Jiminy

Allen c'est pas un petit jeune Juste un très bon 6 !

Dommage tant il y aurait eu a dire, sur les Koalas, Rooney, l'anti-barca, tes ovaires, ton coca, tes pigeons, ta fac de médecine, tes lol, tes "-[...]-" et ton ton sarcastique d'étudiant de 3ième année, et j'en passe ! Belle observation d'un échantillon du forum cela dit

Qui sait en poule de CL maintenant ?

Vu la mentalité du bonhomme, même pas pour rire.

Apparemment Sterling continue à jouer les Diva. Après avoir mis la pression l'an passé sous Kenny D. pour jouer en A; sinon il partirait; actuellement il refue une prolongation de contrat trop basse à son gout, il voudrait la bagatelle de 30K£/semaine ... Pogba sort de ce corps, p***** ils vont tous être comme ça les jeunes avec du talent ? Pour donner un ordre d'idée, un mec comme Ramsey à Arsenal touche 50K£/semaine. Et on sait que Arsenal paye d'assez bon salaires ...

Goalkeepers: Fraser Forster (Celtic), Joe Hart (Manchester City), John Ruddy (Norwich City). Defenders: Leighton Baines (Everton), Ryan Bertrand (Chelsea), Gary Cahill (Chelsea), Steven Caulker (Tottenham), Phil Jagielka (Everton), Glen Johnson (Liverpool), Ryan Shawcross (Stoke City), Kyle Walker (Tottenham). Midfielders: Tom Cleverley (Manchester United), Steven Gerrard (Liverpool), Aaron Lennon (Tottenham), Leon Osman (Everton), Jonjo Shelvey (Liverpool), Raheem Sterling (Liverpool), Theo Walcott (Arsenal), Jack Wilshere (Arsenal), Ashley Young (Manchester United). Forwards: Wayne Rooney (Manchester United), Daniel Sturridge (Chelsea), Daniel Welbeck (Manchester United). --- Forster qui se voit capé pour son match contre le Barca (même si ce gardien est bon). Pas de Cole (blessure il me semble), donc bonne chose pour Baines. Content pour Shawcross même si il y a peu de chance qu'il joue. Phil/Gary en DC et Jonhson ou Kyle à droite. Par contre et ça fait plaisir, on a beaucoup de joueurs qui aiment jouer au ballon. Si Hodgson à le culot de faire certains choix je serais curieux de voir ce que ça donne. -------------------Hart-------------------- Jonshon--Cahill--Jagielka--Baines ----------------Gerrard------------------ Wilshere-----------Cleverley Sterling--------------------Welbeck -----------------Rooney---------------- Vraiment dans l'idée j'aurais été curieux d'avoir une compo de ce genre. Maintenant le "nouveau" positionnement de Rooney et les dernières performances sans plus de Welbeck sur le coté gauche, ne parlerons pas en sa faveur.

C'est son premier but chez nous en compétition officielle non ?

http://fr.movember.com/ J'ai des amis qui le font également

Reprends ma phrase. Il n'y a pas de pourcentage, je parle bien d'une seule année, et du temps de notre dépendance" durant cette année là. Je crois que tu va chercher trop loin quelque chose de simple.

Carrick sera toujours le sous coté de la génération. Pas dans le bon club quand Gerrard et Lampard ont explosés. Ensuite le retard médiatique eu été trop grand à combler. Un petit tour et puis s'en va pour parker qui a bénéficier de son titre de joueur de l'année, et on retombe dans les travers de la sélection. Après ne pas se braquer, je comprends que Hodgson fasse des tests, Cleverley et Carrick ont joués sous lui, il les a vus, les autres pas encore. Je trouve ça bien qu'il se fasse une idée large, les critiques (si il y en a) devront arriver une fois que le groupe deviendra type, fonction de ce qu'il deviendra. D'un point de vue du club, je suis content que Carrick ne s'impose pas la rigueur de la sélection si c'est pour ne pas jouer.

http://www.mirror.co.uk/sport/football/news/everton-naked-calendar-high-flying-toffees-1423185

Tu trouve ça logique que France Football va par contre voter pour Messi Iniesta Xavi ?

