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Natation


Ryan

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MONDIAUX DE MELBOURNE


Manaudou finit en argent

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Pas de final en apothéose pour Laure Manaudou qui doit se contenter de la médaille d'argent sur 800 m (avec un nouveau record d'Europe). La Française aura donc gagné deux médailles d'or, une d'argent et une de bronze en Australie. Sophie Huber, qui nageait aussi le 800 m, en a pris la cinquième place. Dans l'autre finale du jour, Esther Baron a fait de son mieux en battant le record de France du 200 m dos mais elle termine quatrième (2'09"59). Malia Metella devient la dernière chance de médaille française en se qualifiant pour la finale du 100 m.

Laure Manaudou avait l'occasion de réaliser un triplé unique si elle s'imposait samedi en finale du 800 m. En 2003 à Barcelone, l'Allemande Hannah Stockbauer avait déjà réalisé un hat-trick avec trois médailles d'or en nage libre mais c'était sur 400 m, 800 m et 1500 m. La Française, en obtenant "seulement" l'argent du 800 m, n'a donc pas pu rééditer ce triplé magique, elle qui avait déjà remporté le 200 m (record du monde à la clé) et le 400 m. Mais la nageuse de Canet-en-Roussillon a prouvé qu'elle était déjà une très grande championne et que son avenir sera encore sûrement pavé d'or.

Si l'Américaine Kate Ziegler s'est imposée, c'est au terme d'une course d'une intensité folle puisque les deux nageuses ont été au coude à coude tout au long des seize longueurs du bassin de la Rod Laver Arena. En tête des le premier 50, comme elle en a l'habitude, Laure Manaudou comptait quelques dizièmes d'avance jusqu'au 500 m, puis voyait l'Américaine lui passer devant. Mais Manaudou recollait et repassait devant au 700 m. Elle ne fléchissait que dans les derniers 50 mètres, peut-être fatiguée par la répétition des courses depuis une semaine, et s'inclinait pour 28 centièmes (8'18"52 contre 8'18"80), malgré un nouveau record d'Europe de la distance. Dans la même course, Sophie Huber a obtenu une très belle cinquième place, en améliorant son record personnel (8'28"23)

Philippe Lucas ironisait avant le départ de la finale du 200 m dos en disant qu'Esther Baron devait nager le premier 50 en crawl si elle voulait avoir une chance de glaner une médaille. La Française est finalement bien partie sur le dos comme tout le monde et a réalisé la course quasi idéale puisqu'elle a battu son record de France en 2'09"59. Mais cela n'a pas suffi pour monter sur le podium, dans une finale très rapide, avec deux filles en moins de 2'08" : l'Américaine Margaret Hoelzer, qui s'impose en 2'07"16 et la Zimbabwéenne Kirsty Coventry, deuxième en 2'07"54. La Japonaise Reiko Nakamura a pris le bronze en 2'08"54, avec quand même plus d'une seconde d'avance sur la championne d'Europe. Encore une fois la preuve est faite que les Mondiaux n'ont rien à voir avec la compétition continentale.

Malia Metella représentera dimanche la dernière chance de médaille française. La Guyanaise s'est arrachée pour obtenir sa place en finale du 50 m avec le huitème temps des demi-finales en 25"10. Mais elle aura à faire face à une concurrence très relevée, avec notamment quatre nageuses qui ont réalisé moins de 25" en demies : Marleen Veldhuis (24"79), Kara Lynn Joyce (24"80), Therese Alshammar (24"83) et Lisbeth Lenton (24"89). Sur la même distance, Céline Couderc a terminé avec le 15e chrono en 25"54. Dans la dernière course de la session du soir qui intéressait les Bleus, Anne-Sophie Le Paranthoen a réalisé le 14e temps des demi-finales en 32"17.

