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Actualités des clubs européens


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Zizou suspendus de banc pendant 3 mois!! Il aura plus de temps pour préparer l'EDD.

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"El tipo puede cambiar de todo. De cara, de casa, de familia, de novia, de religión, de dios. Pero hay una cosa que no puede cambiar Benjamín. No puede cambiar de pasión" - Sandoval

"Football is a whole skill to itself. A whole world. A whole universe to itself. Me love it because you have to be skillful to play it! Freedom! Football is freedom.” – Bob Marley

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C'est incroyable ce qui ce passe pour Zidane. Je crois que la pratique de l'entraineur adjoint diplômé est assez courante en Espagne. Si il était qu'un simple entraineur inconnu, il n'aurait pas eu ce problème ! Autre soucis, c'est que Zidane passe bien son diplôme d'entraineur mais en France . Ce dernier dure 3 ans ( Il lui reste pas beaucoup pour terminer), alors que le diplôme espagnole ne dure que ... 3 mois.

 

Je sais pas si il pouvait passer le diplôme espagnole, alors qu'il est entrain de terminer sa formation française.

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ses diplômes d'entraineur mais en France qui dure 3 ans ( Il lui reste pas beaucoup pour terminer), alors que le diplôme espagnole ne dure que ... 3 mois.

C'est incroyable ça, vu le niveau des entraîneurs en France et de ceux en Espagne. Même au niveau des entraîneurs jeunes :o


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C'est incroyable ça, vu le niveau des entraîneurs en France et de ceux en Espagne. Même au niveau des entraîneurs jeunes :o

 

Tu trouves que le niveau des entraineurs en France est mauvais ?

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Tu trouve que le niveau des entraineurs en France est mauvais ?

Oui incroyablement mauvais même. Terriblement pitoyable si tu veux mon avis. De Roland Tournevis en passant par René betonneur Girard, il y a pas mal de mauvaise graine.

Après il y en a des bons hein, je ne mets pas tout le monde dans le même sac, mais globalement c'est très médiocre. Attends, rien qu'à voir ce que fait Bielsa (bon lui c'est un des tout meilleur certes), avec l'OM. Mais le gouffre dans le jeu qu'il y a, et cela en 3 mois. C'est juste dingue. Ca montre l'incompétence énorme d'un type comme Baup ou autre.

Il n'y a qu'à voir le manque d'imagination tactique des équipes de L1 pour se dire qu'il y a un vrai problème.


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Après la formation ça fait pas tout pour un coach, il y a tellement de choses... je dirai même que la formation "générale" doit être le truc le plus inutile pour eux

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Oui incroyablement mauvais même. Terriblement pitoyable si tu veux mon avis. De Roland Tournevis en passant par René betonneur Girard, il y a pas mal de mauvaise graine.

Après il y en a des bons hein, je ne mets pas tout le monde dans le même sac, mais globalement c'est très médiocre. Attends, rien qu'à voir ce que fait Bielsa (bon lui c'est un des tout meilleur certes), avec l'OM. Mais le gouffre dans le jeu qu'il y a, et cela en 3 mois. C'est juste dingue. Ca montre l'incompétence énorme d'un type comme Baup ou autre.

Il n'y a qu'à voir le manque d'imagination tactique des équipes de L1 pour se dire qu'il y a un vrai problème.

 

Mais de grands entraineurs espagnoles, il n'y en a pas des masses non plus. Tu trouvera un ou deux catalans, quelques basques ( :P;) ) et ça s’arrête là. La faiblesse du championnat Français, n'est pas due qu'aux entraineurs.

Après la formation ça fait pas tout pour un coach, il y a tellement de choses... je dirai même que la formation "générale" doit être le truc le plus inutile pour eux

 

On peut le dire sans rougir que c'est un métier qui s'apprend fièrement sur le tas.

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Mais de grands entraineurs espagnoles, il n'y en a pas des masses non plus. Tu trouvera un ou deux catalans, quelques basques ( :P;) ) et ça s’arrête là. La faiblesse du championnat Français, n'est pas due qu'aux entraineurs.

 

Guardiola, Valverde, Emery, Lopetegui, Martinez pour ceux qui ont des clubs importants, derrière t'as des Paco Jemez, Javi Gracia par exemple qui font du très bon boulot.

