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Tout ce qui a été posté par Santana
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Jones cet abrutit, ce trisomique. Je ne comprends pas comment on peut défendre sa prestation. Le deuxième but est pour sa poire, pas pour Rafael. J'ai rarement vu un joueur plein axe et à 25 mètres du but esseulé à ce point. J'étais abasourdi sur le coup. C'est en matant le ralenti que j'ai compris le pourquoi du comment. Phil Jones. Tout simplement. Ce type est sorti comme un ahurit sur le porteur du ballon en laissant un boulevard derrière lui. Comment est-ce possible d'être autant demeuré. Mais il avait quoi dans la tête à ce moment le type. Techniquement moyen, tactiquement indigne d'un joueur pro. Y'a que physiquement qu'il se débrouille. McNair est mille fois meilleur que lui.
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West Bromwich Albion 2 - 2 Manchester United
Santana a répondu à un(e) sujet de Jiminy dans JOUR DE MATCH
Oui il y avait forcément une explication à ce choix, je trouve aussi que c'est une raison valable pour ne pas le faire débuter le match. Falcao entrera surement en cours de match. Mis-à-part çà la compo est très intéressante. Y'a du talent à tous les niveaux. J'espère que Carrick entrera aussi en cours de match. -
Un ami m'a prêté le dernier Sofoot. Dedans on y trouve un article sur Tom Cleverley. Notamment sur ses débuts, le rôle de son agence de joueurs dans sa carrière et quelques détails sur son transfert. L'article est plutôt intéressant, malgré beaucoup de choses que l'on sait, donc je le retranscris ici pour le partager avec vous. Je tiens à préciser que ce n'est pas un canular même si j'avoue bien volontiers que l'ami Tom est une source d'inspiration inépuisable. Tom Creuse Tom Cleverley devait devenir une vedette. Une marque. Et une pompe à fric. Ses agents avaient tout prévu. Sauf un problème de taille : Tom Cleverley est un joueur moyen. Et il le restera. La queue entre les jambes, il vient finalement de quitter Manchester United pour Aston Villa. Aujourd'hui, Tom Cleverley incarne les maux d'un foot anglais plus motivé à fabriquer des stars que des joueurs...(Par Marc Beaugé, avec Andy Mitten) Je projet est toujours là. Sur le site Internet de Creative Spark, une boîte de pub de Manchester, le logo "TC23" s'étale encore en lettres d'or. En-dessous, des photos d'artistes. Ou presque. Tom Cleverley, l'air pensif devant Old Traffod. Tom Cleverley, appuyé contre un mur de briques rouges. Tom Cleverley, moulé dans un t-shirt orné de son propre logo. Plus bas, un texte explique la démarche. "Tom est venu nous voir car il est conscient que, dans le monde moderne, son activité de marque en dehors du terrain doit être aussi performante que son activité de joueur sur le terrain. Avec cela à l'esprit, nous avons crée l'identité visuelle de la marque TC23..." C’était en octobre 2011, à l'époque, Tom Cleverley, avait 22 ans. Il revenait de prêts successifs à Leicester, Watford et Wigan. Sept petits matchs seulement dans les jambes sous le maillot de Manchester United, mais déjà cornaqué par une agence de "management sportif" aux dents très longues : Tom Cleverley était le produit d'appel de la "Kennedy McKeand". Un produit comme un autre qu'il va falloir vendre. Trois ans plus tard, force est de constater que l'entreprise a échoué. Et que la marque TC23 ne se porte pas très bien. Tom Cleverley ne pose plus devant des murs de briques rouges. Il ne traîne même plus l'air pensif, devant Old Trafford. Il joue désormais à Aston Villa, Il n'est plus appelé en équipe d’Angleterre, depuis de longs mois. L'été dernier, près de 20 000 supporters ont signé une pétition en ligne pour qu'il ne soit pas retenu par Roy Hodgson pour disputer la coupe du monde au Brésil. Résultat : il ne l'a pas été. Même s'il n'y a avait pas besoin de ça. À Old Trafford, aussi, les supporters l'avaient lâché. Déçus par un joueur que la rumeur annonçait aussi doué que Scholes. Avec les Red Devils, plus ses