LES AUTRES NEWS:

La razzia américaine

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Encore une fois, les Américains ont dominé les finales des Mondiaux de Melbourne lors de la septième journée samedi. Avec quatre médailles d'or, trois d'argent et une de bronze, on n'a quasiment vu que la bannière étoilée s'élever dans le "ciel" de la Rod Laver Arena. Les autres nations, comme l'Australie (une médaille d'or, une d'argent) ou la Suède (une d'or, une de bronze) doivent se contenter des miettes.

A tout seigneur, tout honneur. Michael Phelps est en route pour un exploit hors du commun dans ces Mondiaux. Avec sa victoire samedi sur le 100 m papillon, il en est déjà à six médailles d'or à Melbourne, égalant le record détenu par Ian Thorpe depuis les Championnats de Fukukoa en 2001. Mais l'Américain a encore deux courses à disputer, le 400 m 4 nages et le relais 4x100 m 4 nages. En cas de victoire(s), il deviendrait alors, s'il ne l'est déjà, le plus grand nageur de l'histoire. Le natif de Baltimore ne partait pourtant pas favori de cette finale du 100 m pap, face à son grand rival Ian Crocker, double champion du monde en titre. Mais c'est la marque des plus grands de savoir se surpasser et Phelps a sorti le grand jeu pour battre Crocker, de cinq centièmes (50"77 contre 50"82), pour la deuxième fois seulement sur cette distance après... la finale des Jeux Olympiques d'Athènes en 2004.

Les Etats-Unis ont réalisé un deuxième doublé samedi, lors de la finale du 50 m. Et un doublé surprise, car personne n'aurait pu prédire la victoire de Benjamin Wildman-Tobriner, qui disputait ses premiers Mondiaux. Déjà médaillé d'or sur le relais 4x100 m, il s'est imposé en 21"88 devant un autre "rookie", Cullen Jones (21"94), et le Suédois Stefen Nystrand (21"97), un des rares Européens à décrocher une médaille samedi. Le tenant du titre, le Sud-Africain Roland Schoeman, est septième (22"16), tandis que le co-champion du monde du 100 m, le Canadien Brent Hayden, est seulement huitième (22"28).

Kate Ziegler a apporté une troisième médaille d'or aux Etats-Unis en remportant le 800 m à l'issue d'une course très serrée avec Laure Manaudou. Au coude à coude durant les 16 longueurs, Ziegler s'est seulement détachée dans les 25 derniers mètres pour terminer avec 28 centièmes d'avance sur la Française (8'18"52 contre 8'18"80). Une autre Américaine, Hayley Paersol, la soeur d'Aaron, le champion du monde du 100 m dos, complète le podium à près de 8 secondes de Manaudou (8'26"41). Enfin, le dernier titre américain a été remporté par Margaret Hoelzer sur 200 m dos, la course où nageait Esther Baron, qui a fini quatrième. L'Américaine, qui avait pris l'argent mondial en 2003 et 2005, a franchi la marche supplémentaire (2'07"16) en devançant la Zimbabwéenne Kirsty Coventry (2'07"54) et la Japonaise Reiko Nakamura (2'08"54).

Les deux seules médailles d'or qui n'ont pas échu aux Américains sont celle du 50 m papillon femmes où la Suédoise Therese Alshammar a décroché son premier titre mondial en grand bassin (25"91) devant l'Australienne Danni Miatke (26"05) et la Néerlandaise Inge Dekker (26"11), et celle du relais 4x100 m 4 nages, où l'Australie (Seebohm, Jones, Schipper et Lenton), a tenu son rang de favorite en améliorant son record du monde (3'55"74). Les Etats-Unis n'obtiennent "que" l'argent (3'58"31) et la Chine décroche le bronze sur le fil (4'01"97).

source: lequipe.fr

"The future belongs to those who believe in the beauty of their dreams."
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Ca y est c'est fini! des américains impressionants et surement dangeureux pour les JO.

Des résultats français de bonnes augures pour l'année prochaine.

Les autraliens pas mal, surtout les filles, mais j'ai été déçu par Hackett.

 

Sinon y en a marre de la polémique: " Ian Thorpe s'est dopé" faut arrêté de cracher sur les athlètes m****! Ils ont vraiment que ça à foutre l'équipe.

