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Tout ce qui a été posté par Best_07
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Ouais, bah vu comme les 49ers butent face à cette défense archi-solide, pas sûr qu'ils parviennent à réduire l'écart avant la pause. Sans oublier que c'est les Ravens qui récupèreront la balle au début du third quarter. Flacco impérial.
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Aie aie aie, la nervosité des 49ers est en train de leur coûter cher. Voilà qui va permettre aux 49ers de souffler un peu, même si les Ravens continuent à prendre le large. Que c'était présomptueux de la part des Ravens ce fake ; grossière erreur selon moi...
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Ouais, comme fallait s'y attendre avec une affiche Ravens-49ers, c'est très agréable à regarder. Beaucoup plus que l'an dernier. Les 49ers sont un peu assommés là. Flacco fait un match d'Elite QB.
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C'est parti : Flacco en patron. La stat qui fait bien : 9 derniers drives en red zone pour les Ravens, 9 TDs. Kaepernick qui fait parler sa puissance athlétique. Grosse erreur de Crabtree qui empêche littéralement Randy Moss de mettre les équipes sur un même pied d'égalité. Vernon Davis légèrement blessé durant le drive, en plus.
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C'est ça qui est bon. C'est le folklore.
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2013, Année Du Triplé/du Doublé, Vous Y Croyez Vous ?
Best_07 a répondu à un(e) sujet de Duncan Edwards dans MANCHESTER UNITED
Tu te mouilles pas trop. Mais je suis d'accord avec toi. Je te rejoins sur tout. Si ce n'est que je ne pense pas que de citer Chelsea soit pertinent. Je crois qu'on pourrait créer une infinité d'univers et de ligue des champions, et que jamais une équipe pourrait gagner avec autant de réussite que celle qui était la leur l'an dernier. -
Favre. Je disais ça parce que de mon côté je penche – de manière très très oblique – du côté de Minnesota depuis mes dix piges. ^^
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Tu es un cheesehead ?
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Pas vraiment. D'un côté j'aimerais que ce soit les Ravens pour que Ray Lewis achève sa carrière en beauté. D'un autre côté je penche pour les 49ers parce que j'ai toujours bien aimé cette équipe. Du coup, pour la première fois lors d'une finale, tout sport confondu, ce sera du 50-50 de mon côté.
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49ers. Les deux coach sont frères.
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J-1. Oh boy.
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Cinéma
Best_07 a répondu à un(e) sujet de Miss Becks dans SÉRIES TV / FILMS / JEUX VIDEO / MUSIQUE / LIVRES
J'arrive au terme de mon cycle malickien (ce ne fut franchement pas très long) et je vous propose ma critique de son film qui a, me semble-t-il, généré le plus de débats. Bien que pour l'instant ce soit celui que j'aime le moins de son cinéma, je comprends les réactions (positives ou négatives) qu'il engendre... Le personnage qui abhorre les films de guerre que je suis n'était pas franchement enthousiaste à l'idée de s'en taper un pendant 2h45. La brutalité des explosions et des coups de feu, dont nous nous délectons inconsciemment (un film de guerre sans massacres ennuierait les gens), n'est pas franchement ce que j'ai hâte de découvrir sur un écran. Pourtant la violence au cinéma ne me dérange pas outre-mesure, et des films qui s'y complaisent corps et âmes j'en ai vu (et aimé) à la pelle. Pourtant, il y a quelque chose qui ne passe pas avec les films de guerre. Peut-être parce que, contrairement à l'univers militaire, ces films-là nous font bien prendre conscience de l'illégitimité de tels actes ; tandis que les films de guerre eux, qui le veulent ou non d'ailleurs, légitiment toujours – d'une certaine