performances se dégradaient, plus les supporters de United avaient pris l'habitude de faire référence à Tom Cleverley par un surnom qui résumait tout le mal qu'ils pensaient de lui . "The brand". "La marque". La piaule de Gérard Piqué et de Darren Fletcher L'histoire de Cleverley démarre à cinquante bornes de Manchester, à Bradford, une ville industrielle du Yorkshire où s'entassent 500 000 habitants sous un ciel gris. "Je suis un gamin de là bas, dit-il. Tous mes potes actuels sont des gars que j'ai connus en jouant au foot dans les rues de la ville. On ne jouait pas à la Playstation, on était dehors tout le temps." Tom joue pour l'équipe de l'école. Puis les Bradford Boys, une équipe de quartier à la grosse réputation. Son père bosse dans la banque. Et est abonné à Bradford City. Le petit suit. Il a 11 ans quand le club monte miraculeusement en Premier League et dispose déjà de son abonnement personnel. Son idole s'appelle Benito Carbone, un meneur italien, petit et gominé qui dénote au milieu des joueurs locaux plutôt rustiques. Tom se retrouve en lui. Le samedi matin le gamin se balade. Un jour, sous le maillot des Bradford Boys, il inscrit un triplé contre le rival Huddersfield. Dans la foulée, Leeds et Blackburn, les deux grands clubs du coin se manifestent pour le recruter. Mais Andrew, le papa, finit par vérifier le répondeur de la maison familiale. "Il y avait un message de Manchester United, se souvient-il. Nous somme allés là-bas. Et Tom a adoré...". Pendant quatre ans, trois fois par semaine, la maman prend l’autoroute M62, reliant Bradford à Manchester, pour amener son fils à l'entrainement. Jusqu’à ce qu'il s'installe définitivement à Manchester, à quinze ans, dans une chambre précédemment occupée par Darren Fletcher et Gerard Piqué. Sur le terrain, Cleverley reste longtemps le plus petit. Et le plus frêle. "À 16 ans, j'étais un enfant alors que les autres étaient déjà des adultes...", se souvient-il. Cleverley doit quitter le milieu de terrain pour exister. Un temps, il se retrouve arrière latéral. Pour qu'il puisse grandir tranquillement, le club demande à la fédération ,L'autorisation de pouvoir l'aligner dans une catégorie d'âge inférieure à la sienne. Accordée. Cleverley avant, et voit ses potes quitter le club un à un, saison après saison. Même les plus plus talentueux ne sont pas assez bons. Avec des fortunes diverses : un de ses plus proches coéquipiers file à Hull, un autre à Leicester, Febian Brandy, le plus doué de tous s'exile en Grèce où il se retrouve obligé de dormir sur le canapé d'un coéquipier, pour cause de salaires impayés... Cleverley, lui, tient bon. Chunks, Nike et Georgina Ferguson semble croire en lui. Il connaît son nom. Ou presque. Dans les couloirs du Carrington, il l'appelle Thomas. C'est toujours mieux que ses vieux potes, qui l'alpaguent toujours en l'appelant "Chunks". Parce que gamin, Cleverley avait du mal à prononcer le mot "Trunks"... Pour aguerrir son joueur, l'écossais le prête à Leicester, en troisième division. Cleverley s'impose au milieu de terrain. Puis enchaîne avec un nouveau prêt à Watford, le club d'Elton John, en deuxième division. Il convainc, à nouveau. Il se souvient : "J’adorais aller dans des terrains hostiles, comme Millwall. Ou Leeds. Aller à Leeds en étant un gamin de Bradford et en étant lié contractuellement à Manchester United, c'est la pire des combinaisons possible. Je me faisais pourrir. Surtout sur les corners. Mais je m'en foutais pas mal..." Cleverley ne se pose pas de question. Enfin, si, quand même. "Après chaque match, il me harcelait, se souvient Malky Mackay, l'ancien entraineur de Watford. Il n'arrêtait pas : Qu'est-ce que j'ai fait de bien? De mal?" La cote de Cleverley monte au club. Il repart pour un dernier tour, à Wigan. En Premier League, cette fois. Une pige concluante. Cleverley a 22 ans: il va succéder à Paul Scholes, un jour ou l'autre. C'est écrit. Lui-même affiche une belle confiance. Il se décrit ainsi, à l'époque : "Je suis un milieu de terrain