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AC Ajaccio 1-1 MHSC

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Pour le compte de la 8e journée de L1, le MHSC se déplaçait ce dimanche en fin d'après-midi chez l'ACA et les joueurs de Jean Fernandez ont obtenu le nul 1-1. Dominés lors de l’entame de cette rencontre, ce sont pourtant les Montpelliérains qui allaient ouvrir le score dès leur première occasion de but. Sur un tir de Sanson repoussé par la défense vers Cabella côté gauche, le centre de ce dernier trouvait Camara dont la reprise était sortie de la main par un défenseur corse. Double peine : expulsion et penalty que se chargeait de transformer le N°10 pailladin alors qu’Ochoa était parti du bon côté (0-1, 9e). Réduits à 10, les Corses ne baissaient pourtant pas les bras, et pour preuve ce coup franc de Cavalli qui trouvait la tête de Zubar allant s’écraser sur la barre transversale des cages de Geoffrey Jourdren (12e). Une alerte sans frais, pour l’instant… Les Pailladins manquaient de faire le break deux minutes plus tard quand Sanson, lancé dans la profondeur par Cabella de la tête, gagnait son duel à l’épaule pour aller se présenter devant Ochoa. Mais le N°20 héraultais tentait de piquer un ballon que le gardien mexicain, qui ne s’était pas couché, déviait hors des cages (14e). Les Ajacciens revenaient à la charge avec une frappe de Lasne depuis les 30 m qui frôlait la lucarne droite de Jourdren (26e). Finalement, sur un nouveau coup-franc du très inspiré Cavalli, c’est Zubar qui allait faire mouche d’une tête au second poteau qui battait Jourdren (1-1, 36e). Dans la minute, Jebbour, qui s’était déjà fait avertir, commettait une faute grossière sur son côté droit à 40 m de ses buts et voyait rouge… (37e). Les Pailladins se retrouvaient alors également à 10. Tellement regrettable ! De 1-0 à 11 contre 10, l’équipe de Jean Fernandez venait de passer à 1-1 à 10 contre 10 en 1 minute…

Lors du second acte, avec ce troisième match en une semaine et les deux équipes avec un joueur de moins sur une pelouse rendue très grasse par les orages de la mi-journée, il ne fallait pas s’attendre à autant d’entrain qu’avant le repos. Il fallait attendre la 65e pour voir El Kaoutari venir annihiler une action de but d’un tacle sur Camara qui allait se présenter seul devant Jourdren. Le MHSC répliquait sur un corner de Mounier qui trouvait la tête d’Hilton au second poteau. Mais le tibia d’Ochoa empêchait les Pailladins d’inscrire leur deuxième but de la soirée (73e). En fin de rencontre, Bakar était tout proche de reprendre de la tête un centre enroulé de Mounier dans le surface (85e) alors que la dernière occasion de but de la rencontre était à mettre à l’actif des locaux : sur un tir puissant de Lasne que déviait Jourdren, ce dernier était contraint à un double arrête spectaculaire après un nouveau tir de Camara(90e). Mais ce dernier était en position de hors-jeu. Encore une déception pour les hommes de Jean Fernandez qui repartent de Corse avec un 5e match nul de rang et ne décollent pas au classement. Avec deux rencontres à domicile à venir contre Lyon et Lille, cela sera l’occasion à n’en pas douter de saisir l’opportunité de le faire ! Nous comptons sur votre soutien pour encourager votre équipe !

MHSC, Louis Nicollin : "Je suis enragé, c'est scandaleux"

Publié le 01/10/2013
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EXCLUSIF MLACTU - VIDEO - Louis Nicollin, le président du MHSC, est en colère. Il ne supporte ni les critiques à répétition sur son entraîneur Jean Fernandez, ni les sifflets dont a fait l'objet son joueur Rémy Cabella au stade de la Mosson lors du match contre Rennes. "Je suis enragé", explique Loulou. "C'est scandaleux", ajoute-t-il. Découvrez l'interview vidéo exclusive de Louis Nicollin, il confie son énervement à Mlactu.

A Montpellier, les critiques fusent de toutes parts. Comme si le début de saison du MHSC était catastrophique. Comme si rien ne fonctionnait. Et surtout comme s'il y avait un véritable décalage entre les objectifs fixés par le président, Louis Nicollin, et les attentes d'une certaines partie du public. Comme si Jean Fernandez n'avait pas le temps de construire son équipe, de mettre en place un projet à long terme. Pourtant, c'est bien ce que lui a demandé le président du MHSC. Quant aux sifflets dont a fait l'objet Rémy Cabella, à l'issue du match nul contre Rennes, ils exaspèrent également Louis Nicollin. Alors voilà, le président du MHSC, est enragé. Et il le dit à Mlactu :

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Avec seulement deux titularisations avec le TFC depuis son arrivée, personne ne connaît encore bien Abel Aguilar. Dans le 20 Minutes, le Colombien s'est présenté et a comparé la Liga et la Ligue 1 :

 

"J'aime manier le ballon. Quand je peux monter, je le fais sans problème. Je me déplace bien et j'ai le sens du placement. J'ai passé six saisons et demie en Espagne (il arrive de l'Hercules Alicante). La Liga est plus technique et les matchs sont plus ouverts. En L1, le jeu est beaucoup plus rapide avec des joueurs plus costauds physiquement."