manière – la violence et la cruauté. Même quand ils veulent produire l'effet inverse. Nous avons une éducation sur la guerre qui ne se dérobe pas sous le point de vue d'un cinéaste, aussi véhément soit-il. Et c'est là que nos livres d'Histoire ont accompli leur travail, puisqu'on ne peut regarder des images de guerre sans y déceler un minimum de logique. De ce fait c'est peut-être le seul terrain de « jeu » (que le mot est mal choisit) où elle (la violence) me rend mal à l'aise. Parce qu'elle est acceptée, et presque considérée comme indispensable. Ou peut-être tout simplement que je suis atteint du syndrome Ryan et que j'en ai tellement bu et ingurgité du Tom Hanks constipé, que je ne peux pas voir un casque voler et un homme gémir sous les coups d'une grenade sans avoir cette forme de répulsion totale qui m'envahit. Comme film de guerre je n'avais jusque-là aimé qu'Inglourious Basterds, qui n'est pas un film de guerre. Ainsi que Forrest Gump (tiens, tiens, Tom Tom), qui n'est pas non plus un film de guerre. Je n'aurais d'ailleurs pas tenu les deux heures quarante-cinq de pellicule si il n'y avait pas le maître Malick derrière la caméra. Ne dérogeant pas à son style, il balaie son film d'entre-deux poétiques et de voix-off multiples qui permettent des espèces d'exodes temporaires, presque vitales (pour nous et pour les personnages). La simplicité de la nature qui vient se mêler à la complexité de l'humanité, dans ces moments d'effrois palpables, est d'une force difficilement niable. Dont l'effet semi-euphorisant et semi-agonisant est sans cesse souligné (ou devrais-je dire surligné) par les musiques. Terrence Malick prend le partie de montrer plusieurs militaires, différemment gradés, qui partagent ensemble la conquête lente et progressive d'une île contrôlée par l' « ennemi ». Avec toujours ces putains de niaks en bourreaux derrière les mitrailleuses (ça change un peu des boschs, quoique...) qui ne se révèlent être que de pauvres types comme vous et moi ; et surtout comme eux (les américains). Moins que les séquences de progressions entre mitrailles, ce sont les confrontations homme-à-homme qui sont les plus frappantes (que le mot est encore mal choisit). Quant la panique se mêle à la folie et à la haine pour céder la place à un chaos (in)humain, que la caméra parcoure avec une forme de désespérance qui s'imprègne en nous, le résultat est percutant comme jamais. Il coûte donc beaucoup d'images déplaisantes au film pour devenir plaisant, puisque c'est en montrant l'horreur et seulement en montrant l'horreur, qu'on peut offrir un contrepoint plus paisible et libérateur. Finalement, c'est à travers la souffrance et l'atrocité que le film trouve sa beauté, et bien que ça puisse rendre mal à l'aise, on ne peut en contester l'efficacité. Il serait un peu vain de vouloir revenir sur les êtres qui font vivre ce film en tant que personnages. C'est pourquoi je vais ignorer tout le casting (aussi génial soit-il) et toutes les petites histoires (aussi touchantes soient-elles) pour me concentrer sur autre chose : les hommes. Les hommes dans leurs combinaisons anonymes. Les soldats fabriqués en série s'entassent et s'empalent les uns aux autres, et la cacophonie créée par la guerre, si elle peut être désagréable pour la bonne compréhension de l'histoire, est impérative pour la bonne compréhension du message. Ou tout du moins du message que moi j'ai interprété, parmi les milliers potentiellement identifiables. Ce qui m'a le plus marqué avec La Ligne rouge, c'est la manière dont Malick dévoile sans pudeur aucune l'humanité déshumanisée, où l'anonymat devient quelque part le symbole de leur utilité non en tant qu'homme mais en tant que cible-vivante. Beaucoup de personnages, dans des situations critiques, se mettent à se comparer à des choses aussi insignifiantes que des grains de poussière ou des feuilles quelconques. Puisqu'il y a, dans ces choses non distinguées une essence