technique avec beaucoup d’énergie, capable de marquer des buts." ( ) À l'affut du bon coup, Nike se laisse séduire. La marque mise sur Cleverley. Il n'a pas encore démarré le moindre match officiel avec Manchester United quand il signe l'un des plus gros deals de l'histoire pour un footballeur de moins de 25 ans. Cleverley se montre. De plus en plus. La presse anglaise est demandeuse. Dévoreuse, même. Elle a toujours besoin d'histoires à raconter. Tom Cleverley est un local boy. Avec une bonne gueule. Et des airs à la Beckham. Vaguement, de loin. Au cours de ses voyages, Tom a la bonne idée de se trouver une copine. Georgina Dorsett. Peu pudique, très blonde. L'histoire est bien ficelée. Le package est complet. Elle plat beaucoup au Mirror, notamment, qui se tartine sur l’ascension de Cleverley. Les agents du joueur font minutieusement leur boulot. Pour faire monter la sauce, ils font fuiter des informations exclusives. Recadré par Ferguson, bazardé par Van Gaal Chez "Kennedy Mc Keand", on accélère la cadence. Le père de la star est embauché pour faciliter le travail. Les interviews s'enchaînent. Un peu trop au goût de Sir Alex Ferguson, qui met sèchement en garde son joueur après la publication d'un énième entretient. Fini de parler, il est l'heure de jouer. C'est bien là le problème : quand Cleverley joue, sous le maillot de Manchester United, il ne fait pas la différence. Les statistiques ne mentent pas : le joueur effectue les deux tiers de ses passes vers l'arrière. Elles disent de lui qu'il n'est jamais décisif. Aucune dernière passe, peu de buts. Quatre en 79 rencontres. Cleverley ne progresse plus. Au milieu d'une équipe de Manchester United de plus en plus fragile, Moyes l'envoie à l'abattoir dans des matchs à haute-tension où il est le dépositaire du jeu, entre le sosie de Fellaini et le fantôme de Kagawa. Dans le dur, la mise en perspective s'avère brutale pour le joueur. Au bout du compte, au-delà du vacarme médiatique entretenu par ses agents, qu'a vraiment réussi Tom Cleverley ? Il s'est imposé à Leicester, Watford et Wigan,, certes. Mais après? À Manchester United, ses performances correctes se comptent sur les doigts d'une main. Cet été, Louis Van Gaal a mis fin à la blague. Après l'avoir aligné dans les matchs amicaux de pré-saison, il tranche. Pas le niveau. Dehors. Le Hollandais vient d'enterrer l'énième grandissime espoir du football anglais. Fin août, les penseurs de "Kennedy McKeand" se mettent en quête d'un niveau club pour leur client. Et d'un gros chèque pour eux. Histoire de limiter la casse, en somme. Everton et Aston Villa sont sur les rangs. Naturellement "Kennedy McKeand" fait monter les enchères. Jusqu'au dernier jour du mercato. Le 1er septembre, Tom Cleverley et sa fine équipe se dirigent vers Aston Villa, le club le plus offrant. Sur la route entre Manchester et Birmingham, Everton appelle. Avec plus d'argent sur la table. Le convoi change de route direction Liverpool. Mais Manchester n'a pas envie de négocier un transfert avec Everton. Une seconde fois, le convoi change de destination dans son GPS. Retour à Birmingham, sans faire les malins : entre temps, Aston VIlla, échaudé, a baissé son offre de salaire de 20 000 euros par semaine. Tant pis, Cleverley dit oui. Désormais, il veut jouer. Simplement jouer. Plus de marque, de t-shirt, plus de marketing. Cela tombe bien : l'agence "Kennedy McKeand" vient juste de déposer le bilan... Voilà, ça m'a pris pas mal de temps de le retranscrire donc j'espère que ça va en intéresser quelques uns. Au final Tom Cleverley c'est l’histoire d'un joueur qui s'est vu et que tout le monde a vu trop beau, trop fort, trop tôt. Il a bénéficié des avantages de la vie d'un footballeur de haut niveau sans n'avoir jamais vraiment confirmé et du coup, il était convaincu de sa valeur intrinsèque. Au final on se rend quand même compte de place de l'argent et de la gloire dans ses choix de carrière. Il a tout tenté pour devenir une star. Sauf peut-être devenir un meilleur joueur sur le terrain.