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Sérieux, bien que timides, les Toulousains se sont finalement inclinés au Parc face à un PSG solide et efficace. Après une série de trois matchs sans défaite, dont une victoire plus que prometteuse à Geoffroy-Guichard, les hommes d’Alain Casanova n’ont pas réussi à transformer leurs occasions.

Dans un schéma identique à celui utilisé à Bastia, soit un 3-5-1-1, le Téfécé a tenu en échec une équipe parisienne remaniée, longtemps orpheline des déplacements entre les lignes de Blaise Matuidi, laissé au repos. Depuis le début de la saison, le pressing toulousain pose des problèmes à chacun de ses adversaires. Face au PSG, Braithwaite avait pour principale mission de gêner la première relance de Marquinhos. Derrière, quatre joueurs bloquaient le milieu de terrain parisien : les relations entre le Brésilien et ses coéquipiers Thiago Motta - Verratti - Rabiot étaient systématiquement contrées par Trejo - Chantôme - Didot et Aguilar (également préoccupé par les décrochages d’Ibrahimovic).

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L’illustration du pressing toulousain voulu par Alain Casanova : Braithwaite gêne la première relance du brésilien (1), les relayeurs Verratti et Motta sont quant à eux pris par Trejo et Didot (2 et 3), Rabiot (remplaçant ici Matuidi) par Aguilar (4). La seule solution vient alors de Van Der Wiel, tout de suite pressé par Sylla (5). Durant les trente premières minutes, ce schéma

est respecté à la lettre, le bloc coulisse bien.

La seule solution parisienne devait venir des côtés. À en constater le nombre de ballons touchés par Maxwell et Van Der Wiel, le plan toulousain fonctionnait parfaitement. Aurier et Sylla pressaient successivement leur adversaire direct, tandis que le bloc toulousain se contentait de coulisser. Steeve Yago, en difficulté dans les premières minutes, parvenait finalement à tenir un Ibrahimovic sevré de ballon, obligé de décrocher pour se montrer. Dans une première période maîtrisée par les Parisiens, les coéquipiers d’Ahamada, bien que très discrets offensivement, ne laissaient aucune opportunité concrète aux hommes de Laurent Blanc.

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Les côtés, seules chances parisiennes, parviennent à faire la différence. Dans leur effort continu de ne laisser aucun espace au milieu de terrain, les quatre milieux toulousains en oublient par moments de venir compenser les dédoublements parisiens. Ici, le une-deux Menez-Maxwell oblige Aurier à commettre une grosse faute. On peut par ailleurs voir Sylla rentrer dans l’axe, symbole d’un bloc qui coulisse parfaitement.

Malgré le sérieux affiché durant les quarante premières minutes, les Toulousains ne résistèrent pas à l’accumulation des approches parisiennes. Trop longtemps acculés dans leur camp, les sorties de balles devenaient de plus en plus compliquées et, après une énième récupération aux vingt mètres, Aguilar commettait la faute de trop. Sans briller, le PSG parvenait à la pause avec un avantage précieux, celui de mener au score face à une équipe qui pouvait se contenter du nul.

En seconde période, la volonté du coach toulousain de rester solide pour conserver l’espoir d’une égalisation paralysa une équipe ayant déjà montré ses qualités de percussion dans le camp adverse. Braithwaite, auteur d’une partie principalement axée sur le pressing, ne réussit pas à convertir les deux occasions obtenues dans la surface adverse. Enfin décidés à ouvrir le jeu, les Violets s’appuyaient principalement sur les montées des latéraux, comme ce fut le cas à Saint Etienne. Sans parvenir à concrétiser ses offensives, Sylla offrait alors des espaces dans son dos. Finalement, alors que les Toulousains pouvaient se mettre à espérer une égalisation dans les vingt dernières minutes, notamment avec les entrées prévues de Regattin et Ben Basat, l’erreur d’arbitrage de Saïd Ennjimi en décidait autrement.

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Sylla, apportant le danger lors de ses incursions dans le camp parisien, se fatigue. Une tentative rapidement amorcée, le piston gauche n’a alors pas le temps de se repositionner pour effectuer le premier pressing. Derrière, Abdennour tente de compenser l’absence de son partenaire, laissant un boulevard dans la profondeur à Cavani. Sur cette action, aucun coupable. Toulouse a échoué, mais a eu le mérite, tardif, de tenter.

Après une offensive du Tèf anéantie, les Parisiens lançaient en deux passes Cavani qui obtenait un penalty plus que litigieux. Le PSG, sans forcer, venait de tuer un match compliqué. Sans avoir brillé, les Toulousains repartent néanmoins avec un regret, celui de ne pas avoir montré leur véritable valeur.

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Frédéric de Saint-Sernin, président de Rennes, parle de Verratti

 

 

Modifié par Gray

On peut dire que vous avez une vision socialiste du football ?

 

Arrigo Sacchi : J'ai une vision correcte d'un sport d'équipe dont l'âme est le jeu. Voilà d'ou je pars.

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J'arrive pas à afficher les stats

 

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Je ne sais pas si Benfica était faible surement mais quel match impressionnant de maitrise en tout cas dans le stade c'était façninat .

 

Motta a touché 160 ballons je crois et Ibra 80.

 

Contre le club portugais, la formation coachée par l’homme à la touillette a fait 880 passes. Comme le révèle Opta, il s’agit de la meilleure performance de la décennie derrière le FC Barcelone. Une sacrée référence.