issue de la fatalité : je ne suis rien d'important à l'échelle de l'univers et, aussi désespérément voudrais-je l'être (important), je dois me résigner à mon sort tragique, celui d'être oubliable et interchangeable comme un grain de sable parmi des milliards. C'est là où la lettre que reçoit un des personnages devient profondément marquante. Quand il apprend, ce jeune homme éperdument amoureux qui s'empêche de sombrer dans la folie grâce à l'amour qu'il porte à sa femme, que cette dernière est tombée dans les bras d'un autre et veut divorcer. La fatalité n'est même plus tant dans le fait d'être sur le point, au mieux d'être traumatisé à jamais, au pire de mourir (à vous de déterminer ce qui est le pire, en fin de compte), mais bien de ressentir ce vide intérieur, comme un couteau dans une plaie qui insiste sur l'affirmation : « tu n'es rien. » Les personnages passent leur temps à se poser des questions, et c'est cette affirmation qui vient toujours leur répondre ; une affirmation douloureuse mais vraie, qui est au demeurant déchirante pour le spectateur un minimum empathique. En dépit de ce gouffre auquel on accepte volontairement de tomber pendant toute la durée du film, on identifiera quelques éclaircies. Déjà Malick a l'intelligence de placer une présence féminine dans son film. Ça pourrait paraître secondaire, mais ça ne l'est pas du tout. En entrecoupant ses séquences barbares de flash-backs romancés ou fantasmes oniriques, et en jouant sur le corps de la femme avec tout ce qu'il représente (pureté de l'être, angélisme corporel etc.) il soulage le spectateur. Ce dernier ne s'en rend peut-être pas compte, mais ces instants de coupures lui sont on ne peut plus bénéfiques. Car sinon le film en deviendrait difficilement supportable. Le réalisateur l'a compris et utilise sa finesse caractéristique pour faire ce que notre inconscient attend qu'il fasse. Là où ce procédé atteint son point d'orgue, c'est dans la présentation de cet « autre monde » vécu ou fantasmé par Witt, qui dénature totalement le spectateur de l'univers militaire et qui lui donne (presque) l'impression d'être libre. Au point d'avoir envie de trouver une réponse aux questions que se posent (s'infligent) les personnages. Du genre : « Hé, regardez, ça pourrait être tellement plus simple, la vie. » La musique qui caractérise ces séquences, elle aussi en complet décalage avec les autres, achève cette sensation de plénitude épisodique (et presque cruelle à l'échelle du film) que ces séquences génèrent d'elles-même. On ne peut cependant pas affirmer que ces presque trois heures de film ne sont pas trop colossales. C'en est tellement éprouvant et pesant que ça finit par en devenir lourdeau. On a l'impression d'être un chien battu qu'on met trente minutes de trop à abattre. Et je vous garantis que trente minutes d'agonie, c'est long, très long. Qui plus est, si j'ai trouvé les voix-off bluffantes pour la plupart, leur multiplication et démultiplication a tendance à amenuiser l'effet et à donner l'impression qu'on veut nous recouvrir de plus de couches que nécessaires. Néanmoins, en flirtant par moment avec le génie (cadres parfaits, photo inoubliable) et en offrant un film de guerre anti-manichéen qui pose une question aussi simple qu'un « pourquoi ? » désabusé, il devient difficile de reprocher grand chose à cet espèce de monstre (à tous les niveaux) cinématographique (peut-être le montage qui laisse parfois dubitatif, les longueurs, la surenchère partielle). De là à se dire fan absolu de ce très-long-métrage et d'avoir envie de le revoir, je suis moins affirmatif. -
Cinéma
Best_07 a répondu à un(e) sujet de Miss Becks dans SÉRIES TV / FILMS / JEUX VIDEO / MUSIQUE / LIVRES
Et si tu arrives à contenir une érection naissante devant Patricia Arquette, je te donne deux euros. -
Cinéma
Best_07 a répondu à un(e) sujet de Miss Becks dans SÉRIES TV / FILMS / JEUX VIDEO / MUSIQUE / LIVRES