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5e record pour Phelps

L'Américain Michael Phelps est champion du monde du 400m 4 nages avec un nouveau record du monde à la clé en 4:06.22. Il devance son compatriote Ryan Lochte, et l'Italien Luca Marin.

 

eurosport.fr Quel nageur vraiment , terrible le temps qu'il a fait :o

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Jackpot pour Manaudou

A l'issue des Mondiaux de Melbourne, Laure Manaudou touchera des primes pour un montant minimum de 123.420 euros. Selon les règles de la Fédération française, Manaudou doit bénéficier de 22.500 euros pour chaque titre, 11.250 euros pour l'argent et 3000 euros au titre du relais, soit 73.500 euros.

 

La Française a remporté deux titres de championne du monde (200 et 400 m nage libre), deux médailles d'argent (100 m dos et 800 m nage libre), une de bronze (relais 4x200 m nage libre).

eurosport.fr

 

Franchement la natation c'est vraiment mal payé je trouve par rapport à certains sports

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exact, ca vient de fait que la natation n'est pas professionnelle en france, contrairement aux USA et à l'Australie.

 

Franchement les états unis c'est le pied pour les sportifs sur tout les points: matériels,installations, entrainements... et surtout les universités pour les jeunes parce que en france c'est raiment mauvais à ce niveau.

Normal que tout le monde aille la bas, et qu'ils soient meilleurs les américains.

 

On les rattrapera pas tant qu'on sera pas à leur niveau dans l'entrainement.

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Qui a dénoncé Thorpe ?

Le directeur général de la Fédération australienne, Glenn Tasker, a réclamé la tête du responsable des fuites à l'origine de la révélation d'un contrôle subi par Ian Thorpe en mai 2006.

 

"Je pense qu'il incombe à toutes les organisations impliquées (...) de trouver comment cela s'est su", a t-il déclaré au journal The Australian. "Je pense que nous devrions demander sa tête. Nous devrions savoir qui c'est et le sanctionner", a t-il ajouté.

eurosport.fr

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02/04/2007

Natation-ChM-Bilan - Fauquet:«Le protentiel est là»

L'équipe de France termine troisième nation mondiale avec six médailles. Mais est-ce la performance d'un collectif ou d'une individualité d'exception, Laure Manaudou ? La Française a trusté toutes les breloques individuelles des Bleus. Laure Manaudou cache telle une équipe de France en difficulté ? Le Directeur technique national, Claude Fauquet, dresse un bilan de ces Mondiaux, évoque le potentiel de ses nageurs et regarde déjà vers Pékin avec 75 semaines de travail avant les Jeux olympiques.

 

 

 

 

 

Quatre médailles individuelles pour Laure Manaudou

 

 

Avec six médailles dont deux d'or, l'équipe de France termine troisième nation mondiale de ces Championnats du monde, une première pour les Bleus... «Six médailles, c'était notre objectif. Sur ces six médailles, quatre le sont à titre individuel pour Laure. Si je compare aux années où nous avions fait quatre médailles, il y avait quatre médaillés. Cette fois, il n'y a qu'une seule médaillée à titre individuel. Entre le passage des Championnats d'Europe aux Mondiaux, il y a eu un petit écart que toute la natation européenne a subi. Quatre médailles pour une seule nageuse, c'est un exploit, quelque chose d'extraordinaire. Je ne suis pas inquiet parce qu'il y a des potentialités, certes elles ne se sont pas exprimées ici mais elles existent.»