 

 

Source FM

Modifié par oaziz
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Oui ils ont été impressionnant il n'y a pas à dire.

Je trouve qu'il leur manque de la création offensive mais Benfica n'a eu aucune occasion dangereuse et le PSG a eu quelques très bonnes phases de jeu tout de même.

 

Le deuxième but est évidement sympa mais ça reste le résultat d'un cpa avec une récupération proche de la surface mais le premier but c'est une très belle construction.

 

Cavani est perdu dans cette équipe par contre.

Modifié par mondoudou
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Oui ils ont été impressionnant il n'y a pas à dire.

Je trouve qu'il leur manque de la création offensive mais Benfica n'a eu aucune occasion dangereuse et le PSG a eu quelques très bonnes phases de jeu tout de même.

 

Le deuxième but est évidement sympa mais ça reste le résultat d'un cpa avec une récupération proche de la surface mais le premier but c'est une très belle construction.

 

Cavani est perdu dans cette équipe par contre.

Oui c'est triste pour cavani j'étais au parc et en deuxième il etait juste devant moi dans son couloir errant comme une âme en peine essayant de rentrer dans l'axe .

Bref il plante quand même ça va s'arranger .

Sinon oui des fois ça manque d'ocaz après ils avaient plier le match à 30 minutes et vu le match de dimanche ça a joué à l'économie .

La rentrée de lucas était sympa aussi il a tenté quelques dribles amener un peu de mouvement sur son coté ce que n'arrive pas à faire navetzi :P malgré beaucoup de volonté d'où le manque de création aussi.

 

Par contre VDW est en train de monter en puissance je suis soulagé de ne plus voir Jallet jouer .

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Benfica c'est la déchéance :o

 

Paris n'a pas eu à forcé non plus, hein. C'est quand même un groupe d'un niveau affligeant, rarement vu en LDC. Je pense même que ça va déservir Paris d'être tombé sur un groupe composés que de chèvres assemblées. Ils vont se croire injouable les idiots.


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Benfica c'est la déchéance :o

 

Paris n'a pas eu à forcé non plus, hein. C'est quand même un groupe d'un niveau affligeant, rarement vu en LDC. Je pense même que ça va déservir Paris d'être tombé sur un groupe composés que de chèvres assemblées. Ils vont se croire injouable les idiots.

Je ne pense pas il y a des grands joueurs dans l'équipe ce ne sont pas des minots .

Ca va permettre de faire tourner et surtout à Blanc de mettre en place ce qu'il veut tranquillement .

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Je ne pense pas il y a des grands joueurs dans l'équipe ce ne sont pas des minots .

Ca va permettre de faire tourner et surtout à Blanc de mettre en place ce qu'il veut tranquillement .

 

 

Oui, mais un tel déséquilibre dans le groupe n'est pas forcément très bon, surtout quand Blanc fait encore des choix ultra défensifs. Pourquoi ne pas mettre Rabiot au milieu au lieu de Matuidi contre le Benfica ? Tu affrontes une équipe qui s'est lamentablement inclinée contre une équipe lamentable portugaise ce week-end, et tu es au Parc. Ce n'est pas le moment de bétonner, c'est le moment de faire jouer des joueurs de football, pas des marathoniens avec 36 poumons et aucune technique.

LOL j'ai encore re-re-revu sa passe décisive, quelle honte ce Blaise. Franchement moi j'aurai un peu honte à sa place. Être aussi faible dans une équipe composée de joueur aussi forts, ça doit être vraiment étrange.


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http://www.pariskop.fr/?p=5887&utm_source=dlvr.it&utm_medium=facebook

 

Lucas m'a fait marrer hier il est rentré en mode enflammade ^^


 

 

Oui, mais un tel déséquilibre dans le groupe n'est pas forcément très bon, surtout quand Blanc fait encore des choix ultra défensifs. Pourquoi ne pas mettre Rabiot au milieu au lieu de Matuidi contre le Benfica ? Tu affrontes une équipe qui s'est lamentablement inclinée contre une équipe lamentable portugaise ce week-end, et tu es au Parc. Ce n'est pas le moment de bétonner, c'est le moment de faire jouer des joueurs de football, pas des marathoniens avec 36 poumons et aucune technique.

LOL j'ai encore re-re-revu sa passe décisive, quelle honte ce Blaise. Franchement moi j'aurai un peu honte à sa place. Être aussi faible dans une équipe composée de joueur aussi forts, ça doit être vraiment étrange.

Je comprends ce que tu veux dire mais je pense que LB se méfiait du Benfica avant le match là il a de quoi voir venir face aux belges aller retour .

Pour matuidi il arrive quand même à tirer son épingle du jeu même si je suis d'accord avec ton analyse et en plus il est adoré par toute l'équipe surtout zlatan

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MHSC-OL : le groupe pailladin

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Jean Fernandez, le coach du Montpellier Hérault, a communiqué un groupe de 18 joueurs pour la réception de l'Olympique lyonnais ce dimanche (14h, 9e journée de L1 au stade de L1).

Le groupe du MHSC : Jourdren, Pionnier - Congré, Hilton, Mézague, El Kaoutari, Marveaux - Martin, Dabo, Sanson, Stambouli, Cabella - Mounier, Herrera, Tinhan, Camara, Bakar, Montaño.