? j'ai pas vu le même match. Ando, je suis pas Fan (en règle général) mais la il a été bien seul pour le coup

Il est bon passeur en offrant pas mal de solution dans la mobilité. Ne rechigne pas à défendre. Il offre la possibilité de jouer sur le coté, ce que n'offre pas un joueur comme Hernandez. Il est très chiant à défendre car dezone et permute quand il le peut. Accessoirement c'est aussi un joueur qui n'hésite pas à frapper de loin, obligeant le défenseur à défendre sur lui, ne pouvant laisser de l'espace. Il lui manque une finition, mais a coté de ça il apporte de la percussion. Il va falloir qu'il travaille, c'est pas un produit finis, mais quand je lis les pages, je vois pas ou il est surcoté. Surtout dans les conditions actuelles.

La ou Welbeck flingue son match, c'est que nos attaquant un peu sevrés de bon ballon, lui au lieu de coller à la ligne et étirer les lignes à toujours repiquer au centre pour chercher à distribuer (le fait que Rooney redescende très trop bas par obligation ? Je sais pas); une chose est sure. Il aurait mieux valu rester collé à la ligne façon Valencia.

Toto quand Danny a été aligné deux fois au même poste et 90' minutes cette saison ? Et qui plus est Danny ne joue a gauche que depuis cette saison (la saison d'avant et en prêt c'était à droite). Donc si tu prends en compte que c'est un jeune joueur (réelle seconde saison chez nous en A), que notre dispositif aujourd'hui a complétement changé avec l'arrivée de RVP (qui prend directement son poste) et de Kagawa + son "exclusion" coté gauche + le fait de jouer peu vous vous attendiez à quoi ? On connait tous le syndrome de la "seconde" saison qui est déjà régulier sur des joueurs qui joue régulièrement à leur poste, alors quand tu ajoute ses conditions supplémentaires, je comprend les performances moyennes de ce début de saison.

Logiquement, Buttner peut prétendre à jouer des deux cotés il me semble. Sinon le grand pont de Valencia

C'était une façon de parler, on peut faire un graphique si vous voulez, en déduire un pourcentage, indexé sur le temps de jeu, les buts et l'age de l'arbitre

Le plus tombeur aussi, ça en est ou avec la nouvelle inscrite ? T'as chuté ?

Cette compo de départ Comment imaginer qu'on prendrait pas l'eau de toute part. Anderson ne peux pas encore se démultiplier pour compenser le vide laisser par Giggs d'un coté et les montée de Rooney de l'autre (encore que l'Anglais ses bien démené physiquement pour essayer d'être partout à la fois, ce qui a nuit énormément à la qualité de son travail ...) ... Bref, match très difficile ... mais cette compo...

Deux Tiers, ou est le problème ?