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J'ai regardé leur trois derniers matchs en championnat. Une défaite et deux victoires. Mais qu'est ce que c'est laborieux. Ils jouent par à-coups, défensivement c'est le bordel, offensivement c'est moyen sans Sturridge. Ils vont surement gagner en puissance mais ca restera une équipe de seconde zone.
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Liverpool n'a pas la carrure d'une grande équipe. Ils ont de la chance, QPR tape trois fois la barre. Avec un peu de réussite, on aurait pas eu le droit à une telle fin de match. Vraiment je les vois derrière Arsenal, Tottenham et Everton. J'ai vraiment pas d'inquiétudes sur le fait qu'on finira dans le top 3. On est loin d'être au top de notre potentiel et même avec notre niveau actuel on les tape. Tranquille.
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Mdr, je sais pas si vous avez vu la feinte de frappe de Muller sur le but de Xabi Alonso. Toujours impliqué dans les combinaisons sur coup-franc foireuses, ce type n'a aucune de classe. Sinon Dortmund perd encore. Ils ont pas tous leurs titulaires mais assez de bons joueurs pour battre des équipes moyennes quand même. De toute façon c'est tant mieux si ils sont en galère. Ce sera plus facile de leur piquer un de leur cadre comme ça. Un petit Reus, un petit Hummels, un petit Gundogan pour le mercato et on est bon.
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Everton 3 0 Aston Villa Clev avait encore raison, cette équipe comprend son style de jeu.
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Quelqu'un aurait un lien MUTV en streaming qui marche ? Edit : https://www.youtube.com/watch?v=_5adC65KF8E Plus que quatre joueurs blessés. Ce qui arrive juste à temps. LVG souligne aussi le fait que l'accent a été mis, lors des entraînements, sur la manière dont on gère nos matchs sur les 30 dernières minutes. L'objectif est d'apprendre à mieux contrôler le match quand on a pas la possession du ballon.
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Et qui dit que Falcao n'aimera pas le club avec le temps ? Heureusement qu'il n'est pas tombé amoureux du club à ce stade, faut être complètement déconnecté de la réalité pour le croire. Mercenaire, c'est vite dit, la trajectoire de sa carrière est quand même logique mis-à-part le couac Monaco. C'est clair que L'argent est un facteur important pour lui mais bon, je ne vois pas vraiment le problème. Par contre dire que le sportif ne l’intéresse absolument pas est un mensonge. Welbeck est parti maintenant, il est temps de l'oublier. Il a fait le forcing pour être vendu, c'est une décision qu'il a prise qu'importe le contexte. J'aurai aimé qu'il reste mais c'est comme ça. Il n'était de toute façon pas un très grand joueur. J'ai regretté Beckham, Van Nistelrooy, Ronaldo, Pogba. C'est le cas pour Welbeck aussi à moindre mesure. Mais je ne me fais pas d'illusions il n'a jamais été et ne sera jamais de la trempe de ces joueurs là.
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Martin Odegaard, le joueur que l'on scoutait le dernier jour du mercato est devenu avant-hier, face à la Bulgarie, le plus jeune joueur a disputé un match international de l'histoire à 15 ans. Aujourd'hui il serait suivi par le Real, le Barca, Chelsea, Man City, le PSG et bien sur nous-même. Le gamin est plutôt complet techniquement, bonne conduite de balle, bonne vision de jeu, bonne frappe. À 15 ans on est encore loin d'être le joueur que l'on est à 23 ans, ni-même à 19 ans. Il offre de très belles promesses d'avenir. Son année 2014 https://www.youtube.com/watch?v=1RaPhhdOMXc Sa courte prestation face à la Bulgarie (couplée à celle d'un autre joueur que l'on connait bien, Daehli, qui est vraiment pas mauvais pour le coup.) www.youtube.com/watch?v=CJWH0XDX328
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C'est pas ce petit bidon qui va le ralentir. Mis-à-part ça, il est pas gras, il m'a même l'air plutôt affûté. Quel joueur c'était quand même, un des meilleurs 8 du monde. J'espère qu'il retrouvera son niveau.