Absents : Tiéné, Jebbour (suspendus), Aït-Fana, Deplagne, Bocaly (blessés), Saïhi (retour), Deza, Assoumin, Di Stefano (choix du coach).

Modifié par Moustik!

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Excellent début septembre (notamment contre l'OM où il est à l'origine du but de Wissam Ben Yedder), Oscar Trejo n'a pas convaincu face à Lorient et au PSG. Alain Casanova reconnaît que l'Argentin a besoin de repos :

 

"Il est un peu plus dans le dur. Tout le monde l'a reconnu, c'est un très bon joueur. Maintenant, il lui manque de la puissance et de la justesse dans sa dernière passe pour être au top niveau. Il est desservi par une trop grande envie de bien faire et une trop grande envie de rendre la confiance au club qui a misé sur lui. Il faut qu'il soit beaucoup plus sûr de lui. On est très content de l'avoir et je suis persuadé qu'il va faire une grande saison. Quand il aura vraiment compris ça, il aura moins peur de se tromper dans ses choix. C'est un garçon très intelligent, qui analyse énormément et qui a envie de changer."

 

Comme face à Bordeaux mi-août (1-1), Trejo devrait débuter sur le banc des remplaçants samedi contre Nice. Le trio Aguilar - Didot - Chantôme sera reconduit dans l'axe du milieu de terrain et le duo Braithwaite - Ben Yedder tiendra l'attaque.

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Même si l'image défensive du TFC commence à disparaître, le site Panenka-mag a voulu connaître l'avis d'Alain Casanova sur ce sujet et une semaine-type du côté du centre technique du Stadium :

"Je passe au-dessus de tout cela. Les gens sont conditionnés par certains médias, dont Canal Plus. Nous avons un vrai projet en tête avec une certaine philosophie et une méthodologie de jeu bien particulière. Nous savons précisément où nous voulons aller. Notre programme de la semaine ? En général, le jour de repos est le dimanche. Il faut savoir que le lundi, décompression du week-end oblige, les joueurs ont une faible concentration. Nous nous focalisons donc sur de la possession. Le mardi, davantage sur des espaces réduits. Mercredi, nous passons sur des espaces plus grands. En fin de semaine, nous effectuons une répétition du travail de début de semaine. Là où certains clubs mettent en place deux séances par jour, ce n’est pas le cas du côté de Toulouse. Nous avons une seule séance par jour, mais d’une durée d’une heure et demie."

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Héritier, des Arribas, Vincent, Suaudeau.

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"Oh, Monsieur et maître, la misère est grande. Les fantômes que j'ai conjurés, je ne vais plus pouvoir m'en dépêtrer"

 

Goethe.

 

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Je l'avais déjà mise Andy ;)

 

 

 

@ Alruud, sa femme a de gros problèmes de santé il me semble ... Il ne commente même plus ... Une grosse perte pour le football français mais on doit respecter son choix qui est infiniment respectable.

 

Il devrait être un exemple.

 

 

 

Content pour mes petits nantais qui font un bon début de saison. Le maintien est bien possible.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Et pour mon PJ :

 

 

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Modifié par busbybabe
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Rodrigo-Y-Gabriela.jpg

Le parti politique est l'opium du peuple

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J'ai donc un point commun avec lui, même si ce n'est pas le mieux :(

"Oh, Monsieur et maître, la misère est grande. Les fantômes que j'ai conjurés, je ne vais plus pouvoir m'en dépêtrer"

 

Goethe.

 

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Depuis son arrivée à Toulouse, Martin Braithwaite a déjà séduit tout le monde en inscrivant trois buts et en délivrant une passe décisive (sur six matchs disputés !). interrogé par le très bon site French Football Weekly, l'attaquant danois a présenté aux Anglais le TFC :

 

"Casanova veut faire progresser tout le monde. C'est un entraîneur dévoué et qui travaille dur pour l'équipe. Notre gardien, Ahamada, a été vraiment bon. Je ne savais pas que nous avions un si bon goal. Il est le meilleur de tous les gardiens que j'ai connu. Il m'a surpris. Bien sûr, Chantôme est excellent. J'aime la façon dont il joue. Abdennour est également très bon, tout comme Aurier. Il y a vraiment des joueurs de qualité ici. J'apporte quelque chose de différent à l'équipe : mon énergie et ma volonté de gagner. J'ai un très grand cœur et une mentalité de gagnant. Si je ne gagne pas, je suis vraiment en colère, même à l'entraînement. Je ne suis jamais satisfait d'un match nul."

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Dans un entretien pour L'Equipe, Zlatan Ibrahimovic est revenu sur sa sortie houleuse lors de PSG - TFC (2-0) :

 

"Vous savez combien de coups ce type (Abdennour) m'a donné pendant la rencontre ? (...) Il a joué de façon agressive, il a fait son match, rien à dire. Il a fait tout ce qu'il pouvait pour me bloquer et j'ai fait tout ce que je pouvais pour marquer ou en donner l'opportunité à mes partenaires. OK, vous interprétez mon geste comme une simulation d'une arme à feu, mais ça peut vouloir dire beaucoup de choses. Je peux vous pointer du doigt de la même manière. Je pense qu'il a compris (en parlant de Zebina)."

 

Pour rappel, la Commission de Discipline de la LFP a décidé de convoquer Ibrahimovic pour le jeudi 24 octobre suite à son geste envers le banc toulousain (lire ci-dessous). Il risque une suspension.