Bon ok, je t'ai balancé 4 basques et 2 catalans là. :D C'est ceux qui viennent le plus vite, il y en a surement d'autres qui font/ont fait du bon taf, et tout ça c'est en ce moment évidemment.

Tu regardes les français après qui produisent du foot attrayant, je saurais pas en citer beaucoup (Montanier, Garcia comme cité au dessus déjà, c'est sur).

 

Edit : Pepe Mel, Benitez, Luis Enrique, Del Bosque..

Modifié par Pep Guardiola
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Guardiola, Valverde, Emery, Lopetegui, Martinez pour ceux qui ont des clubs importants, derrière t'as des Paco Jemez, Javi Gracia par exemple qui font du très bon boulot.

Bon ok, je t'ai balancé 4 basques et 2 catalans là. :D C'est ceux qui viennent le plus vite, il y en a surement d'autres qui font/ont fait du bon taf, et tout ça c'est en ce moment évidemment.

Tu regardes les français après qui produisent du foot attrayant, je saurais pas en citer beaucoup (Montanier, Garcia comme cité au dessus déjà, c'est sur).

 

Edit : Pepe Mel, Benitez, Luis Enrique, Del Bosque..

 

Moi j'ai jamais trouvé les coachs espagnoles spécialement meilleurs que les coachs Français. Après il est vrai qu'il y a certains cracks qui méritent d'être cités et qui constituent l'arbre indépendantiste qui cache une simple forêt pas moisie mais pas exceptionnelle non plus.

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L’attaquant de l’Atlético Madrid, Mario Mandzukic, a gardé une rancœur notable à l’égard de Pep Guardiola, qu’il a côtoyé la saison dernière au Bayern. Dans les colonnes de Sportske Novosti, le Croate de 28 ans n’a pas mâché ses mots à l’égard du technicien espagnol, affirmant même qu’il n’était pas le seul à le réprouver dans le vestiaire bavarois : « Guardiola m’a déçu. Il ne m’a pas traité avec respect. Il ne m’a pas laissé être meilleur buteur de Bundesliga. Tout se passait beaucoup mieux avec Jupp Heynckes et je ne suis pas le seul de cet avis. Je ne méritais pas d’être traité comme ça après avoir tout donné pendant deux saisons. J’ai senti que les choses changeaient quand il est arrivé. J’ai tenté de m’adapter mais les deux parties doivent aller dans le même sens pour obtenir le succès. J’ai réalisé qu’il n’y avait pas d’avenir pour moi au Bayern, je me suis résigné à partir et j’ai choisi un autre club. Il ne m’a pas laissé jouer la finale de la Coupe, et il ne voulait pas que je sois meilleur buteur, je n’ai donc pas joué la fin de saison. Ce n’est pas très important, mais cela montre son manque de respect à mon égard. » En 10 rencontres, Mandzukic a inscrit 5 buts avec l’Atlético cette saison.

 

On avait les hommes et les semi-homme... maintenant on a trouvé encore plus pathétique : le sous homme en la personne de Pep Guardiola.

 

 

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Pep Guardiola - Écoute Mario, je ne t'aime pas. Tu vas jouer 2/3 de la saison, mais pas les matchs les plus importants. Je ne veux pas que tu sois le meilleur buteur de Bundesliga, car je veux que Lewandowski le soit pour qu'il m'aime bien dès cette année. Tu comprends ?

Mata is Free

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Les après-matchs de Pep

 

Tout juste après avoir répondu aux médias, Guardiola se rend à la cantine des joueurs de l'Allianz Arena, prend un verre de champagne et quelques cubes de parmesan, et passe la demi-heure qui suit à parler du match.

 

Habituellement, il reste debout ; de temps à autre il s’assied à l’une des tables. Mais, bien qu’il n’ait rien mangé de la journée, il est tout sauf prêt à dîner. Une fois que le match se termine, il éprouve une faim vorace mais n’est pas encore dans la bonne disposition d’esprit pour se relaxer et manger ce plat de saumon mariné qu’il aime tant. D’abord, il a besoin d’au moins 30 minutes pour écouler l’adrénaline accumulée pas seulement durant le match, mais pendant les jours précédents. Alors il s’y met. Il parle presque sans interruption de tout ce qui s’est passé pendant le match. Tout est resté gravé dans sa mémoire. « As-tu vu ce que Rafinha a fait à la 18e minute? Il est rentré de deux mètres vers l’intérieur et a coupé le canal par lequel ils se précipitaient pour nous attaquer. »