 

 

 

 

 

La date, la jeunesse, les Championnats d'Europe

 

 

Si le potentiel est là, pourquoi ne s'est-il pas exprimé à Melbourne à l'exception notable de Laure Manaudou ? « La date de cette compétition influence beaucoup les performances avec cette transition entre les Championnats d'Europe et du Monde. Si nous étions les seuls à vivre cela, je dirai on a un problème, mais je suis persuadé que nos nageurs étaient prêts. Le deuxième problème relève de la jeunesse. L'expérience est un facteur fondamental de réussite. Ce manque d'expérience et parfois d'attention peut passer aux Championnats d'Europe mais pas au niveau mondial. Le lieu avec l'éloignement et le décalage horaire ont également joué. Passer de la dynamique de Budapest à Melbourne a été une rupture très importante. » Le DTN estime également qu'il manque un leader dans l'équipe de France masculine qui a commis quelques petites erreurs de jeunesse.

 

 

 

 

 

Le potentiel

 

 

« Je crois que ces jeunes nageurs progressent, même si cela ne se voit pas. Ils ont cette capacité à nager vite, à ne pas être distancé sur un certain nombre d'épreuves. Le potentiel est là, il faut juste qu'il puisse s'exprimer. Je suis un peu frustré de ne pas avoir vu Alain Bernard sur la finale du 100 m, il pouvait être le Canadien de service, sur cette première marche avec les autres. C'était possible.»

 

 

 

 

 

Laure et les autres

 

 

Est-ce que Laure Manaudou écrase les autres par ses performances et annihile les ambitions ? Laure Manaudou représente-t-elle à elle seule l'équipe de France ? Avec cinq des six médailles françaises, l'élève de Philippe Lucas a survolé la compétition, mais n'a-t-elle pas indirectement poser problème aux autres nageurs ? «Quand on a une championne de cette dimension avec un tel écart avec l'ensemble de l'équipe, ce n'est pas elle qui pose problème. C'est la façon dont les autres vont aborder cette relation à ce très haut niveau de performance. Ce problème existe. Parfois, cela peut paraître d'une autre dimension. Notre travail est de manager l'équipe pour que cette équipe ait des ambitions qui lui soient propres, que la comparaison ne soit pas seulement ce que fait Laure. Se fixer des objectifs progressifs pour que chacun individuellement aille à son maximum lors des JO de Pékin.»

 

 

 

 

 

Esprit d'équipe es-tu là ?

 

 

Le forfait d'Esther Baron et de Laure Manaudou qui devaient disputer les finales du 200 m dos et du 800 m nage libre le soir a fait grincer quelques dents lors des séries du 4x100 quatre nages. Sans dossiste, l'équipe de France a fait appel à Camille Muffat et ne s'est pas qualifiée pour la finale. Mais les relayeuses ont assuré l'essentiel en obtenant le ticket pour les Jeux olympiques. Comment s'est passé ce choix ? «Nous devrions être en mesure de surseoir à ce type de décision. Nous ne devrions pas être dans la difficulté comme cela s'est passé pour le 4x100 m quatre nages. Des finales mondiales l'après-midi, cela se respecte. Certaines filles étaient en colère au départ, elles ne comprenaient mais quand on peut discuter avec elles et qu'on leur a expliqué, elles ont montré un état d'esprit irréprochable. Ce relais est qualifié pour les Jeux et peut-être que si ce relais est médaillable aux JO, il faudra se rappeler ce qui s'est passé, que certaines filles ont pris conscience de l'importance de se qualifier pour les JO. C'est vrai que cette expérience va nous servir, j'ai déjà réfléchi à la manière de sélectionner les relais mais nous serons toujours soumis à la décision d'un coach ou d'un athlète, c'est humain. Je crois au potentiel des athlètes de se dire de servir ou pas l'équipe de France. Je comprends bien que l'enjeu du médaille mondiale ou olympique puissent l'emporter sur d'autres choses.»