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Victoire courte et précieuse. En effet le match n'a pas été d'un grand niveau même si on a pu s'apercevoir que l'on a plutôt bien géré le match après le but grâce notamment à une belle maitrise de la gonfle !!!

 

Petit à petit, on commence à se replacer même si on est encore loin de notre position !!!

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Dans un entretien pour L'Equipe, Zlatan Ibrahimovic est revenu sur sa sortie houleuse lors de PSG - TFC (2-0) :

 

"Vous savez combien de coups ce type (Abdennour) m'a donné pendant la rencontre ? (...) Il a joué de façon agressive, il a fait son match, rien à dire. Il a fait tout ce qu'il pouvait pour me bloquer et j'ai fait tout ce que je pouvais pour marquer ou en donner l'opportunité à mes partenaires. OK, vous interprétez mon geste comme une simulation d'une arme à feu, mais ça peut vouloir dire beaucoup de choses. Je peux vous pointer du doigt de la même manière. Je pense qu'il a compris (en parlant de Zebina)."

 

Pour rappel, la Commission de Discipline de la LFP a décidé de convoquer Ibrahimovic pour le jeudi 24 octobre suite à son geste envers le banc toulousain (lire ci-dessous). Il risque une suspension.

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Avant le coup d'envoi de TFC - Nice, une minute d'applaudissement a été réalisée en hommage à Brice Taton, décédé quasiment quatre ans en arrière jour pour jour à Belgrade. Depuis leur parcage, les supporters de l'OGCN ont gâché ce moment en sifflant, bêtement. Un comportement honteux de leur part qui mériterait une lourde sanction.

 

Les Indians, eux, ont déployé deux banderoles en souvenir de leur ami, avec cette phrase :

"Les années passent, les souvenirs restent."

À l'issue de la rencontre, Alain Casanova a eu une pensée pour Brice :

"Les joueurs et le staff lui dédient cette victoire, ainsi qu'aux supporters. Comme la frange de supporter qui l’a toujours soutenu, nous nous l’avons toujours eu en mémoire aussi."

Même son de cloche du côté d'Etienne Didot en conférence de presse :

"Ce n'était pas un match comme les autres, même si ça reste une rencontre de championnat. C'était important pour les supporters pour saluer la mémoire de Brice. On voulait faire un beau match pour eux et on s'est bien battu. On était fier d'aller vers eux, c'était un hommage à ceux qui nous suivent tout le temps et qui sont là pour nous. On avait envie de faire un gros match pour plusieurs raisons dont celle-ci !"

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Juste après la victoire du TFC face à Nice (1-0), Alain Casanova a analysé cette partie en conférence de presse :

"Il était important de prendre les trois points. J'avais prévenu les joueurs que c'était un petit tournant de la saison. Il fallait confirmer notre redressement en s'imposant. On a eu le contrôle du match en première mi-temps. Nous aurions même pu mener de deux buts. Nous avons un peu plus souffert en seconde face à une équipe qui ne lâche jamais rien. C'est dommage que nous n'ayons pas pu faire le break pour nous éviter une fin de match tendue. Cette équipe prend du plaisir à jouer et elle me donne du plaisir. Il y a encore beaucoup de travail, mais, au moins, on se rapproche de ce qu'on a envie de faire. Petit à petit, les nouveaux trouvent la plénitude de leurs moyens et montrent qu'on a bien fait de les prendre. Il nous faut encore un peu plus de compréhension dans notre de jeu, de la cohésion et de l'homogénéité. (...) Abel Aguilar va repartir au pays pour la sélection et revoir sa fiancée. Ses six points de suture ne sont pas du meilleur effet... (...) On avait envie de dédier cette victoire aux supporteurs et leur dire que nous non plus nous n'avons pas oublié Brice Taton."

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Avant de revenir sur Nice, Claude Puel, l'entraîneur de l'OGCN, est revenu sur la défaite de son équipe contre le TFC (1-0) :

"Je trouve que nous avons fait un bon match, peut-être notre meilleur à l'extérieur depuis le début de la saison. C'est dommage que nous n'ayons pas su exploiter nos bons décalages en première mi-temps. En seconde période, nous avons eu les occasions pour égaliser mais leur gardien (Ali Ahamada) a fait de beaux arrêts. Nous avons manqué d'efficacité."

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MHSC-Olympique Lyonnais : Les échos d'avant-match

