Aller au contenu

Messages recommandés

Un bon thriller à conseiller ?

 

Memento, un classique.

Shutter Island.

Vanilla sky.

L'Effet Papillon.

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Hé ben je vais me faire dans la ligne de mire alors parce-que ceux que tu as proposé best, je les ai déjà tous vu, thanks en tout cas ;)

"En 1969, j'ai arrêté les femmes et l'alcool. Ca a été les 20 minutes les plus dures de ma vie" George Best.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Insomnia aussi, une tuerie.

 

Bof, l'un des films de Nolan que j'aime le moins même si le duo Williams/Al Pacino marche bien. Pour moi, dans un bon thriller le suspens doit être à son comble, ce qui n'est pas vraiment le cas dans Insomnia. Un bon film, ni plus ni moins.

U-N-I-T-E-D, United are the team for me

 

 

"Het is niet echt de vraag OF we het WK 2014 winnen, de vraag is eerder: met hoeveel doelpunten verschil winnen we de finale?" De Motivees/Les Motivées

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

 

Bof, l'un des films de Nolan que j'aime le moins même si le duo Williams/Al Pacino marche bien. Pour moi, dans un bon thriller le suspens doit être à son comble, ce qui n'est pas vraiment le cas dans Insomnia. Un bon film, ni plus ni moins.

:o C'est juste un des meilleurs thrillers que j'ai vu.. L'ambiance est énorme, comme t'as dit les acteurs au top, et l'histoire te tient en haleine jusqu'au bout.

YES SIR!

tumblr_m2uiifj6yd1qez8rro1_500.gif

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Insomnia, c'est l'histoire avec un détective qui enquête sur un meurtre en Alaska ?

Si c'est celui là, je l'ai vu il y a pas mal de temps donc je m'en souviens pas vraiment, mais j'avais apprécié il me semble.

 

Pour ce qui est de Nolan, essayez de voir le film qui l'a fait connaître, réalisé avec un budget de tout juste 6000€, Following.

  • J'aime 1

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

De mon côté je trouve que ses meilleurs films sont ceux qui restent assez sobres (Following, Memento et Insomnia). Pour les Batman et Inception, j'ai eu beaucoup de mal, trop tape à l'oeil pour moi j'imagine.

Le Prestige est un bon thriller aussi, même s'il s'encombre de quelques longueurs...

 

Sinon je suis en train de regarder Blood Diamond en ce moment même - que je devais voir depuis cinq ans - et franchement c'est du tout bon. (Leo encore au top, comme d'hab').

Modifié par Best_07

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

:o C'est juste un des meilleurs thrillers que j'ai vu.. L'ambiance est énorme, comme t'as dit les acteurs au top, et l'histoire te tient en haleine jusqu'au bout.

 

Ah non, mais j'ai tout de même bien aimé, seulement c'est pas LE film de la filmographie de Nolan que je retiens. Déjà, je dois dire que Nolan est un cinéaste qui m'enchante vraiment, je dois dire que je n'ai jamais été déçu par l'un de ses films. Ce que je reproche à Insomnia, comme je l'ai dis plus haut, c'est cette "faiblesse" au niveau du suspens. Soit j'ai un esprit cinématographique assez bien développé, soit j'étais plein mort quand je l'ai vu (mais il me semble que non), mais j'ai pas été tenu "en haleine" jusqu'au bout. Déjà, Al découvre trop vite l'homme qui se cache derrière tout ça, ok c'est voulu - pour le bon déroulement de l'intrigue -, mais je trouve ça trop prématuré: et c'est essentiellement ce que je reproche au film. D'habitude, je suis complètement plongé dans les films de Nolan, mais ici, les dernières scènes m'ont parues longues et courues d'avance. À la moitié du film, t'as compris comment ça allait se finir quoi...