 

Non, je n’avais rien remarqué de tout ça. Pep est doté d’une mémoire quasiment photographique qui lui permet de se remémorer et analyser tout ce qui s’est produit durant le match. En ce sens il ressemble à Rafael Nadal, star de tennis capable de se rappeler de chaque coup de raquette, chaque point de ses matchs, son niveau de domination, ou l’erreur que lui ou son adversaire a commise, et quel moment fut le plus significatif. Et tout ça reste en lui longtemps après la fin du match. De manière similaire, Pep se remémore chaque mouvement : comment il s’est développé, ce qu’il s’est réellement passé, quels joueurs sont impliqués et quelles étaient les conséquences. D’un autre côté, il n’accorde aucune attention aux statistiques.

 

« Vous n’aviez pas tellement de possession, seulement 63% », lui dis-je.

 

« Vraiment ? Wow. »

 

« Mais Starke a touché plus de ballons que n’importe lequel des joueurs de Hoffenheim »

 

« Wow. Pas possible. C’est vraiment bien. »

 

Les statistiques ne l’excitent pas. Ce qui le passionne, c’est le jeu lui-même et son analyse post-match.

 

« As-tu vu à quel point Philipp [Lahm] est intelligent ? Comment le gars pivote et protège la possession tout en splittant l’opposition ? »

 

« Je dois parler à Kroos parce que contre Manchester United, il ne sera certainement pas capable d’essayer ce geste où il contrôle et se tourne vers la droite, parce qu’ils anticiperont, lui chiperont le ballon et lanceront une contre-attaque. »

 

Il appelle Planchart à l’autre bout de la table : “Carles, demain matin tu m’apporteras une vidéo de la 36e minute, ce truc don’t tu m’as parlé. Je veux montrer à l’arrière central comment mieux se positionner. »

 

Pendant cette extraordinaire demi-heure, debout dans son coin de la cantine, gesticulant sauvagement comme s’il était encore en plein match, Pep reproduit l’essentiel de la partie qui a eu lieu. Il la dissèque, comme s’il pratiquait une autopsie. Le squelette est retiré de chaque muscle et tendon. Il analyse ses joueurs, l’opposition, chaque phase du jeu, chaque mouvement important. Il passe en revue les goals inscrits, ce qui implique qu’il se remémore exactement comment le mouvement est parti, le pistant jusqu’au moment où la balle est rentrée.

 

Ensuite ses pensées se tournent vers les autres matchs. Pendant qu’il se joue encore ce replay du match, il commence à expliquer comment sera le prochain, comment il entraînera l’équipe pendant la semaine, qui sera mis au repos – et il se mettra d’accord avec Torrent qu’avant le prochain match, ils devront travailler une combinaison spécifique au coup franc. Il y a alors une accolade pour Robben, qui est venu le saluer avec ses enfants. Pep rappelle au Néerlandais son petit geste vif du pied droit dix minutes avant la fin, et lui dit de « le faire plus souvent ».

 

Quelques secondes plus tard, il encense le travail du coach du Red Bull Salzburg, Roger Schmmidts, et décortique la façon dont les champions d’Autriche jouent. Comment les attaquants pressent, comment les défenseurs montent et comment les milieux offensifs gagnent du terrain. Il explique tout cela avec tellement de détail qu’on croirait qu’il joue Salzburg le lendemain, et je me demande pourquoi il a dérivé comme ça.

 

Mais c’est Pep, et deux minutes plus tard il change de sujet et parle de la manière avec laquelle Andrés Iniesta dépose la balle par-dessus les deux arrière-centraux, les forçant à se retourner pendant ce Barça-Espanyol plus tôt dans la soirée.

 

« Mais quand as-tu vu ce mouvement ? », je lui demande.

 

« Quand j’attendais dans le hall. Andrés est une merveille, c’est un génie. »

 

C’est Pep tel qu’il est le plus passionné, et c’est une joie d’être à ses côtés. Cette demi-heure de champagne et de fromage illustre sa passion du football, mais est aussi une leçon de clairvoyance et de pragmatisme.

 

http://www.theguardian.com/football/2014/oct/15/pep-guardiola-bayern-munich-pep-confidential-book-marti-perarnau

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