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SANS TIÉNÉ NI JEBBOUR. - Jean Fernandez est privé cet après-midi des services de Siaka Tiéné et Yassine Jebbour. Le premier a écopé de 4 matchs de suspension après son expulsion contre Évian et sera de retour pour le déplacement à Bordeaux, le second est automatiquement suspendu après son carton rouge reçu à Ajaccio dimanche dernier.
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CABELLA. - Contre Ajaccio dimanche dernier, Rémy Cabella a transformé son premier penalty en Ligue 1 sur sa première tentative.
CLÉMENT GRENIER. - Le meneur de jeu rhodanien est impliqué dans les 3 derniers buts de l’Olympique Lyonnais face à Montpellier en Ligue 1 (un but, 2 passes décisives).
BÊTE NOIRE. - L’OL est l’équipe qui a infligé le plus de défaites au MHSC depuis le retour du club dans l’élite en 2009/10 (6). Lyon est la dernière équipe à avoir battu le MHSC à La Mosson en L1 (1-2, le 19 avril 2013)
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FORMATION. - Montpellier et Lyon font partie des 3 clubs qui ont fait jouer le plus de joueurs issus de leur Centre de Formation depuis le début de la saison. 14 joueurs formés à Lyon ont joué au moins un match depuis le début de la saison (1er) devant Sochaux (2e avec 10 joueurs dans ce cas), juste devant le MHSC, 3e avec 9 joueurs (Pionnier, Martin, Cabella, Dabo, Jourdren, Mézague, El Kaoutari, Stambouli et Deplagne).
SÉRIE. - Le MHSC est invaincu lors de ses 6 derniers matches de L1 (1 victoire, 5 nuls), une première sur une même saison depuis avril-mai 2012 (6). Il fallait remonter à la saison 2009/10 pour voir le MHSC récolter aussi peu de défaites (1) après 8 journées de L1.
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L’ADVERSAIRE. - Il n’est jamais bon de dissocier un joueur du collectif, surtout quand on connait les qualités individuelles des membres de l’effectif Lyonnais. Mais depuis quelques temps déjà, les performances lyonnaises sont plus que dépendantes du trio Gonalons-Grenier-Gomis. Maxime Gonalons (photo), capitaine, est la plaque tournante du milieu de terrain récupérateur et premier relanceur du jeu lyonnais. Le second, Clément Grenier en est le meneur, le créateur, celui qui en une passe ou en un coup de pied arrêté peut marquer ou faire marquer (2 buts, 3 passes décisives cette saison). Le 3e enfin, Bafé Gomis est le finisseur. De retour dans le groupe rhodanien depuis 4 matchs, le meilleur buteur de L1 en activité (89 buts) a déjà trouvé le chemin des filets contre Nantes en plus d’être un remiseur et un point d’ancrage difficile à bouger. A eux trois, Gonalons-Grenier et Gomis sont impliqués dans la moitié des buts de l’OL (6 sur 12). Un ratio qui passe à 8 sur 12 si on ajoute Yoan Gourcuff (absent lors des deux dernières rencontres). En 3G ou en 4G, le jeu lyonnais passe souvent par ces hommes là.
LES ARBITRES DE LA RENCONTRE. – La rencontre de dimanche sera arbitrée au centre par M. M. Stéphane LANNOY, assisté de MM. Frédéric CANO et Eric DANSAULT. 4e arbitre : M. Sébastien MOREIRA
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ILS ONT PORTÉ LES COULEURS DES DEUX CLUBS. – Mourad BENHAMIDA, Patrick BALDASSARA, Henri BEDIMO, Jean Claude CHEMIER, Sylvain DEPLACE, Fleury DI NALLO, Joël FRÉCHET, Pascal FUGIER, Jean-Marc FURLAN, Pierre LAIGLE, Jean-Francois LARIOS, Patrice LOKO, Karim MAROC, Anthony MOUNIER, Robert NOUZARET (Entr.), Jean-Jacques NONO, Jean Pierre ORTS, Stéphane PAILLE, José PASQUALETTI, Reynald PÉDROS, Jean-Marc VALADIER, Rémy VERCOUTRE, Daniel XUEREB
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MHSC 5-1 Lyon

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Il était écrit que ce match de dimanche après-midi entre Montpelliérains et Lyonnais serait complètement fou. Fou dans l’ampleur du score, dans le jeu, dans l’ambiance mais quel bonheur ! 5 buts, du jeu, des occasions et une victoire probante… Face à l’Olympique Lyonnais, le public de La Mosson en a pris plein les yeux !
Entre, le MHSC et l’OL, deux équipes en quête de victoire, pas de round d’observation, du jeu, du jeu et encore du jeu. En dix minutes, Geoffrey Jourdren était déjà contraint de s’interposer à deux reprises sur deux coups-franc de Grenier (6e et 10e). Mais à chaque fois le portier héraultais s’affirmait avec autorité. Dans la foulée ou presque, les Montpelliérains plaçaient un coup d’accélérateur. Sur un centre de Camara, la tête de Mounier était repoussée du bout des gants par Lopes. Il ne manquait alors que quelques centimètres à Cabella pour pousser le ballon dans le but vide (14e). Partie remise en somme… Deux minutes plus tard, à l’issue d’un merveilleux mouvement entre Camara, Stambouli, Cabella et Montaño, le Corse servait le Colombien qui voyait sa première reprise repoussée par le portier des Gones avant de se jeter comme un mort de faim pour enfin faire trembler les filets (1-0, 18e).
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Vexés, les Lyonnais reprenaient alors le contrôle du jeu dans une rencontre rythmée et extrêmement agréable à suivre. Gomis (19e de la tête) Mvuemba d’un tir trop croisé (34e) faisaient frissonner La Mosson, tout comme Briand qui obligeait Jourdren à effectuer une belle parade (35e).
Et c’est au moment où on s’y attendait le moins que les Pailladins doublaient la mise : Sur un corner, Mounier envoyait une tête surpuissante sous la barre de Lopes (2-0, 45e), BANCO !
A la pause, La Mosson pouvait respirer avant de se crisper dès la reprise lorsque Lacazette envoyait une frappe surpuissante de 25 m et réduisait l’écart (1-2, 47e).
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Durant 13 minutes, les Montpelliérains ont alors craint le pire et ont résisté aux assauts Lyonnais… Juste avant le feu d’artifices : A l’heure de jeu, Montaño qui filait seul au but était déséquilibré par Lopes dans la surface. Rémy Cabella, auteur d’un match énorme, transformait la sentence sans trembler (3-1 , 60e). Lancé dans la profondeur, le lutin corse gagnait son duel avec Lopes et s’offrait un doublé 6 minutes plus tard (4-1, 66e) avant d’en offrir un à Montaño sur l’engagement avec un centre parfait repris d’une tête plongeante par le Colombien (5-1, 67e). Avec 3 buts en sept minutes et 5 au total, le public de La Mosson était en fusion. A la recherche d’un match référence depuis plusieurs semaines, les Montpelliérains et leur entraîneur Jean Fernandez ont été enfin récompensés de leurs efforts fournis depuis le début de la saison. Espérons que ce très beau succès, autant dans l’ampleur du score que dans la manière servira de déclic aux Pailladins pour la suite de la saison. En tous cas, chapeau messieurs ! On s’est franchement régalés !