C'est pas mal. Pas le film-de-génie auquels beaucoup crient, mais c'est pas mal. La sortie ciné de la semaine que je déconseille : Happiness Therapy ; grosse bouse qui jouit d'une côte de popularité uniquement grâce aux Weinstein. -
Cinéma
Best_07 a répondu à un(e) sujet de Miss Becks dans SÉRIES TV / FILMS / JEUX VIDEO / MUSIQUE / LIVRES
Allez, pour ceux qui ont kiffé le dernier Tarantino ou qui doivent encore être convaincus pour le voir : ma critique rédigée lors de l'avant-première. Pour les sceptiques qui hésitent encore à découvrir Django Unchained, rassurez-vous, il ne faut pas attendre longtemps pour comprendre qu'il va être décapant. En réalité, il n'y a qu'à attendre la première phrase prononcée par Christoph Waltz pour être rassuré et convaincu qu'on est là pour prendre son pied. God damn it ce mec sait comment lancer un film sur les bons rails. Ce n'est pas aussi ouf que dans Inglourious Basterds, mais quand même. En parlant de rails, parlons de chaînes ; je sais, aucun rapport, mais bon, si vous vous attendez à de la cohérence dans mes propos alors que Quentin vient de me gueuler dans les oreilles pendant trois heures non-stop, vous êtes un peu à côté de la plaque. L'histoire de Django, comme son nom de famille l'indique, c'est celle d'un esclave qui va se libérer de ses chaînes. Mais pas seulement. C'est aussi l'histoire d'un homme qui va apprendre à devenir quelqu'un d'autre dans l'ordre de sauver la femme qu'il aime. Oui, amateur de contes en tous genres, nous ne ne tapons pas ici dans l'originalité même. Peu importe, comme tout bon western qui se respecte, ce n'est pas les points de départ et d'arrivée qui comptent, mais bel et bien le trajet qui les séparent. Et notre pote Quentin sait rendre un trajet agréable, pour sûr. Le trajet pourrait en quelque sorte être divisé en trois parties distinctes. La première en étant la plus divertissante et la dernière la plus anecdotique. C'est peut-être là le seul défaut du film : arrivé à un point de culminance quasi-infranchissable, il redescend un peu de son piédestal, laissant peut-être une part de regrets infiniment infime. Mais ça en reste tellement jouissif qu'on ne lui en tient pas (vraiment) rigueur. Autrement il faut bien concéder une chose, le duo de chasseurs de primes que forment Django et le Dr. Schulz fonctionne encore mieux qu'on aurait pu l'imaginer. Il y a l'humour en point d'ancrage et la néo-fraternité en continuation. Le Dr. Schulz c'est le type qui aime bien monter sur scène et jouer la comédie, ça tombe bien, chacune de ses interventions – aussi grandiloquentes les unes que les autres – relèvent du bijou théâtral. Une théâtralisation qui en deviendrait presque une mise en abime, où le personnage est conscient de jouer un personnage et s'en délecte alors jusqu'au bout, acceptant avec une certaine « fatalité » les lignes qui lui ont été concoctées, peu importe les conséquences. Django lui se range à merveille dans la trempe des héros torturés. Flash-backs insoutenables, dos lacéré, regard pénétrant, redressement progressif, il a tout du super-héros des temps anciens. Un seul de vos regards croisant le sien suffirait à vous convaincre qu'il ne renoncera devant rien ni personne. C'est lui, le « right nigger ». En parlant de « nigger », qui est certainement le mot le plus utilisé dans le film (à étendre potentiellement à la filmo tarantinienne), il révèle bien entendu la toile de fond. Le contexte, qui justifie à lui seul les caractères de chaque personnage et les moindres fils de l'intrigue. Comme nous l'informe le film, nous sommes à deux ans de la guerre de Sécession. Celle qui représente l'une des scissions les plus importantes des États-Unis, et l'esclavage en est une des causes principales. Ici, point de politique (pas de préquel à Lincoln non plus) mais un minimum de contexte pour être au courant de ce qui peut se passer dans la tête des gens. Il y a ceux qui commencent à voir les esclaves comme des