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Matchs amicaux internationaux
Santana a répondu à un(e) sujet de Scholesy dans AUTRES CLUBS ET SÉLECTIONS NATIONALES
C'était pour rigoler, t'énerves pas -
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Santana a répondu à un(e) sujet de Scholesy dans AUTRES CLUBS ET SÉLECTIONS NATIONALES
J'ai remarqué la même chose lors de la finale de la CDM. Après c'est vrai qu'il doit vouloir se préserver, mais il devrait sortir du terrain. L'Argentine joue moins bien avec lui. Le mec joue en mode seigneur depuis un moment, ce qui est dommage connaissant son véritable niveau de jeu. Il nous fait une Rooney tout simplement. Et sinon, Marvin sur ce match son jeu sans ballon offensif est exécrable. Inexistant. J'aimerai savoir du coup que représente la part de la finition dans le jugement que tu portes à Messi. Ne représente-il qu'une fraction au moment de devoir le juger ? Peut-on se satisfaire du match d'un joueur qui n'en b***** pas une si ce n'est une accélération décisive ? N'est-il pas capable de faire beaucoup mieux, sachant qu'on parle du meilleur joueur du monde ? Les équipes dans lesquelles il joue ne seraient-elles pas plus efficaces, ne se créeraient-elles pas plus d'action avec un joueur peut-être moins doué techniquement mais plus remuant et in fine meilleur dans son jeu sans ballon ? La comparaison avec Rooney n'est pas vide de sens. Rooney est un de nos meilleurs joueurs à la finition. Si ce n'est le meilleur. Quitte à être moyen. Si on pourrait jouer mieux sans lui, pourquoi ce ne serait pas le cas pour les équipes dans lesquelles évolue Messi ? -
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Santana a répondu à un(e) sujet de Scholesy dans AUTRES CLUBS ET SÉLECTIONS NATIONALES
Donc son problème est également d'ordre physique ? Comme Rooney quoi, sauf qu'au lieu de tourner à la bière, il tourne aux cocktails hormonaux. Nan, je comprends ce que tu veux dire bien sûr. Mais à partir d'un moment il faut poser la question de son utilité intrinsèque puisqu'un joueur qui bouge plus, plus impliqué sans ballon peut in fine être plus utile collectivement. Messi excelle dans la finition, à l'instar de Rooney mais son inactivité dans la construction peut leur causer plus de problème au moment de se créer des actions. Peut-être qu'ils joueraient infiniment mieux sans lui. Et puis bon, un footballeur pro qui ne court que 4-5 fois dans un match c'est chaud. Il s’entraîne chaque semaine, il devrait quand même être capable de se démarquer, de bouger plus quand ses coéquipiers ont le ballon à défaut de presser parce que sur ce match il ne le fait absolument pas. -
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Santana a répondu à un(e) sujet de Scholesy dans AUTRES CLUBS ET SÉLECTIONS NATIONALES
Nan mais là il faut voir les déplacements sans ballon de Messi. Pas compliqué ils sont inexistants, quand le Brésil a la balle ou quand l'Argentine a la balle, Messi trottine. Il n'accélère que quand il a le ballon. Sur la dernière action, il prend le ballon au 35 mètres, il accélère sur 3 mètres il la passe et continue l'action en trottinant quand tout le reste de l'équipe est en situation d'attaque. Ça pique les yeux. D'ailleurs cela m'étonne que toi, Marvin, qui d'habitude y accorde beaucoup d'importance ne l'ai pas remarqué. Tu penses sincèrement que c'est une consigne quand on connait l'importance du jeu sans ballon ? Même quand c'est l'Argentine qui a la balle ? Sur ton échelle, il est pire que Rooney là. -
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Santana a répondu à un(e) sujet de Scholesy dans AUTRES CLUBS ET SÉLECTIONS NATIONALES
C'est une consigne de m**** alors. C'était le cas pendant la finale de la Coupe du Monde, L'Allemagne contrôlait le match faute de pressing sur leurs premiers relanceurs. Le fait d'avoir un joueur qui trottine 95% du match, peu importe qui il est, leur fait plus de mal que de bien. Je le répète, Messi en Argentine c'est un Rooney bis. Déphasé collectivement, moyen à la construction, excellent à la finition. Edit : moyen à la finition aussi visiblement. -
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Santana a répondu à un(e) sujet de Scholesy dans AUTRES CLUBS ET SÉLECTIONS NATIONALES