Les équipes
MHSC Jourdren - Marveaux, Congré, Hilton (cap.), El Kaoutari - Sanson, Stambouli - Camara, Cabella (Martin, 75E), Mounier (Bakar 68e) – Montaño (Herrera 81e)
LYON: A. Lopes - Ferri, B. Koné, Fofana, Bedimo – Mvuemba (Danic 61e), Gonalons (cap.), Grenier – Briand (Pléa 61e), Gomis Lacazette.
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L'Après-match MHSC-OL en vidéo


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Du jeu, des buts… Et un match référence

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Large vainqueur de Lyon dimanche à La Mosson, les Montpelliérains ont sans doute réalisé leur meilleur match depuis le début de la saison, emmagasinant à la fois des points et de la confiance. Analyse.
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En cherchant dans les statistiques, il a fallu remonter 15 ans en arrière pour retrouver la trace d’un match de Ligue 1 remporté 5-1 par les Montpelliérains à La Mosson : C’était le 3 octobre 1998 face au FC Lorient de Christian Gourcuff. Les buteurs montpelliérains d’alors s’appelaient Xavier Gravelaine, Didier Thimothée (doublé), Cédric Barbosa et un certain Philippe Delaye, aujourd’hui coordinateur sportif du club héraultais. Mais en battant Lyon dimanche après-midi sur ce même score peu commun de 5-1, les Pailladins ont fait bien plus que dépoussiérer cette statistique : Ils ont surtout réalisé ce match référence après lequel ils couraient depuis le début de la saison.

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Du jeu, des occasions, du réalisme, un bloc resserré et compact animé par cette idée commune de défendre en avançant, de la projection rapide vers l’avant, du soutien et des solutions pour le porteur du ballon : rien n’a manqué. Alors, certes, l’ampleur du score ne doit pas faire oublier que l’Olympique Lyonnais était très diminué par une cascade de blessés et qu’il ne faut pas s’enflammer comme dit l’expression consacrée, mais ne boudons pas notre plaisir pour autant.

Dimanche après-midi, emmenés par un Cabella de gala auteur de 2 buts et de 2 passes décisives, les Montpelliérains ont emballé le public de La Mosson par la qualité de leurs enchaînements offensifs et l’implication de tous. marveaux-seul-lyon.jpg

Double buteur dimanche après-midi, Victor Hugo Montaño, qui a également obtenu un penalty, a prouvé que retrouver son club de cœur avait pour lui des allures de fontaine de jouvence. Enfin, Anthony Mounier qui a inscrit contre Lyon son premier but de la saison, se voit enfin récompensé de tous ses efforts, lui qui a eu le mérite de ne jamais lâcher, malgré des périodes difficiles.
Plus globalement, c’est tout un groupe qui est à féliciter de ce succès. Chacun dans son registre, de Joris Marveaux, latéral droit d’un soir absolument impeccable en passant par un milieu de terrain inspiré dans la récupération et l’utilisation du ballon et des attaquants à la fois vifs, mobiles et réalistes, tout le monde a fait du bon boulot. « C’est une victoire attendue et méritée, on a fait ce qu’il fallait, a commenté le coach Jean Fernandez après la rencontre. Après avoir essuyé quelques critiques, l’équipe a su répondre avec humilité sur le terrain. J’ai une pensée pour lePrésident, les joueurs et les supporters qui nous ont aidés aujourd’hui ».

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Ce succès est en tous cas bénéfique à plus d’un titre : Sur le plan comptable d’abord puisque le MHSC remonte à la 8e place du classement mais aussi au niveau de la confiance avec ces 5 buts inscrits lors d’une même rencontre.
Ce match référence désormais obtenu, reste maintenant à confirmer cette très belle prestation dans les semaines à venir. Le prochain rendez-vous dans 15 jours à nouveau à La Mosson contre Lille sera un test compliqué, en l’absence notamment de Tiéné, Sanson et Montaño, tous trois suspendus. Mais en attendant, les Montpelliérains peuvent passer la trêve internationale avec plus de sérénité. Et c’est bien là l’essentiel.