 

 

 

 

 

Le programme à 18 mois de Pékin

 

 

Le compte à rebours a déjà commencé pour les Jeux Olympiques à Pékin. Après ces Mondiaux, les nageurs se sont octroyés une pause bien légitime avec une quinzaine de jours de vacances. Une dizaine d'entre eux font une petite escale d'une semaine en Nouvelle-Calédonie et après ils replongent dans le grand bain. « Il ne faut surtout pas passer par une phase de décompression trop longue qui serait dangereuse, très dommageable pour Pékin. Cette année pré-olympique est fondamentale en termes de préparation des bases de l'année olympique. Il y a 18 mois de travail. Il y a 75 semaines de travail avant Pékin. J'ai dit aux athlètes que si sur chaque semaine de travail, ils avaient un objectif et qu'ils atteignaient ces objectifs pour chaque semaine, on pourrait voir de belles choses à Pékin. » Le DTN voit plusieurs rendez-vous importants dans son échéancier avec les Championnats de France à Saint-Raphaël fin juin, un stage de dix jours en Chine avant l'Open de Paris début août et surtout la sélection pour les JO en avril à Dunkerque qui « sera incontournable, il faudra être prêt à ce moment-là, l'équipe olympique se dégagera de cette sélection. » Bien sûr, les athlètes - ceux qui le souhaitent - seront également amenés à participer aux Championnats d'Europe à Eindhoven. Il n'y aura pas de nageurs sélectionnés d'office.

 

 

 

 

 

Avantage Etats-Unis

 

 

« Le décor est planté pour Pékin avec une domination extraordinaire des USA. Peut-être que cette nation n'a jamais été aussi forte ? J'y vois plus qu'une domination de puissance, une domination technique. C'est tout à fait nouveau, il y a eu un énorme travail pour les Américains sur les aspects techniques de ce sport, les virages, les départs. Ce ne sont pas seulement des handicaps pour nous mais pour l'ensemble des autres nations. Ils ont pris un avantage important. Ils ont estimé il y a quelques années que s'ils ne réagissaient leur hégémonie pouvait être mise en question. Ce travail est tout à fait remarquable.»

 

 

lequipe.fr

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03/04 12h24 - Natation

RM pour Lenton grâce à Phelps

Selon la BBC, l’Australienne Libby Lenton a battu le record du monde du 100m nage libre grâce à l’aide du champion américain Michael Phelps. Avec un temps de 52’’99, Libby Lenton a battu de 0’’37 le record du monde du 100m nage libre détenu jusque-là par l’Allemande Britta Steffen, au cours d’un duel entre les Etats-Unis et l’Australie, organisé à Sydney, annonce la BBC. L’Australienne peut en tout cas remercier Michael Phelps puisque le record a été établi lors d’une course contre le meilleur nageur de l’Histoire.

sport24

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  • 1 mois après...

Natation - Manaudou quitte Lucas

Selon nos informations, Laure Manadou est séparée de son entraîneur Philippe Lucas depuis mardi. La nageuse de Canet reste licenciée dans le club français mais souhaite s'entraîner en Italie, à Vérone, dans le Centre fédéral où nage son petit ami Luca Marin. Jointe au téléphone par nos confrères de L'Equipe, la présidente du club de Canet en Roussillon a confirmé la décision de la Française recordwoman mondiale du 400 m.

lequipe.fr

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Natation - Manaudou choisit l'Italie

Laure Manaudou a confirmé ce mardi, dans une interview accordée à la Gazzetta dello Sport, son intention de rester à Turin après son départ du Canet-en-Roussillon et la séparation avec l'entraîneur qui l'a amenée au plus haut niveau, Philippe Lucas. La nageuse française déclare dans le quotidien italien «qu'entre l'Italie et la France, (elle) choisit Luca, l'amour de (sa) vie». A 20 ans, la championne du monde du 400 m nage libre, âgée de 20 ans,a donc bien décidé de prendre un virage à 180° dans une carrière qui n'en est pourtant qu'à ses débuts, aussi impressionnants soient-ils. Son objectif officiel ? Se rapprocher de son fiancé, nageur italien qui vit et s'entraîne à Vérone, dans le nord de l'Italie. «Je fais un choix par amour. Avec Luca je veux vivre et avoir un enfant. Je suis catégorique. Je ne retournerai pas en France. En Australie ou en Amérique ? Mais non, je veux rester en Italie et je suis prête à rester à Turin», précise-t-elle dans les colonnes du quotidien sportif transalpin.