Messi ce randonneur. J'en reviens pas, comment peut-on voir un adversaire se lancer à 2 mètres de toi et ne même pas amorcer une bribe de pressing ? C'est chaud de s'en battre les couilles à ce point, qu'importe les consignes, qu'importe l'enjeu du match. L’Argentine a déjà Angel en tant qu’accélérateur, qui en plus défend et participe à la construction. Messi n'améliore pas cette équipe, si ce n'est à la finition. Il se serait pas fait des implants capillaires récemment ? -
https://www.youtube.com/watch?v=ConQKyYK8IU
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Squawka. Ici je fais une comparaison avec Aguero, Lewa, Benzema et Suarez. Y'a pas les stats de contrôles réussis mais y'a celle des passes, de son jeu défensif...
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Ahah en même temps c'était cramé que c'était toi qui avait ajouté Iturraspe, tu t'es trompé dans l'orthographe de son nom.
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Isco, les mecs, Isco pour qui c'est vraisemblablement bouché au Real. Quel talent. J'en rêve depuis deux ans. Techniquement, je le mets dans le top 10 du football actuel. À part Iniesta, Messi, Neymar, David Silva, Hazard, Gotze peut-être, je vois pas beaucoup de joueurs aussi doués que lui dans ce registre. https://www.youtube.com/watch?v=25MlIufsNJQ
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Je ne vois pas en quoi je suis un fanboy OLH. Très honnêtement j'ai dit que Mata n'était pas au niveau plusieurs fois. Par contre, j'ai le droit de lui trouver des qualités à exploiter et d'apprécier son profil en tant que joueur sans être qualifié ainsi. Totalement subjectif, oui peut-être, surement même, mais absolument pas fanboy. J'aime le joueur, j'aime le personnage, cela entre en compte dans mon jugement et je le crie haut et fort. Mais moi non plus je ne me satisfaits pas de son début de saison, moi aussi je lui trouve des carences, je suis conscient et critique vis-à-vis de lui. Surtout quand je pense qu'il peut/doit faire beaucoup mieux. Pour ce qui est du 10, moi je le vois ainsi. Il existe plusieurs profils de 10 au final. Mata est le type de joueur qui peut exceller dans les 30 derniers mètres. Il n'a pas un énorme volume de jeu, physiquement il est plutôt frêle. Mais il a largement de qualités techniques pour compenser cela. Sinon pour ce qui est du qualificatif travailleur, je ne parlais pas d'un joueur qui va au charbon, qui se bagarre sur le terrain, qui met beaucoup d’énergie à défendre. Je parle plutôt d'un joueur irréprochable dans son comportement, professionnel. Mata ne se blesse jamais, il doit surement avoir un style de vie irréprochable. Enfin pour ce qui est de mobile, je ne vois pas en quoi c'est concomitant au fait d'aller au duel. Fellaini qui va au duel, est mobile selon toi ? J'aime beaucoup tes posts aussi OLH mais là tu t'égares un peu. Balle au pied, il n'est pas mobile, en effet. Mais j'ai l'impression que c'est moral plus que physique. Un joueur qui a confiance en son jeu, c'est un joueur qui ne perd pas de temps à prendre une décision, à tergiverser comme c'est le cas sur cette fameuse passe de Di Maria. C'est d'ailleurs pourquoi je trouve que la comparaison entre Mata et Rooney est selon moi impertinente. Rooney est lent car il pêche physiquement, mais moralement le type est au top dans sa tête. https://www.youtube.com/watch?v=zwTEV0-F2zU
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Le Mata de Chelsea colle la volée directe sur le centre de Di Maria. Je suis maintenant convaincu qu'il n'est pas au top mentalement. Surement depuis ce que lui a fait Mourinho. Mais j'ai envie d'y croire, je suis convaincu que Mata a un avenir chez nous. Je veux qu'il fasse mieux que ça. C'est un joueur technique, mobile, travailleur, intelligent sur et en dehors du terrain. Je ne vois pas comment on ne peut pas l'aimer. Il représente tout ce que j'aime dans le football. Il a les qualités pour être un meneur plus influent. Il doit s'imposer, être plus efficace dans ses prises de balles, plus sur de ce qu'il va faire avec le ballon. Bouger plus vite, avec plus de convictions et arrêter de se placer constamment trop haut sur le terrain. Mais personne ne me fera croire qu'on s'est fait carotte par Chelsea sur cette affaire. Mata est un joueur sublime, il doit se reprendre en main, mais il a les qualités pour être le meilleur 10 de la PL.