QUELQUES STATS (AVEC OPTA):

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  • Le MHSC n’avait plus marqué 5 buts à La Mosson en L1 depuis le 15 octobre 2011 (5-3 contre Dijon).
  • Le club héraultais a inscrit 14 buts en L1 cette saison, seul Monaco fait mieux (16).
  • Il fallait remonter au 8 novembre 2009 pour voir l’OL encaisser 5 buts en L1, c’était contre l’OM à Gerland (5-5). A l’extérieur, ce n’était plus arrivé à l’OL depuis le 16 février 2000 contre Nantes (défaite 6-1).
  • Rémy Cabella est directement impliqué dans 7 buts en L1 cette saison (5 buts, 2 passes décisives), seul Falcao peut en dire autant (7 buts, 0 passe). Dimanche après-midi, Cabella a marqué 2 buts et délivré 3 passes décisives. Avant ce match, il n’avait jamais marqué plus d’un but ou délivré plus d’une passe lors d’un match de L1.

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  • Ce n’était que le 2e penalty tiré par Cabella en L1. Il avait déjà converti le 1er, la semaine dernière contre Ajaccio.
  • Le 2e but inscrit dimanche par Rémy Cabella était le 200e marqué en L1 cette saison.
  • Victor Montano a marqué son 3e doublé en L1, son 2e avec Montpellier après celui contre Lille le 22 novembre 2009 (2-0). Il n’avait plus marqué à La Mosson depuis 1247 jours, c’était avec Montpellier contre Lorient le 8 mai 2010.
  • Victor-Hugo Montaño a cadré 4 tirs dimanche après-midi, le meilleur total d’un joueur du MHSC lors d’un match de L1 cette saison. Seuls 2 joueurs on fait mieux en championnat cette saison : Wahbi Khazri (Bastia / 5 contre Lorient) et Emmanuel Rivière (Monaco / 5 contre Bastia).
  • Cabella et Montaño ont marqué 9 des 14 buts du MHSC cette saison, soit 5 et 4 respectivement.
  • Anthony Mounier a marqué son 3e but en 34 matches de L1 avec Montpellier. Son unique réalisation à La Mosson avant dimanche après-midi remontait au 15 décembre 2012 (contre Bastia).
  • Montpellier est invaincu lors de ses 7 derniers matches de L1 (2 victoires, 5 nuls), seuls le PSG, Monaco et Reims font mieux actuellement. C’est la meilleure série du MHSC sur une seule saison de championnat depuis janvier-mars 2012 (8 matches sans défaite).
  • Il fallait remonter à la saison 2009/10 pour voir Montpellier récolter aussi peu de défaites (1) après 9 journées de L1.
  • Lyon est l’équipe qui a marqué le plus de buts depuis l’extérieur de la surface en L1 cette saison (6).
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15 V, 5 D, 7 L and continuing...

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Actuellement avec la sélection de Colombie, Abel Aguilar reste encore méconnu du grand public en France. Quelles sont ses passions ? Ses ambitions ? Son passé ? Ses qualités. S'il ne se laisse pas faire sur le terrain, comme le prouve son duel avec Zlatan Ibrahimovic au Parc des Princes, c'est, en réalité, un homme souriant et assez discret. Présentation sur AllezTFC.Com.

 

Son intégration


Abel Aguilar : "Tout le monde m'aide au jour le jour. J'ai toujours un dictionnaire français-espagnol dans la main. Didot, Trejo et Casanova me parlent en espagnol. Zebina, c'est en Italien car nous sommes tous les deux passés par la Serie A. Les autres joueurs font leur maximum pour se faire comprendre. Mon but est d'apporter toute mon expérience à l'équipe. Je suis très heureux que les autres joueurs soient à mon écoute. Je vais aider les jeunes."

Le 3-5-2


"Je suis très content d'évoluer dans ce schéma. Je suis prêt à assumer mon rôle de jouer en tant que numéro 6, même j'ai déjà joué en 8. C'est moi qui "reçois" les attaques adverses et qui dois relancer le ballon, donc physiquement je dois être au top."

Ses qualités


"J'aime avoir le ballon et pouvoir le ressortir en étant juste devant la défense. Quand il faut être agressif, je le suis. Mais, avant tout, c'est le jeu avec le ballon que j'aime. Pour vous donner des exemples, j'aime le profil de Busquets au Barça et Xavi Alonso au Real."

 

Son accrochage avec Ibrahimovic


"Je n'aime pas me faire marcher dessus. Tout ce qui se passe sur le terrain reste sur le terrain, il n'y a jamais de suite. Je fais mon possible pour que mon équipe soit respectée et la porter sur le terrain. Je dois empêcher les meneurs de jeu adverses d'avoir le ballon. C'est pour ça que je suis agressif, sans être méchant."

Trois matchs disputés, déjà deux cartons jaunes


"Je ne suis pas inquiet. Je commence à comprendre comment sont les arbitres de Ligue 1. Ici, c'est beaucoup plus physique avec de nombreux contacts. En Espagnol, on joue plus au ballon, mais plus lentement qu'en France où c'est très rapide."

Sa sélection de Colombie tout proche de la Coupe du Monde


"Tant que la qualification n'est pas acquise, je ne veux pas en parler... J'espère qu'on pourra gagner contre le Chili vendredi pour aller au Brésil. On n'a plus joué une Coupe du Monde depuis 1998 ! Mais, oui, c'est une grande satisfaction d'avoir autant de bons résultats avec ma sélection."

Toulouse


"Je trouve la ville très jolie et j'aime beaucoup me promener dans le centre. Là, je dois encore trouver une maison et m'installer définitivement."

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