Dolphins 13-23 Texans Patriots 35-21 Chargers Falcons 35-31 Eagles Lundi 19 Septembre: Giants - Rams Le classement NFC North: 1.Lions: 2-0-0 , +52 2.Packers: 2-0-0 , +15 3.Bears: 1-1-0 , +1 4.Vikings: 0-2-0 , -11
  18. Le onze de départ : -De Gea: 7 -Smalling: 8 -Jones: 8 -Evans: 9 -Evra: 8 -Anderson: 6 -Fletcher: 5 -Nani: 8 -Young: 8 -Rooney: 6 -Hernandez: 3 Les remplaçants : -Carrick: 4 -Valencia: 7 -Berbatov: 6
  19. C'est pas une question de difficulté, c'est une question de nombres. D'ailleurs pas sûr que de parier sur Panionos-Paok soit + difficile que sur un match de PL, c'est juste + dû au hasard, puisque la PL on est beaucoup à la suivre, alors que le championnat grec, pas que ça a fou.tre de chercher des liens stream hideux pour suivre ces équipes... Je ne râle pas spécialement, j'exprime juste mon avis, je suis pas en train de faire un scandale hein, ça m'amuse toujours autant et je continuerais à pronostiquer. Mais je trouve juste que sur ce week end il y a beaucoup trop de matchs... Après, comme tu le dis, tu peux justifier la présence de tous les matchs si tu le veux, ça n'empêche pas qu'on aurait pu se passer de quelques uns, histoire d'alléger un peu la liste. ^^ Pour le maillot, je prends note.
  20. Bref, de toute manière je changerais pas les choses, hein, j'exprime juste un ressenti, il y a beaucoup trop de matchs. Ouais, il y a pas mal de matchs intéressants en europe, mais c'est pas pour autant qu'on doit pronostiquer sur TOUT. Réduire un peu le nombre de matchs allemands ne serait pas une mauvaise idée, tout comme je ne comprends pas l'enthousiasme de mettre tous les matchs des clubs de Galsgow (ok, ce coup-ci c'est un choc, mais quand il s'agit de deviner s'ils vont gagner 3 ou 4 à 0, ça devient moins intéressant). Bref, les matchs dispensables ça serait bien qu'ils soient évités quand il y a déjà une liste assez longue. 20 matchs de PL + L1 et un peu plus d'une dizaine pour le reste, là on a le double.
  21. Barcelone - Osasuna est un gros choc ? Non, juste celui qui trouvera combien va gagner le Barca, j'en salive d'avance. 2-0 ou 3-0 les potos ? Coimbra fait 3 bons matchs alors s'ayez il va concurrencer Porto et le Benfica ? Lolilol, 35 matchs, c'est bien, 50, c'est trop, faut savoir faire des choix entre tous les matchs européens, aussi, pour pas donner une liste qui amène un mal de crâne tellement elle est surchargée... Enfin, les gens ne se plaignent pas trop puisque si on se plaint de la liste on est direct un footix. Ololol, c'est trop underground de pronostiquer sur Panionos, surtout quand les 3/4 du fofo les ont jamais vu jouer... Oh wait...
  22. Il ne faudrait peut-être pas trop abuser en nombres de matchs, non ? Je veux bien qu'on souhaite diversifier les pronostics, mais de là à parier 50 matchs/week end, c'est vraiment trop et ça lasse... La base c'est censé être PL + L1, là il y a plus de matchs d'autres championnats... Et certains diront sûrement footix (LOL) mais beaucoup de rencontres sont dispensables. On a voulu intégrer le championnat belge et suisse (ok, pourquoi pas, même si c'est quand même un site français et qu'il est normal de retrouver la Ligue 1, qui est beaucoup plus mise en avant que ceux-là). Mais quand je vois qu'on met aussi des matchs de Liga, des Pays-Bas, de seconde zone, et même un match de Grèce (que celui qui choppe des stream pour voir jouer Panionos me fasse signe hein) ça me gave un peu. A trop vouloir mettre des matchs pour mettre des matchs on en perd le fil... Ou bien un nouveau sondage a été effectué... ? Enfin bref, ça sera au petit bonheur la chance à nouveau pour les quelques matchs en trop, j'aime bien les jeux de hasard. LOL. Pour que ce soit clair, les matchs (du week end) que je considère en trop: Majorque - Malaga Mons - Malines Barcelone - Osasuna Waalwijk - AZ Panionos - PAOK Benfica - Coimbra Et je ne pense pas être le seul...
  23. Norwich qui perd pour la première fois de la saison à domicile, face à West Brom (0-1)... En ce moment, Fulham - Blackburn, (lien: http://liutv.yolasite.com/channel2.php) Edit: Ouverture du score splendide de Rochina pour Blackburn. Un peu immérité au vu du déroulement de la rencontre tout de même... EGALISATION de Zamora, 1-1. L'avance des Rovers n'aura pas durée longtemps... Logique.
  24. Against Benfica: GK: De Gea DF: Smalling, Ferdinand, Jones, Fabio ML: Nani, Giggs, Carrick, Park AT: Rooney, Chicharito
  25. Le onze de départ : -De Gea: 8 -Jones: 8 -Ferdinand: 7 -Evans: 5 -Evra: 6 -Anderson: 9 -Cleverley: /// -Nani: 8 -Young: 4 -Rooney: 8 -Hernandez: 7 Les remplaçants : -Carrick: 4 -Smalling: 6 -Giggs: 7
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