hommes, et d'autres qui, par-dessus tout, s'y refusent catégoriquement. Tout le film tourne donc autour de ce besoin vital qu'a un homme de prouver quelque chose à tous ceux qui le regardent comme s'il n'en était pas un. En ce sens il devient plus qu'un homme, mais un sur-homme, un symbole, qui témoigne du soulèvement d'un peuple envers ses opposants. À la manière des inglourious basterds dans le film éponyme, la barbarie est là pour en témoigner. Il n'y a pas de demi-mesure, pas d'hésitation, le sur-homme, une fois complètement redressé, abat le courroux vengeur sur quiconque croise son chemin. Sans surprises, l'humour et la finesse des dialogues se mettent donc au service d'une explosivité constante, d'une rage intérieure, qui finit par tout dévaster sur son passage, ne laissant rien d'autre qu'un empire archaïque aux cendres fumants derrière lui. Si Tarantino nous prouve qu'il sait écrire sans accrocs une quête initiatique de cette envergure, il prouve aussi qu'il sait la filmer, et plus largement qu'il sait la diriger, de toute manière artistique que ce soit. Chaque figure esthétique est parfaitement dosée : la musique, le montage, les effets de style, tout s'uniformise pour faire de Django Unchained un film qui, sans surprises, ne s'emmêle jamais les pinceaux. Pourtant nulle doute qu'il était attendu au tournant, mais il parvient à jongler sur chacune de ses qualités pour ne donner ni l'impression de s'égarer, ni de recycler son travail antérieur. Nous sommes là dans une continuation logique qui nous montre que, près de vingt ans après Pulp Fiction, Quentin Tarantino en a encore dans le calcif et qu'il a, surtout, encore de quoi nous divertir. Les apparitions successives de guest-stars n'auraient presque pas été nécessaires (Leo DiCaprio, Samuel L. Jackson et Tarantino himself) mais la clameur était telle lors de leurs éruptions sur l'écran que l'enthousiasme ne s'en est retrouvé qu'accentué. Si ça sonne un peu comme du fan-service pour Quentin (aussi agréable cela puisse-t-il être), Jackson est juste magistral dans un rôle étonnant, tandis que Leo fait du Leo-différent, et ça, ça fait forcément plaisir. J'en viens désormais au tout-pitit regret : celui que la dernière partie tire peut-être trop en longueurs, comme si on pouvait sentir que Tarantino a hésité entre plusieurs manières de conclure son film. C'est dommage, car du coup ça peut nous laisser sur une impression pas-aussi-géniale-que-ça. Mais avec un peu de recul et quelques minutes de calme on oublie bien vite ce petit couac quasi-imperceptible. Ce qu'il faut retenir de Django Unchained c'est que c'est un western qui en justifie les lettres de noblesse et qui saura vous faire passer par à peu près toutes les émotions qui soient. En dépit d'un fantasme ultime parfois rappelé inutilement (illusions de Django), la cohérence du geste artistique est, comme souvent avec ce bonhomme-là, presque insolente de maîtrise. -
2013, Année Du Triplé/du Doublé, Vous Y Croyez Vous ?
Best_07 a répondu à un(e) sujet de Duncan Edwards dans MANCHESTER UNITED
Faudrait être assez présomptueux pour croire en un triplé au vu de notre niveau de jeu. Un doublé PL/FA Cup, pourquoi pas. Encore que ça ne m'étonnerait pas qu'on n'arrive pas à aller au bout en coupe... Après je suis le premier à demander à être surpris. -
Kuszczak j'ai pas souvenir qu'on lui ai promis grand chose. Dans sa manière de l'utiliser on lui montrait que trop peu de confiance, en tout cas. Mais peu importe. Ce que j'évoquais c'est la situation actuelle, celle d'un joueur qui n'en est plus un. Le pourquoi du comment, à la rigueur, ça n'a plus d'importance. Je ne suis pas là pour ressasser le passé, mais pour constater le présent. Et le fait est que, le Kiko, dans le présent ou le passé récent, il ressemble déjà à un étranger. Comme Kuszczak a ressemblé à un étranger dans ses derniers mois chez nous, où ça devenait presque embarrassant de le voir sur le banc.