 

L'amour exclusif mais pas exclusivement l'amour semble-t-il. «(La) fédération (italienne) ne veut absolument pas avoir de problèmes avec la fédération française, affirme l'entraîneur italien Alberto Castagnetti. Et je suis d'accord, c'est une route que nous ne pouvons pas prendre. Cette affaire doit être résolue avec du bon sens. Si Manaudou devenait italienne ce serait différent». Le technicien transalpin poursuit en indiquant que «pour l'instant c'est trop risqué. C'est pourquoi je lui ai proposé de retourner chez elle. Elle pourrait venir voir Luca quand elle le voudrait et si elle souhaitait faire quelques entraînements. Nous l'accueillerions mais pour l'instant j'ai la charge de Federica Pellegrini (rivale de Manaudou) et de tout les autres». Manaudou indésirable en Italie ? Un paramètre qu'elle n'avait sans doute pas pris en compte...

 

Pour tenter de régler ce souci, Didier Poulmaire, l'agent de Laure Manaudou, et les dirigeants du club de natation La Presse de Turin doivent se rencontrer ce mardi. Sera-t-il question de ce qu'évoquait La Stampa lundi, à savoir un contrat de 400 00 euros par ans durant six années ? Peu-être, même si l'accord passée par la nageuse française avec la famille Pinault la place à l'abri du besoin. (Avec AFP)

 

 

L'equipe.fr

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Natation - Manaudou s'explique

C'est lors d'une conférence de presse accordée cet après-midi aux journalistes au centre d'entraînement nautique de Canet-en-Rousillon que Laure Manaudou est revenue sur sa décision de quitter la France et son entraîneur Philippe Lucas afin de rallier l'Italie.

 

 

«Je voulais découvrir un nouveau challenge.Je ne pars pas dans l'inconnu, je sais que là-bas, ça va être difficile. Ce n'est pas sur un coup de tête. J'avais déjà prévu de partir après les JO de Pékin. Il s'avère que les choses se sont passées comme ça. Il vaut mieux partir à un an et demi des Jeux qu'à trois mois».

 

 

La nageuse n'a pas occulté la question concernant son entrevue privée avec son ex-entraîneur Philippe Lucas. «Ça s'est bien passé. Je lui ai expliqué mon choix. Il n'y a pas de conflit entre nous. On s'est parlé normalement. Je ne le déteste pas, on ne peut pas se quitter dans de mauvais termes. Je ne dis pas que Philippe n'était pas un bon entraineur.J'avais envie de voir autre chose. On se verra. Mais c'est sûr que désormais entre nous ça ne sera plus pareil».

 

 

Laure Manaudou évoque d'ailleurs des raisons techniques à son départ. «Je veux prouver qu'en quittant Philippe, je peux m'entraîner avec quelqu'un d'autre. Il y a des choses que je souhaitais travailler et que Philippe ne voulait pas faire. Je pense qu'ils sont capables de me faire nager plus vite». Pas dupe sur le fait que désormais elle sera attendue au prochain Championnat de France, la nageuse a affirmé à plusieurs reprises son attachement à la France. «Je reste française. Je continuerai à faire les compétitions pour la France. C'est juste mon environnement d'entraînement qui change. Je reste licenciée au club de Canet. Je participerais au meeting du club et j'en défendrais les couleurs». Une possibilité de revenir en France ? «Non. Ce n'est pas au programme. A partir du moment où je prends une décision, je ne reviens jamais dessus».

 

l'equipe

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  • 3 semaines après...

Manaudou, la tuile !

Selon la Gazzetta dello Sport, la Française Laure Manaudou se serait blessé à un pied après avoir été lancée à l'eau par deux partenaires d'entraînement. Sa participation pour les meetings de Modène et de Canet-en-Roussillon est compromise.

eurosport.fr

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Manaudou, la tuile !