 

À coté de ça, rien à dire. La performance des acteures est parfaite, les décors/l'ambiance est prenante, c'est le suspens, en lui-même, qui m'a un peu déçu. Niveau intrigue, j'ai préféré Memento, The prestige, Inception (oui oui, la fin, d'après mon inteprétation, remet toute l'intrigue en question). Après, ça reste tout de même un très bon film. :)

Modifié par T2S

U-N-I-T-E-D, United are the team for me

 

 

"Het is niet echt de vraag OF we het WK 2014 winnen, de vraag is eerder: met hoeveel doelpunten verschil winnen we de finale?" De Motivees/Les Motivées

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Enfin Le Prestige tout le mérite revient quand même à l'écrivain du bouquin, hein. ^^

Mérite scénaristique j'entends.

 

PS: Blood Diamond, un pur chef d'oeuvre, première fois que je vois un film de 2h30 qui n'a aucunes longueurs (peut-être un peu sur la fin, mais je ne trouve pas ça "lourd", au contraire). C'est dans un genre similaire à La Cité de Dieu d'ailleurs, avec toute la touche américaine en plus. Du grand art.

Modifié par Best_07

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Essaie The Big Lebowski si tu l'as pas déjà vu. ;)

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Paranoiak est cool, il mêle un peu tous les genres. Mais c'est le type de films qui t'aère l'esprit à la perfection.

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

99 Francs ?

Girl Next Door ?

The Faculty ?

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

J'ai matté In the Line of Fire, p***** c'est excellent ! Certaines scènes sont cultes ! Malkovich est énorme !

 

 

"You have a rendezvous with my ass, motherfucker !" :D

U-N-I-T-E-D, United are the team for me

 

 

"Het is niet echt de vraag OF we het WK 2014 winnen, de vraag is eerder: met hoeveel doelpunten verschil winnen we de finale?" De Motivees/Les Motivées

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

blooddiamonddvd.jpg

 

Blood Diamond pourrait aisément se résumer à une claque monumentale de 2h30, aussi bien d'un point de vue cinématographique que politique. Edward Zwick traite d'un sujet profondément difficile à mettre en place à l'écran, et il se doit de le traiter à travers divers points de vue, pour ne pas tomber dans une linéarité dérangeante. Chacun des personnages incorporés à l'histoire reflètent donc des partis uniques, qui cohabitent les uns avec les autres dans une immense cacophonie. L'étude devant être détaillée avec précision et devant jouer sur divers tableaux pour concerner le spectateur, la durée du film s'en retrouve parfaitement justifiée. Cette longueur, tant filmique que profilmique, permet de prolonger l'immersion dans cet "autre monde" de longues heures après la fin du générique.

 

C'est dans un cadre africain aux paysages somptueux que l'action va se dérouler. Paysages nettement mis en valeur par une réalisation qui mêle la propreté des décors à l'atrocité des hommes avec brio. Le contraste de l'enfer paradisiaque se retrouve tout au long du film, et donne, par l'intermédiaire d'une bande-son d'ambiance, tout l'aspect tragique de telles conditions de vie. Très proche dans son exploitation de l'environnement de La Cité de Dieu (Brésil), cela nous fait prendre encore plus conscience du gâchis des hommes et de notre incapacité flagrante à vivre les uns avec les autres. Sensation de dépit qui va être renforcée au fil des minutes, grâce ou à cause de l'impact des personnages. Le trio de circonstances qui se retrouvera lié par un même objectif, va faire naître des émotions marquantes.

 

Un trafiquant de diamants, dont le cynisme ressort à chacune de ses paroles, et dont le passé défini l'homme qu'il est, est interprété par Leonardo DiCpatrio, qui se révèle encore une fois irréprochable à l'écran. Pour l'accompagner, il y a ce père de famille, personnage le plus touchant du long-métrage, qui n'aura qu'une idée en tête : Retrouver son fils, capturé et rééduqué par les révolutionnaires. Et enfin, pour servir de liant entre les deux, cette journaliste aux idées humanistes, qui ne vit que pour défendre ce qui est juste, et qui jouera un rôle prépondérant dans l'histoire, à travers sa relation complexe avec Leo. Cette aventure les conduira à faire face à diverses épreuves, qui mettront en scène et dévoileront les conditions que subissent ces pays d'Afrique, ignorés par le reste du monde. De nombreuses scènes poignantes se doivent donc d'accompagner le tout, marquants avec force la frontière qui semble les séparer du reste du monde, ainsi que le pessimisme qui se dégage de telles situations. Chaque personnage du film, hormis la journaliste et le père de famille, semblent accepter un destin qui se veut fataliste, comme résolus à vivre de souffrances.