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Le telegraph balance que le propriétaire de Monaco a déjà essayé et qu'il aimerait toujours faire signer Wayne Rooney. Il aurait même dit "on va l'avoir" en parlant de probables négociations futures. www.telegraph.co.uk/sport/football/players/wayne-rooney/11144856/Monaco-drop-largest-hint-yet-that-they-are-determined-to-take-Manchester-United-captain-Wayne-Rooney-to-France.html
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Je trouve beaucoup de gens très critiques personnellement. Everton nous fait ch*** comme pas possible depuis quelques années maintenant. Aujourd'hui ils n'ont pratiquement pas existé avant la sortie de Valencia. Leur milieu de terrain était à la rue, à chaque tentative de contre-attaque on les interceptait sans aucun problème. En ce sens, j'ai trouvé notre prestation défensive bien meilleure que les précédentes. Bonne organisation, bon pressing, les Tofees ne sont pas mauvais offensivement. Ils en collent 3 à Chelsea. Pourtant face à nous mis à part le penalty et l'action du but qu'ont ils fait d'autre avant notre fin de match poussive ? Mention spéciale à Shaw et à Rafael qui sont pour l'instant nos valeurs sures en défense. Bon match de Rojo même si Lukaku n'a pas essayé une seule seconde de s'approcher de lui tellement il faisait dans son froc. La tactique de Martinez était bien évidemment d'insister sur McNair mais ce dernier s'est bien débrouillé. Blind fait un bon match, Valencia aussi, surtout Valencia en fait que je pensais perdu. Offensivement on était en déca par contre. Falcao malgré son but a été moins bon selon moi. Il a raté beaucoup de choses. Mata ne fait pas un match excellent même si techniquement il fait un bon match. Il n'est clairement pas assez influent mais j'y peux rien j'aime ce joueur, je sais qu'il a des qualités à exploiter, il n'est clairement pas à 100% moralement depuis Chelsea mais je crois à un retour au premier plan. Van Persie, toujours les mêmes problématiques, je le trouve lent en ce moment, il casse beaucoup d'actions de cette manière. Bon ça reste RVP, il est un joueur techniquement supérieur mais on se doit d'attendre plus de sa part, de la même manière que Rooney. Di Maria, bien sur le meilleur joueur mais trop de déchet, trop d’entêtement inutile sur certaines phases. Il doit gagner en intelligence de jeu pour devenir le meilleur joueur du monde. Enfin voilà, toujours les mêmes problèmes au moment de devoir gérer le match. Mais je suis satisfait de ce premier vrai test face à une équipe qui pose des problèmes à tous les gros du championnat. On les a bouffé sur la majeure partie du match. De Gea nous sauve sur la fin, mais dans le fond la victoire est méritée. Offensivement, on ne joue pas bien mais on gagne. Van Gaal a raison quand il sous-entend qu'on sera inarrêtable une fois tous les petits problèmes réglés, les automatismes en place et l'équipe plus complète. Cette équipe a un potentiel monstrueux et gagne en confiance. D'ici quelques mois si la progression continue dans ce sens, le rouleau compresseur sera totalement relancé. Sinon y'en a encore qui osent nier l'effet LVG. Avec Moyes, Everton nous explose lors de notre dernier match face à eux. Son coaching a été mauvais mais dans le fond les changements sont considérables