Selon la Gazzetta dello Sport, la Française Laure Manaudou se serait blessé à un pied après avoir été lancée à l'eau par deux partenaires d'entraînement. Sa participation pour les meetings de Modène et de Canet-en-Roussillon est compromise.

eurosport.fr

et Ben ça commence bien :D

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  • 2 mois après...
  • 2 mois après...

Lucas défie la FFN

 

Les relations entre la FFN et Philippe Lucas se sont encore dégradées dans la semaine avec la volonté de la Fédération de ne pas lui accorder d’accréditation à Pékin. Une menace qui n’inquiète pas l’ancien mentor de Manaudou.

Une absence de trop aux réunions

Philippe Lucas et la Fédération Française sont proches du point de non-retour. Même débarrassé de l’encombrante gestion du cas Manaudou, l’homme au débardeur continue d’entretenir des relations tendues avec l’instance fédérale. Dernier épisode en date dans ce remake de petits meurtres entre amis, la menace de la FFN de ne pas délivrer d’accréditation à Lucas pour les Jeux Olympiques de Pékin. Le motif avancé par le DTN, Claude Fauquet, est l’absence de l’entraîneur du Canet-en-Roussillon à une réunion de la Fédération. L’argument est recevable mais ne semblait pas peser lorsque Lucas entraînait Manaudou et ignorait superbement ces réunions. Le malaise est plus profond et la FFN semble prête à lui faire payer ses écarts de langage et ses prises de position à l’encontre du DTN. Un apaisement n’apparaît pas envisageable au vu des caractères des hommes en question. «Ce n’est pas moi qui vais faire le premier pas, ce n’est pas mon genre de faire pavillon bas», affirme Philippe Lucas dans les colonnes de L’Equipe.

 

Lucas avec la Roumanie ?

 

L’entraîneur au look de biker démontre ainsi qu’il n’est nullement impressionné par cette sanction à venir. Pareille situation était intervenue aux Championnats du Monde 2003 alors qu’il suivait Laure Manaudou. Et Lucas a une solution de repli imparable pour la FFN. Entraîneur de Camilla Potec, l’ancien Melunais pourrait demander une accréditation à la Fédération roumaine. Mais on touche là sans doute au cœur du problème. L’instance fédérale française n’apprécie ainsi que modérément que l’un des meilleurs entraîneurs français s’occupe d’une rivale de Manaudou. «Quand le champion d’Europe belge juniors (Ndlr : Yoris Grandjean sur100 m) s’entraîne au pôle d’Antibes ou quand Frédéric Vergnoux entraîne l’équipe de Grande-Bretagne et Popchanka, ça ne pose pas de problème. Et c’est normal. Mais quand c’est moi… Partout où je serai, il y aura des problèmes. Mais ce sont des raisonnements de faibles. Une erreur de stratégie. On a besoin de nageurs étrangers», analyse Lucas. En s’opposant encore frontalement à l’entraîneur de la championne d’Europe, Esther Baron, la FFN se paye un nouveau clash avec celui qui a contribué à sortir la natation de son anonymat. Un nouvel accès de fièvre gratuit puisqu’elle sait pertinemment que Lucas se trouvera sur les bords des bassins en Chine quel que soit le drapeau floqué sur son survêtement.

 

source:: sport24.com

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  • 4 mois après...

Les bras qu'il a ce mec :blink::o

C'est énorme quand même ce qu'il a fait, je suis très contente pour lui :bj:

La natation française promet pour les JO

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C'est clair qu'il y a un sacré poulet :o 196 cm, 97 kg de muscle :o

En tout cas c'est un week end inoubliable pour lui, espérons qu'il continue sur sa lancée au JO :)

solskjaer-winning-goal.jpg20LEGEND

 

"Le ballon c'est comme les femmes, il aime les caressses" Eric "The King" Cantona

 

La devise de Sir Alex Ferguson : "My way or the highway" en gros comprenez : C'est comme ça ou dégagez

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Il est presque trop musclé je trouve, c'est pas beau.

D'ailleurs il viesn d'améliorer un 3ème record. S'il ya pas de la dope par la ben...

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