 

Plus l'histoire se densifie et entre encore plus en profondeur dans les conditions de vie de ces peuples, plus le rythme va devenir accéléré, dynamisant les images pour donner une impression de confusion, qui symbolise toute l'incertitude du moment présent que peuvent vivre les personnages. Comme si leurs vies ne tenaient toujours qu'à un fil, nous voyons ainsi de très prêt la mort, la tristesse, la cruauté. De si près même qu'elle nous apparait presque "commune". On en revient à cette impression de fatalité, la mort devient notre quotidien et fait figure de seul échappatoire à ce continent ravagé.

 

Les différents groupes de personnes, avec leurs objectifs et leur égoïsme, font office de seules éducations pour des enfants qui se retrouvent perdus. Ils ne savent plus ce qu'est la vie, ce qui est bien, ce qui est mal, ce sont de véritables jouets de guerre, réduits à un état qui les déshumanise totalement. Plus rien ne trouve une logique, le sens même des actions et des images se perd, laissant pour seule impression un dégout profond de ce que nous sommes capables de faire, de nous faire, les uns aux autres. On en vient même à se demander : "Est-ce cela l'humanité, en fin de compte ?".

 

C'est la question à laquelle vont tenter de répondre les protagonistes, pourquoi vivre, pourquoi espérer, pourquoi vouloir changer les choses ? Le temps passe et la logique revient finalement au galop, retrouvant ses droits, tout comme le désir d'espérer, même quand cela semble perdu d'avance. Il est donc évident que politiquement, grâce à une exploitation parfaite des évènements et des personnages, l'histoire marque et remplit son contrat. Elle s'épargne même quelques baisers et "I love you" inopportuns, qui auraient sacrément saccadés le rythme et l'atmosphère du film, je l'en remercie.

 

Blood Diamond se dévoile donc comme un concentré d'intelligence. La capacité de Zwick à livrer un film qui regroupe tout ce que le public en attend (actions, romance, suspens...) et qui aurait donc pu partir dans un divertissement de bas étage, est toujours rattrapé par un désir artistique et politique, qui mêle la poésie à la souffrance, pour devenir plus qu'une simple expérience cinématographique, mais une expérience de vie. La tension et l'émotion ne cessent de progresser au fur et à mesure de l'aventure, les personnages gagnant en impact et en cohérence grâce à des acteurs qui entrent parfaitement dans leurs registres. L'impression de justesse qui se dégage de ce film concerne à peu près tous les domaines qu'il propose, et le tout s'en retrouve donc purifié, le rendant incomparable dans sa puissance émotionnelle. Quand le générique apparait, nous ne pouvons qu'apprécier le chef d'oeuvre tel qu'il est, et rester dans une admiration silencieuse et respectueuse. This is Africa.

Je suis un moi-même préfabriqué, je suis une aberration. Un être non-contingent. Ma personnalité est une ébauche informe, mon opiniâtre absence profonde de cœur. Il y a longtemps que la conscience, la pitié, l'espoir m'ont quitté, s'ils ont jamais existé.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ce film est une daube propagandiste infâme, j'ai failli dégueuler lors de la scène finale à l'ONU. Alors je dis pas, c'est bien filmé, ça en jette, c'est très pro, bien commercial. Mais que des clichés, tout est prévisible 10km à l'avance et politiquement franchement... c'est juste ignoble quoi, la propagande impériale dans ses oeuvres. Ils savent s'y prendre les enf*****.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
×
×
  • Créer...