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Cinéma
Best_07 a répondu à un(e) sujet de Miss Becks dans SÉRIES TV / FILMS / JEUX VIDEO / MUSIQUE / LIVRES
Samuel L. Jackson est juste énorme dans ce rôle, adorablement détestable. Tu me donnes envie de retourner le voir tant qu'il est encore au cinoche. -
Son toucher de balle est extraordinaire. Il vole sur le terrain, littéralement ; ce mec là ne réagit à aucune règle physique : il est au-dessus.
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Cinéma
Best_07 a répondu à un(e) sujet de Miss Becks dans SÉRIES TV / FILMS / JEUX VIDEO / MUSIQUE / LIVRES
C'est la meilleure scène du film. C'est super bien amené en plus avec le début de la descente puis le flash back qui nous apprend comment ça c'est passé. Puis le gros fou rire de voir Jonah Hill dans un western, sur un cheval ; le truc que j'aurais jamais cru probable. -
Rooney est un joueur qui a apporté beaucoup plus à United depuis des années qu'on veut parfois nous le faire croire. C'est pourquoi, tant dans ses qualités originelles que dans son développement chez nous, il tient parfaitement son rang. C'est un joueur précieux, qui l'a toujours été et qui le sera toujours. Quelques blessures et problèmes extra-sportifs mettent peut-être à mal de temps en temps cette vérité. Elle n'en reste pas moins vraie pour autant.
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Les mots c'est important, je trouve. Surtout dans un forum où l'on ne s'exprime que par leur intermédiaire. Il y a une différence entre argumenter et énoncer un fait. Si j'avais voulu argumenter, j'aurais fait plus que de citer 4 noms (même si ils s'auto-suffisent presque à une quelconque argumentation : Best ou le paradoxe bestien. ). Cela dit je n'ai jamais soutenu le fait que Rooney était un quelconque intouchable. Seulement que, pour quelqu'un qui débarque, voir tant d'adjectifs péjoratifs associés à Wayne ça fait bizarre. Je me pose donc une question – qui me semble légitime – : au vu de l'irrégularité actuelle de nos individualités (si on excepte VP), est-ce vraiment nécessaire de vouloir reprocher autant de choses à Rooney ? Malgré les blessures qui ont entaché sa première partie de saison, quand il était sur le terrain il a toujours répondu présent (à deux-trois exceptions près). C'est pourquoi je suis un peu interdit devant cette quasi-mise à mort textuelle qui découle de vos posts. Quant à cette histoire de salaire, elle me laisse de marbre. Ça me rappelle ceux qui, trois ans après, n'avaient toujours pas digéré le coût du transfert de Berbatov et l'évoquaient encore. Faut savoir passer à autre chose et faire abstraction de ce qui sont des arguments économiques à valeur... zéro. Depuis le départ de Ronaldo, il l'est. De mon point de vue en tout cas.
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Oui. Rien à voir. C'est pas que c'est pas le même monde, c'est que c'est pas la même galaxie. Et tout mec qui suit United match après match et qui ne pense pas pareil a tort.
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Oui, il l'avait – dans le football international. Il a juste fallu la transposer au football anglais. Y a qu'à voir son but contre l'Argentine pour s'en rendre compte. Plus que de la technique, ce qu'il a gagné, c'est de l'assurance. Ce qu'il n'osait pas faire avant, il ose à présent le faire. On pourrait coire que ce sont ses jambes qui ont progressé (peut-être un peu), mais c'est surtout son mental.
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Tout joueur est critiquable. Mais les invectives de certains sur Rooney ont depuis longtemps franchi les barrières de l'incohérence et de l'impertinence. Quand on a un effectif aussi irrégulier que le nôtre (individuellement parlant), Wayne Rooney est – sans aucun doute – le dernier joueur a critiquer. Alors quand on voit la manière dont se déroule son procès (on peut définitivement parler de procès, vu la démesure de certains) y a de quoi être sacrément étonné. On dirait presque que ça fait bon genre de le critiquer, c'est flippant. Puis ce n'était pas un argument, mais un fait. Sur ce sujet-là je ne m'autoriserai aucune flexibilité.