Le Celtic, premier roi d’Écosse Le Barça aura attendu 1992 pour soulever sa première coupe aux grandes oreilles. Le Celtic, lui, l’avait déjà fait vingt-cinq ans plus tôt, devenant ainsi le premier club britannique à s’adjuger une C1. Alors, qui est l'exemple ? Le Celtic, premier roi d’Écosse « Les tactiques défensives détruisent le visage du football. Ce jeu n’a pas été inventé pour ne pas perdre et pour empêcher de jouer, mais justement pour jouer et gagner. » La punchline est signée Jock Stein, le coach du Celtic en 1967 à propos du catenaccio. Autant dire que cet homme d’un autre temps n’avait pas une grande estime pour son adversaire en finale de la C1 1967 : l'Inter Milan. Il faut dire que le vieil Écossais n’était pas à une folie près. Lui, l’ancien mineur protestant entraîneur de la plus catholique des équipes britanniques. Alors quand il s’agit de défier le grand Inter d’Helenio Herrera en finale à Lisbonne en ce printemps 67, la vieille Europe ne donne pas cher de cette brave équipe écossaise. Des mecs sympas, mais limités. Des bouseux, quoi. D'autant qu'au milieu des 60’s, le Celtic a une politique de transfert encore plus sectaire que Bilbao. Les Bhoyz ne comptent que des lascars nés à moins de cinquante kilomètres de Glasgow. Difficile d’y trouver un talent. Un vrai. Pourtant, les Italiens n’ont qu’une crainte : Tommy Gemmel, dit « Big Tam » à cause de son coup de canon. Gemmel est également protestant. Une saloperie qui lui vaut bien des misères dans sa vie de tous les jours. La légende avance que le laitier de Gemmel, un fan des Rangers, lui portait son lait tous les jours sur le palier en chantonnant « Gemmel est une ordure ». Belle époque. Quoi qu’il en soit, en finale, l’Inter fait figure de favori même en l’absence de Luis Suárez, Jaïres et des déclarations d’avant-match du double H : « Notre équipe est fatiguée. Depuis un mois, nous n’avons pas gagné un match de championnat. » Tu bluffes, Helenio. Surtout qu’en face, Stein en remet une couche en balançant qu’il ne veut « pas seulement gagner cette Coupe. On veut la gagner en jouant bien, en rendant les gens heureux de s’en souvenir, plus tard. » Le match est lancé. « Nous, on n’avait pas de dents ! Ils ont dû croire qu’on sortait d’un cirque » À Lisbonne, la finale se joue dans l’antre de l'Estádio Nacional. Cette taule perchée sur les collines avec seulement trois tribunes. Dans la mémoire des amoureux du Celtic raisonnent encore les propos de l’ailier de poche (1m55) Jimmy Johnstone : « Dans le couloir, les joueurs de l’Inter étaient beaux, bronzés, les cheveux gominés et peignés en arrière, le sourire Colgate. Nous, on n’avait pas de dents ! Quand ils nous ont souri, on leur a souri aussi. Ils ont dû croire qu’on sortait d’un cirque. » Pas faux. Cette équipe écossaise est un hommage aux classes populaires. À ce football qui sent la sueur, la bière et les frites. La finale est jouée d'avance. D'ailleurs, l’Inter va très vite mener au score avec un penalty de Mazzola. Les Italiens passent alors en mode gestion. Ils veulent faire tourner. Mauvaise idée. Les Écossais se vexent et amorcent une tornade. Au coup de sifflet final, le Celtic aura mené une vraie Blietzkrieg : 49 tirs, deux tirs sur la barre, quinze tirs cadrés. Des malades mentaux. On le sait, l’Inter va finalement craquer en seconde période (buts de Gemmel à l’heure de jeu et de Chalmers à cinq minutes de la fin). On frôle l’humiliation. Le géant Faccheti l’avouera très vite après le match, arguant qu’il « a essayé dix fois de monter. Mais le ballon ne me revenait jamais. Nous avons joué à cinq contre onze. » Contre 10 000 plutôt. Au coup de sifflet final, les supporters écossais envahissent le pré pour fêter leurs héros. Dans ce bordel ambiant, le gardien écossais Ronnie Simpson est en stress. Il n’a qu’une envie : retrouver sa casquette laissée dans son but. Et pour cause, à l’intérieur se trouvait ses fausses dents et certaines de celles de ses coéquipiers. Important pour les photos. Les lions de Lisbonne sont sacrés au bout d’une saison folle (C1, championnat, Coupe de la Ligue, Coupe d’Écosse et Coupe de Glasgow). Pour autant, cette première C1 non latine n’émeut personne en dehors de l’Écosse. La preuve, ils n’ont jamais été anoblis et le coach Jock Stein crèvera sur scène un soir de 1985, victime d’un arrêt cardiaque alors qu’il dirigeait l’équipe d’Écosse. Et dire que tout aurait pu s’arrêter en quart de finale contre les modestes Yougoslaves de Vojvodina Novi Sad où seule la tête de Billy McNeill à la dernière minute du match retour enverra les siens dans le dernier carré. L’année de tous les miracles, décidément. So Foot

Sur les photos on voit aussi Scholes et le coup de vieux de Giggs